La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1582)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1582) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1582)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1532) –
- Tu es toute à Moi, Mon esclave MDE, Ma salope…
Deux semaines sont passées depuis que je suis devenue une esclave MDE, depuis que j’ai l’immense chance de porte les initiales du Maitre, d’être entièrement la propriété de Monsieur le Marquis d’Evans. Je n’oublie pas chaque jours les mots du Maitre, ce moment après qu’Il m’est réveillée, le demain de cette soirée magique… Je sens une délicate caresse, sur ma tête, quand j’ouvre les yeux, j’ai la chance de Le voir devant moi, qui me regarde. Le Noble m’embrasse d’abord, d’un baiser doux, tendre et plein d’amour. Baiser qui devient petit à petit un peu plus possessif, plus fort, prenant possession de ma bouche, imposant l’intromission de Sa langue. Et dans ce baiser, je ressens toute mon appartenance au Maitre. Le Châtelain se retire de ma bouche, et me regarde. Son regard devient dur, froid, et pourtant protecteur… Je comprends donc que j’ai maintenant en face de moi le Dominant. Par instinct sûrement, je baisse les yeux mais aussi la tête face au Dominant, face à Son Charisme, à Sa présence qui me fait me sentir si petite, si minuscule. Le Maitre me présente Sa Verge déjà tendue devant ma bouche.

- Bien l’esclave, avant de rentrer chez toi, tu vas soulager mon érection matinale. Mais tu vas d'abord me vider la vessie. Ouvre la bouche, et tu n’as pas intérêt à en perdre une goutte, salope...

Alors, j’ouvre la bouche en grand comme exigé par le Noble, ou Il enfonce Sa grosse hampe tout au fond de ma gorge et commence à uriner. Un jet puissant et fort, bien odorant. Et malgré l’odeur, je déglutis et avale le plus vite possible pour ne pas en perdre. C’est après un long jet, que le Châtelain se retire de ma bouche, puis Il exige de nettoyer Son noble Vit, qui rebande bien vite, alors le Maitre attrape ma tête, et commence à faire des va-et-vient dans ma bouche et de plus en plus rapide, de plus en plus puissant, et profond. Comme toujours, je me sens juste être un objet, une chose, Sa chose entre Ses mains. Et j’avoue que j’aime tant cette sensation, je me sens tellement moi-même, à ma place, juste pour Le servir, juste pour être utilisée selon Son bon Vouloir. J’aime tellement apporter, donner de plaisir au Maitre, Lui servir de vide-couilles, comme de vide-vessie…
Je me laisse faire telle une marionnette désarticulée. Et mon sexe commence à mouiller, je sens la mouille sur mes cuisses ruisseler doucement, suinter sur mes lèvres intimes. Pendant que le Noble utile ma bouche, Il exige que je me branle frénétiquement. Alors Ma main posée sur mon clitoris, c’est pleine de plaisir que je fais des va-et-vient de frottement dessus comme une bonne chienne en chaleur, pendant que le Maitre utilise ma bouche comme vide- couilles… Son objet de plaisirs voilà ce que je suis devenue, et si heureuse de l’être, pour Lui. Après qu’Il ait éjaculé dans ma bouche, et que j’ai nettoyé Sa divine Verge, j’ai eu l’immense chance d’être raccompagnée à quatre pattes à ma voiture par Lui-même. J’ai eu la chance de quitter le Château par un doux baiser de Sa part et de magnifiques paroles Dominantes qui m’accompagnent, gravées depuis en ma mémoire :
- A bientôt, Mon esclave salope MDE, Tu es Ma propriété la plus absolue, tu es à Moi, entièrement à Moi, ne l’oublie jamais…
Je ne me lasse pas de mon nouveau statut, chaque jour à nouveau, au réveil, je touche mon tatouage délicatement, heureuse de Sa présence, de mon appartenance totale au Maitre. J’ai eu, depuis, la chance d’échanger quelques fois avec le Noble en message Skype, et par mail, mais je n’ai pas encore eu la chance d’être à Ses pieds à nouveau, mais je sais que quand Monsieur le Marquis aura décidé que c’est le moment venu, j’aurais à nouveau la chance d’être à Ses pieds pour vivre des moments exceptionnels, déclassés, comme à chaque fois en Sa présence… Et c’est deux semaines plus tard, que je reçois un mail de Sa part m’informant que le week-end prochain, je serai à Ses pieds pour Son anniversaire, et que plus tard, je recevrai des Exigences concernant ma venue, au Château. C’est effectivement deux jours avant mon arrivée au Château, que je reçois un autre mail du Châtelain :
« Bonjour Mon esclave salope MDE, Ma chienne, Comme je te l’ai dit ce week-end, au Château, se déroulera Ma soirée d’anniversaire, et je veux avoir tous Mes soumis/es et esclaves présents. Comme tu le sais, tu m’es très précieuse Ma belle chienne, et donc mise à part pour la soirée où tu as reçu Mes initiales, je ne te partage pas. Et tu seras donc utilisée uniquement par Moi, en tout temps. Et donc, j’ai décidé que malgré ta présence au Château, tu ne seras pas présente à Ma soirée d’anniversaire... Je vais quand même t’utiliser et jouir de Mon esclave que tu es, mais ce sera Moi et uniquement Moi en hors soirée... Tu te présenteras à la porte arrière du Château vendredi soir à 21h, tu porteras juste un manteau où tu seras nue en dessous avec ton collier. Ensuite, tu attendras que Walter viennent te chercher, il te conduira directement dans une pièce que tu ne connais pas encore, où tu m’y attendras. Tu seras préparée par Walter selon Mon bon vouloir, et je viendrai finir Ma soirée d’anniversaire avec toi, Mon esclave. Tu seras présente avec Moi, en revanche, à partir du samedi matin, quand il ne restera au Château que mes amis les plus proches, et tout le reste du week-end, mais sans servir personne d’autre que moi bien sûr. Je t’embrasse fort Ma chienne et te dis à vendredi soir, Le Maître »
Depuis la lecture de ce mail, je suis excitée, à l’idée d’être en présence du Maitre à nouveau, à l’idée de me retrouver à nouveau à Ses pieds durant tout un week-end, à être utilisée de mille façons par Lui… le jour venue, c’est trempée d’excitation que je me présente à la porte arrière du Château. Je retire mon manteau, dévoilant ainsi toute ma nudité et me mets en position d’attente pour attendre Walter. C’est après une courte attente que je vois les pieds du Majordome devant moi, avec une laisse dans la main, qu’il m’attache au collier, sans me dire un seul mot. Et d’une pression dessus, il me fait descendre des escaliers à quatre pattes et une fois arrivés en bas commence à marcher dans un long couloir... Arrivés tous deux dans la pièce je m’aperçois que cette dernière est sans fenêtres, mais elle aisément éclairée par d’impressionnants lustres accrochés à un haut plafond à la française. Il y a aussi juste des hautes tentures de couleurs bordeaux d’un tissu de soie et recouvrant l’intégralité des murs. J’aperçois aussi une cage ouverte avec une couette parterre ainsi qu’une gamelle d’eau dedans et un jouet pour chiens.

Walter m’amène derrière lui jusqu’au fond de la pièce où il m’attache mon collier à une épaisse chaine fixée à un solide anneau scellé au mur. La chaine n’est pas très longue, ce qui ne me laisse pas beaucoup de possibilités de bouger dans la pièce, je ne peux donc pas aller très loin. Le Majordome me met un plug en queue de chiens dans le cul après l’avoir lubrifié avec du gel. Puis, il me met une cagoule avec des oreilles de chiens. Il se retourne et s’en va, toujours sans m’avoir dit un seul mot… Je comprends que le Maitre veut avoir Sa chienne ce soir, qu’Il me veut animale, et que je dois dès à présent commencer même si ça n’a pas été exigé clairement agir comme la chienne que je suis au fond de moi-même, intimement dans ma Nature servile ... Je suis tellement impatiente de voir le Maitre, de sentir Son toucher sur moi, de pouvoir Lui embrasser les pieds. Mais aussi de Lui souhaiter un bon anniversaire, d’avoir la chance de m’offrir à Lui pour son anniversaire, que ça me rend tellement heureuse, de savoir que le Maitre veux finir Sa soirée avec moi, et ça m’excite encore plus, surtout avec l’accoutrement animal qu’Il a voulu que porte… Je me sens donc comme un cadeau-objet envers le Maitre, Son cadeau d’anniversaire qu’Il utilisera à Son bon vouloir et autant qu’Il le voudra. Et rien que cette pensée me fait frémir et me fait mouiller, tellement je suis impatiente…
La seule indication du temps que j’ai reste la grande horloge flanquée contre un des murs, et il est déjà 22h… J’attends patiemment le Maitre, je tourne en rond autour de la cage, tel un chien devant à sa niche. Je me couche dedans, j’essaye de faire passer le temps, pressée d’être enfin à ce moment où je serai avec le Maitre, même si je ne sais pas exactement quand ce sera... C’est presque à 2h du matin que j’entends du bruit dans le couloir et que je vois la poignée commencer à s’ouvrir. J’entends seulement des pas, des pas que je reconnaitrais entre mille, c’est lui, le Maitre, Il est là, immédiatement, j’essaie de me lever ou plutôt de me redresser, souhaitant aller à Ses pieds, mais le Châtelain est loin et la chaine m’en empêche, je suis coincée, si près du Noble mais aussi si loin de Lui. Me souvenant que le Maitre veut Sa chienne pour cette nuit, je commence à couiner telle une chienne qui pleure, je me surprends même à aboyer de joie ! Je remue la queue-plug et m’agite contente, tellement contente, de voir le Maitre. Le Châtelain se trouve au milieu de la pièce et de Sa posture Dominante, Il me regarde de toute Sa hauteur, Il m’observe en silence, je me sens tellement petite. Quand après un temps de silence, Monsieur le Marquis s’exprime enfin :
- Suffit la chienne, Ma petite chienne, assise, pas bouger…
Sur ces mots le Maitre s’approche de moi, Il vient délicatement me caresser la tête, me gratouiller derrière l’oreille, telle une vraie petite chienne. Et c’est avec Son autorisation de Lui dire ‘bonsoir’, que je me prosterne et que je Lui embrasse les pieds, avec une dévotion et un amour sans faille.

- Bonjour Ma belle petit chienne, Mon esclave, Ma petite pute… Oui, tu es heureuse de Me voir, et d’être à Mes pieds, je le sais. Je vais t’utiliser ce weekend, tu vas être Ma machine à plaisirs, à nous deux, Ma belle chienne-salope-esclave…
(A suivre …)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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