La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1578)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1578)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1576) -
Chapitre 30 : Première journée de vie commune -
Antoine me regardait de ses yeux aimants, son beau visage d’ange s’éclairait de nouveau, il me souriait avec une infinie tendresse puis me posait un doux et tendre baiser sur mes lèvres…
Antoine était couché près de moi, nu et endormi sur le ventre, sa tête posée sur ses avant-bras repliés, tournée vers la fenêtre, le drap jusqu’aux pliures des genoux et ainsi je pouvais savourer du regard les sinuosités de sa magnifique croupe ainsi que sa chute des reins. C’était notre première nuit ensemble, que tous les deux, même s’il ne fallait pas oublier les caméras à infrarouges de surveillance du Maître. Nous étions dans un bon et confortable lit et la chambre était quasiment plongée dans une semi-obscurité, juste les premiers rayons de soleil passaient et entraient au travers des persiennes. Je ne dormais plus et regardais donc avec ivresse le bas du dos d’Antoine baigné dans ce doux éclairage. Une seule de ses fesses était éclairée, alors que l’autre, séparée par le sillon anal était avalé par la nuit, ne laissant que deviner sa forme dans la pénombre. Ce fessier n’était que mélange de douceur et de virilité. Mon regard se portait maintenant sur le haut de son corps. Ses épaules me paraissaient puissantes et larges, ses bras repliés sous son visage étaient parfaitement musclés, ses cheveux mi-longs étaient en bataille. Sa poitrine se soulevait lentement au rythme de sa respiration. Je le laissais dormir, tant la journée de la veille avait été éreintante pour nous deux. Oui, il fallait que je le laisse dormir malgré les soubresauts de ma nouille dans cette cage bien trop étroite...
Oui, il le fallait… et pourtant ma main descendait inexorablement à la rencontre de ces lobes fessiers pour se poser délicatement, tout doucement sur mon futur mari. Antoine ne réagissait pas, ne bougeait pas, son souffle calme restait le même. Impossible pour moi de résister à la tentation, à cet appel irrésistible de cette chair ferme et rebondie, j’abandonnais toutes les bonnes résolutions prises trois minutes plus tôt. Mes doigts maintenant glissaient dans cette raie soyeuse et délicate. Ils parcouraient le chemin de haut en bas, à plusieurs reprises, alors qu’Antoine commençait à se réveiller doucement en des petits gémissements agréables. Il écartait un peu plus les jambes, les cuisses, me laissant le libre accès à son orifice. Mes doigts s’aventuraient sur cette entrée tiède et moite et la pénétrait de quelques millimètres seulement. Antoine s’écartait un peu plus encore et cambrait son cul en gémissant à chaque effleurement...
- Hummmmm ! Qu’est-ce que c’est bon Alex, ce que tu me fais !, me disait-il sans retourner son visage, mais en me tendant ses fesses plus largement encore...
J’humidifiais mon majeur avec un peu de ma salive et le portais de nouveau sur cet anneau de chair palpitant et bondissant dès lors que je m’enfonçais en lui, de deux phalanges. Je ne ressentais aucune résistance, cet orifice s’ouvrait et accueillait mon doigt sans la moindre difficulté.
- Qu’est-ce que tu me fais mal, Alex !, me disait Antoine, qui cette fois-ci, me regardait.
Je retirais mon doigt aussitôt.
- Ce n’est pas à mon petit trou que j’ai mal Alex, mais au bout de ma nouille encagée ! Regarde ce que tu me fais…
D’ailleurs, c’est le Maître qui nous a exigé de dénommer notre sexe avec l’appellation ‘nouille’ ! Antoine se retournait et me présentait donc sa nouille tuméfiée, hypertrophiée, coincée contre les parois de la cage de chasteté. En fait, il était dans le même état que moi… Nos queues cherchaient vainement à s’épanouir mais avec un tel dispositif, c’était tout simplement impossible ! La douleur de nos nouilles comprimée et le plaisir mental de l’excitation réciproque…, bref le plaisir dans la douleur ! Affres nous rappelant que nous n’étions plus libres, tribulations nous ramenant à notre condition d’esclaves sexuels, un choix de vie s’imposant à nous, parce que c’est notre propre Nature servile, parce que nous étions faits ainsi, parce qu’heureux, épanouis et rayonnant près de Celui nous Dominant !... Antoine s’était redressé et soudainement me présentait son corps nu d’une façon à laquelle je ne pouvais résister. Il s’installait à califourchon sur moi en me tournant le dos, exposant ce dernier aux rayons filtrés du soleil, dos zébré par ces ombres produites par les lames inclinées du volet. Mon futur mari s’asseyait presque sur mon visage, frottant alternativement ses couilles et ses fesses tant sur ma bouche que sur mon nez. Mon désir se réveillait aussitôt de sorte que ma langue allait rejoindre l’intimité de mon amant. Il m’enserrait fermement, ses mollets sous mes bras, ses cuisses dessus, ses jambes formant ainsi un étau m’empêchant de bouger, il continuait à se frotter contre mon nez et ma bouche, faisant des mouvements de hanches d’avant en arrière, pour que ma langue glisse dans cette raie soyeuse au goût délicat. Parfois, il stoppait tout mouvement du bassin, posait plus fermement ses fesses contre ma bouche, pour que mon appendice buccal puisse s’insérer dans son anus brûlant.
- Oh que c’est bon, Alex, tu n’imagines pas le plaisir que tu me donnes, vas-y Alex, fouille-moi bien, pénètre-moi bien, darde-moi bien le cul avec ta langue !
Antoine gémissait, ses lamentations me faisaient vibrer, difficile de décrire et d’analyser ce que je ressentais, alors qu’il s’affalait sur moi, mettant son ventre contre le mien, gardant son anus bien plaqué contre mes lèvres. Il me relevait les cuisses, ses doigts au plus près de mon trou écartaient mon sillon anal pour que lui aussi puisse aller fouiller et bouffer mon cul. Un anulingus réciproque qui déclenchait et réveillait nos sens, un « 69 » anal et vibratoire nous entrainant au sommet de la puissance érotique, sans la moindre pudeur alors que nous sachions que nous étions filmés et sans doute surveillés, alors que nous nous connaissions encore que très peu. L’un et l’autre, nous gémissions de plaisirs, des geignements étouffés érotisant, des plaintes jouissives amorties par nos corps chaud en fusion. Lui comme moi, mouillions abondamment, nos deux nouilles prisonnières et terriblement comprimées ruisselaient… Pour la première fois peut-être, j’appréciais ce dispositif de chasteté et réalisais que le Maître nous maintenait dans un état d’excitation permanent, sans que ce plaisir retombe après une banale éjaculation. Là, enflammés, nous n’avions de cesse de partager nos envies et nos besoins de sexe !...
Une demi-heure plus tard, nous nous retrouvions ensemble sous la douche, nos langues s’entremêlaient dans de fougueux baisers, nos lèvres s’embrassaient avec passion, nos mains caressaient longuement nos corps mouillés sous la douce pluie chaude de la douche… Mes mains passées derrière sa nuque lui caressaient l’arrière de son crâne, alors que les siennes étaient placées sur mes fesses, les caressants, les malaxant avec un fou désir de copulation anale, tandis que nos cages de chasteté s’entrechoquaient… Cette scène était très érotique et le désir brûlant de nos nouilles encagées encore plus douloureux… Après s’être savonnés mutuellement via de multiples caresses mousseuses et une fois que chacun de nous, à tour de rôle, avait rincé l’autre, Antoine s’agenouilla et à défaut de pouvoir prendre ma nouille en bouche, il se contenta d’embrasser le dessus de ma cage de chasteté comme pour me faire comprendre ce qu’il aurai souhaité faire avec mon sexe… Puis, il se releva pour de nouveau m’embrasser longuement mon torse, mes tétons, mon cou, remontant via de tendres et longs baisers aimants jusqu’à nos bouches enfiévrées … Une fois sortis de la douche, chacun de nous séchait l’autre, également à tour de rôle, et le frottement de la serviette éponge de bain était des plus doucereux et excitant quand on se séchait l’entrecuisse et notre raie anale…
Un moment après, c’était insolite de nous voir nus, attablés l’un en face de l’autre, prenant notre petit-déjeuner. Ce naturisme imposé auquel il fallait nous habituer, ne m’était pas encore naturel, surtout ici, chez moi. Mais bien vite, j’en comprenais le sens. Lorsqu’Antoine se levait pour nous resservir du café, je voyais son petit et magnifique cul une nouvelle fois m’appeler… Ces deux petits lobes fessiers musclés attisaient encore et toujours ma libido. Ma nouille frétillait encore dans cet étui métallique inviolable. Revenu à la table, j’attrapais sa main, mes doigts glissant dans les siens.
- Affolement générale au niveau de mon bas-ventre Antoine, te voir ainsi cul nu, voir tes fesses dodeliner et se balancer à chacun de tes pas... c’est… ouf ! J’ai… j’ai une nouvelle fois, faim de ton corps, je te désire tellement...
Antoine me souriait, ses doigts s’agrippaient plus fermement aux miens.
- Ça me fait plaisir ce que tu me dis là Alex ! Si tu as encore envie de moi, là, présentement, alors, il ne faut pas te priver. Je crois que nous devons adopter ce principe, dès lors que l’un de nous deux à envie de l’autre, il ne faut pas que celui ayant ces désirs-là se contienne, il ne faut pas résister à nos pulsions sexuelles exacerbées par notre statut de salope soumise. Plus nous baiserons ensemble et plus le Maître sera satisfait, sauf bien sûr, avis contraire de Sa part. Allez viens, viens prendre du plaisir, où souhaites-tu que je m’installe ? Dans quelle position désires-tu me voir ? J’ai aussi très envie de toi, …tu sais… chéri …- Là-bas, dans le hall d’entrée, à quatre pattes !... chéri
Antoine m’avait appelé ‘chéri’ ! Et j’en ressentais tellement d’amour profond, pur, dans ce mot qu’il avait prononcé avec une sincérité évidente. J’en éprouvais un bonheur infini que je n’avais pas pu m’empêcher de lui répondre en terminant ma phrase par le même terme... Il était déjà en place, son corps était simplement sublime, magnifique, il cambrait ses reins, offrait et tendait ses fesses en toute indécence, dans une posture totalement impudique et obscène. Je prenais un réel plaisir à lui caresser le dos, mes mains glissaient de sa nuque jusqu’à ses fesses puis remontaient sur ces omoplates et épaules, pour glisser de nouveau le long de sa colonne vertébrale et ainsi de suite. Alors qu’Antoine frissonnait et s’abandonnait lascivement, à cet instant…
(A suivre…)
Chapitre 30 : Première journée de vie commune -
Antoine me regardait de ses yeux aimants, son beau visage d’ange s’éclairait de nouveau, il me souriait avec une infinie tendresse puis me posait un doux et tendre baiser sur mes lèvres…
Antoine était couché près de moi, nu et endormi sur le ventre, sa tête posée sur ses avant-bras repliés, tournée vers la fenêtre, le drap jusqu’aux pliures des genoux et ainsi je pouvais savourer du regard les sinuosités de sa magnifique croupe ainsi que sa chute des reins. C’était notre première nuit ensemble, que tous les deux, même s’il ne fallait pas oublier les caméras à infrarouges de surveillance du Maître. Nous étions dans un bon et confortable lit et la chambre était quasiment plongée dans une semi-obscurité, juste les premiers rayons de soleil passaient et entraient au travers des persiennes. Je ne dormais plus et regardais donc avec ivresse le bas du dos d’Antoine baigné dans ce doux éclairage. Une seule de ses fesses était éclairée, alors que l’autre, séparée par le sillon anal était avalé par la nuit, ne laissant que deviner sa forme dans la pénombre. Ce fessier n’était que mélange de douceur et de virilité. Mon regard se portait maintenant sur le haut de son corps. Ses épaules me paraissaient puissantes et larges, ses bras repliés sous son visage étaient parfaitement musclés, ses cheveux mi-longs étaient en bataille. Sa poitrine se soulevait lentement au rythme de sa respiration. Je le laissais dormir, tant la journée de la veille avait été éreintante pour nous deux. Oui, il fallait que je le laisse dormir malgré les soubresauts de ma nouille dans cette cage bien trop étroite...
Oui, il le fallait… et pourtant ma main descendait inexorablement à la rencontre de ces lobes fessiers pour se poser délicatement, tout doucement sur mon futur mari. Antoine ne réagissait pas, ne bougeait pas, son souffle calme restait le même. Impossible pour moi de résister à la tentation, à cet appel irrésistible de cette chair ferme et rebondie, j’abandonnais toutes les bonnes résolutions prises trois minutes plus tôt. Mes doigts maintenant glissaient dans cette raie soyeuse et délicate. Ils parcouraient le chemin de haut en bas, à plusieurs reprises, alors qu’Antoine commençait à se réveiller doucement en des petits gémissements agréables. Il écartait un peu plus les jambes, les cuisses, me laissant le libre accès à son orifice. Mes doigts s’aventuraient sur cette entrée tiède et moite et la pénétrait de quelques millimètres seulement. Antoine s’écartait un peu plus encore et cambrait son cul en gémissant à chaque effleurement...
- Hummmmm ! Qu’est-ce que c’est bon Alex, ce que tu me fais !, me disait-il sans retourner son visage, mais en me tendant ses fesses plus largement encore...
J’humidifiais mon majeur avec un peu de ma salive et le portais de nouveau sur cet anneau de chair palpitant et bondissant dès lors que je m’enfonçais en lui, de deux phalanges. Je ne ressentais aucune résistance, cet orifice s’ouvrait et accueillait mon doigt sans la moindre difficulté.
- Qu’est-ce que tu me fais mal, Alex !, me disait Antoine, qui cette fois-ci, me regardait.
Je retirais mon doigt aussitôt.
- Ce n’est pas à mon petit trou que j’ai mal Alex, mais au bout de ma nouille encagée ! Regarde ce que tu me fais…
D’ailleurs, c’est le Maître qui nous a exigé de dénommer notre sexe avec l’appellation ‘nouille’ ! Antoine se retournait et me présentait donc sa nouille tuméfiée, hypertrophiée, coincée contre les parois de la cage de chasteté. En fait, il était dans le même état que moi… Nos queues cherchaient vainement à s’épanouir mais avec un tel dispositif, c’était tout simplement impossible ! La douleur de nos nouilles comprimée et le plaisir mental de l’excitation réciproque…, bref le plaisir dans la douleur ! Affres nous rappelant que nous n’étions plus libres, tribulations nous ramenant à notre condition d’esclaves sexuels, un choix de vie s’imposant à nous, parce que c’est notre propre Nature servile, parce que nous étions faits ainsi, parce qu’heureux, épanouis et rayonnant près de Celui nous Dominant !... Antoine s’était redressé et soudainement me présentait son corps nu d’une façon à laquelle je ne pouvais résister. Il s’installait à califourchon sur moi en me tournant le dos, exposant ce dernier aux rayons filtrés du soleil, dos zébré par ces ombres produites par les lames inclinées du volet. Mon futur mari s’asseyait presque sur mon visage, frottant alternativement ses couilles et ses fesses tant sur ma bouche que sur mon nez. Mon désir se réveillait aussitôt de sorte que ma langue allait rejoindre l’intimité de mon amant. Il m’enserrait fermement, ses mollets sous mes bras, ses cuisses dessus, ses jambes formant ainsi un étau m’empêchant de bouger, il continuait à se frotter contre mon nez et ma bouche, faisant des mouvements de hanches d’avant en arrière, pour que ma langue glisse dans cette raie soyeuse au goût délicat. Parfois, il stoppait tout mouvement du bassin, posait plus fermement ses fesses contre ma bouche, pour que mon appendice buccal puisse s’insérer dans son anus brûlant.
- Oh que c’est bon, Alex, tu n’imagines pas le plaisir que tu me donnes, vas-y Alex, fouille-moi bien, pénètre-moi bien, darde-moi bien le cul avec ta langue !
Antoine gémissait, ses lamentations me faisaient vibrer, difficile de décrire et d’analyser ce que je ressentais, alors qu’il s’affalait sur moi, mettant son ventre contre le mien, gardant son anus bien plaqué contre mes lèvres. Il me relevait les cuisses, ses doigts au plus près de mon trou écartaient mon sillon anal pour que lui aussi puisse aller fouiller et bouffer mon cul. Un anulingus réciproque qui déclenchait et réveillait nos sens, un « 69 » anal et vibratoire nous entrainant au sommet de la puissance érotique, sans la moindre pudeur alors que nous sachions que nous étions filmés et sans doute surveillés, alors que nous nous connaissions encore que très peu. L’un et l’autre, nous gémissions de plaisirs, des geignements étouffés érotisant, des plaintes jouissives amorties par nos corps chaud en fusion. Lui comme moi, mouillions abondamment, nos deux nouilles prisonnières et terriblement comprimées ruisselaient… Pour la première fois peut-être, j’appréciais ce dispositif de chasteté et réalisais que le Maître nous maintenait dans un état d’excitation permanent, sans que ce plaisir retombe après une banale éjaculation. Là, enflammés, nous n’avions de cesse de partager nos envies et nos besoins de sexe !...
Une demi-heure plus tard, nous nous retrouvions ensemble sous la douche, nos langues s’entremêlaient dans de fougueux baisers, nos lèvres s’embrassaient avec passion, nos mains caressaient longuement nos corps mouillés sous la douce pluie chaude de la douche… Mes mains passées derrière sa nuque lui caressaient l’arrière de son crâne, alors que les siennes étaient placées sur mes fesses, les caressants, les malaxant avec un fou désir de copulation anale, tandis que nos cages de chasteté s’entrechoquaient… Cette scène était très érotique et le désir brûlant de nos nouilles encagées encore plus douloureux… Après s’être savonnés mutuellement via de multiples caresses mousseuses et une fois que chacun de nous, à tour de rôle, avait rincé l’autre, Antoine s’agenouilla et à défaut de pouvoir prendre ma nouille en bouche, il se contenta d’embrasser le dessus de ma cage de chasteté comme pour me faire comprendre ce qu’il aurai souhaité faire avec mon sexe… Puis, il se releva pour de nouveau m’embrasser longuement mon torse, mes tétons, mon cou, remontant via de tendres et longs baisers aimants jusqu’à nos bouches enfiévrées … Une fois sortis de la douche, chacun de nous séchait l’autre, également à tour de rôle, et le frottement de la serviette éponge de bain était des plus doucereux et excitant quand on se séchait l’entrecuisse et notre raie anale…
Un moment après, c’était insolite de nous voir nus, attablés l’un en face de l’autre, prenant notre petit-déjeuner. Ce naturisme imposé auquel il fallait nous habituer, ne m’était pas encore naturel, surtout ici, chez moi. Mais bien vite, j’en comprenais le sens. Lorsqu’Antoine se levait pour nous resservir du café, je voyais son petit et magnifique cul une nouvelle fois m’appeler… Ces deux petits lobes fessiers musclés attisaient encore et toujours ma libido. Ma nouille frétillait encore dans cet étui métallique inviolable. Revenu à la table, j’attrapais sa main, mes doigts glissant dans les siens.
- Affolement générale au niveau de mon bas-ventre Antoine, te voir ainsi cul nu, voir tes fesses dodeliner et se balancer à chacun de tes pas... c’est… ouf ! J’ai… j’ai une nouvelle fois, faim de ton corps, je te désire tellement...
Antoine me souriait, ses doigts s’agrippaient plus fermement aux miens.
- Ça me fait plaisir ce que tu me dis là Alex ! Si tu as encore envie de moi, là, présentement, alors, il ne faut pas te priver. Je crois que nous devons adopter ce principe, dès lors que l’un de nous deux à envie de l’autre, il ne faut pas que celui ayant ces désirs-là se contienne, il ne faut pas résister à nos pulsions sexuelles exacerbées par notre statut de salope soumise. Plus nous baiserons ensemble et plus le Maître sera satisfait, sauf bien sûr, avis contraire de Sa part. Allez viens, viens prendre du plaisir, où souhaites-tu que je m’installe ? Dans quelle position désires-tu me voir ? J’ai aussi très envie de toi, …tu sais… chéri …- Là-bas, dans le hall d’entrée, à quatre pattes !... chéri
Antoine m’avait appelé ‘chéri’ ! Et j’en ressentais tellement d’amour profond, pur, dans ce mot qu’il avait prononcé avec une sincérité évidente. J’en éprouvais un bonheur infini que je n’avais pas pu m’empêcher de lui répondre en terminant ma phrase par le même terme... Il était déjà en place, son corps était simplement sublime, magnifique, il cambrait ses reins, offrait et tendait ses fesses en toute indécence, dans une posture totalement impudique et obscène. Je prenais un réel plaisir à lui caresser le dos, mes mains glissaient de sa nuque jusqu’à ses fesses puis remontaient sur ces omoplates et épaules, pour glisser de nouveau le long de sa colonne vertébrale et ainsi de suite. Alors qu’Antoine frissonnait et s’abandonnait lascivement, à cet instant…
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