La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1577)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1577)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1553) -
- Je Vous en supplie, Maître, par pitié prenez-moi, possédez-moi, j’ai tant besoin de Vous sentir en moi...
- C’est mieux, dit-Il en retendant les cordes pour qu’elle ne bouge pas.
Et le Seigneur d’Evans la baisa dans sa chatte si trempée qu’en un seul coup de reins puissant Il entra totalement jusqu’à la garde dans cette saillie profonde. Le Maître ressortit aussi vite qu’Il était entré et recommença sans attendre dans un rythme d’emblée très rapide, cadencé et sauvage, voire bestiale. Marion sentait chaque veine de la noble Hampe du Maître frotter sur toutes ses parois vaginales à chaque fulgurant va-et-vient, ce qui l’a fit mouiller encore plus, elle se sentait pleine, remplie, baisée, besognée, possédée, salope, chienne... Au bout d’un moment de ce rythme infernal, le Seigneur d’Evans lui lança :
- Tu souhaites jouir, Ma chienne ?
- Hoooo ouiiiiiiiiiii … Maî… Maître… s’iiiiiil-Vous …Vous … plait….
- Non, tu attends et ne t’avise pas de Me désobéir.
Le Seigneur d’Evans sentant Lui aussi son éjaculation approcher, Il augmenta encore plus la vitesse, la cadence, la profondeur et la baissa comme jamais, via une extraordinaire virilité... Marion se retenait d’hurler, mais gémissait sous les assauts virils du Maître et luttait de toutes ses forces pour retenir un orgasme explosif qui menaçait à tout moment de la submerger.
- Tu aimes ça, hein Ma salope ? Tu es Ma chienne, Ma chienne en chaleur, tu n’es qu’un trou pour Ma noble Verge, oui juste un trou bon à recevoir Ma noble Semence… Tu mouilles comme une vraie catin, tu es Ma putain à Moi… Jouit maintenant, je le veux.
Le Maître et Marion jouirent en même temps dans un concert de longs cris orgasmiques, de longs râles de jouissances… Pour Marion, ce fut un orgasme atomique, elle crut un instant perdre la raison, grimpant au 7ème ciel, et sa vue se brouilla de larmes, mais c’étaient des larmes de plaisir… Elle ne se souvenait pas avoir joui debout et de cette façon car le Maître ne l’avait jamais prise ainsi... La belle soumise se sentait vidée, épuisée, le Maître la détacha et du la retenir car ses jambes ne la soutenaient plus. Il la prit dans ses bras pour l’allonger doucement sur le lit et enleva délicatement sur son visage une mèche de cheveux collée par la sueur… Marion avait les yeux mi-clos et parvient à peine à murmurer un sincère :
- Merci Maître.
- Repose-toi, Ma belle chienne… Et si tu le souhaites, il y a une gamelle d’eau fraiche à côté du lit… Tu peux boire et te recoucher.
Le Seigneur d’Evans laissa Marion pour aller s’occuper de Marie, toujours attachée à la croix de saint-André. En approchant, Il remarqua une petite flaque entre ses jambes. Le Maître sourit intérieurement mais ne laissa rien paraître.
- Qu’est- ce que c’est que ça, Ma petite chienne ?
- Je…je ne sais pas Maître, ce… ce n’est rien…- Ne Me ment surtout pas… Tu as joui en Me voyant prendre Marion, n’est- ce pas, ça t’a excitée nos ébats… Tu t’imaginais être à sa place, hein ?
Marie baissa la tête, rouge de honte.
- Oui Maître, Vous avez raison.
- T’avais- je donné l’autorisation de jouir ?
- Non Maître, mais je n’ai pas joui avant l’ordre donné à Marion.
- L’ordre était adressé à Marion et pas à toi, et tu le sais, tu seras donc sanctionnée car je ne supporte pas qu’on jouisse sans Mon autorisation, c’est un acte de désobéissance avérée...
Le Seigneur d’Evans la détacha et elle se prosterna immédiatement à Ses pieds et attendit Sa décision.
- Je te punirai, tout à l’heure … pour le moment, on va continuer.
Le Seigneur d’Evans Lui aussi un peu fatigué par Son éjaculation, exigea à Marie.
- Ma chienne, sert-Moi à boire et ensuite viens Me sucer. Exécution salope.
Marie fit ce qui lui était exigé. Elle servit à boire au Maître puis s’agenouilla entre ses jambes pour le sucer. N’étant pas une experte en fellation, elle savait néanmoins comment faire plaisir à un homme avec sa bouche et sa langue, mais elle commença avec ses mains à masser la Hampe sur toute sa hauteur, puis lécha de bas en haut et de haut en bas pour bien l’humidifier. Ensuite elle put la prendre en bouche, passant sa langue sur toute la hauteur, insistant sur le gland et ses contours, en le suçotant et aspirant tout en titillant le méat urinaire. Le Maître, certes y prenait plaisir mais Il ne trouvait pas cette bouche exceptionnelle. Mais il se dit qu’avec le temps, elle deviendrait une bonne suceuse. Le Seigneur d’Evans laissa Marie continuer quelques minutes, car elle avait quand même réussi à Lui provoquer une petite érection... Pendant ce temps, Marion qui se remettait doucement de ses émotions, descendit du lit pour boire un peu dans sa gamelle, à même le sol. Et tout en lapant son eau elle sentait ses forces revenir petit à petit, comme sa libido remonter crescendo... Le Maître apercevant Marion laper sa gamelle en levrette, se présenta derrière elle. La belle soumise toute occupée à se désaltérer, ne l’entendit pas arriver et au moment où elle approcha une nouvelle fois sa tête de l’eau, Il lui mit une forte claque sur ses fesses, ce qui la fit avaler de travers, le nez dans la flotte.
- Aaaaaaaah, gloups …- Il fallait bien que tu saches que j’étais là. Car tu dois savoir que cette chienne en chaleur a joui en s’imaginant à ta place alors que je te baisais, salope. Et je veux que ce soit toi qui lui infliges la sanction que j’aurais décidé.
- Moi ? … Bien Maître, si Vous l’exigez…. ‘‘C’est une punition aussi pour moi, car je déteste ça et Il le sait’’, se dit-elle dans sa tête.
- soumise Marie, toi tu vas commencer par nettoyer tes crasses sous la croix de Saint André et je ne veux plus voir la moindre trace de ta cyprine de chienne. Est- ce bien clair, salope ?
- Oui Maître, tout à fait, répondit Marie obtempérant rapidement à ce qu’il lui était ordonné.
Le Seigneur d'Evans repris place dans Son fauteuil et ordonna à Marion de venir Le sucer pendant qu’Il réfléchirait à la sanction de Marie. Marie était nouvelle et bien qu'ayant passé deux ans avec le compte du Forez, Il hésitait à la traiter comme une novice ou une soumise expérimentée. Finalement, Il opta pour 30 coups de martinet, Il en était là de ses réflexions lorsqu’Il attrapa la nuque de Marion pour imposer Son propre rythme à cette délicieuse fellation. Marion faisait de son mieux afin de provoquer plus de plaisir au Maître et ne pas Le faire jouir trop vite. Quand elle senti Sa main dans sa nuque, elle comprit que le moment était venu... Tout en suivant le rythme imposé, elle passa sa langue sur toute la hauteur de ce noble membre dressé et dur et enroulant sa langue tout autour, titillant le gland au passage quand elle sentit la verge du Maitre faire des soubresauts annonçant l’éjaculation toute proche. Alors, elle Le prit en gorge profonde et avala toute la noble Semence que le Maître déversa dans sa bouche par jets saccadés…. Sur ces entrefaites, Marie avait terminé sa tâche et attendait en position d’attente à côté de la croix de saint-André. Voulant à présent s’occuper de Marie et voyant Marion très fatiguée. Il décida de procéder et de suite à la sanction de Marie en s’adressant à elle :
- Toi, la chienne à quatre pattes, devant Moi et toi Marion va chercher Mon martinet et tu lui donneras 30 coups et surtout ne retiens pas ta force ou c’est toi que je punirais.
- Bien Maître, répondit Marion.
- Toi Marie, tu compteras les coups avec un ‘Merci Maître’ à chaque fois et en Me regardant dans les yeux. A la moindre erreur, Marion reprendra à zéro le nombre de fois nécessaire. Durant toute la punition, tu te mets debout, face à Moi, les mains derrière la nuque, les jambes le plus écartées possible, le buste bien droit et tu ne bouges pas. Je ne veux rien entendre, mis à part le décompte des coups…
Marion revint avec le martinet, se plaça derrière Marie et attendit l’ordre de commencer :
- Bien, Marion, tu peux commencer.
- Un. Merci Maître- Deux. Merci Maître … Aïe !
- Tu as crié avec un ‘aïe’ … On recommence, car j’ai dit pas un cri, pas un mot, salope !….
- Un. Merci Maître- Deux. Merci Maître …- Trois. Merci Maître …- ...
- 30. Merci Maître
Marion elle-même tomba à genoux car cela était très dur, mais elle avait fait de son mieux pour obéir et satisfaire le Maître.
- Bien ce sera tout pour cette fois, dit le Seigneur d’Evans… Marion tu peux y aller et préparer Ma chambre ainsi qu’un grand bac d’eau chaude et M’attendre car j’ai à parler à Marie.
- Bien Maître, tout sera prêt à Votre arrivée.
Une fois que Marion eu quitté le Donjon, Il reprit.
- Marie que ce soit bien clair, une jouissance non autorisée est, dans Mon Château, une faute très grave. Aussi soit bien consciente que je Me suis montré extrêmement clément, car tu es nouvelle. Mais que cela ne se reproduise plus, car si c’est le cas, tu vas le regretter, crois-Moi bien. Tu M’as bien compris ?
- Oui Maître, mais puis-je Vous poser une question ?
- Oui, accordé, je t’écoute.
- Quelle est la sanction pour une soumise confirmée qui jouirait sans y être autorisée ?
- La sanction peut aller assez loin, comme par exemple, la soumise peut être donnée en pâture durant plusieurs jours et nuits à des esclaves mâles en manque de sexe et subir leur assauts de longues heures sans avoir droit à la jouissance pour la soumise punie alors qu’elle est attachée pour juste subir et donner du plaisir aux mâles, par exemple… Mais il y a encore des sanctions bien plus terribles et qui peuvent aller très loin, comme par exemple rester une semaine entière exhibée nue et offerte à un pilori sur une haute estrade au beau milieu de la cour du Château et à se faire prendre par ceux qui passent et qui veulent bien la baiser. La soumise dans ce cas-là a seulement 1h par jour pour se dégourdir les jambes et manger et on l’a fait boire toutes les heures à son pilori durant toute la semaine… Mais pour toi, tu comprends je ne vais pas punir de la même manière qu’une soumise que j’ai volontairement poussée à la faute, qu’une qui Me désobéit que ce soit délibérément, par manque de dévouement et de tant d’autres possibilités. Cela répond-il à ta question ?
- Oui Maître, je Vous remercie d’avoir pris le temps de m’éclairer.
- C’est normal, cela fait partie de ton apprentissage. Cependant avant de partir, j’ai quand même envie de profiter de toi et de ton joli corps de chienne, dit-Il avec un sourire mi-pervers, mi-coquin, sur le visage.
- Bien Maître, tout ce qu’il Vous plaira.
Le Seigneur d’Evans la força à se relever en empoignant ses cheveux tressés et lui plaqua le dos contre le mur froid, en l’embrassant d’un baisé passionné et très Dominant. Le Maitre fouillait la bouche de Marie avec Sa langue experte qui s’emmêlait aussi avec celle de la jeune soumise. Tout en l’embrassant fougueusement, Ses mains courraient sur ce corps nu totalement destiné à Son bon plaisir. Le Seigneur d’Evans lui pétrissait les seins, titillant tantôt doucement, tantôt plus durement ses beaux tétons durs et fièrement pointés presque avec insolence. Les pinçant, les tirant, les tordant et les vrillant fortement. La bouche du Maître descendit, alternant baisés et petits coups de langue, dans le cou de Marie sur sa clavicule. Jusqu'à ce que Sa bouche remplace Ses mains sur les tétons sensibles de la soumise…
(A suivre)
- Je Vous en supplie, Maître, par pitié prenez-moi, possédez-moi, j’ai tant besoin de Vous sentir en moi...
- C’est mieux, dit-Il en retendant les cordes pour qu’elle ne bouge pas.
Et le Seigneur d’Evans la baisa dans sa chatte si trempée qu’en un seul coup de reins puissant Il entra totalement jusqu’à la garde dans cette saillie profonde. Le Maître ressortit aussi vite qu’Il était entré et recommença sans attendre dans un rythme d’emblée très rapide, cadencé et sauvage, voire bestiale. Marion sentait chaque veine de la noble Hampe du Maître frotter sur toutes ses parois vaginales à chaque fulgurant va-et-vient, ce qui l’a fit mouiller encore plus, elle se sentait pleine, remplie, baisée, besognée, possédée, salope, chienne... Au bout d’un moment de ce rythme infernal, le Seigneur d’Evans lui lança :
- Tu souhaites jouir, Ma chienne ?
- Hoooo ouiiiiiiiiiii … Maî… Maître… s’iiiiiil-Vous …Vous … plait….
- Non, tu attends et ne t’avise pas de Me désobéir.
Le Seigneur d’Evans sentant Lui aussi son éjaculation approcher, Il augmenta encore plus la vitesse, la cadence, la profondeur et la baissa comme jamais, via une extraordinaire virilité... Marion se retenait d’hurler, mais gémissait sous les assauts virils du Maître et luttait de toutes ses forces pour retenir un orgasme explosif qui menaçait à tout moment de la submerger.
- Tu aimes ça, hein Ma salope ? Tu es Ma chienne, Ma chienne en chaleur, tu n’es qu’un trou pour Ma noble Verge, oui juste un trou bon à recevoir Ma noble Semence… Tu mouilles comme une vraie catin, tu es Ma putain à Moi… Jouit maintenant, je le veux.
Le Maître et Marion jouirent en même temps dans un concert de longs cris orgasmiques, de longs râles de jouissances… Pour Marion, ce fut un orgasme atomique, elle crut un instant perdre la raison, grimpant au 7ème ciel, et sa vue se brouilla de larmes, mais c’étaient des larmes de plaisir… Elle ne se souvenait pas avoir joui debout et de cette façon car le Maître ne l’avait jamais prise ainsi... La belle soumise se sentait vidée, épuisée, le Maître la détacha et du la retenir car ses jambes ne la soutenaient plus. Il la prit dans ses bras pour l’allonger doucement sur le lit et enleva délicatement sur son visage une mèche de cheveux collée par la sueur… Marion avait les yeux mi-clos et parvient à peine à murmurer un sincère :
- Merci Maître.
- Repose-toi, Ma belle chienne… Et si tu le souhaites, il y a une gamelle d’eau fraiche à côté du lit… Tu peux boire et te recoucher.
Le Seigneur d’Evans laissa Marion pour aller s’occuper de Marie, toujours attachée à la croix de saint-André. En approchant, Il remarqua une petite flaque entre ses jambes. Le Maître sourit intérieurement mais ne laissa rien paraître.
- Qu’est- ce que c’est que ça, Ma petite chienne ?
- Je…je ne sais pas Maître, ce… ce n’est rien…- Ne Me ment surtout pas… Tu as joui en Me voyant prendre Marion, n’est- ce pas, ça t’a excitée nos ébats… Tu t’imaginais être à sa place, hein ?
Marie baissa la tête, rouge de honte.
- Oui Maître, Vous avez raison.
- T’avais- je donné l’autorisation de jouir ?
- Non Maître, mais je n’ai pas joui avant l’ordre donné à Marion.
- L’ordre était adressé à Marion et pas à toi, et tu le sais, tu seras donc sanctionnée car je ne supporte pas qu’on jouisse sans Mon autorisation, c’est un acte de désobéissance avérée...
Le Seigneur d’Evans la détacha et elle se prosterna immédiatement à Ses pieds et attendit Sa décision.
- Je te punirai, tout à l’heure … pour le moment, on va continuer.
Le Seigneur d’Evans Lui aussi un peu fatigué par Son éjaculation, exigea à Marie.
- Ma chienne, sert-Moi à boire et ensuite viens Me sucer. Exécution salope.
Marie fit ce qui lui était exigé. Elle servit à boire au Maître puis s’agenouilla entre ses jambes pour le sucer. N’étant pas une experte en fellation, elle savait néanmoins comment faire plaisir à un homme avec sa bouche et sa langue, mais elle commença avec ses mains à masser la Hampe sur toute sa hauteur, puis lécha de bas en haut et de haut en bas pour bien l’humidifier. Ensuite elle put la prendre en bouche, passant sa langue sur toute la hauteur, insistant sur le gland et ses contours, en le suçotant et aspirant tout en titillant le méat urinaire. Le Maître, certes y prenait plaisir mais Il ne trouvait pas cette bouche exceptionnelle. Mais il se dit qu’avec le temps, elle deviendrait une bonne suceuse. Le Seigneur d’Evans laissa Marie continuer quelques minutes, car elle avait quand même réussi à Lui provoquer une petite érection... Pendant ce temps, Marion qui se remettait doucement de ses émotions, descendit du lit pour boire un peu dans sa gamelle, à même le sol. Et tout en lapant son eau elle sentait ses forces revenir petit à petit, comme sa libido remonter crescendo... Le Maître apercevant Marion laper sa gamelle en levrette, se présenta derrière elle. La belle soumise toute occupée à se désaltérer, ne l’entendit pas arriver et au moment où elle approcha une nouvelle fois sa tête de l’eau, Il lui mit une forte claque sur ses fesses, ce qui la fit avaler de travers, le nez dans la flotte.
- Aaaaaaaah, gloups …- Il fallait bien que tu saches que j’étais là. Car tu dois savoir que cette chienne en chaleur a joui en s’imaginant à ta place alors que je te baisais, salope. Et je veux que ce soit toi qui lui infliges la sanction que j’aurais décidé.
- Moi ? … Bien Maître, si Vous l’exigez…. ‘‘C’est une punition aussi pour moi, car je déteste ça et Il le sait’’, se dit-elle dans sa tête.
- soumise Marie, toi tu vas commencer par nettoyer tes crasses sous la croix de Saint André et je ne veux plus voir la moindre trace de ta cyprine de chienne. Est- ce bien clair, salope ?
- Oui Maître, tout à fait, répondit Marie obtempérant rapidement à ce qu’il lui était ordonné.
Le Seigneur d'Evans repris place dans Son fauteuil et ordonna à Marion de venir Le sucer pendant qu’Il réfléchirait à la sanction de Marie. Marie était nouvelle et bien qu'ayant passé deux ans avec le compte du Forez, Il hésitait à la traiter comme une novice ou une soumise expérimentée. Finalement, Il opta pour 30 coups de martinet, Il en était là de ses réflexions lorsqu’Il attrapa la nuque de Marion pour imposer Son propre rythme à cette délicieuse fellation. Marion faisait de son mieux afin de provoquer plus de plaisir au Maître et ne pas Le faire jouir trop vite. Quand elle senti Sa main dans sa nuque, elle comprit que le moment était venu... Tout en suivant le rythme imposé, elle passa sa langue sur toute la hauteur de ce noble membre dressé et dur et enroulant sa langue tout autour, titillant le gland au passage quand elle sentit la verge du Maitre faire des soubresauts annonçant l’éjaculation toute proche. Alors, elle Le prit en gorge profonde et avala toute la noble Semence que le Maître déversa dans sa bouche par jets saccadés…. Sur ces entrefaites, Marie avait terminé sa tâche et attendait en position d’attente à côté de la croix de saint-André. Voulant à présent s’occuper de Marie et voyant Marion très fatiguée. Il décida de procéder et de suite à la sanction de Marie en s’adressant à elle :
- Toi, la chienne à quatre pattes, devant Moi et toi Marion va chercher Mon martinet et tu lui donneras 30 coups et surtout ne retiens pas ta force ou c’est toi que je punirais.
- Bien Maître, répondit Marion.
- Toi Marie, tu compteras les coups avec un ‘Merci Maître’ à chaque fois et en Me regardant dans les yeux. A la moindre erreur, Marion reprendra à zéro le nombre de fois nécessaire. Durant toute la punition, tu te mets debout, face à Moi, les mains derrière la nuque, les jambes le plus écartées possible, le buste bien droit et tu ne bouges pas. Je ne veux rien entendre, mis à part le décompte des coups…
Marion revint avec le martinet, se plaça derrière Marie et attendit l’ordre de commencer :
- Bien, Marion, tu peux commencer.
- Un. Merci Maître- Deux. Merci Maître … Aïe !
- Tu as crié avec un ‘aïe’ … On recommence, car j’ai dit pas un cri, pas un mot, salope !….
- Un. Merci Maître- Deux. Merci Maître …- Trois. Merci Maître …- ...
- 30. Merci Maître
Marion elle-même tomba à genoux car cela était très dur, mais elle avait fait de son mieux pour obéir et satisfaire le Maître.
- Bien ce sera tout pour cette fois, dit le Seigneur d’Evans… Marion tu peux y aller et préparer Ma chambre ainsi qu’un grand bac d’eau chaude et M’attendre car j’ai à parler à Marie.
- Bien Maître, tout sera prêt à Votre arrivée.
Une fois que Marion eu quitté le Donjon, Il reprit.
- Marie que ce soit bien clair, une jouissance non autorisée est, dans Mon Château, une faute très grave. Aussi soit bien consciente que je Me suis montré extrêmement clément, car tu es nouvelle. Mais que cela ne se reproduise plus, car si c’est le cas, tu vas le regretter, crois-Moi bien. Tu M’as bien compris ?
- Oui Maître, mais puis-je Vous poser une question ?
- Oui, accordé, je t’écoute.
- Quelle est la sanction pour une soumise confirmée qui jouirait sans y être autorisée ?
- La sanction peut aller assez loin, comme par exemple, la soumise peut être donnée en pâture durant plusieurs jours et nuits à des esclaves mâles en manque de sexe et subir leur assauts de longues heures sans avoir droit à la jouissance pour la soumise punie alors qu’elle est attachée pour juste subir et donner du plaisir aux mâles, par exemple… Mais il y a encore des sanctions bien plus terribles et qui peuvent aller très loin, comme par exemple rester une semaine entière exhibée nue et offerte à un pilori sur une haute estrade au beau milieu de la cour du Château et à se faire prendre par ceux qui passent et qui veulent bien la baiser. La soumise dans ce cas-là a seulement 1h par jour pour se dégourdir les jambes et manger et on l’a fait boire toutes les heures à son pilori durant toute la semaine… Mais pour toi, tu comprends je ne vais pas punir de la même manière qu’une soumise que j’ai volontairement poussée à la faute, qu’une qui Me désobéit que ce soit délibérément, par manque de dévouement et de tant d’autres possibilités. Cela répond-il à ta question ?
- Oui Maître, je Vous remercie d’avoir pris le temps de m’éclairer.
- C’est normal, cela fait partie de ton apprentissage. Cependant avant de partir, j’ai quand même envie de profiter de toi et de ton joli corps de chienne, dit-Il avec un sourire mi-pervers, mi-coquin, sur le visage.
- Bien Maître, tout ce qu’il Vous plaira.
Le Seigneur d’Evans la força à se relever en empoignant ses cheveux tressés et lui plaqua le dos contre le mur froid, en l’embrassant d’un baisé passionné et très Dominant. Le Maitre fouillait la bouche de Marie avec Sa langue experte qui s’emmêlait aussi avec celle de la jeune soumise. Tout en l’embrassant fougueusement, Ses mains courraient sur ce corps nu totalement destiné à Son bon plaisir. Le Seigneur d’Evans lui pétrissait les seins, titillant tantôt doucement, tantôt plus durement ses beaux tétons durs et fièrement pointés presque avec insolence. Les pinçant, les tirant, les tordant et les vrillant fortement. La bouche du Maître descendit, alternant baisés et petits coups de langue, dans le cou de Marie sur sa clavicule. Jusqu'à ce que Sa bouche remplace Ses mains sur les tétons sensibles de la soumise…
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