La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1574)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1574)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1570) -
Une machine à baiser fixée juste devant le siège par un bras articulé… Le lendemain, après une bonne nuit récupératrice, je fus réveillée en sursaut par la porte qui s'ouvrit. Je reconnus Walter déplaçant un siège gynécologie sur roulettes équipée d'une machine. Une machine à baisser fixée juste devant le siège avec un bras articulé... Tout de suite, le Majordome me montra le fameux comprimé aphrodisiaque, puis me le présenta devant la bouche pour que je l'avale ce que je fis rapidement... La machine à baisser était assez grande et se tenait sur des rails-glissières afin d’en assurer les allers-retours du sexe factice imposant par sa longueur et épaisseur. Le Majordome me fit un signe du doigt, m'intimant l'ordre de m'installer sur cette chaise gynécologie flanquée de sangles permettant de me maintenir en place bien attachée. Une fois allongée sur le siège attendant ainsi la tête baissée essayant de rester la plus docile possible. Je mis mes pieds dans les étriers et Monsieur Walter m'attacha bras et cuisses écartées aux sangles afin d'être bien immobile et offerte. Il fixa ensuite le sexe factice proche de ma chatte puis fit quelques réglages afin de l'ajuster comme il le voulait. Le Majordome testa la régularité du gode ainsi que la profondeur de pénétration afin que le mouvement rectiligne soit millimétré avec perfection dans ma chatte de salope en chaleur…
Après ce premier test concluant, il régla la vitesse de la machine à baisser à l'allure très rapide. Il la mit en route, et regarda quelques instants le spectacle que pouvait lui donner le déplacement horizontal du gode entrant et sortant de mon sexe dans une rapide régularité tel un mouvement d’une mécanique affolé... Tous ces préparatifs avaient duré environ 20 minutes … Puis Walter repartit comme il était venu en claquant la porte. Le sexe factice me pénétrait avec la précision et la folle régularité d'un métronome adoptant un rythme très soutenu avec des puissants, profonds et virils va-et-vient… Au départ, durant les 10 premières minutes, cela paraissait supportable et excitant… Mais très vite, à cause du rapide effet du traitement aphrodisiaque, cela devenait de plus en plus difficile à ne pas jouir. En effet, le comprimé que j’avais pris une petite demi-heure avant commençait à faire pleinement son effet sous l’action, en plus, de la machine à baiser et je ressentis de fortes bouffées de chaleur ainsi qu'une excitation grandissante et incontrôlable, avec comme la veille, une impossibilité de jouir. Je me sentais alors comme complètement surexcitée par les coups virils du sexe factice, en rut extrême, en chaleur phénoménales. J’avais cet indescriptible besoin de me faire prendre sans modération mais avec aucune envie de jouir, tout cela généré par les effets si paradoxaux du comprimé…
J'essayais juste d'être la plus digne possible sachant que le Maître me regardait de son ordinateur et souhaitant lui faire honneur et être digne de lui. C'est ainsi que les minutes passaient, j’étais follement trempée dans mon sexe mais aussi de tout mon corps chaudement en sueur, je me sentais être une bombe sexuelle et j’essayais de bouger dans tous les sens, mon fessier essayait de se décoller du siège, j’avais trop envie d’aller à la rencontre de ce rapide gode en mouvement et d’en faciliter encore plus la pénétration… Mon souffle était fort, rapide et mes gémissements étaient dignes d’une chienne dans tous ses états de chaleur… Le temps passait, et je dépassais l’état de fatigue qui commençait à poindre, privilégiant l’appel de mon corps chaud à cette bite factice qui me besognait et que ma chatte réclamait plus que tout… Je n'avais aucune idée depuis combien de temps la machine à baisser avait commencé et je souhaitais juste qu’elle ne s’arrêta jamais, qu’elle me baise sans jamais s’arrêter, encore et encore... Tout mon corps transpirait avec abondance, j'étais comme en nage mais avec l'impossibilité de me libérer et de me soulager de cette torride pénétration vaginale via un sexe factice qui se déplaçait avec une rapidité folle.
Le Majordome ne m'avait pas menti, cela ne serait bien pas de tout repos et je ne pouvais que le constater de toute évidence. J'essayais de de me focaliser pour tenir au niveau de la fatigue devenant de plus en plus pressante pendant que le sexe factice me pénétrait… Et si cela devait durer deux heures, ça faisait déjà un bon moment que je me faisais prendre de la sorte... Un très long moment après, je ne sais pas combien de temps exactement, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient de la porte. Le Majordome entra et se rapprocha de moi puis mettait en position d'arrêt le sexe factice et le sortit de ma chatte sans le moindre mouvement brusque. Il me détacha et me délivra des sangles auxquels j'étais solidement attachée sur le fauteuil gynécologie. Je pus progressivement et l'un après l'autre enlever mes pieds des entiers puis mes mains ainsi que mes jambes. Il me fallut de longues minutes pour me reprendre, pour retrouver mon souffle alors que ma cyprine dégoulinait avec abondance de ma chatte en feu...
Walter me laissa assise afin de me laisser récupérer un peu, puis il exigea de me lever et de me mettre en position d'attente mains derrière la tête à genoux, buste droit afin que mes fesses ne touchèrent pas mes talons, tête baissée et d'attendre ainsi dans cette position. Il s'éloigna ainsi emportant avec lui sur les roulettes la machine à baisser puis repartit aussi vite qu'il était arrivé. Le Majordome revint quelques minutes plus tard avec une bouillie dans une gamelle à manger, l'installa sur le sol, puis sans aucun mot repartit comme il était venu. Je mangeais à quatre pattes comme la bonne chienne soumise que j'étais, lapant consciencieusement ma bouillie hautement calorifique et récupératrice de mes forces… Quand j'eus fini de me sustenter, je restais ainsi immobile en quadrupédie, n'ayant pas reçu d'ordre contraire. Après une bonne heure, Walter revint avec des feuilles, un stylo et un gode puis me dit d'une voix perverse suave et autoritaire :
- chienne Maera MDE, tu vas t'empaler sur ce gode ventousé au sol en le faisant pénétrer dans ton cul de pute, pas dans ta chatte. Tu écriras dans une position assise par terre, avec tes cuisses largement écartées et donc avec ce gode bien planté profondément dans ton anus, 100 fois et sans aucune rature, ni fautes d'orthographe, sinon tu recommencerais cette phrase :
" Je ne dois jamais jouir sans l'autorisation du Maître auquel j'appartiens, Monsieur le Marquis d'Evans, même dans mon sommeil."
- Je viendrais vérifier par la suite, tu écris bien sûr dans cette position et sans bouger, ni la moindre jérémiade c'est évident. Tu commences dès maintenant, exigea le Majordome, d'un ton vicieux pervers tout en repartant…
Je me mis à l'ouvrage assise à même la dalle froide du béton de ma cellule, le gode bien empalé dans mon fondement… Le plus important pour moi, tout ce qui comptait, c'était que j'écrive ces 100 lignes sans faute, ni la moindre rature et que je fasse honneur à l'éducation de Monsieur le Marquis d'Evans. Je recopiai donc la phrase tout en m’appliquant pour écrire sentant bien sûr bien profondément ce gode invasif dans mon anus et n'oubliant jamais quelle est ma place. Je n’étais pas à la deuxième ligne que je sentais tout d’un coup le gode se mettre à vibrer dans mon cul… Je compris que ce sexe factice était télécommandé à distance. Tout d’abord, il vibrait doucement pour monter crescendo, jusqu’à une vitesse rapide imposant la dilatation de ma cavité anale… Il m’était difficile de me concentrer sur les lignes à faire…
C'est au bout d'une heure je dirais, que les 100 lignes étaient copiées sur les feuilles blanches et sans aucune faute, ni gribouillage et cela malgré les folles vibrations dans mes entrailles. Je posais donc le stylo et attendis ainsi assise sur le froid du béton, sans aucun bruit, ni le moindre mouvement de ma part, dans le silence presque complet. Le seul bruit et le seul mouvement perceptible que je ressentais était ceux du gode vibrant toujours dans mon cul de pute… Après une bonne vingtaine de minutes je dirais, le gode s’arrêta et le Majordome rentra dans la pièce, puis se saisit des feuilles et inspecta mes lignes attentivement…Puis, avec un sourire en coin au niveau du visage, il me donna l'ordre de me reposer et il quitta la pièce sans me retirer le gode. J'eus le droit à un bon moment de repos qui me fit beaucoup de bien et me parut totalement salvateur, je m’étais donc endormie de fatigue, restant godée du cul… Je ne sais pas combien de temps j’avais dormi quand Walter rentra de nouveau, avec un martinet et exigea d'une voix calme et froide :
- Mets-toi en position, sur le dos jambes, et cuisses écartées, les bras sur la tête. Je vais t'administrer quinze coups de martinet sur ta chatte. Et bien entendu, je ne veux entendre aucun son et ne pas te voir, sinon je recommence, conclut Walter d'un ton n'admettant aucune réplique.
Les coups de martinet commençaient doucement au départ, puis de plus en plus fort, et surtout de plus en plus marquant. Quand il eut fini la quinzaine de coups de martinet, il me dit :
- Bien chienne Maera MDE, j'ai à te parler ... Demain tu seras besogner par trois esclaves mâles bien montés. Un esclave par orifice ! Un dans ton cul, un dans ta chatte et un dans ta bouche. Pour cela tu seras bondagée, immobilisée, tu auras bien évidemment, un comprimé à avaler une demi-heure avant… Ils ont pour exigence de te baiser durant deux heures non-stop…
(A suivre …)
Une machine à baiser fixée juste devant le siège par un bras articulé… Le lendemain, après une bonne nuit récupératrice, je fus réveillée en sursaut par la porte qui s'ouvrit. Je reconnus Walter déplaçant un siège gynécologie sur roulettes équipée d'une machine. Une machine à baisser fixée juste devant le siège avec un bras articulé... Tout de suite, le Majordome me montra le fameux comprimé aphrodisiaque, puis me le présenta devant la bouche pour que je l'avale ce que je fis rapidement... La machine à baisser était assez grande et se tenait sur des rails-glissières afin d’en assurer les allers-retours du sexe factice imposant par sa longueur et épaisseur. Le Majordome me fit un signe du doigt, m'intimant l'ordre de m'installer sur cette chaise gynécologie flanquée de sangles permettant de me maintenir en place bien attachée. Une fois allongée sur le siège attendant ainsi la tête baissée essayant de rester la plus docile possible. Je mis mes pieds dans les étriers et Monsieur Walter m'attacha bras et cuisses écartées aux sangles afin d'être bien immobile et offerte. Il fixa ensuite le sexe factice proche de ma chatte puis fit quelques réglages afin de l'ajuster comme il le voulait. Le Majordome testa la régularité du gode ainsi que la profondeur de pénétration afin que le mouvement rectiligne soit millimétré avec perfection dans ma chatte de salope en chaleur…
Après ce premier test concluant, il régla la vitesse de la machine à baisser à l'allure très rapide. Il la mit en route, et regarda quelques instants le spectacle que pouvait lui donner le déplacement horizontal du gode entrant et sortant de mon sexe dans une rapide régularité tel un mouvement d’une mécanique affolé... Tous ces préparatifs avaient duré environ 20 minutes … Puis Walter repartit comme il était venu en claquant la porte. Le sexe factice me pénétrait avec la précision et la folle régularité d'un métronome adoptant un rythme très soutenu avec des puissants, profonds et virils va-et-vient… Au départ, durant les 10 premières minutes, cela paraissait supportable et excitant… Mais très vite, à cause du rapide effet du traitement aphrodisiaque, cela devenait de plus en plus difficile à ne pas jouir. En effet, le comprimé que j’avais pris une petite demi-heure avant commençait à faire pleinement son effet sous l’action, en plus, de la machine à baiser et je ressentis de fortes bouffées de chaleur ainsi qu'une excitation grandissante et incontrôlable, avec comme la veille, une impossibilité de jouir. Je me sentais alors comme complètement surexcitée par les coups virils du sexe factice, en rut extrême, en chaleur phénoménales. J’avais cet indescriptible besoin de me faire prendre sans modération mais avec aucune envie de jouir, tout cela généré par les effets si paradoxaux du comprimé…
J'essayais juste d'être la plus digne possible sachant que le Maître me regardait de son ordinateur et souhaitant lui faire honneur et être digne de lui. C'est ainsi que les minutes passaient, j’étais follement trempée dans mon sexe mais aussi de tout mon corps chaudement en sueur, je me sentais être une bombe sexuelle et j’essayais de bouger dans tous les sens, mon fessier essayait de se décoller du siège, j’avais trop envie d’aller à la rencontre de ce rapide gode en mouvement et d’en faciliter encore plus la pénétration… Mon souffle était fort, rapide et mes gémissements étaient dignes d’une chienne dans tous ses états de chaleur… Le temps passait, et je dépassais l’état de fatigue qui commençait à poindre, privilégiant l’appel de mon corps chaud à cette bite factice qui me besognait et que ma chatte réclamait plus que tout… Je n'avais aucune idée depuis combien de temps la machine à baisser avait commencé et je souhaitais juste qu’elle ne s’arrêta jamais, qu’elle me baise sans jamais s’arrêter, encore et encore... Tout mon corps transpirait avec abondance, j'étais comme en nage mais avec l'impossibilité de me libérer et de me soulager de cette torride pénétration vaginale via un sexe factice qui se déplaçait avec une rapidité folle.
Le Majordome ne m'avait pas menti, cela ne serait bien pas de tout repos et je ne pouvais que le constater de toute évidence. J'essayais de de me focaliser pour tenir au niveau de la fatigue devenant de plus en plus pressante pendant que le sexe factice me pénétrait… Et si cela devait durer deux heures, ça faisait déjà un bon moment que je me faisais prendre de la sorte... Un très long moment après, je ne sais pas combien de temps exactement, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient de la porte. Le Majordome entra et se rapprocha de moi puis mettait en position d'arrêt le sexe factice et le sortit de ma chatte sans le moindre mouvement brusque. Il me détacha et me délivra des sangles auxquels j'étais solidement attachée sur le fauteuil gynécologie. Je pus progressivement et l'un après l'autre enlever mes pieds des entiers puis mes mains ainsi que mes jambes. Il me fallut de longues minutes pour me reprendre, pour retrouver mon souffle alors que ma cyprine dégoulinait avec abondance de ma chatte en feu...
Walter me laissa assise afin de me laisser récupérer un peu, puis il exigea de me lever et de me mettre en position d'attente mains derrière la tête à genoux, buste droit afin que mes fesses ne touchèrent pas mes talons, tête baissée et d'attendre ainsi dans cette position. Il s'éloigna ainsi emportant avec lui sur les roulettes la machine à baisser puis repartit aussi vite qu'il était arrivé. Le Majordome revint quelques minutes plus tard avec une bouillie dans une gamelle à manger, l'installa sur le sol, puis sans aucun mot repartit comme il était venu. Je mangeais à quatre pattes comme la bonne chienne soumise que j'étais, lapant consciencieusement ma bouillie hautement calorifique et récupératrice de mes forces… Quand j'eus fini de me sustenter, je restais ainsi immobile en quadrupédie, n'ayant pas reçu d'ordre contraire. Après une bonne heure, Walter revint avec des feuilles, un stylo et un gode puis me dit d'une voix perverse suave et autoritaire :
- chienne Maera MDE, tu vas t'empaler sur ce gode ventousé au sol en le faisant pénétrer dans ton cul de pute, pas dans ta chatte. Tu écriras dans une position assise par terre, avec tes cuisses largement écartées et donc avec ce gode bien planté profondément dans ton anus, 100 fois et sans aucune rature, ni fautes d'orthographe, sinon tu recommencerais cette phrase :
" Je ne dois jamais jouir sans l'autorisation du Maître auquel j'appartiens, Monsieur le Marquis d'Evans, même dans mon sommeil."
- Je viendrais vérifier par la suite, tu écris bien sûr dans cette position et sans bouger, ni la moindre jérémiade c'est évident. Tu commences dès maintenant, exigea le Majordome, d'un ton vicieux pervers tout en repartant…
Je me mis à l'ouvrage assise à même la dalle froide du béton de ma cellule, le gode bien empalé dans mon fondement… Le plus important pour moi, tout ce qui comptait, c'était que j'écrive ces 100 lignes sans faute, ni la moindre rature et que je fasse honneur à l'éducation de Monsieur le Marquis d'Evans. Je recopiai donc la phrase tout en m’appliquant pour écrire sentant bien sûr bien profondément ce gode invasif dans mon anus et n'oubliant jamais quelle est ma place. Je n’étais pas à la deuxième ligne que je sentais tout d’un coup le gode se mettre à vibrer dans mon cul… Je compris que ce sexe factice était télécommandé à distance. Tout d’abord, il vibrait doucement pour monter crescendo, jusqu’à une vitesse rapide imposant la dilatation de ma cavité anale… Il m’était difficile de me concentrer sur les lignes à faire…
C'est au bout d'une heure je dirais, que les 100 lignes étaient copiées sur les feuilles blanches et sans aucune faute, ni gribouillage et cela malgré les folles vibrations dans mes entrailles. Je posais donc le stylo et attendis ainsi assise sur le froid du béton, sans aucun bruit, ni le moindre mouvement de ma part, dans le silence presque complet. Le seul bruit et le seul mouvement perceptible que je ressentais était ceux du gode vibrant toujours dans mon cul de pute… Après une bonne vingtaine de minutes je dirais, le gode s’arrêta et le Majordome rentra dans la pièce, puis se saisit des feuilles et inspecta mes lignes attentivement…Puis, avec un sourire en coin au niveau du visage, il me donna l'ordre de me reposer et il quitta la pièce sans me retirer le gode. J'eus le droit à un bon moment de repos qui me fit beaucoup de bien et me parut totalement salvateur, je m’étais donc endormie de fatigue, restant godée du cul… Je ne sais pas combien de temps j’avais dormi quand Walter rentra de nouveau, avec un martinet et exigea d'une voix calme et froide :
- Mets-toi en position, sur le dos jambes, et cuisses écartées, les bras sur la tête. Je vais t'administrer quinze coups de martinet sur ta chatte. Et bien entendu, je ne veux entendre aucun son et ne pas te voir, sinon je recommence, conclut Walter d'un ton n'admettant aucune réplique.
Les coups de martinet commençaient doucement au départ, puis de plus en plus fort, et surtout de plus en plus marquant. Quand il eut fini la quinzaine de coups de martinet, il me dit :
- Bien chienne Maera MDE, j'ai à te parler ... Demain tu seras besogner par trois esclaves mâles bien montés. Un esclave par orifice ! Un dans ton cul, un dans ta chatte et un dans ta bouche. Pour cela tu seras bondagée, immobilisée, tu auras bien évidemment, un comprimé à avaler une demi-heure avant… Ils ont pour exigence de te baiser durant deux heures non-stop…
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