La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1575)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1575)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1573) -
Chapitre 29 : Antoine mis à l’épreuve sous mon regard -
- Vas-y salope, tu peux balancer ta purée, en foutre plein la gueule de ton putain de futur mari…
Alors qu’Antoine finissait d’ingurgiter mon abondante semence, je restais tremblant, secoué par des spasmes liés à cet intense orgasme, comme transporté hors de moi, mon corps tout entier accaparé par l’ultime degré de la perception du plaisir. Toutes mes émotions, mes sensations et les tensions accumulées s’étaient regroupées pour aller chercher au plus profond de mon corps tout le sperme qui y était contenu, je me vidais donc avec force mes couilles. Mon foutre était sorti avec une violence insensée, après un hurlement bestial de jouissance digne d’un grand cerf en rut en automne, surprenant Antoine toujours placé entre mes cuisses !... C’est alors que soudainement la porte du bureau s’ouvrait, Walter entrait précipitamment et prenait la parole :
- Tout va bien, Monsieur le Marquis ?, interrogeait-il d’un air affolé- Parfaitement bien mon cher Walter, que se passe-t-il ?, lui répondait le Maitre tranquillement alors qu’il remettait Son service trois pièces en place dans son sous-vêtement - J’ai entendu brailler fort par ici, j’ai cru à un accident alors je me suis précipité, voilà tout, Monsieur le Marquis.
- Rien d’important Walter, juste le cri orgasmique d’une salope autorisée à jouir !
- Alors, me voilà rassuré, Monsieur le Marquis.
Le Majordome allait repartir lorsque le Châtelain l’interpellait.
- Ah, Walter, j’ai encore une chose à voir avec toi …- A votre disposition, Monsieur le Marquis.
- Ce cul de chienne n’a pas été dosé, pourrais-tu y remédier !, lui proposait le Noble en désignant esclav’antoine de Son index.
- Mais avec grand plaisir, Monsieur le Marquis… Une bonne putain comme lui est toujours bonne à prendre par le cul.
Ni une, ni deux, le Majordome desserrait sa ceinture, descendait le zip de sa braguette, déboutonnait son pantalon, ses deux pouces passaient sous l’élastique de son slip, pour baisser à mi-cuisses son sous-vêtement en même temps que son futal.
- Tu es comme les scouts mon cher Walter, toujours prêt !
Le Maître souriait, la queue du Majordome était déjà dressée sur ses couilles pendantes. Walter fit brusquement relever esclav’antoine en le saisissant fermement par ses deux tétons. Entre ses pouces et ses index, il les tordait le plus loin qu’il le pouvait. Antoine hurlait, en même temps que sa bite atteignait un stade de tension inimaginable. En tirant sur ses seins, il le fit coucher sur le dos sur la petite table basse, près des deux fauteuils. Walter s’agenouillait alors près de lui, agrippait les couilles de mon congénère par la main droite, il les tirait et les brutalisait, tout en maintenant une torsion brûlante sur son sein droit avec sa main gauche. Pauvre Antoine… ! Il faisait de son mieux pour ne plus hurler. Le traitement que lui prodiguait ce Majordome vicieux et pervers, poussait Antoine dans ses derniers retranchements, intégralement plongé dans le plaisir violent d’une obéissance sans faille et visiblement dans son masochisme évident.
- Toi la pute, va me chercher le tube de gel posé sur le bureau du Maître, m’ordonnait le Majordome
Walter me l’arrachait des mains. Ne sachant plus comment me tenir, je prenais l’initiative de me mettre face contre sol, cul relevé, aux pieds de Monsieur le Marquis. Celui-ci agrippait Sa main empoignant mes cheveux.
- Non, à genoux esclave ! Regarde bien ce que ton putain de futur mari va devoir subir, il aime la queue lui aussi, une vraie chienne en chaleur, comme toi, salope !
Walter faisait relever bien haut les jambes d’ esclav’antoine, ainsi il offrait son cul ouvert à sa merci. Le Majordome lui badigeonnait la rondelle, le froid le faisait sursauter de même que les deux doigts qui s’introduisaient en lui, sans ménagement. Antoine ne parvenait pas à contenir une plainte douloureuse alors qu’il bandait de plus belle.
- Si j’en crois ces gémissements, le cul de cette salope ne se fait pas suffisamment défoncer, pourtant ces entrailles sont brulantes !, commentait Walter.
Le Majordome maniait avec virtuosité ses doigts dans le cul de mon congénère, alternant entre douceur infinie, violence et brusquerie soudaine. Je voyais le corps d’esclav’antoine en état d’alerte permanent, ne sachant jamais si les futures pénétrations allaient être douces ou furieuses. Avec opiniâtreté, il se laissait doigter en laissant son cul à disposition, ouvert à toutes les sensations. Il s’y pliait, s’astreignait et subissait ses assauts incessants, et au final relâchait se muscles pour mieux s’offrir à la saillie. Et juste des râles involontaires sortaient de sa gorge, à chaque poussée les plus profondes. Peu après, Walter se déplaçait, mettait son gland distendu devant l’orifice d’esclav’antoine et le pénétrait d’un coup, lui arrachant un hurlement que le Majordome stoppait net en lui plaquant sa main contre sa bouche. Après ça, Walter ne bougeait plus, restant bien planté dans le cul du soumis, laissant le temps à la virulente brûlure de refluer. Une fois qu’il sentit qu’Antoine était prêt, dilaté, il recommençait à bouger d’abord doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il faisait durer le plaisir, son propre et unique plaisir par des ruades incessantes et viriles. Après quelques minutes de ces assauts impétueux sinon bestiaux, Walter poussait un gémissement sourd et s’enfonçait dans cette intimité à disposition jusqu’à la limite du possible, en se vidant en de longs et nombreux spasmes qui secouaient tout son corps accompagnés de longs jets saccadés de chaude semence.
- Voilà ce chien bien dosé, le cul plein, selon Votre Volonté, Monsieur le Marquis.
- Merci mon brave Walter !
esclav’antoine semblait anéanti, totalement éreinté, le regard absent, dans le vide, il tremblait de tout son être en gardant les jambes en l’air… De sa rondelle dilatée et humide sortait en s’écoulant un filet gluant et blanchâtre de sperme, ses couilles maltraitées semblaient encore congestionnées, sa bite raide reposait sur son abdomen.
- Va bâtard, va passer ta langue sur ce trou baveux et avale ce foutre !, m’ordonnait le Châtelain
A quatre pattes derrière ce cul bien exposé, ma langue collectait cette semence que j’ingurgitais en m’en délectant. Mes lèvres se ventousaient contre cet anneau de chair brulant. J’aspirais en creusant mes joues pour que viennent à moi ces sucs intimes enfouis dans ce fourreau incandescent. L’ivresse de nouveau me gagnait, je me sentais telle une véritable salope, mon érection me faisait quasi mal, tellement ma nouille était au zénith, à son paroxysme…
- Branle-le maintenant, fais-le jouir de tes mains, je veux le voir cracher ses souillures, à cette salope !, insistait le Maitre.
J’empoignais alors cette verge dure et fiévreuse, et en quelques secondes seulement, Antoine n’y tenant plus, explosait une éjaculation violente et très abondante qui se répandait en de longs et puissants jets sur son ventre et sur son torse. Le Maître alors étalait de Ses mains cette semence sur l’abdomen et la poitrine d’esclav’antoine et s’essuyait dans ma chevelure et sur mes joues… Ensuite je dus nettoyer les mains du Noble des dernières gouttes de foutre laissé après s’être essuyé sur mon cuir chevelu. Je passais donc ma langue entre chacun de Ses doigts, tout en prodiguant d’efficaces petits coups de langue…
Nous étions dans un bien triste état, esclav’antoine et moi, lorsque Marie, cette vicieuse cuisinière, renfermait de nouveau nos nouilles dans nos cages de chasteté. Elle s’en donnait à cœur joie cette sadique, en nous humiliant encore et toujours, en pressant, palpant, soupesant, étirant, malaxant à pleines mains nos couilles pour vérifier selon elle, leur légèreté maintenant qu’elles avaient évacuées leur déchet… Et si par malheur, ils nous arrivaient de bouger ou de geindre, elle nous giflait durement et nous cravachait les fesses ou les cuisses, sans état d’âme… Définitivement je haïssais cette Marie, la cuisinière, perverse et sadique femme, qui sans cesse et sans raison nous rabaissait, nous violentait, nous tyrannisait par pur plaisir gratuit d’un sadisme mental et physique...
(A suivre…)
Chapitre 29 : Antoine mis à l’épreuve sous mon regard -
- Vas-y salope, tu peux balancer ta purée, en foutre plein la gueule de ton putain de futur mari…
Alors qu’Antoine finissait d’ingurgiter mon abondante semence, je restais tremblant, secoué par des spasmes liés à cet intense orgasme, comme transporté hors de moi, mon corps tout entier accaparé par l’ultime degré de la perception du plaisir. Toutes mes émotions, mes sensations et les tensions accumulées s’étaient regroupées pour aller chercher au plus profond de mon corps tout le sperme qui y était contenu, je me vidais donc avec force mes couilles. Mon foutre était sorti avec une violence insensée, après un hurlement bestial de jouissance digne d’un grand cerf en rut en automne, surprenant Antoine toujours placé entre mes cuisses !... C’est alors que soudainement la porte du bureau s’ouvrait, Walter entrait précipitamment et prenait la parole :
- Tout va bien, Monsieur le Marquis ?, interrogeait-il d’un air affolé- Parfaitement bien mon cher Walter, que se passe-t-il ?, lui répondait le Maitre tranquillement alors qu’il remettait Son service trois pièces en place dans son sous-vêtement - J’ai entendu brailler fort par ici, j’ai cru à un accident alors je me suis précipité, voilà tout, Monsieur le Marquis.
- Rien d’important Walter, juste le cri orgasmique d’une salope autorisée à jouir !
- Alors, me voilà rassuré, Monsieur le Marquis.
Le Majordome allait repartir lorsque le Châtelain l’interpellait.
- Ah, Walter, j’ai encore une chose à voir avec toi …- A votre disposition, Monsieur le Marquis.
- Ce cul de chienne n’a pas été dosé, pourrais-tu y remédier !, lui proposait le Noble en désignant esclav’antoine de Son index.
- Mais avec grand plaisir, Monsieur le Marquis… Une bonne putain comme lui est toujours bonne à prendre par le cul.
Ni une, ni deux, le Majordome desserrait sa ceinture, descendait le zip de sa braguette, déboutonnait son pantalon, ses deux pouces passaient sous l’élastique de son slip, pour baisser à mi-cuisses son sous-vêtement en même temps que son futal.
- Tu es comme les scouts mon cher Walter, toujours prêt !
Le Maître souriait, la queue du Majordome était déjà dressée sur ses couilles pendantes. Walter fit brusquement relever esclav’antoine en le saisissant fermement par ses deux tétons. Entre ses pouces et ses index, il les tordait le plus loin qu’il le pouvait. Antoine hurlait, en même temps que sa bite atteignait un stade de tension inimaginable. En tirant sur ses seins, il le fit coucher sur le dos sur la petite table basse, près des deux fauteuils. Walter s’agenouillait alors près de lui, agrippait les couilles de mon congénère par la main droite, il les tirait et les brutalisait, tout en maintenant une torsion brûlante sur son sein droit avec sa main gauche. Pauvre Antoine… ! Il faisait de son mieux pour ne plus hurler. Le traitement que lui prodiguait ce Majordome vicieux et pervers, poussait Antoine dans ses derniers retranchements, intégralement plongé dans le plaisir violent d’une obéissance sans faille et visiblement dans son masochisme évident.
- Toi la pute, va me chercher le tube de gel posé sur le bureau du Maître, m’ordonnait le Majordome
Walter me l’arrachait des mains. Ne sachant plus comment me tenir, je prenais l’initiative de me mettre face contre sol, cul relevé, aux pieds de Monsieur le Marquis. Celui-ci agrippait Sa main empoignant mes cheveux.
- Non, à genoux esclave ! Regarde bien ce que ton putain de futur mari va devoir subir, il aime la queue lui aussi, une vraie chienne en chaleur, comme toi, salope !
Walter faisait relever bien haut les jambes d’ esclav’antoine, ainsi il offrait son cul ouvert à sa merci. Le Majordome lui badigeonnait la rondelle, le froid le faisait sursauter de même que les deux doigts qui s’introduisaient en lui, sans ménagement. Antoine ne parvenait pas à contenir une plainte douloureuse alors qu’il bandait de plus belle.
- Si j’en crois ces gémissements, le cul de cette salope ne se fait pas suffisamment défoncer, pourtant ces entrailles sont brulantes !, commentait Walter.
Le Majordome maniait avec virtuosité ses doigts dans le cul de mon congénère, alternant entre douceur infinie, violence et brusquerie soudaine. Je voyais le corps d’esclav’antoine en état d’alerte permanent, ne sachant jamais si les futures pénétrations allaient être douces ou furieuses. Avec opiniâtreté, il se laissait doigter en laissant son cul à disposition, ouvert à toutes les sensations. Il s’y pliait, s’astreignait et subissait ses assauts incessants, et au final relâchait se muscles pour mieux s’offrir à la saillie. Et juste des râles involontaires sortaient de sa gorge, à chaque poussée les plus profondes. Peu après, Walter se déplaçait, mettait son gland distendu devant l’orifice d’esclav’antoine et le pénétrait d’un coup, lui arrachant un hurlement que le Majordome stoppait net en lui plaquant sa main contre sa bouche. Après ça, Walter ne bougeait plus, restant bien planté dans le cul du soumis, laissant le temps à la virulente brûlure de refluer. Une fois qu’il sentit qu’Antoine était prêt, dilaté, il recommençait à bouger d’abord doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il faisait durer le plaisir, son propre et unique plaisir par des ruades incessantes et viriles. Après quelques minutes de ces assauts impétueux sinon bestiaux, Walter poussait un gémissement sourd et s’enfonçait dans cette intimité à disposition jusqu’à la limite du possible, en se vidant en de longs et nombreux spasmes qui secouaient tout son corps accompagnés de longs jets saccadés de chaude semence.
- Voilà ce chien bien dosé, le cul plein, selon Votre Volonté, Monsieur le Marquis.
- Merci mon brave Walter !
esclav’antoine semblait anéanti, totalement éreinté, le regard absent, dans le vide, il tremblait de tout son être en gardant les jambes en l’air… De sa rondelle dilatée et humide sortait en s’écoulant un filet gluant et blanchâtre de sperme, ses couilles maltraitées semblaient encore congestionnées, sa bite raide reposait sur son abdomen.
- Va bâtard, va passer ta langue sur ce trou baveux et avale ce foutre !, m’ordonnait le Châtelain
A quatre pattes derrière ce cul bien exposé, ma langue collectait cette semence que j’ingurgitais en m’en délectant. Mes lèvres se ventousaient contre cet anneau de chair brulant. J’aspirais en creusant mes joues pour que viennent à moi ces sucs intimes enfouis dans ce fourreau incandescent. L’ivresse de nouveau me gagnait, je me sentais telle une véritable salope, mon érection me faisait quasi mal, tellement ma nouille était au zénith, à son paroxysme…
- Branle-le maintenant, fais-le jouir de tes mains, je veux le voir cracher ses souillures, à cette salope !, insistait le Maitre.
J’empoignais alors cette verge dure et fiévreuse, et en quelques secondes seulement, Antoine n’y tenant plus, explosait une éjaculation violente et très abondante qui se répandait en de longs et puissants jets sur son ventre et sur son torse. Le Maître alors étalait de Ses mains cette semence sur l’abdomen et la poitrine d’esclav’antoine et s’essuyait dans ma chevelure et sur mes joues… Ensuite je dus nettoyer les mains du Noble des dernières gouttes de foutre laissé après s’être essuyé sur mon cuir chevelu. Je passais donc ma langue entre chacun de Ses doigts, tout en prodiguant d’efficaces petits coups de langue…
Nous étions dans un bien triste état, esclav’antoine et moi, lorsque Marie, cette vicieuse cuisinière, renfermait de nouveau nos nouilles dans nos cages de chasteté. Elle s’en donnait à cœur joie cette sadique, en nous humiliant encore et toujours, en pressant, palpant, soupesant, étirant, malaxant à pleines mains nos couilles pour vérifier selon elle, leur légèreté maintenant qu’elles avaient évacuées leur déchet… Et si par malheur, ils nous arrivaient de bouger ou de geindre, elle nous giflait durement et nous cravachait les fesses ou les cuisses, sans état d’âme… Définitivement je haïssais cette Marie, la cuisinière, perverse et sadique femme, qui sans cesse et sans raison nous rabaissait, nous violentait, nous tyrannisait par pur plaisir gratuit d’un sadisme mental et physique...
(A suivre…)
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