La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1576)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1576) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1576)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1575) -
Chapitre 29 (bis) : Antoine mis à l’épreuve sous mon regard -
Définitivement je haïssais cette Marie, la cuisinière, perverse et sadique femme, qui sans cesse et sans raison nous rabaissait, nous violentait, nous tyrannisait par pur plaisir gratuit d’un sadisme mental et physique...

- Enfilez ça, sales bâtards aux couilles vides. Dépêchez-vous, les putains !

Marie nous tendait à tous deux, un pantalon de jogging et un tee-shirt, identiques que nous nous pressions de revêtir. Alors que nous nous habillions rapidement, le Maître réapparaissait.

- A genoux, les chiens !, grondait-il
Sans attendre, nous retrouvions cette posture servile, notre tête baissée. Les mains du Noble, une nouvelle fois s’accrochaient à notre chevelure, nous tirant ainsi vers Son entrejambe, nos deux nez plaqués contre Sa braguette.

- Vous allez M’écouter très attentivement … : J’ai décidé de vous laisser rentrer ce soir, Mes petites putes ! Il faut que vous commenciez à vivre ensemble. C’est chez esclav’alex que vous allez vous installer. Son logement est suffisamment grand pour accueillir votre nouveau foyer. Je veux que vous y soyez heureux entre vous deux, et je sais que c’est tout à fait possible, voire évident... Et même si je ne pourrais jamais exiger un quelconque sentiment entre vous, car les sentiments ne se commandent pas, ils se ressentent à tout à chacun, je veux tout de même que vous vous aimiez sincèrement… Et comme je sais que chacun de vous, n’est pas indifférent envers l’autre, je sais que cet amour sincère entre vous est tout à fait réaliste, peut-être même que vous vous aimez déjà et sans même le savoir… Car, en effet, j’ai vite compris et remarqué qu’entre vous deux, vous aviez une évidente attirance physique mais aussi une attirance beaucoup plus qu’amicale, une attirance sexuelle exacerbant votre propre homosexualité naturelle… Quant à l’attirance amoureuse, la balle est dans votre camp… Alors, je veux qu’il y ait beaucoup de tendresse et d’amour entre vous, et cette perspective génère très certainement déjà un fort émoi à chacun de vous… Et je sais, juste à voir vos nouilles frétiller dans leur cage, que Ma juste évaluation sur vos sentiments entre vous, reste fondée et ne vous laisse donc pas insensibles... Regardez-vous dans les yeux…
Le Maître s’arrêta quelques instants, laissant dans le silence, nos cerveaux enregistrer et constater Son juste et réaliste discernement relatif à nos sentiments réciproques, à notre proche affinité, à nos attirances… Je ne savais pas si ce que je ressentais à regarder Antoine était ce que l’on appelle un coup de foudre, mais mon émotion était plus que palpable, mon cœur battait fort, je sentais mon front, mes joues, mes aisselles et mes mains devenant moites, une sorte de douce fièvre m’envahissait. Les yeux d’Antoine me parlaient, son regard exprimait une tendresse inouïe, je lisais chez lui du désir, de l’amour, oui je devinais qu’il me désirait… comme je… je le désirais, il me faut bien l’avouer… Il était clair que je ne pouvais pas nier en effet mon attirance physique et sexuelle envers Antoine que je ressentais intimement depuis la première fois où je l’avais vu dans cette cabane… Mais de là à l’aimer, je ne savais pas trop encore… Mais quand on se regardait dans les yeux, tout basculait très vite dans mon esprit… je savais … Oui je savais désormais que mon cœur battait pour lui… Il me semblait qu’une petite voix intérieure me disait que le Maître avait vu juste car mon cœur battant toujours la chamade, je voyais Antoine empli de bons sentiments à mon égard, et je ressentais intensément, intimement la réciproque envers lui…
Je trouvais en effet Antoine beau garçon, attirant, une personne qu’on a envie d’aimer d’emblée, de désirer à coup sûr, de coucher avec à l’évidence, d’aimer… oui … j’en étais désormais quasiment certain, en effet… Antoine était doux et très affectueux, et oui cela ne me laissait pas indifférent… Tout cela, le Maître l’avait donc remarqué, rien ne lui échappait… Antoine semblait donc, quant à lui, avoir les mêmes ressentis attirants vis à vis de moi, je le sentais, je le devinais juste à son regard des plus amoureux et attendri qu’il me destinait quand nos yeux se croisaient longuement durant ce long silence imposé par le Châtelain… Et son regard si doux me faisait ressentir encore plus de désirs pour lui… Le Maître reprenait :
- Au niveau de votre sexualité, que je vous autorise entre vous deux, vous vous baiserez le plus souvent possible, au minima deux à trois fois par jour ! Oui, j’ai bien dit vous vous baiserez… sans utiliser vos nouilles, car celles-ci resteront en cage.

J’avais du mal à comprendre… Les doigts de Monsieur le Marquis agrippaient nos cheveux, il dégageait nos visages de son entrejambes, tirant nos têtes vers l’arrière, nous obligeant ainsi à Le regarder.

- Baiser, lorsqu’on est des chiens serviles comme vous l’êtes, c’est se donner des baisers profonds, c’est se lécher les couilles, c’est se brouter le cul, c’est également se doigter le fion, c’est se goder profondément et intensément… Vous comprenez ça, Mes putes ?
- Oui Maitre, répondions-nous, en cœur.
- Baiser, ce n’est pas uniquement dans un lit et dans la pénombre, c’est n’importe où, n’importe quand, en pleine lumière et toujours à poil. D’ailleurs dans votre logis vous resterez toujours à poil…D’ailleurs l’appartement d’esclav’alex a été équipé de caméras en vidéo surveillance directement connectées ici au Château… Les vêtements que vous portez là, resteront accrochés à une patère à l’entrée de votre demeure et vous serviront uniquement à vous revêtir rapidement si quelqu’un arrivait à l’improviste ou pour faire les courses. Aller, posez vos bouches sur mes pieds et filez, Mes chiennes !…
Dans la voiture nous ramenant à la Bastide, Antoine et moi restions silencieux, comme si nous étions deux étrangers voyageant sans nous connaître, mise à part ma main (celle qui ne tenait pas le volant) sur sa cuisse et la sienne posée sur ma main. Pourtant les effluves de sperme que nous transportions nous rappelaient ces coïts bestiaux que nous avions vécus l’un et l’autre. Je passais le portail de la Bastide rapidement pour éviter de croiser Louise et Charles et remontait le chemin jusqu’à notre logis.

- Bienvenue, chez nous Antoine !
- Merci Alex, merci de m’accueillir, comme tu es contraint de le faire.
- Cette contrainte est un plaisir, sache-le… Je veux que tu te sentes chez toi, ici.
- Tu es gentil, merci Alex !

Sitôt entrés, nous nous dévêtîmes pour répondre aux exigences du Maître, puis je faisais visiter les lieux à celui qui allait être, sous peu, mon futur mari. Je découvrais dans un angle de chaque pièce en haut au niveau du plafond, une caméra de surveillance avec une petite lumière rouge allumée... Les hommes de mains du Maitre avaient donc installé tout cet équipement durant mon absence et ils avaient dû pouvoir entrer en récupérant la clé de la maison dans mon pantalon lequel je quittais à chaque arrivée dans le Château, puis ils avaient dû remettre la clé à sa place à leur retour…
- Nous pourrons réaménager chacune des pièces pour que tu te sentes réellement chez toi, Antoine. Ici tout est resté dans son jus, comme mes parents le souhaitaient… Je n’ai pas eu le courage encore d’agencer à mon goût cette maison. Je la voudrais pourtant plus contemporaine. Nous demanderons au Maître s’il est possible de déménager tes meubles pour que tu puisses les installer ici.
- Tu sais Alex, jusqu’ici je vivais dans un meublé à Villefranche-sur-Saône appartenant au Maitre. Je n’ai pas donc pas de mobilier à transporter. J’ai juste une chose qui me tient à cœur, mon violoncelle, dont j’ai hérité de ma grand-mère maternelle, que je n'ai guère connu, seul bien que je possède réellement !
- Tu es musicien, Antoine ?
- Oui, j’ai eu cette chance d’apprendre la musique, lorsque j’étais enfant et adolescent à l’orphelinat. La musique a été pour moi des temps d’évasion, me permettant de chasser ma tristesse et mon ennui.

Je voyais les yeux d’Antoine s’assombrir. Je ne me sentais pas très à l’aise et coupable de lui remémorer ces souvenirs douloureux. Pour la première fois, je le serrais dans mes bras pour le réconforter, je ressentais bien plus que de l’affection envers lui, à ce moment-là…
- Nous jouerons de la musique ensemble Antoine, je suis pianiste, un bien piètre pianiste, mais pianiste tout de même !, lui disais-je tendrement et gaiment au creux de son oreille.

Antoine me regardait de ses yeux aimants, son beau visage d’ange s’éclairait de nouveau, il me souriait avec une infinie tendresse puis me posait un doux et tendre baiser sur mes lèvres…
(A suivre…)

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