La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1590)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1590)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1574) -
- Ils ont pour exigence de te baiser durant deux heures non-stop durant tous les effets du comprimé … et de profiter pleinement de chacun de tes trous et de ne pas se soucier de ton plaisir car tu n’y as pas droit. Ces esclaves sont en rut car ça fait plusieurs semaines qu’ils ne se sont pas vidé les couilles sous leur cage de chasteté. Ils seront donc pleinement vigoureux pour se soulager en toi et autant qu’ils en auront envie... Tu subiras donc leurs assauts virils avec l’impossibilité de jouir... Alors maintenant tu vas dormir car tu vas avoir besoin de toute ton énergie... Il y’a encore pas mal de surprises qui t’attendent pour les prochains jours… Le Maître est comme à Son habitude très imaginatif…, me dit le Majordome d’une voix perverse tout en quittant la pièce …
Je m’endormis après quelques dizaines de minutes dans un sommeil pas trop lourd… Et je me suis réveillée plusieurs fois sans vraiment réussir à retrouver le sommeil. La nuit que je passais était agitée néanmoins sans aucun rêve érotique, ni pensée charnelle. C’est comme si toute mon excitation naturelle était anesthésiée, comme si je n’avais plus de libido… C’était peut-être un effet secondaire et passager du comprimé ?... Très tôt, je me réveillais, c’était l’aube avec les premiers rayons du soleil traversant le soupirail de ma cellule. J’ouvris les yeux mais je n’osais pas bouger, alors je patientais avec une docilité dans l’immobilité la plus parfaite. Une trentaine de minutes après, la porte s’ouvrit et je vis le Majordome entrer et poser à même le sol une gamelle remplie d’une bouillie. Il me pointa avec son index le sol. Et donc, je me déplaçais à quatre pattes et m’arrêtais à l’endroit qu’il m’avait indiqué et attendu ainsi la suite de ses instructions en parfaite position d’attente. Il me tendit le comprimé que j’avalais ainsi sans broncher puis mangeais sans broncher ma bouille en lapant ma gamelle, jusqu’à n’en laissant pas la moindre trace...
Ensuite, j’attendis de nouveau dans un silence total commençant à devenir pesant. Walter repartit un bref instant puis ramena avec lui un pilori d’imposante taille posé sur une longue table à roulettes. Ce volumineux objet se présenta avec deux grandes planches fixées l’une à l’autre et trois trous, dont un plus grand au milieu pour le passage de la tête et deux autres à chaque extrémité pour ceux des mains. Ce pilori était aussi flanqué des cordes pendantes… Je n’eus pas vraiment le temps de me questionner plus longuement, car le Majordome me dit de rester immobile et de le laisser faire après m’être allongée sur le dos, sur le plateau de la table qui lui servit à apporter le pilori. Puis Walter plaça mes mains ainsi que ma tête dans les trous prévus à cet effet ... Je me sentis alors fermement maintenue et immobilisée. Il saisit ensuite mes jambes et avec une corde pour chacune d’elle, me ligota solidement en les relevant sur le haut du pilori à la même hauteur que mes mains afin que ma chatte et mon cul soient bien exposés et facilement accessibles. Il me rajouta un bâillon-écarteur qui m’imposa à garder la bouche grande ouverte afin d’en faire un très accessible réceptacle à semences… Je commençais à ressentir les effets du comprimé avec les premières bouffées de chaleur et l’excitation sexuelle qui commençait à monter. Walter s’arrêta et regarda son installation, puis satisfait du résultat avec un sourire de sa voix perverse :
- Eh bien, tout est prêt. Tu vas avoir le plaisir de te faire baiser tes 3 trous de chienne comme si tu n’étais qu’un vulgaire objet. Tu n’auras pas le moyen de parler pendant ces deux heures, mais Monsieur le Marquis veut que ces copulations de tous tes trous te soient profitables et te permettront à l’avenir de ne plus désobéir aux Exigences du Maître relatives à la non-jouissance. Les esclaves mâles ont bien entendu pour ordre de te baisser de manière bestiale au niveau de ton cul et de ta chatte de pute et de te faire des gorges profondes à se vider dedans. N’oublie pas que nous te regardons, tu es filmée… Tu auras sûrement tes trous en feu après deux heures de saillies bestiales et d’ors et déjà car le comprimé doit commencer à agir…, dit-il d’une voix vicieuse tout en regardant sa montre en quittant la pièce…
Après quelques minutes, je vis trois étalons à la peau d’ébène et à l’allure finement sculptée qui firent leur entrée dans la pièce. On avait retiré leur cage de chasteté et ils arboraient des grosses bites assez imposantes gorgées de sang et qui bandaient déjà de manière très volumineuse. Etant visiblement en manque de sexe, c’est donc sans aucun préambule que chaque esclave se dirigea vers un de mes orifices comme s’ils s’étaient mis d’accord à l’avance. Et ils me pénétraient sans aucun préliminaire, sans se préoccuper de mon regard excité par le comprimé que je leur portais. Je ressentis alors plusieurs poussées viriles en même temps aussi bien dans mon cul bien exhibé, que dans ma chatte bien offerte. Je me sentis alors pleinement prise et possédée comme une chienne en chaleur ayant ce fort besoin incompressible de copuler… A me faire baiser en bougeant amplement mon bassin dans des mouvements lascifs invitant à la saillie qui ne laissaient aucun doute sur l’efficacité du comprimé… Puis le troisième esclave présenta sa verge bien dressée devant ma bouche largement ouverte par l’écarteur. Ce mâle en rut m'imposa alors tout de suite son rythme rapide en utilisant ma gueule ouverte comme un simple trou imprimant le mouvement qu’il voulait avec sa main sur ma tête. Il ressortait sa grosse queue d’ébène de ma bouche puis la rentrait de nouveau tout au fond en des gorges profondes puis allait et venait s'imposant son propre rythme dans ma cavité buccale qui n’était alors considérée comme un simple trou à se soulager dedans. Pour ma chatte et mon cul, les bites étaient toutes aussi possédantes, les énormes verges pilonnaient et limaient mes deux orifices sans discontinuer et sans aucune pause avec intensité, vigueur, virilité et rapidité, mes orifices étaient juste des trous à épancher leur foutre…
L’effet du comprimé accentuait encore plus ma libido, j’avais de plus en plus chaud, j’étais de plus en plus excitée au bord de la jouissance mais avec une impossibilité mécanique de me soulager, car comme déjà souligné si le comprimé m’excitait d’avantage, il me bloquait aussi le processus orgasmique. J’étais donc tellement en chaleur, que je ne savais pas depuis combien de temps cela durait que j’étais offerte ainsi à ces trois esclaves-mâles. Ils étaient fort bien membrés et avaient pris possession de mes trous sans ménagement, cela ne me paraissait pas durer une éternité, trop trempée pour cela, avec leurs assauts virils qui continuaient de plus belle. Boostée par la médicamentation, je ne me sentais pas du tout épuisée alors que celui que j’avais en bouche continuait à m’appliquer ses vifs va-et-vient en gorge profonde. Avec les nombreux coups de bite dans ma chatte et dans mon cul, mon cerveau comme mon corps servile ne pouvaient pas oublier à chaque instant ce que j’étais. Et j’éprouvais un bien-être indicible à me faire prendre de la sorte, même sans pouvoir jouir. Je n’avais encore jamais au préalable eu en bouche une grosse bite pendant un aussi long moment et je commençais à ressentir quelques douleurs à la mâchoire immobilisée, mais je fis de mon mieux pour faire honneur à l’éducation du Maître des Lieux durant ces deux heures tellement bonnes à se faire prendre comme la chienne que j’étais, avant tout !... Plus le temps passait, plus j’avais mon cul et ma chatte qui devenaient douloureux à force d’être limés de manière vigoureuse et si énergique à être baisée avec cette fougue virile et bien sûr bestiale. Je transpirais abondamment, face à l’infatigabilité des trois esclaves et de leurs bites qui limaient mes trois trous avec une incroyable endurance.
J’avais l’impression d’être comme une bombe sexuelle vue mon étonnante énergie grâce au comprimé et les assauts me faisaient grimper haut dans l’excitation. C’est seulement après un temps qui me semblait vite passé, tellement j’avais pris du plaisir, même sans jouir où je m’étais donné à fond que les deux heures arrivèrent et qu’ils jouirent quasiment tous les trois ensemble dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul en feu… Je dus avaler tout le sperme dans ma bouche sans en laisser échapper la moindre goutte. Puis les trois esclaves partirent rapidement comme ils étaient venus, sans même me regarder, ni me parler…. Je ressentis quelques douleurs liées à l’immobilité avec certaines courbatures ainsi que mon anus et ma chatte légèrement douloureux ainsi que mes gencives également. Mais j’étais par-dessus tout, heureuse d’avoir tenue pendant ces deux heures de baise forcenée et d’avoir fait je l’espère honneur à l’éducation du Seigneur… Après quelques minutes, le Majordome arriva dans la pièce et me détacha progressivement les jambes l’une après l’autre puis me retira le pilori et je pus retrouver ma mobilité. Il fit tout ceci sans aucun bruit, ni aucun mot, dans un silence total, ô combien pesant… Ensuite Walter repartit avec la table roulante et le pilori, comme il était venu …
Je profitais alors de ce bref moment de répit pour souffler un peu même si je me sentais encore plein d’énergie et je savais que c’était l’effet stimulant du comprimé qui me donnait encore cette pêche d’enfer !... Je savais au fond de moi-même que cette punition n’était pas finie... Après un instant, Walter revint et m'ordonna de me mettre en position du missionnaire pour recevoir ma dose quotidienne de quinze coups sur mon cul nu et mon sexe bien exhibés à son regard. C’est avec une totale docilité que je me suis mis en cette position et je restais ainsi sereine et silencieuse. Je vis alors le Majordome qui avait dans sa main droite un court fouet. Il visa ma chatte et mon clitoris doucement puis très vite les coups devinrent mordants et difficiles à supporter telle une véritable morsure sur ma peau si sensible de la chatte, des lèvres vaginales et du clitoris. J’eus toutes les peines du monde à ne pas hurler, ni crier, face à une telle douleur et je dus me mordre les lèvres pour arriver à supporter ces quinze coups de fouet. Le Majordome repartit puis revint avec une gamelle emplie d’une bouillie, puis me dit d’une voix perverse et très calme :
- Je te conseille de manger, tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos….
(A suivre …)
- Ils ont pour exigence de te baiser durant deux heures non-stop durant tous les effets du comprimé … et de profiter pleinement de chacun de tes trous et de ne pas se soucier de ton plaisir car tu n’y as pas droit. Ces esclaves sont en rut car ça fait plusieurs semaines qu’ils ne se sont pas vidé les couilles sous leur cage de chasteté. Ils seront donc pleinement vigoureux pour se soulager en toi et autant qu’ils en auront envie... Tu subiras donc leurs assauts virils avec l’impossibilité de jouir... Alors maintenant tu vas dormir car tu vas avoir besoin de toute ton énergie... Il y’a encore pas mal de surprises qui t’attendent pour les prochains jours… Le Maître est comme à Son habitude très imaginatif…, me dit le Majordome d’une voix perverse tout en quittant la pièce …
Je m’endormis après quelques dizaines de minutes dans un sommeil pas trop lourd… Et je me suis réveillée plusieurs fois sans vraiment réussir à retrouver le sommeil. La nuit que je passais était agitée néanmoins sans aucun rêve érotique, ni pensée charnelle. C’est comme si toute mon excitation naturelle était anesthésiée, comme si je n’avais plus de libido… C’était peut-être un effet secondaire et passager du comprimé ?... Très tôt, je me réveillais, c’était l’aube avec les premiers rayons du soleil traversant le soupirail de ma cellule. J’ouvris les yeux mais je n’osais pas bouger, alors je patientais avec une docilité dans l’immobilité la plus parfaite. Une trentaine de minutes après, la porte s’ouvrit et je vis le Majordome entrer et poser à même le sol une gamelle remplie d’une bouillie. Il me pointa avec son index le sol. Et donc, je me déplaçais à quatre pattes et m’arrêtais à l’endroit qu’il m’avait indiqué et attendu ainsi la suite de ses instructions en parfaite position d’attente. Il me tendit le comprimé que j’avalais ainsi sans broncher puis mangeais sans broncher ma bouille en lapant ma gamelle, jusqu’à n’en laissant pas la moindre trace...
Ensuite, j’attendis de nouveau dans un silence total commençant à devenir pesant. Walter repartit un bref instant puis ramena avec lui un pilori d’imposante taille posé sur une longue table à roulettes. Ce volumineux objet se présenta avec deux grandes planches fixées l’une à l’autre et trois trous, dont un plus grand au milieu pour le passage de la tête et deux autres à chaque extrémité pour ceux des mains. Ce pilori était aussi flanqué des cordes pendantes… Je n’eus pas vraiment le temps de me questionner plus longuement, car le Majordome me dit de rester immobile et de le laisser faire après m’être allongée sur le dos, sur le plateau de la table qui lui servit à apporter le pilori. Puis Walter plaça mes mains ainsi que ma tête dans les trous prévus à cet effet ... Je me sentis alors fermement maintenue et immobilisée. Il saisit ensuite mes jambes et avec une corde pour chacune d’elle, me ligota solidement en les relevant sur le haut du pilori à la même hauteur que mes mains afin que ma chatte et mon cul soient bien exposés et facilement accessibles. Il me rajouta un bâillon-écarteur qui m’imposa à garder la bouche grande ouverte afin d’en faire un très accessible réceptacle à semences… Je commençais à ressentir les effets du comprimé avec les premières bouffées de chaleur et l’excitation sexuelle qui commençait à monter. Walter s’arrêta et regarda son installation, puis satisfait du résultat avec un sourire de sa voix perverse :
- Eh bien, tout est prêt. Tu vas avoir le plaisir de te faire baiser tes 3 trous de chienne comme si tu n’étais qu’un vulgaire objet. Tu n’auras pas le moyen de parler pendant ces deux heures, mais Monsieur le Marquis veut que ces copulations de tous tes trous te soient profitables et te permettront à l’avenir de ne plus désobéir aux Exigences du Maître relatives à la non-jouissance. Les esclaves mâles ont bien entendu pour ordre de te baisser de manière bestiale au niveau de ton cul et de ta chatte de pute et de te faire des gorges profondes à se vider dedans. N’oublie pas que nous te regardons, tu es filmée… Tu auras sûrement tes trous en feu après deux heures de saillies bestiales et d’ors et déjà car le comprimé doit commencer à agir…, dit-il d’une voix vicieuse tout en regardant sa montre en quittant la pièce…
Après quelques minutes, je vis trois étalons à la peau d’ébène et à l’allure finement sculptée qui firent leur entrée dans la pièce. On avait retiré leur cage de chasteté et ils arboraient des grosses bites assez imposantes gorgées de sang et qui bandaient déjà de manière très volumineuse. Etant visiblement en manque de sexe, c’est donc sans aucun préambule que chaque esclave se dirigea vers un de mes orifices comme s’ils s’étaient mis d’accord à l’avance. Et ils me pénétraient sans aucun préliminaire, sans se préoccuper de mon regard excité par le comprimé que je leur portais. Je ressentis alors plusieurs poussées viriles en même temps aussi bien dans mon cul bien exhibé, que dans ma chatte bien offerte. Je me sentis alors pleinement prise et possédée comme une chienne en chaleur ayant ce fort besoin incompressible de copuler… A me faire baiser en bougeant amplement mon bassin dans des mouvements lascifs invitant à la saillie qui ne laissaient aucun doute sur l’efficacité du comprimé… Puis le troisième esclave présenta sa verge bien dressée devant ma bouche largement ouverte par l’écarteur. Ce mâle en rut m'imposa alors tout de suite son rythme rapide en utilisant ma gueule ouverte comme un simple trou imprimant le mouvement qu’il voulait avec sa main sur ma tête. Il ressortait sa grosse queue d’ébène de ma bouche puis la rentrait de nouveau tout au fond en des gorges profondes puis allait et venait s'imposant son propre rythme dans ma cavité buccale qui n’était alors considérée comme un simple trou à se soulager dedans. Pour ma chatte et mon cul, les bites étaient toutes aussi possédantes, les énormes verges pilonnaient et limaient mes deux orifices sans discontinuer et sans aucune pause avec intensité, vigueur, virilité et rapidité, mes orifices étaient juste des trous à épancher leur foutre…
L’effet du comprimé accentuait encore plus ma libido, j’avais de plus en plus chaud, j’étais de plus en plus excitée au bord de la jouissance mais avec une impossibilité mécanique de me soulager, car comme déjà souligné si le comprimé m’excitait d’avantage, il me bloquait aussi le processus orgasmique. J’étais donc tellement en chaleur, que je ne savais pas depuis combien de temps cela durait que j’étais offerte ainsi à ces trois esclaves-mâles. Ils étaient fort bien membrés et avaient pris possession de mes trous sans ménagement, cela ne me paraissait pas durer une éternité, trop trempée pour cela, avec leurs assauts virils qui continuaient de plus belle. Boostée par la médicamentation, je ne me sentais pas du tout épuisée alors que celui que j’avais en bouche continuait à m’appliquer ses vifs va-et-vient en gorge profonde. Avec les nombreux coups de bite dans ma chatte et dans mon cul, mon cerveau comme mon corps servile ne pouvaient pas oublier à chaque instant ce que j’étais. Et j’éprouvais un bien-être indicible à me faire prendre de la sorte, même sans pouvoir jouir. Je n’avais encore jamais au préalable eu en bouche une grosse bite pendant un aussi long moment et je commençais à ressentir quelques douleurs à la mâchoire immobilisée, mais je fis de mon mieux pour faire honneur à l’éducation du Maître des Lieux durant ces deux heures tellement bonnes à se faire prendre comme la chienne que j’étais, avant tout !... Plus le temps passait, plus j’avais mon cul et ma chatte qui devenaient douloureux à force d’être limés de manière vigoureuse et si énergique à être baisée avec cette fougue virile et bien sûr bestiale. Je transpirais abondamment, face à l’infatigabilité des trois esclaves et de leurs bites qui limaient mes trois trous avec une incroyable endurance.
J’avais l’impression d’être comme une bombe sexuelle vue mon étonnante énergie grâce au comprimé et les assauts me faisaient grimper haut dans l’excitation. C’est seulement après un temps qui me semblait vite passé, tellement j’avais pris du plaisir, même sans jouir où je m’étais donné à fond que les deux heures arrivèrent et qu’ils jouirent quasiment tous les trois ensemble dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul en feu… Je dus avaler tout le sperme dans ma bouche sans en laisser échapper la moindre goutte. Puis les trois esclaves partirent rapidement comme ils étaient venus, sans même me regarder, ni me parler…. Je ressentis quelques douleurs liées à l’immobilité avec certaines courbatures ainsi que mon anus et ma chatte légèrement douloureux ainsi que mes gencives également. Mais j’étais par-dessus tout, heureuse d’avoir tenue pendant ces deux heures de baise forcenée et d’avoir fait je l’espère honneur à l’éducation du Seigneur… Après quelques minutes, le Majordome arriva dans la pièce et me détacha progressivement les jambes l’une après l’autre puis me retira le pilori et je pus retrouver ma mobilité. Il fit tout ceci sans aucun bruit, ni aucun mot, dans un silence total, ô combien pesant… Ensuite Walter repartit avec la table roulante et le pilori, comme il était venu …
Je profitais alors de ce bref moment de répit pour souffler un peu même si je me sentais encore plein d’énergie et je savais que c’était l’effet stimulant du comprimé qui me donnait encore cette pêche d’enfer !... Je savais au fond de moi-même que cette punition n’était pas finie... Après un instant, Walter revint et m'ordonna de me mettre en position du missionnaire pour recevoir ma dose quotidienne de quinze coups sur mon cul nu et mon sexe bien exhibés à son regard. C’est avec une totale docilité que je me suis mis en cette position et je restais ainsi sereine et silencieuse. Je vis alors le Majordome qui avait dans sa main droite un court fouet. Il visa ma chatte et mon clitoris doucement puis très vite les coups devinrent mordants et difficiles à supporter telle une véritable morsure sur ma peau si sensible de la chatte, des lèvres vaginales et du clitoris. J’eus toutes les peines du monde à ne pas hurler, ni crier, face à une telle douleur et je dus me mordre les lèvres pour arriver à supporter ces quinze coups de fouet. Le Majordome repartit puis revint avec une gamelle emplie d’une bouillie, puis me dit d’une voix perverse et très calme :
- Je te conseille de manger, tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos….
(A suivre …)
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