La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1571)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1571)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1566) -
Chapitre 27 : Inscription à une formation -
- Allez viens esclave, nous t’emmenons avec nous au supermarché ! …
Combien aurais-je été comblé et heureux si j’avais pu rentrer à la Bastide, pour me reposer, dormir et me détendre après ce stage de quatre jours passé près de ces deux pervers, totalement détraqués et dépravés. Mais Monsieur le Marquis en avait décidé autrement… Dès mon retour au Château, Madame Marie, sévère comme toujours et égale à elle-même, m’avait pris en charge. Toutefois, elle m’avait fait prendre un bon bain, bien chaud, presque bouillant, puis c’est avec son regard froid et sans un mot qu’elle avait massé mon fessier strié et endolori par tant de coups reçus tout au long de mon séjour chez les deux sadiques. Elle m’avait ensuite conduit dans une cellule, que je ne connaissais pas encore, dans laquelle se trouvait, pour le coup, un bon lit, avec sommier et matelas.
- Couche-toi et repose-toi, le bâtard, tu sembles en avoir grand besoin !, m’avait-elle dit sur un ton empli d’autorité
Oh que oui… j’avais grand besoin de me reposer. Lorsque je m’étais regardé dans le miroir vers la baignoire, à peine si je m’étais reconnu. Des cernes profonds marquaient mon visage, les yeux sans éclat, j’éprouvais une sensation d’épuisement, de lassitude, avec une capacité mentale réduite, une libido à zéro, bref, dans un état de léthargie, comme jamais vécu jusqu’ici. J’avais dû m’endormir sur le champ, sans même voir repartir l’implacable cuisinière qui ne m’avait fait porter aucune entrave, hormis celle placée sur ma nouille... Et puis, il y avait eu ce réveil sans douceur… Le Majordome m’avait sorti du lit en empoignant ma chevelure, m’avait exigé de lui baiser les pieds, avant qu’il ôte ma cage de chasteté et m’emmène dans le bureau du Maître. Depuis lors j’étais là, immobile, dans une posture d’attente, à genoux, le buste bien droit car que mon fessier ne devait pas toucher mes talons, cuisses tenues largement écartées, les mains bien posées l’une sur l’autre au niveau de mes reins, la tête baissée, mon regard sur ma nouille flasque. A mon grand étonnement, je ne ressentais aucun stress, aucune émotion, aucune peur, avec cependant une étrange sensation, celle de ne plus m’appartenir, au fond de moi-même, ce corps apathique et malléable, posé sous mon regard, n’était plus qu’une chose façonnée et formatée, faite pour servir !
J’attendais… une très longue attente qui me permettait de revivre mentalement les épreuves endurées près de ce couple de maniaques sexuels, au cours de ces quatre derniers jours. Par flashs successifs, je revivais et me remémorais ces expériences ignobles et sordides vécues près de cette soi-disant nurse et de son mari tout aussi pervers. Je me revoyais dans ce supermarché, poussant le caddie, avec cette couche-culotte lourde et humide, me collant aux fesses, tellement moite que le short que je portais, était imbibé de ma pisse, avec des tâches d’urine bien visible sur celui-ci… Je me rappelais de cet ordre tombé sur le parking de cette grande surface, où j’avais dû, debout, mains dans le dos, tête basse, pisser une nouvelle fois dans cette couche-culotte détrempée, tellement détrempée que j’avais vu et senti ma pisse courir le long de mes jambes, jusqu’à ce qu’une flaque s’installe à mes pieds et ce, devant le regard médusé et abasourdi d’une femme venant de faire ses courses. Je me souvenais aussi de ce début de nuit, où ces deux pervers m’avaient installé dans leur lit, au milieu d’eux, ma tête maintenue coincée entre les énormes cuisses de cette sadique nurse, à ne plus pouvoir respirer, à suffoquer même, ma bouche plaquée contre sa chatte peu ragoutante et ruisselante, alors que son mari me besognait sauvagement, m’enculant copieusement, sans que ni l’un ni l’autre ne se préoccupe de mes propres ressentis, simplement considéré comme un simple objet sexuel …
Je me souvenais encore de cette longue après-midi, où pendant plus de trois heures interminables, à quatre pattes au milieu du salon, j’avais dû sucer ce gode énorme, alors qu’eux, installés sur leur canapé, regardaient porno sur porno version D/s. Les coups de badine m’avaient été régulièrement administrés dès lors qu’ils avaient l’impression que je n’y mettais pas suffisamment d’ardeur et d’énergie… Mes entrailles se rappelaient aussi et encore, de ces longues et régulières pénétrations avec cette machine à baiser, me laissant le cul béant… Je repensais aussi à ces menaces qu’ils avaient proféré dont celle de me conduire sur une aire de repos de l’autoroute pour me faire baiser par des camionneurs ou routiers en rut, dès lors que je n’appliquais pas rigoureusement les consignes, que je ne les vénérais ou ne les remerciais pas suffisamment… Heureusement menaces non exécutées…
Mon pubis, mes couilles et ma raie anale se souvenaient eux aussi de cette séquence de dépilation terrible, avec juste une pince à épiler pour extraire quelques poils repoussant ici ou là, avec ordre de ne pas bouger, encore moins de gémir ou de hurler, en tenant mon cul en l’air, jambes écartées et repliées sur mon abdomen… Je me souvenais aussi avoir été utilisé maintes et maintes fois à leur servir de vide-couilles pour le mari et de vide-mouilles pour la nurse ! Et cela à n’importe quel moment et endroit, de jour comme de nuit. A être réveillé juste pour me faire prendre par l’homme ou lécher la chatte de la matrone, voire les deux à la fois. Comment m’avait-il été possible de supporter l’insupportable ? Comment se faisait-il qu’en me remémorant ces ignominies, ma queue était maintenant raide, totalement érigée, allant même jusqu’à mouiller ? Sans doute, étais-je sur le chemin de la totale soumission et dépravation, sur la route de l’esclavage consentie !... A cet instant, la porte du bureau venait de s’ouvrir, j’apercevais deux paires de chaussures impeccablement cirées et passées pas très loin de moi, puis j’entendais des pas s’éloigner. Je reconnaissais la voix du Maître
- Approche Mon chien, viens près de nous !, me dictait-il.
A quatre pattes, sans redresser la tête, je m’installais entre Lui et cet inconnu, assis tout d’eux dans des fauteuils, et reprenais ma posture initiale. A peine mis en place, Monsieur le Marquis, juste devant moi, me donnait quelques coups légers avec Son pied sur mes couilles. Je ne bougeais pas, ne sursautais pas, ne gémissais pas.
- En quadrupédie Mon chien, viens près de Moi, ta tête posée sur Mon genoux droit.
Evidemment et sans attendre j’obéissais, avec peut-être pour la première fois, un réel sentiment de fierté d’appartenir. Chose remarquée par cet inconnu :
- Obéissance parfaite, avec beaucoup de dévotion, on perçoit même de la Vénération, ce boy semble parfaitement dressé !
La main du Châtelain me caressait la tête et glissait sur ma nuque, allait et venait sans cesse, alors que je cambrais mes reins, écartais les cuisses, pour laisser mon anus, mes couilles et ma bite raide, bien en vue et disponibles. Je n’éprouvais plus aucune honte, plus aucune réserve, plus aucun déshonneur, ma seule préoccupation du moment était de ressentir à travers cette main me caressant, la fierté de Monsieur le Marquis. Je ne souhaitais surtout pas Le décevoir mais vivement Lui donner du plaisir, convaincu désormais que j’étais fait pour ça, pour Lui, pour Le servir, Lui obéir et Le subir le cas échéant…
- Son dressage progresse bien, il est obéissant, être nu et bien exhibé ne sont plus un problème pour lui, il accepte désormais sans broncher les humiliations, ses fellations sont presque bien faites, son cul s’ouvre de mieux en mieux et avale de bons calibres.
En disant cela, les mains du Maître s’étaient posées sur mes fesses, Il tirait sur mes lobes fessiers pour dégager plus amplement mon sillon anal, l’extrémité de Son majeur effleurait mon entrée intime totalement souple. Il me relâchait et reprenait la parole.
- esclav'alex a un réel potentiel que nous devons développer beaucoup plus encore. J’envisage pour lui, mais aussi pour un autre de Mes esclaves mâles, de les voir tous deux, mieux accepter leur statut, totalement dévoués à Ma cause et entièrement dépendants de Ma Seule Volonté. C’est pour cela que je vous ai fait venir, mon cher Ludovic.
A cet instant, on frappait à la porte du bureau du Noble.
- Entrer !…
Walter entrait, avec derrière lui, tenu en laisse et à quatre pattes esclav’antoine…
(A suivre…)
Chapitre 27 : Inscription à une formation -
- Allez viens esclave, nous t’emmenons avec nous au supermarché ! …
Combien aurais-je été comblé et heureux si j’avais pu rentrer à la Bastide, pour me reposer, dormir et me détendre après ce stage de quatre jours passé près de ces deux pervers, totalement détraqués et dépravés. Mais Monsieur le Marquis en avait décidé autrement… Dès mon retour au Château, Madame Marie, sévère comme toujours et égale à elle-même, m’avait pris en charge. Toutefois, elle m’avait fait prendre un bon bain, bien chaud, presque bouillant, puis c’est avec son regard froid et sans un mot qu’elle avait massé mon fessier strié et endolori par tant de coups reçus tout au long de mon séjour chez les deux sadiques. Elle m’avait ensuite conduit dans une cellule, que je ne connaissais pas encore, dans laquelle se trouvait, pour le coup, un bon lit, avec sommier et matelas.
- Couche-toi et repose-toi, le bâtard, tu sembles en avoir grand besoin !, m’avait-elle dit sur un ton empli d’autorité
Oh que oui… j’avais grand besoin de me reposer. Lorsque je m’étais regardé dans le miroir vers la baignoire, à peine si je m’étais reconnu. Des cernes profonds marquaient mon visage, les yeux sans éclat, j’éprouvais une sensation d’épuisement, de lassitude, avec une capacité mentale réduite, une libido à zéro, bref, dans un état de léthargie, comme jamais vécu jusqu’ici. J’avais dû m’endormir sur le champ, sans même voir repartir l’implacable cuisinière qui ne m’avait fait porter aucune entrave, hormis celle placée sur ma nouille... Et puis, il y avait eu ce réveil sans douceur… Le Majordome m’avait sorti du lit en empoignant ma chevelure, m’avait exigé de lui baiser les pieds, avant qu’il ôte ma cage de chasteté et m’emmène dans le bureau du Maître. Depuis lors j’étais là, immobile, dans une posture d’attente, à genoux, le buste bien droit car que mon fessier ne devait pas toucher mes talons, cuisses tenues largement écartées, les mains bien posées l’une sur l’autre au niveau de mes reins, la tête baissée, mon regard sur ma nouille flasque. A mon grand étonnement, je ne ressentais aucun stress, aucune émotion, aucune peur, avec cependant une étrange sensation, celle de ne plus m’appartenir, au fond de moi-même, ce corps apathique et malléable, posé sous mon regard, n’était plus qu’une chose façonnée et formatée, faite pour servir !
J’attendais… une très longue attente qui me permettait de revivre mentalement les épreuves endurées près de ce couple de maniaques sexuels, au cours de ces quatre derniers jours. Par flashs successifs, je revivais et me remémorais ces expériences ignobles et sordides vécues près de cette soi-disant nurse et de son mari tout aussi pervers. Je me revoyais dans ce supermarché, poussant le caddie, avec cette couche-culotte lourde et humide, me collant aux fesses, tellement moite que le short que je portais, était imbibé de ma pisse, avec des tâches d’urine bien visible sur celui-ci… Je me rappelais de cet ordre tombé sur le parking de cette grande surface, où j’avais dû, debout, mains dans le dos, tête basse, pisser une nouvelle fois dans cette couche-culotte détrempée, tellement détrempée que j’avais vu et senti ma pisse courir le long de mes jambes, jusqu’à ce qu’une flaque s’installe à mes pieds et ce, devant le regard médusé et abasourdi d’une femme venant de faire ses courses. Je me souvenais aussi de ce début de nuit, où ces deux pervers m’avaient installé dans leur lit, au milieu d’eux, ma tête maintenue coincée entre les énormes cuisses de cette sadique nurse, à ne plus pouvoir respirer, à suffoquer même, ma bouche plaquée contre sa chatte peu ragoutante et ruisselante, alors que son mari me besognait sauvagement, m’enculant copieusement, sans que ni l’un ni l’autre ne se préoccupe de mes propres ressentis, simplement considéré comme un simple objet sexuel …
Je me souvenais encore de cette longue après-midi, où pendant plus de trois heures interminables, à quatre pattes au milieu du salon, j’avais dû sucer ce gode énorme, alors qu’eux, installés sur leur canapé, regardaient porno sur porno version D/s. Les coups de badine m’avaient été régulièrement administrés dès lors qu’ils avaient l’impression que je n’y mettais pas suffisamment d’ardeur et d’énergie… Mes entrailles se rappelaient aussi et encore, de ces longues et régulières pénétrations avec cette machine à baiser, me laissant le cul béant… Je repensais aussi à ces menaces qu’ils avaient proféré dont celle de me conduire sur une aire de repos de l’autoroute pour me faire baiser par des camionneurs ou routiers en rut, dès lors que je n’appliquais pas rigoureusement les consignes, que je ne les vénérais ou ne les remerciais pas suffisamment… Heureusement menaces non exécutées…
Mon pubis, mes couilles et ma raie anale se souvenaient eux aussi de cette séquence de dépilation terrible, avec juste une pince à épiler pour extraire quelques poils repoussant ici ou là, avec ordre de ne pas bouger, encore moins de gémir ou de hurler, en tenant mon cul en l’air, jambes écartées et repliées sur mon abdomen… Je me souvenais aussi avoir été utilisé maintes et maintes fois à leur servir de vide-couilles pour le mari et de vide-mouilles pour la nurse ! Et cela à n’importe quel moment et endroit, de jour comme de nuit. A être réveillé juste pour me faire prendre par l’homme ou lécher la chatte de la matrone, voire les deux à la fois. Comment m’avait-il été possible de supporter l’insupportable ? Comment se faisait-il qu’en me remémorant ces ignominies, ma queue était maintenant raide, totalement érigée, allant même jusqu’à mouiller ? Sans doute, étais-je sur le chemin de la totale soumission et dépravation, sur la route de l’esclavage consentie !... A cet instant, la porte du bureau venait de s’ouvrir, j’apercevais deux paires de chaussures impeccablement cirées et passées pas très loin de moi, puis j’entendais des pas s’éloigner. Je reconnaissais la voix du Maître
- Approche Mon chien, viens près de nous !, me dictait-il.
A quatre pattes, sans redresser la tête, je m’installais entre Lui et cet inconnu, assis tout d’eux dans des fauteuils, et reprenais ma posture initiale. A peine mis en place, Monsieur le Marquis, juste devant moi, me donnait quelques coups légers avec Son pied sur mes couilles. Je ne bougeais pas, ne sursautais pas, ne gémissais pas.
- En quadrupédie Mon chien, viens près de Moi, ta tête posée sur Mon genoux droit.
Evidemment et sans attendre j’obéissais, avec peut-être pour la première fois, un réel sentiment de fierté d’appartenir. Chose remarquée par cet inconnu :
- Obéissance parfaite, avec beaucoup de dévotion, on perçoit même de la Vénération, ce boy semble parfaitement dressé !
La main du Châtelain me caressait la tête et glissait sur ma nuque, allait et venait sans cesse, alors que je cambrais mes reins, écartais les cuisses, pour laisser mon anus, mes couilles et ma bite raide, bien en vue et disponibles. Je n’éprouvais plus aucune honte, plus aucune réserve, plus aucun déshonneur, ma seule préoccupation du moment était de ressentir à travers cette main me caressant, la fierté de Monsieur le Marquis. Je ne souhaitais surtout pas Le décevoir mais vivement Lui donner du plaisir, convaincu désormais que j’étais fait pour ça, pour Lui, pour Le servir, Lui obéir et Le subir le cas échéant…
- Son dressage progresse bien, il est obéissant, être nu et bien exhibé ne sont plus un problème pour lui, il accepte désormais sans broncher les humiliations, ses fellations sont presque bien faites, son cul s’ouvre de mieux en mieux et avale de bons calibres.
En disant cela, les mains du Maître s’étaient posées sur mes fesses, Il tirait sur mes lobes fessiers pour dégager plus amplement mon sillon anal, l’extrémité de Son majeur effleurait mon entrée intime totalement souple. Il me relâchait et reprenait la parole.
- esclav'alex a un réel potentiel que nous devons développer beaucoup plus encore. J’envisage pour lui, mais aussi pour un autre de Mes esclaves mâles, de les voir tous deux, mieux accepter leur statut, totalement dévoués à Ma cause et entièrement dépendants de Ma Seule Volonté. C’est pour cela que je vous ai fait venir, mon cher Ludovic.
A cet instant, on frappait à la porte du bureau du Noble.
- Entrer !…
Walter entrait, avec derrière lui, tenu en laisse et à quatre pattes esclav’antoine…
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