La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1583)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1583)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1577) -
Jusqu'à ce que Sa bouche remplace Ses mains sur les tétons sensibles de la soumise… Il utilisa alors Ses mains pour continuer à descendre lentement sur son ventre jusqu’à son pubis bien lisse. Marie gémissait à n’en plus finir mais se retenant de prononcer le moindre mot, Sa chatte était en feu dégoulinant de cyprine coulant à l’intérieur de ses cuisses largement écartées. Ses lèvres intimes était gonflées et gorgées de plaisirs, elle ne rêvait que d’une chose, se faire prendre, se faire posséder comme une chienne bien besognée à grands coups de reins virils…
- Tu es vraiment en chaleur, Ma parole. Tu as déjà joui comme une salope et maintenant tu mouilles comme si tu n’avais pas joui depuis des mois… Dis-Moi ce que tu souhaites… parle, je te l’ordonne...
- Maî…Maître je…je souhaiterais Vous sen…sentir en moi… sentir Votre…Votre noble Membre, répondit elle haletante.
- Décidément, tu es comme ta sœur de soumission Marion ! Tu ne penses qu’à te faire prendre, salope de chienne en chaleur !… Donc c’est une mauvaise réponse que tu viens de Me faire ! Parce qu’en tant que soumise, tu dois toujours avoir en tête que ton souhait prioritaire est, et doit rester, non pas ton plaisir, mais celui du Maître. Il aurait donc fallu Me répondre ‘‘ Maître, faites ce que Vous voulez de Moi, mon corps vous appartient, c’est Vous le Maître et je suis là uniquement pour Votre plaisir’’… Car avant tout, si je te prends, c’est pour Mon plaisir, plaisir qui reste et restera toujours la seule priorité pour toi et avant toute chose, et donc surtout, bien avant tes souhaits de copulation, la chienne … Alors, à l’instar de tout à l’heure avec Marion, reformule ton souhait … Suis-je clair ?
- Oui... Maître, j’ai compris, pardonnez-moi, Vous avez raison, je n’ai pas à souhaiter en priorité Votre membre, et donc je ne dois désirer qu’un seul et unique souhait, c’est Votre plaisir en premier, et avant toute autre chose et peu importe mon état d’excitation… Donc faites ce que Vous voulez de moi, je suis toute à Vous pour Votre plaisir, voilà mon souhait… !’’- C’est mieux ! Bien, alors ce n’est pas l’envie de te baiser qui Me manque, mais je ne vais pas le faire, enfin je veux dire pas tout de suite ! On verra si tu mérites que je te prenne comme une chienne. Car tout d’abord je veux t’apprendre que Mon plaisir est donc prioritaire et passe avant le tien, afin que tu retiennes la leçon une bonne fois pour toute… Suit-Moi et à quatre pattes derrière Moi…
Marie se mit en quadrupédie et suivit le Seigneur d’Evans jusqu’à une petite pièce attenante et rectangulaire, ressemblant à un long couloir élargi et sans fenêtres… Il y avait en son centre une très longue table massive d’environ 10 mètres mais pas très large. Ce que remarqua tout de suite Marie, c’était qu’espacés tous les mètres, il y avait un olibos sculpté en bois (c’est le nom du gode appelé ainsi au Moyen-Age) et solidement fixé à la verticale. Les olisbos étaient disposés du plus petit au plus gros. Le tout premier devait faire 10 centimètres de hauteur et il n’était pas très épais, le second, un mètre plus loin, un peu plus épais et un peu plus haut et ainsi de suite.
- Et voilà Mon plaisir prioritaire auquel tu vas participer ! : Tu vas grimper sur la table, puis t’accroupir et t’empaler sur chaque olisbos. Tu feras des mouvements de va-et-vient cuisses largement écartées tout en pinçant tes tétons de chienne avec tes mains, jusqu’à que je t’exige de passer à l’olisbos suivant et ainsi de suite. Si tu arrives à ne pas jouir jusqu’au dernier olisbos bien plus gros et épais que tous les autres, tu auras mérité que je baise sur cette table, là-bas tout en bout de table… Exécution salope !…
soumise Marie ne se fit pas prier pour monter sur la table. Elle se baissa et s’accroupie pour présenter sa chatte en feu devant le tout premier sexe factice bien planté à la verticale. C’est assez facilement qu’elle s’empala dessus et commença à le chevaucher… Ses mains pinçaient le bout de ses seins aux tétons dressés et elle ressentait beaucoup d’excitation. Le seigneur d’Evans la laissa ainsi se faire elle-même baiser environ cinq minutes avant de la faire venir s’empaler sur le suivant, un peu plus gros et plus haut… Elle y resta aussi cinq minutes avant de passer au troisième et ainsi de suite. Plu elle avançait et plus les olisbos devenait encombrant dans sa chatte ultra-trempée. Elle se sentait donc de plus en plus remplie, pleine et baisée profondément. Et l’excitation montait crescendo, déjà avant de commencer, elle était très excitée alors cela lui a été très difficile de tenir sans jouir. Cela devenait donc pour elle un véritable supplice délicieux de se retenir à ne pas lâcher son orgasme. Surtout avec le tout denier olisbos qui la remplissait tel un véritable fist vaginal tellement il était épais comme un poing d’une main et dépassait les 50 centimètres de hauteur… Mais malgré ses gémissements torrides, ses très fortes envies et besoins de jouissances, elle tint bon jusqu’à que le Maître lui ordonna de se retirer de ce dernier et énorme sexe factice pour venir se coucher sur le dos au bord de la table, cuisses de nouveau bien écartées…
- Je te félicite ! Voilà, là tu as fait ce qu’il fallait faire pour Mon plaisir prioritaire, via Mon exigence ! De plus même si c’était difficile pour toi de ne pas jouir, tu as tenue bon ! Donc comme tout ce mérite, tu as enfin mérité que je te prenne ta chatte de salope en chaleur…- Oh merci Maître, merci … ce supplice des olisbos sur cette table était trop excitant … Merci Maître de me faire découvrir de tels plaisirs secondaires pour moi, et prioritaire pour Vous…
Alors d’un coup sec, le Seigneur d’Evans tira sur les hanches de Marie, l’amenant tout contre Lui, elle couchée sur ce bout de table. Sa Verge érigée était aux portes du sexe de la belle, Il lui écartait les jambes au maximum avant d’enfin de la pénétrer littéralement plongeant en sa chatte trempée.
-Haaaaaaaaaaaa ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, Maître c’est tellement bon.
Le Maître décida d’abord de faire des lents va-et-vient car Il ne voulait pas jouir tout de suite et adorait voir Marie jouir mentalement de cette délicieuse mais insupportable torture de la tenir dans un état d’excitation assez longtemps.
- Ho Maître … pitié … plus vite… Plus vite …
Une paire de gifles volait subitement… Et c’est d’un ton autoritaire que le Seigneur d’Evans lui rétorqua :
- Ne t’avise pas de Me donner des ordres la chienne, je te prends comme je le veux, Mon plaisir avant tout…- Pardon… Maître, pardon …
Le Seigneur d’Evans la baisa ainsi longtemps sans se presser, laissant doucement Sa hampe si raide, si longue, si dure, si épaisse, glisser dans ce fourreau chaud aux parois fort humides, Il prenait Son temps. La torture était trop sublime et délicieuse encore une fois pour la belle Marie, mais ce coup-ci, elle s’abstint de demander quoi que ce soit, elle avait compris la leçon… Et cela même si son excessif état d’excitation était poussé à l’extrême sans en avoir le droit d’en jouir... Ce n’est qu’au bout de cinq longues et interminables minutes de cette pénétration lente et si jouissive (mais sans en jouir) que le Seigneur commençait à doucement augmenter la vitesse de Ses puissants coups de reins devenant plus profonds, plus virils. Finissant par la baiser à une cadence et profondeur inouïes dans une saillie devenant bestiale. Marie hurlait son plaisir dans un flot de paroles incohérentes. Elle était sur le point de basculer dans la folie orgasmique, sa vue s’était brouillée de larmes de plaisir mais aussi à force de lutter contre son envie extrême d’une jouissance encore non autorisée.
- Tu l’as sens bien maintenant, sale chienne, tu aimes ainsi te faire prendre sur un simple coin de table comme une trainée, hein Ma catin ?
- Ho ouiiiiiii, Maître j’adore me faire baiser comme une catin, je suis Votre catin pour Votre plaisir et uniquement Votre plaisir…
Le Seigneur d’Evans savait qu’Il n’allait pas tarder à jouir et Marie aussi. Il avait voulu la tester à éprouver longuement ses capacités d’obéissance à ne pas jouir afin de bien l’éduquer, à la tester donc une nouvelle fois à tenir sans autorisation et Il devait bien se l’avouer Il était satisfait et au-delà de Ses espérances, en effet Il n’aurait jamais cru qu’elle puisse tenir aussi longtemps, surtout après l’épreuve fort excitante des olisbos sur la même table. Alors, Il estima enfin que le moment était venu de la récompenser de son mérite, par Son ordre tellement libérateur pour Marie :
- Jouit salope, jouit pour Moi, maintenant.
Marie ne saurait dire ce qui s’est passé à cet instant précis. Certes elle avait joui, le Maître aussi mais elle ne se souvenait de rien hormis un plaisir extrême, ultime surpuissant, une extase, un accomplissement divin d’une jouissance hors norme comme elle n’en avait jamais connu auparavant… Le Maître Lui aussi épuisé par cet orgasme, se retirant et s’appuyant contre la table, à côté d’elle qui avait désormais ses jambes pendant dans le vide. Il regardait son visage, ses yeux mi-clos avec une expression béate d’extase, elle avait décollé très haut et était encore dans un état d’ivresse orgasmique fort. Tendrement, Il se pencha sur elle et écarta une mèche de cheveux de devant ses yeux pour l’embrasser ensuite de baisers forts Dominants prenant possession de sa bouche…
Plus tard, ce soir-là, le Maître se détendit dans un bain soigneusement préparé par Marion, qui en attendant le Maître avait pris l’initiative de parfumer l’eau de lavande de romarin et de fleur d’oranger. Elle avait aussi préparé des serviettes près du feu, crépitant, afin qu’elles soient agréablement chaude au moment de Le sécher. Après s’être préparé pour la nuit, Il se coucha et s’endormi aussitôt sans avoir le temps de donner Ses Exigences à Marion occupée à ranger et nettoyer la salle d’eau comme tous les soirs. Le trouvant endormi, Marion souffla les chandelles et se retrouva face à un dilemme. Elle ne savait quoi faire, il est vrai que parfois, assez rarement, le Maître l’autorisait à dormir avec Lui mais jamais elle n’aurait osé s’allonger à Ses côtés sans autorisation préalable et Il ne lui avait plus ordonné depuis longtemps à dormir sur le tapis prévu habituellement pour les soumises ne partageant jamais Sa couche... Finalement sans Exigence précise, Marion opta pour le tapis mais s’autorisa tout de même à le placer à côté du lit du Maître… Cette nuit-là le Seigneur d’Evans fut réveillé par une forte érection. Alors Il appela :
- Marion, ou es-tu? Aux pieds, salope !
Marion se réveilla de suite et après quelques secondes pour sortir des somnolences de son sommeil interrompu, elle se mit aussitôt à genoux, tête baissée et mains dans le dos.
- Je suis là Maître.
Le Seigneur d’Evans la regardait avec envie, gourmandise, la Verge dressée.
- J’ai besoin d’un de tes orifices de chienne, salope, alors qu’attends-tu pour grimper sur Ma couche? J’ai un besoin urgent de Me vider les couilles. En levrette Ma chienne. Exécution !
Marion grimpa alors rapidement sur la couche du Maître et se mit dans la position exigée. Elle venait tout juste de se réveiller, mais elle était déjà émoustillée et donc bien mouillée grâce aux mots du Maître et surtout excitée de savoir qu’elle allait être utilisée pour servir de vide-couilles, comme le Maître l’avait Lui-même exprimé…. Le Seigneur d’Evans, ne recherchant que Son plaisir qui reste (faut-il le rappeler !) prioritaire, plaisir qui était urgent, ne prit pas le temps de l’exciter davantage. Il pénétra la belle chatte de Marion d’un coup sec et profond en maintenant les hanches de Marion qui ne broncha pas, si ce n’est un gémissement de pur plaisir. En effet elle aimait toujours, et selon la Volonté du Maître, être pénétrée ainsi en n’étant pas trop ouverte pour ressentir encore plus fort la sensation de frottement de la Verge imposante du Maître contre ses chairs intimes. Voyant et sachant qu’elle aimait cela, Il se retira pour replonger en elle, et cette fois encore d’un coup de reins tout aussi fort, viril et profond, jusqu’à la garde. Marion gémissait de plaisir, ivre de ces sensations, et son plaisir montait à la vitesse grand V, presque aussi vite que les assauts du Maître en elle. Tandis que le Seigneur d’Evans la besognait sans ménagement à grands coups de boutoir, Il lui fessait le cul sans ménager, là aussi, ses claques qui fit rapidement rougir le fessier de la belle… Jusqu’au moment où Il jouit enfin après de très longues et délicieuses minutes et se vida en elle en jets forts et saccadés de Sa semence chaud, dans des râles orgasmiques en d’ultimes coups de reins puissants, Il avait donc pris Son temps pour venir se vider les couilles dans cette chatte trempée à Sa disposition. Le Maître se retira et s’allongea sur le dos.
- Aller Ma salope, vient Me nettoyer Ma noble queue souillée de ton jus de chienne.
Marion essoufflée et terriblement frustrée de n’avoir pas reçu l’autorisation de jouir, mais sa condition de soumise acceptait cette réalité et elle le savait, fit de son mieux ce qui lui était ordonné. Cependant sa frustration ne pouvait échapper au Maître.
- Souhaite-tu savoir pourquoi je ne t’ai pas accorder d’orgasme ?
- C’est toujours à Vous de décider de l’accorder ou pas et je n’ai pas besoin de motif. Seul Votre plaisir compte… Mais si Vous voulez m’en parler alors oui je souhaite savoir pourquoi.
- J’avais besoin de toi pour Me soulager, seul Mon plaisir importe comme tu le sais. Ce que j’ai fait de toi ce soir, était de Me servir de vide-couilles, tu n’es qu’un simple trou, un réceptacle à sperme. Et je n’ai pas à t’autoriser de jouir à chaque fois que je me vide les couilles, histoire de principe, tout simplement
Marion se prosterna pour embrasser la main du Maître en lui disant.
- Maître Vénéré, j’implore Votre pardon. Je Vous promets de ne plus jamais oublier où est ma place et que seul Votre plaisir compte et donc que je n’ai pas à en être frustrer si je ne suis pas autorisée à jouir et que je dois donc l’accepter sans état d’âmes… -Tu seras pardonnée uniquement après la punition que je te réserve… Punition pour apprendre à ne pas être frustrer mais à accepter de ne pas avoir le droit de jouir sans frustration… Tu n’as pas droit à la frustration… Viens par-là, exigeait-Il en étendant Ses bras.
Marion se mit dans les draps et se blottit tout contre le Maître heureuse et apaisée, ou presque, car l’excitation entre ses jambes était toujours bien présente. Car même si elle souhaitait que le Maître se repose, elle ne put s’empêcher de penser:
‘‘J’espère qu’Il se réveillera une seconde fois et que peut-être qu’Il m’accordera cette fois-ci de jouir, même si j’ai bien compris que je dois accepter sans en être frustrée, si cela n’arrive pas ’’.
Ce qui n’était pas impossible car la nuit n’était pas très avancée…
(A suivre)
Jusqu'à ce que Sa bouche remplace Ses mains sur les tétons sensibles de la soumise… Il utilisa alors Ses mains pour continuer à descendre lentement sur son ventre jusqu’à son pubis bien lisse. Marie gémissait à n’en plus finir mais se retenant de prononcer le moindre mot, Sa chatte était en feu dégoulinant de cyprine coulant à l’intérieur de ses cuisses largement écartées. Ses lèvres intimes était gonflées et gorgées de plaisirs, elle ne rêvait que d’une chose, se faire prendre, se faire posséder comme une chienne bien besognée à grands coups de reins virils…
- Tu es vraiment en chaleur, Ma parole. Tu as déjà joui comme une salope et maintenant tu mouilles comme si tu n’avais pas joui depuis des mois… Dis-Moi ce que tu souhaites… parle, je te l’ordonne...
- Maî…Maître je…je souhaiterais Vous sen…sentir en moi… sentir Votre…Votre noble Membre, répondit elle haletante.
- Décidément, tu es comme ta sœur de soumission Marion ! Tu ne penses qu’à te faire prendre, salope de chienne en chaleur !… Donc c’est une mauvaise réponse que tu viens de Me faire ! Parce qu’en tant que soumise, tu dois toujours avoir en tête que ton souhait prioritaire est, et doit rester, non pas ton plaisir, mais celui du Maître. Il aurait donc fallu Me répondre ‘‘ Maître, faites ce que Vous voulez de Moi, mon corps vous appartient, c’est Vous le Maître et je suis là uniquement pour Votre plaisir’’… Car avant tout, si je te prends, c’est pour Mon plaisir, plaisir qui reste et restera toujours la seule priorité pour toi et avant toute chose, et donc surtout, bien avant tes souhaits de copulation, la chienne … Alors, à l’instar de tout à l’heure avec Marion, reformule ton souhait … Suis-je clair ?
- Oui... Maître, j’ai compris, pardonnez-moi, Vous avez raison, je n’ai pas à souhaiter en priorité Votre membre, et donc je ne dois désirer qu’un seul et unique souhait, c’est Votre plaisir en premier, et avant toute autre chose et peu importe mon état d’excitation… Donc faites ce que Vous voulez de moi, je suis toute à Vous pour Votre plaisir, voilà mon souhait… !’’- C’est mieux ! Bien, alors ce n’est pas l’envie de te baiser qui Me manque, mais je ne vais pas le faire, enfin je veux dire pas tout de suite ! On verra si tu mérites que je te prenne comme une chienne. Car tout d’abord je veux t’apprendre que Mon plaisir est donc prioritaire et passe avant le tien, afin que tu retiennes la leçon une bonne fois pour toute… Suit-Moi et à quatre pattes derrière Moi…
Marie se mit en quadrupédie et suivit le Seigneur d’Evans jusqu’à une petite pièce attenante et rectangulaire, ressemblant à un long couloir élargi et sans fenêtres… Il y avait en son centre une très longue table massive d’environ 10 mètres mais pas très large. Ce que remarqua tout de suite Marie, c’était qu’espacés tous les mètres, il y avait un olibos sculpté en bois (c’est le nom du gode appelé ainsi au Moyen-Age) et solidement fixé à la verticale. Les olisbos étaient disposés du plus petit au plus gros. Le tout premier devait faire 10 centimètres de hauteur et il n’était pas très épais, le second, un mètre plus loin, un peu plus épais et un peu plus haut et ainsi de suite.
- Et voilà Mon plaisir prioritaire auquel tu vas participer ! : Tu vas grimper sur la table, puis t’accroupir et t’empaler sur chaque olisbos. Tu feras des mouvements de va-et-vient cuisses largement écartées tout en pinçant tes tétons de chienne avec tes mains, jusqu’à que je t’exige de passer à l’olisbos suivant et ainsi de suite. Si tu arrives à ne pas jouir jusqu’au dernier olisbos bien plus gros et épais que tous les autres, tu auras mérité que je baise sur cette table, là-bas tout en bout de table… Exécution salope !…
soumise Marie ne se fit pas prier pour monter sur la table. Elle se baissa et s’accroupie pour présenter sa chatte en feu devant le tout premier sexe factice bien planté à la verticale. C’est assez facilement qu’elle s’empala dessus et commença à le chevaucher… Ses mains pinçaient le bout de ses seins aux tétons dressés et elle ressentait beaucoup d’excitation. Le seigneur d’Evans la laissa ainsi se faire elle-même baiser environ cinq minutes avant de la faire venir s’empaler sur le suivant, un peu plus gros et plus haut… Elle y resta aussi cinq minutes avant de passer au troisième et ainsi de suite. Plu elle avançait et plus les olisbos devenait encombrant dans sa chatte ultra-trempée. Elle se sentait donc de plus en plus remplie, pleine et baisée profondément. Et l’excitation montait crescendo, déjà avant de commencer, elle était très excitée alors cela lui a été très difficile de tenir sans jouir. Cela devenait donc pour elle un véritable supplice délicieux de se retenir à ne pas lâcher son orgasme. Surtout avec le tout denier olisbos qui la remplissait tel un véritable fist vaginal tellement il était épais comme un poing d’une main et dépassait les 50 centimètres de hauteur… Mais malgré ses gémissements torrides, ses très fortes envies et besoins de jouissances, elle tint bon jusqu’à que le Maître lui ordonna de se retirer de ce dernier et énorme sexe factice pour venir se coucher sur le dos au bord de la table, cuisses de nouveau bien écartées…
- Je te félicite ! Voilà, là tu as fait ce qu’il fallait faire pour Mon plaisir prioritaire, via Mon exigence ! De plus même si c’était difficile pour toi de ne pas jouir, tu as tenue bon ! Donc comme tout ce mérite, tu as enfin mérité que je te prenne ta chatte de salope en chaleur…- Oh merci Maître, merci … ce supplice des olisbos sur cette table était trop excitant … Merci Maître de me faire découvrir de tels plaisirs secondaires pour moi, et prioritaire pour Vous…
Alors d’un coup sec, le Seigneur d’Evans tira sur les hanches de Marie, l’amenant tout contre Lui, elle couchée sur ce bout de table. Sa Verge érigée était aux portes du sexe de la belle, Il lui écartait les jambes au maximum avant d’enfin de la pénétrer littéralement plongeant en sa chatte trempée.
-Haaaaaaaaaaaa ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, Maître c’est tellement bon.
Le Maître décida d’abord de faire des lents va-et-vient car Il ne voulait pas jouir tout de suite et adorait voir Marie jouir mentalement de cette délicieuse mais insupportable torture de la tenir dans un état d’excitation assez longtemps.
- Ho Maître … pitié … plus vite… Plus vite …
Une paire de gifles volait subitement… Et c’est d’un ton autoritaire que le Seigneur d’Evans lui rétorqua :
- Ne t’avise pas de Me donner des ordres la chienne, je te prends comme je le veux, Mon plaisir avant tout…- Pardon… Maître, pardon …
Le Seigneur d’Evans la baisa ainsi longtemps sans se presser, laissant doucement Sa hampe si raide, si longue, si dure, si épaisse, glisser dans ce fourreau chaud aux parois fort humides, Il prenait Son temps. La torture était trop sublime et délicieuse encore une fois pour la belle Marie, mais ce coup-ci, elle s’abstint de demander quoi que ce soit, elle avait compris la leçon… Et cela même si son excessif état d’excitation était poussé à l’extrême sans en avoir le droit d’en jouir... Ce n’est qu’au bout de cinq longues et interminables minutes de cette pénétration lente et si jouissive (mais sans en jouir) que le Seigneur commençait à doucement augmenter la vitesse de Ses puissants coups de reins devenant plus profonds, plus virils. Finissant par la baiser à une cadence et profondeur inouïes dans une saillie devenant bestiale. Marie hurlait son plaisir dans un flot de paroles incohérentes. Elle était sur le point de basculer dans la folie orgasmique, sa vue s’était brouillée de larmes de plaisir mais aussi à force de lutter contre son envie extrême d’une jouissance encore non autorisée.
- Tu l’as sens bien maintenant, sale chienne, tu aimes ainsi te faire prendre sur un simple coin de table comme une trainée, hein Ma catin ?
- Ho ouiiiiiii, Maître j’adore me faire baiser comme une catin, je suis Votre catin pour Votre plaisir et uniquement Votre plaisir…
Le Seigneur d’Evans savait qu’Il n’allait pas tarder à jouir et Marie aussi. Il avait voulu la tester à éprouver longuement ses capacités d’obéissance à ne pas jouir afin de bien l’éduquer, à la tester donc une nouvelle fois à tenir sans autorisation et Il devait bien se l’avouer Il était satisfait et au-delà de Ses espérances, en effet Il n’aurait jamais cru qu’elle puisse tenir aussi longtemps, surtout après l’épreuve fort excitante des olisbos sur la même table. Alors, Il estima enfin que le moment était venu de la récompenser de son mérite, par Son ordre tellement libérateur pour Marie :
- Jouit salope, jouit pour Moi, maintenant.
Marie ne saurait dire ce qui s’est passé à cet instant précis. Certes elle avait joui, le Maître aussi mais elle ne se souvenait de rien hormis un plaisir extrême, ultime surpuissant, une extase, un accomplissement divin d’une jouissance hors norme comme elle n’en avait jamais connu auparavant… Le Maître Lui aussi épuisé par cet orgasme, se retirant et s’appuyant contre la table, à côté d’elle qui avait désormais ses jambes pendant dans le vide. Il regardait son visage, ses yeux mi-clos avec une expression béate d’extase, elle avait décollé très haut et était encore dans un état d’ivresse orgasmique fort. Tendrement, Il se pencha sur elle et écarta une mèche de cheveux de devant ses yeux pour l’embrasser ensuite de baisers forts Dominants prenant possession de sa bouche…
Plus tard, ce soir-là, le Maître se détendit dans un bain soigneusement préparé par Marion, qui en attendant le Maître avait pris l’initiative de parfumer l’eau de lavande de romarin et de fleur d’oranger. Elle avait aussi préparé des serviettes près du feu, crépitant, afin qu’elles soient agréablement chaude au moment de Le sécher. Après s’être préparé pour la nuit, Il se coucha et s’endormi aussitôt sans avoir le temps de donner Ses Exigences à Marion occupée à ranger et nettoyer la salle d’eau comme tous les soirs. Le trouvant endormi, Marion souffla les chandelles et se retrouva face à un dilemme. Elle ne savait quoi faire, il est vrai que parfois, assez rarement, le Maître l’autorisait à dormir avec Lui mais jamais elle n’aurait osé s’allonger à Ses côtés sans autorisation préalable et Il ne lui avait plus ordonné depuis longtemps à dormir sur le tapis prévu habituellement pour les soumises ne partageant jamais Sa couche... Finalement sans Exigence précise, Marion opta pour le tapis mais s’autorisa tout de même à le placer à côté du lit du Maître… Cette nuit-là le Seigneur d’Evans fut réveillé par une forte érection. Alors Il appela :
- Marion, ou es-tu? Aux pieds, salope !
Marion se réveilla de suite et après quelques secondes pour sortir des somnolences de son sommeil interrompu, elle se mit aussitôt à genoux, tête baissée et mains dans le dos.
- Je suis là Maître.
Le Seigneur d’Evans la regardait avec envie, gourmandise, la Verge dressée.
- J’ai besoin d’un de tes orifices de chienne, salope, alors qu’attends-tu pour grimper sur Ma couche? J’ai un besoin urgent de Me vider les couilles. En levrette Ma chienne. Exécution !
Marion grimpa alors rapidement sur la couche du Maître et se mit dans la position exigée. Elle venait tout juste de se réveiller, mais elle était déjà émoustillée et donc bien mouillée grâce aux mots du Maître et surtout excitée de savoir qu’elle allait être utilisée pour servir de vide-couilles, comme le Maître l’avait Lui-même exprimé…. Le Seigneur d’Evans, ne recherchant que Son plaisir qui reste (faut-il le rappeler !) prioritaire, plaisir qui était urgent, ne prit pas le temps de l’exciter davantage. Il pénétra la belle chatte de Marion d’un coup sec et profond en maintenant les hanches de Marion qui ne broncha pas, si ce n’est un gémissement de pur plaisir. En effet elle aimait toujours, et selon la Volonté du Maître, être pénétrée ainsi en n’étant pas trop ouverte pour ressentir encore plus fort la sensation de frottement de la Verge imposante du Maître contre ses chairs intimes. Voyant et sachant qu’elle aimait cela, Il se retira pour replonger en elle, et cette fois encore d’un coup de reins tout aussi fort, viril et profond, jusqu’à la garde. Marion gémissait de plaisir, ivre de ces sensations, et son plaisir montait à la vitesse grand V, presque aussi vite que les assauts du Maître en elle. Tandis que le Seigneur d’Evans la besognait sans ménagement à grands coups de boutoir, Il lui fessait le cul sans ménager, là aussi, ses claques qui fit rapidement rougir le fessier de la belle… Jusqu’au moment où Il jouit enfin après de très longues et délicieuses minutes et se vida en elle en jets forts et saccadés de Sa semence chaud, dans des râles orgasmiques en d’ultimes coups de reins puissants, Il avait donc pris Son temps pour venir se vider les couilles dans cette chatte trempée à Sa disposition. Le Maître se retira et s’allongea sur le dos.
- Aller Ma salope, vient Me nettoyer Ma noble queue souillée de ton jus de chienne.
Marion essoufflée et terriblement frustrée de n’avoir pas reçu l’autorisation de jouir, mais sa condition de soumise acceptait cette réalité et elle le savait, fit de son mieux ce qui lui était ordonné. Cependant sa frustration ne pouvait échapper au Maître.
- Souhaite-tu savoir pourquoi je ne t’ai pas accorder d’orgasme ?
- C’est toujours à Vous de décider de l’accorder ou pas et je n’ai pas besoin de motif. Seul Votre plaisir compte… Mais si Vous voulez m’en parler alors oui je souhaite savoir pourquoi.
- J’avais besoin de toi pour Me soulager, seul Mon plaisir importe comme tu le sais. Ce que j’ai fait de toi ce soir, était de Me servir de vide-couilles, tu n’es qu’un simple trou, un réceptacle à sperme. Et je n’ai pas à t’autoriser de jouir à chaque fois que je me vide les couilles, histoire de principe, tout simplement
Marion se prosterna pour embrasser la main du Maître en lui disant.
- Maître Vénéré, j’implore Votre pardon. Je Vous promets de ne plus jamais oublier où est ma place et que seul Votre plaisir compte et donc que je n’ai pas à en être frustrer si je ne suis pas autorisée à jouir et que je dois donc l’accepter sans état d’âmes… -Tu seras pardonnée uniquement après la punition que je te réserve… Punition pour apprendre à ne pas être frustrer mais à accepter de ne pas avoir le droit de jouir sans frustration… Tu n’as pas droit à la frustration… Viens par-là, exigeait-Il en étendant Ses bras.
Marion se mit dans les draps et se blottit tout contre le Maître heureuse et apaisée, ou presque, car l’excitation entre ses jambes était toujours bien présente. Car même si elle souhaitait que le Maître se repose, elle ne put s’empêcher de penser:
‘‘J’espère qu’Il se réveillera une seconde fois et que peut-être qu’Il m’accordera cette fois-ci de jouir, même si j’ai bien compris que je dois accepter sans en être frustrée, si cela n’arrive pas ’’.
Ce qui n’était pas impossible car la nuit n’était pas très avancée…
(A suivre)
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