La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1569)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1569)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1485) -
N'arrivant pas à expliquer les raisons de ses nuits agitées, mélange de cauchemars et de rêves érotiques... Une minute de plus, et dans son rêve, elle allait jouir ! C'était délicieux, bien que terrifiant et des plus humiliants. Elle essaya de se remémorer son aventure onirique. Peu de choses précises et nettes, mais tellement quand même ! Le début était des plus normaux, comme toujours. Cette fois, elle se trouvait chez ses parents en train de dîner avec eux, assise autour de la grande table dans la salle à manger.
Saoulée par les critiques habituelles de sa belle-mère qu'elle n'aimait guère et qui lui reprochait tout et n'importe quoi, ses choix de tenues, sa posture, sa façon de parler, son comportement, ses fréquentations, ses choix inexistants ou incorrects de vie, etc. Comme à chaque fois, Sandra se retenait de riposter, évitant de générer un conflit ouvert avec sa belle-mère, par respect et bienveillance pour son père qu'elle aimait. Et puis, l'attaque frontale ne servait à rien, qu'à booster les pouvoirs de sa belle-mère auprès de son père. Cela l'avait conduit jadis à se retrouver dans un internat. Enfin bref, elle était là à supporter les remarques désobligeantes de sa belle-mère, quand des bruits étranges attirèrent son attention. Ses parents ne semblaient ne rien entendre, Sandra se levait, quittant la table, puis la pièce pour chercher d'où provenait ce qui semblait être de la musique d’une autre époque, accompagnée de voix et de rires. Intriguée en se trouvant sur la première marche montant le grand escalier, elle aperçut, tout en haut et l'espace d'un instant fort furtif, deux personnes vêtues de cape noire flanquée de capuche rouge qui entraient dans la chambre de ses parents. Curieuse en pressant le pas, grimpant rapidement les autres marches, elle décidait d’aller à leur suite. Sandra arriva donc en haut du palier et aussitôt la porte franchie de ladite chambre, cette porte se referma de suite derrière elle d'un claquement sec après avoir grincé lugubrement. Sandra se retrouva, sans comprendre comment cela était possible, dans la boite de nuit qu'elle affectionnait tant, y venant souvent avec Jack.
D'ailleurs, en parlant de lui, il était là sur la piste de danse avec deux filles, en train de frimer, en jouant les super danseurs alors que d'habitude, il rechignait à accepter de danser. Très intriguée, Sandra essaya de le rejoindre, se frayant difficilement un chemin entre la foule dense. Quand soudain, elle aperçut les deux chaperons rouges qu'elles avaient suivi, dissimulant leur visage, en plus de leur capuche, derrière des larges masques blancs. Les deux ténébreux chaperons réussirent à attraper Jack et le tiraient par les bras de force, vers le fond de la salle. Jack avait les yeux hagards et semblait appeler à l'aide, tout en tournant la tête en sa direction, mais le bruit de la musique abasourdissante et le tumulte des autres gens couvraient ses paroles. A nouveau Sandra les suivit, déboulant en trompe, pour sauver Jack dans les toilettes de la boite de nuit… Sauf qu'elle se retrouva … dans le long couloir central du collège, semblant surnaturellement vide, silencieux et surtout quelque peu effrayant, comparé à l'effervescence des heures de cours en journée. Ce n'était pas la première fois, que Sandra rêvait qu'elle se retrouvait dans les couloirs de son l'école. C'était même des plus normaux, vu le nombre d'heures qu'elle y passait. Ne dit-on pas que les rêves servent à compiler dans notre mémoire toutes nos actions et émotions ressenties durant la journée ! Mais c'était la première fois, qu'elle s'imaginait être en ce lieu, vêtue juste en léger pyjama…
Sandra n'eut trop pas le temps de se poser de questions, puisque dans son rêve, elle aperçut à quelques mètres devant elle, Jack en train de se débattre avec cinq personnes l'emmenant de force et toutes vêtues des mêmes capes noires aux capuches rouges. À partir de là, les événements s'enchaînèrent de manière crescendo. Elle entendit d’abord Jack lui crier "Attention", en pointant du doigt quelque chose derrière elle. Sandra se retournait, guettant la pénombre loin derrière elle, où il lui semblait voir quelque chose bouger. Elle plissa les yeux pour mieux voir, quand brusquement apparut dans la lumière proche d’elle, un groupe d'encapuchonner, avec au milieu d'eux, une silhouette effrayante. Sandra avait du mal à se souvenir à quoi exactement ressemblait le monstre qu'elle avait vu, sauf qu’il était géant et que son visage ressemblait à un de ses masques ovales africains, ses mains étaient des griffes, ses jambes de larges pattes, mi-homme-mi loup, elle en conclut donc qu’il ressemblait à un loup-garou... Se souvenant nettement, en revanche, de sa fuite éperdue dans les couloirs sans fin de son école. Ce monstre la poursuivait dans les couloirs accompagné de sa meute de chaperons rouges. Elle courrait à pleine jambes pour finalement tomber maladroitement, à bout de souffle par terre, juste devant la porte du directeur du collège… Juste au moment où le monstre fondait sur elle, Sandra eut à peine le temps de se relever et d’ouvrir cette porte salvatrice, pour retomber au sol s’entremêlant les pieds… C'est alors que relevant la tête, elle s’aperçut qu'elle était, à présent, dans une forêt enneigée au paysage magnifique...
Malheureusement, elle n'eut pas le temps de s'extasier davantage, car des hurlements se firent entendre, lui faisant tourner la tête derrière elle, pour apercevoir le monstre et ses encapuchonnés rouges se diriger vers elle. Mais avant même qu'elle puisse se relever, des racines ou plutôt des chaînes se mirent à sortir brusquement du sol, l'agrippaient et s'enroulaient autour de ses bras et ses jambes, la retenant prisonnière. L'instant d'après, elle se vit toute nue, comme si son pyjama s’était volatilisé subitement au contact des chaines qui se refermaient sur son corps désormais nu. Prisonnière tel un insecte dans une toile d'araignée, toile fait de chaînes métalliques, avec les monstres qui la poursuivaient tout autour d'elle, tenant pour certains des torches enflammées. À une vingtaine de mètres devant elle, se trouvait une sorte de grande bulle en verre transparent, un halo de lumière bleue, avec dedans un grand lit double où Jack se trouvait. Ne semblant guère en danger, vu qu'il était en pleins ébats sexuels avec deux magnifiques femmes nues, aux cheveux très longs et ondulés. Les poursuivants rassemblés autour de Sandra retirèrent leur capuche et leur masque, permettant à Sandra, de reconnaître les filles dont elle s'était jouée, en les attirant dans les bras et la couche de Jack, avant de les jeter comme de vulgaire mouchoir. Le géant loup-garou aussi retira son masque africain et Sandra reconnu le visage sévère et impassible du directeur du collège… Dans le groupe de femmes, elle vit aussi Carole, qui s'avança jusque devant elle, retirant sa cape rouge, pour dévoiler à Sandra, sa nudité mise en valeur encore plus dans ce paysage enneigé par des atours en lanières de cuir noir. Par ailleurs, et aussi incroyable qu’était la situation, le sol enneigé et l’environnement était à une douce température, alors que la neige et le givre sur les arbres étaient bien présents…
Carole sourit à Sandra, de ce sourire qui l'avait fait tant enrager lorsqu'elle Carole l’avait quitté pour s’en retourner vers le Château rejoindre le Maître qui soumettait Carole, Maître ou plutôt le spectre du Marquis d’Evans (lire les épisodes précédents). Et là, comme elle l'avait fait dans la cellule du Château, Carole tomba à genoux devant Sandra et vint lui dévorer la chatte largement offerte par les chaines imposant fermement le maintien des cuisses écartées de Sandra. Cette dernière, doublée par le plaisir qu'elle éprouvait sous les coups de langue habile de Carole, assista à un crescendo d’intensité et de liberté d’images de sexe et de luxure entre jack et les deux femmes nues qui copulaient dans ce lit bleuté. Sandra éprouvait de la jalousie, de voir ces femmes être caressées et baisées par Jack avec tant de ferveur, tant de virilité, elle qui n'avait plus guère droit à ses attentions, si ce n'est lorsqu'elle lui emmenait une nouvelle godiche à fourrer. Pourquoi dans ses chaines, tremblait-elle autant, est-ce d'être humiliée ainsi entravée toute nue devant toutes ses anciennes rivales, et d'assister impuissante à leurs ébats avec Jack ? Ou étais-ce les faveurs de Carole qui s'activait avec envie entre ses jambes ? A moins que ce fût par la vue du monstre ressemblant au directeur du collège, qui s'avançait à grands pas, avec une grande épée à la main vers Jack. La scène sembla se jouer comme au ralentit devant les yeux de Sandra, qui vit les deux femmes au lit retenir Jack, pendant que le monstre abattait son épée et trancha d'un coup net la queue érigée de Jack qui hurla effroyablement alors que des giclées de sang fusaient, couvrant son corps à présent inerte… C'est à ce terrible et épouvantable moment-là que Sandra se réveilla de ce cauchemar digne des peurs d’une soirée d’Halloween ...
(A suivre …)
N'arrivant pas à expliquer les raisons de ses nuits agitées, mélange de cauchemars et de rêves érotiques... Une minute de plus, et dans son rêve, elle allait jouir ! C'était délicieux, bien que terrifiant et des plus humiliants. Elle essaya de se remémorer son aventure onirique. Peu de choses précises et nettes, mais tellement quand même ! Le début était des plus normaux, comme toujours. Cette fois, elle se trouvait chez ses parents en train de dîner avec eux, assise autour de la grande table dans la salle à manger.
Saoulée par les critiques habituelles de sa belle-mère qu'elle n'aimait guère et qui lui reprochait tout et n'importe quoi, ses choix de tenues, sa posture, sa façon de parler, son comportement, ses fréquentations, ses choix inexistants ou incorrects de vie, etc. Comme à chaque fois, Sandra se retenait de riposter, évitant de générer un conflit ouvert avec sa belle-mère, par respect et bienveillance pour son père qu'elle aimait. Et puis, l'attaque frontale ne servait à rien, qu'à booster les pouvoirs de sa belle-mère auprès de son père. Cela l'avait conduit jadis à se retrouver dans un internat. Enfin bref, elle était là à supporter les remarques désobligeantes de sa belle-mère, quand des bruits étranges attirèrent son attention. Ses parents ne semblaient ne rien entendre, Sandra se levait, quittant la table, puis la pièce pour chercher d'où provenait ce qui semblait être de la musique d’une autre époque, accompagnée de voix et de rires. Intriguée en se trouvant sur la première marche montant le grand escalier, elle aperçut, tout en haut et l'espace d'un instant fort furtif, deux personnes vêtues de cape noire flanquée de capuche rouge qui entraient dans la chambre de ses parents. Curieuse en pressant le pas, grimpant rapidement les autres marches, elle décidait d’aller à leur suite. Sandra arriva donc en haut du palier et aussitôt la porte franchie de ladite chambre, cette porte se referma de suite derrière elle d'un claquement sec après avoir grincé lugubrement. Sandra se retrouva, sans comprendre comment cela était possible, dans la boite de nuit qu'elle affectionnait tant, y venant souvent avec Jack.
D'ailleurs, en parlant de lui, il était là sur la piste de danse avec deux filles, en train de frimer, en jouant les super danseurs alors que d'habitude, il rechignait à accepter de danser. Très intriguée, Sandra essaya de le rejoindre, se frayant difficilement un chemin entre la foule dense. Quand soudain, elle aperçut les deux chaperons rouges qu'elles avaient suivi, dissimulant leur visage, en plus de leur capuche, derrière des larges masques blancs. Les deux ténébreux chaperons réussirent à attraper Jack et le tiraient par les bras de force, vers le fond de la salle. Jack avait les yeux hagards et semblait appeler à l'aide, tout en tournant la tête en sa direction, mais le bruit de la musique abasourdissante et le tumulte des autres gens couvraient ses paroles. A nouveau Sandra les suivit, déboulant en trompe, pour sauver Jack dans les toilettes de la boite de nuit… Sauf qu'elle se retrouva … dans le long couloir central du collège, semblant surnaturellement vide, silencieux et surtout quelque peu effrayant, comparé à l'effervescence des heures de cours en journée. Ce n'était pas la première fois, que Sandra rêvait qu'elle se retrouvait dans les couloirs de son l'école. C'était même des plus normaux, vu le nombre d'heures qu'elle y passait. Ne dit-on pas que les rêves servent à compiler dans notre mémoire toutes nos actions et émotions ressenties durant la journée ! Mais c'était la première fois, qu'elle s'imaginait être en ce lieu, vêtue juste en léger pyjama…
Sandra n'eut trop pas le temps de se poser de questions, puisque dans son rêve, elle aperçut à quelques mètres devant elle, Jack en train de se débattre avec cinq personnes l'emmenant de force et toutes vêtues des mêmes capes noires aux capuches rouges. À partir de là, les événements s'enchaînèrent de manière crescendo. Elle entendit d’abord Jack lui crier "Attention", en pointant du doigt quelque chose derrière elle. Sandra se retournait, guettant la pénombre loin derrière elle, où il lui semblait voir quelque chose bouger. Elle plissa les yeux pour mieux voir, quand brusquement apparut dans la lumière proche d’elle, un groupe d'encapuchonner, avec au milieu d'eux, une silhouette effrayante. Sandra avait du mal à se souvenir à quoi exactement ressemblait le monstre qu'elle avait vu, sauf qu’il était géant et que son visage ressemblait à un de ses masques ovales africains, ses mains étaient des griffes, ses jambes de larges pattes, mi-homme-mi loup, elle en conclut donc qu’il ressemblait à un loup-garou... Se souvenant nettement, en revanche, de sa fuite éperdue dans les couloirs sans fin de son école. Ce monstre la poursuivait dans les couloirs accompagné de sa meute de chaperons rouges. Elle courrait à pleine jambes pour finalement tomber maladroitement, à bout de souffle par terre, juste devant la porte du directeur du collège… Juste au moment où le monstre fondait sur elle, Sandra eut à peine le temps de se relever et d’ouvrir cette porte salvatrice, pour retomber au sol s’entremêlant les pieds… C'est alors que relevant la tête, elle s’aperçut qu'elle était, à présent, dans une forêt enneigée au paysage magnifique...
Malheureusement, elle n'eut pas le temps de s'extasier davantage, car des hurlements se firent entendre, lui faisant tourner la tête derrière elle, pour apercevoir le monstre et ses encapuchonnés rouges se diriger vers elle. Mais avant même qu'elle puisse se relever, des racines ou plutôt des chaînes se mirent à sortir brusquement du sol, l'agrippaient et s'enroulaient autour de ses bras et ses jambes, la retenant prisonnière. L'instant d'après, elle se vit toute nue, comme si son pyjama s’était volatilisé subitement au contact des chaines qui se refermaient sur son corps désormais nu. Prisonnière tel un insecte dans une toile d'araignée, toile fait de chaînes métalliques, avec les monstres qui la poursuivaient tout autour d'elle, tenant pour certains des torches enflammées. À une vingtaine de mètres devant elle, se trouvait une sorte de grande bulle en verre transparent, un halo de lumière bleue, avec dedans un grand lit double où Jack se trouvait. Ne semblant guère en danger, vu qu'il était en pleins ébats sexuels avec deux magnifiques femmes nues, aux cheveux très longs et ondulés. Les poursuivants rassemblés autour de Sandra retirèrent leur capuche et leur masque, permettant à Sandra, de reconnaître les filles dont elle s'était jouée, en les attirant dans les bras et la couche de Jack, avant de les jeter comme de vulgaire mouchoir. Le géant loup-garou aussi retira son masque africain et Sandra reconnu le visage sévère et impassible du directeur du collège… Dans le groupe de femmes, elle vit aussi Carole, qui s'avança jusque devant elle, retirant sa cape rouge, pour dévoiler à Sandra, sa nudité mise en valeur encore plus dans ce paysage enneigé par des atours en lanières de cuir noir. Par ailleurs, et aussi incroyable qu’était la situation, le sol enneigé et l’environnement était à une douce température, alors que la neige et le givre sur les arbres étaient bien présents…
Carole sourit à Sandra, de ce sourire qui l'avait fait tant enrager lorsqu'elle Carole l’avait quitté pour s’en retourner vers le Château rejoindre le Maître qui soumettait Carole, Maître ou plutôt le spectre du Marquis d’Evans (lire les épisodes précédents). Et là, comme elle l'avait fait dans la cellule du Château, Carole tomba à genoux devant Sandra et vint lui dévorer la chatte largement offerte par les chaines imposant fermement le maintien des cuisses écartées de Sandra. Cette dernière, doublée par le plaisir qu'elle éprouvait sous les coups de langue habile de Carole, assista à un crescendo d’intensité et de liberté d’images de sexe et de luxure entre jack et les deux femmes nues qui copulaient dans ce lit bleuté. Sandra éprouvait de la jalousie, de voir ces femmes être caressées et baisées par Jack avec tant de ferveur, tant de virilité, elle qui n'avait plus guère droit à ses attentions, si ce n'est lorsqu'elle lui emmenait une nouvelle godiche à fourrer. Pourquoi dans ses chaines, tremblait-elle autant, est-ce d'être humiliée ainsi entravée toute nue devant toutes ses anciennes rivales, et d'assister impuissante à leurs ébats avec Jack ? Ou étais-ce les faveurs de Carole qui s'activait avec envie entre ses jambes ? A moins que ce fût par la vue du monstre ressemblant au directeur du collège, qui s'avançait à grands pas, avec une grande épée à la main vers Jack. La scène sembla se jouer comme au ralentit devant les yeux de Sandra, qui vit les deux femmes au lit retenir Jack, pendant que le monstre abattait son épée et trancha d'un coup net la queue érigée de Jack qui hurla effroyablement alors que des giclées de sang fusaient, couvrant son corps à présent inerte… C'est à ce terrible et épouvantable moment-là que Sandra se réveilla de ce cauchemar digne des peurs d’une soirée d’Halloween ...
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