La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1591)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1591)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode précédent N°1590) -
- Je te conseille de manger, tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos…
Le lendemain matin, le jour était à peine levé qu’on vint me chercher et je fus emmenée par Walter dehors. A l’extérieur du Château, garée devant le perron, une fourgonnette blanche stationnait portant une large inscription sur les côtés du véhicule ‘Institut Médical Claire Fournant’ Le Pavillon 69400 Villefranche/Saône’. Les portes arrières étaient grandes ouvertes et le Majordome me fit monter, sans aucun mot… A l’intérieur, il y avait déjà sur un côté, trois soumises nues, assises et attachées aux chevilles à des anneaux vissés à une barre métallique horizontale fixée sur le plancher. Le Majordome m’installa en face d’elles sur le même principe d’attache. Elles avaient les yeux bandés, étaient bâillonnées et menottés aux poignets. Walter m’équipa et m’attacha de la même manière, me privant ainsi de la vue et de la parole ainsi que de toute possibilité de mobilité. Walter nous laissa et revint par deux fois, et je compris par les bruits, qu’il avait à chaque fois amené une autre soumise dans les même conditions. Nous étions donc au total, six soumises embarquées quand les portes se refermaient et que la fourgonnette se mit en route… Ou allions-nous ? Etait-ce à cet institut médical ? Si oui, pourquoi ?… Autant de questions qui me traversaient l’esprit… Je n’avais encore jamais vu les trois soumises déjà en place quand on me fit monter dans le véhicule, et je ne savais pas qui étaient les deux autres puisque j’avais été préalablement bandée des yeux…
Nous roulâmes environ une trentaine de minutes quand je compris par les cahots du véhicule que nous venions d’emprunter un chemin de campagne certainement mal carrossé par des ornières. Cela dura environ cinq minutes avant que la fourgonnette trouve un sol plus acceptable et quelques instants plus tard, elle stoppa. On attendit un petit moment, j’entendais discuter dehors mais je ne pouvais pas comprendre ce qui se disait, les personnes devaient se trouver un peu trop loin du véhicule. Puis des bruits de pas distincts se firent entendre et je reconnus clairement la voix de Walter disant … :
- Par ailleurs, Claire, tu as le bonjour de ta sœur, elle t’embrasse de toute son affection
‘Cette Claire doit être cette Claire Fournant, du nom de l’institut écrit sur la fourgonnette, je suppose ?’…, me disais-je en tête. ‘Et qui est sa sœur ?’…, je m’interrogeais encore quand les portes arrière s’ouvrirent. Walter monta et nous délivra à toutes nos chevilles et tirant sur notre laisse, tout en nous laissant en bipédie, il nous fit descendre une par une en nous alignant devant le véhicule. J’avais toujours les yeux bandés, le bâillon sur la bouche, et menottée les mains dans le dos… Une fois toutes les six descendues, le Majordome nous retira le bandeau des yeux. Et qu’elle fut ma grande surprise quand je vis cette Claire ! En effet, c’était Madame Marie, la cuisinière du Château ! Elle avait l’air toute aussi sévère, des yeux noir et ronds, un regard sadique, un rictus pervers, une cravache en main et des hautes bottes en cuir noir. Elle portait un haut également noir à dentelles sur un large décolleté et une jupe courte et serrée de cuir sur des bas noirs à résilles. Mais que faisait-elle ici ? Heureusement, ma curiosité fut vite épongée quand Walter prit la parole devant nos regards interloqués, le mien et celui des cinq autres soumises, toutes aussi étonnées que moi !
- Je vous présente Madame Claire Farrier, fondatrice, directrice et gynécologue de cet institut médical privé. Je vois chez vous toutes, votre grand étonnement ! Alors je vais vous le dire tout de suite, Madame Claire Farrier est la sœur jumelle de Marie, notre si bonne cuisinière… Et si vous avez trouvé en Marie une certaine et stricte sévérité, je peux vous garantir que sa sœur est du même terreau ! … Bien, maintenant que j’ai assuré votre arrivée ici, je vous laisse entre ses mains, je reviendrai vous chercher en fin d’après-midi pour un retour au Château … Vous allez donc passer une journée entière dans cet institut pour passer certains examens…
Walter ne dit pas un mot de plus, il tourna les talons, embrassa de deux bises, Madame Claire, remonta dans la fourgonnette et repartit au plus vite. Nous étions toujours silencieuses et alignées quand je regardais autour de moi, tout en me posant mille questions : De quels examens s’agissait-il ? Est-ce dans le domaine de la gynécologie ? Si oui, pourquoi ? Qu’allions-nous subir toute cette journée ? Cette Madame Claire était-elle vraiment comme sa sœur, toute aussi sévère, vicieuse, perverse et sadique ?… Je regardais donc tout autour de moi et j’aperçus un magnifique pavillon ressemblant en tout point à un joli manoir de la fin du XIXème siècle. Une grande cour devant, une montée d’escalier et des massifs de fleurs en abondance dans les pelouses du parc cerné par des murs d’enceinte surmontés de barrières ouvragées… Mes pensées furent interrompues quand Madame Claire s’adressa à nous sur un ton sévère :
- Mes petites chattes, aller, suivez-moi en file indienne … Je vous préviens, je ne tolérerai aucun écart de conduite durant toute cette journée à passer ici, dans mon institut… Par ailleurs, Monsieur Walter a omis de vous préciser que je suis une Dominatrice lesbienne, une vraie de vraie, mes poules ! Maintenant avancer derrière moi…
C’est tout de même avec une certaine appréhension que je suivais en quatrième position dans la file, cette troublante Dominatrice ressemblant trait pour trait à Madame Marie… Nous franchissions la large porte d’entrée pour ensuite traverser un large hall d’entrée moderne, à la grande luminosité engendrée par de larges et hautes baies vitrées, et où un grand guichet d’accueil était flanqué en son centre. Une hôtesse était derrière son ordinateur et ne fit pas cas de nous… Puis via une porte dérobée, nous passâmes dans un long couloir aux carreaux blanc et à la lumière blanchâtre des néons. Ce qui me frappa, c’était que les murs de ce couloir était entièrement constitués de vitres et portes vitrées et derrière chacune elles, il y avait une chambre d’hôpital et toutes identiques les unes des autres, à la lumière blanche également et cela de chaque côté du couloir. Toutes ces chambres se succédaient sur toute la longueur du couloir d’environ 50 mètres. Derrière chaque vitre, il y avait une femme nue couchée sur un lit médicalisé, elles semblaient dormir et portaient toutes, un collier au cou... Une pancarte sur chaque porte vitrée comportait un simple numéro suivant la lettre ‘s’. Je me trouvais devant la porte de ‘s26’ quand je m’aperçus que la chambre était vide et que Madame Claire stoppa… Ce qui fut le cas de l’autre côté pour la chambre ‘s25’ et visiblement les quatre autres suivantes, ce qui me fit comprendre que ces six chambre nous étaient réservées…
La Dominatrice lesbienne nous libéra de nos menottes, nous enleva le bâillon tout en nous caressant les seins au passage et nous fit entrer chacune dans une chambre. J’étais donc entrée dans la chambre s26 quand elle referma la porte en me disant.
- Tu t’allonges sur le lit et tu attends qu’on vienne te chercher, petite chatte…- Excusez-moi, Madame, mais qu’allez-vous faire de nous… de moi ?
- Je ne t’ai pas autorisée à t’exprimer, la minette curieuse !, me répondit-elle en me lançant une paire de gifles qui claquaient fort sur mes joues et faillirent me faire tomber tellement elle n’avait pas retenu sa lourde main claquante.
Puis elle tourna les talons et alla enfermer les autres soumises venues avec moi dans la fourgonnette
J’étais allongée nue sur ce lit médical avec juste mon collier et ma laisse depuis environ une demi-heure quand une infirmière entra, tout sourire, à la blouse blanche sans bouton et donc largement ouverte, laissant ainsi sa nudité paraitre ainsi que ses seins aux tétons annelés et son sexe parfaitement lisse.
- Bonjour Maera MDE. Je suis esclave Audrey, infirmière de métier. Tu n’as pas le droit de me parler et donc tu dois garder le silence toute la journée sauf ordre contraire. Tu me suivras une bonne partie de la journée car je vais te faire passer des examens qui vont durer jusqu’à dans l’après-midi. Mais pour l’heure, je vais te faire une prise de sang puisque tu es en principe à jeun… Ensuite tu pourras prendre ton petit-déjeuner, voici ton repas, il est la ! Et puis avec les autres, tu iras à la douche…
esclave Audrey appuya sur un bouton d’une petite télécommande sortie de sa poche et une petite trappe d’un placard à même le sol s’ouvrit laissant apparaitre une grande gamelle nutritive ainsi qu’une gamelle d’eau… Dans la demi-heure qui suivit, j’avais mangé, on m’avait douché avec les cinq autres soumises dans une grande salle de bain aux douches collectives… Puis durant toute la matinée, on me fit passer un scanner, un électrocardiogramme, la tension et toute une batterie d’examens classiques médicaux… Le repas du midi fut pris dans ma chambre sans aucune intimité, puisque tous les murs étaient vitrées, c’est ainsi que je dus me soulager la vessie dans la cuvette du wc placé dans une toute petite pièce, également vitrée elle aussi, dans un angle de la chambre…
L’après-midi, ce fut le moment d’un examen gynécologique approfondi. esclave Audrey m’emmena dans un espèce de bloc opératoire, où trônait au beau milieu de la pièce à la lumière blafarde un impressionnant siège de gynécologie. Elle me fit monter sur ce siège et m’attacha solidement les pieds aux étriers par des sangles m’imposant ainsi à garder les jambes largement écartées… Elle me sangla également les poignets tout aussi solidement…
- Voilà, maintenant Madame Claire va venir t’examiner … C’est une gynécologue très réputée… Tu seras entre de bonnes mains…, me dit Audrey avec un petit sourire coquin tout en quittant la pièce…
Je me posais encore des questions. Pourquoi cet examen ? Dans quel but ? … Madame Claire arriva dans les minutes qui suivirent, elle se planta devant moi immobile et commença à me regarder fixement de son regard pervers, je voyais en elle ce même regard vicieux que sa sœur, la même perversité dans ses yeux globuleux… Je dus baisser mon regard par soumission… Puis, je sentis ses deux mains venir me caresser mes seins, me palper mes tétons, les étirer, les pincer, jouer avec… Et elle prit tout son temps… Elle déboutonna sa robe blanche, car la sienne avait des boutons, et laissait apparaitre une somptueuse poitrine dénudée… Puis toujours une main sur un de mes tétons martyrisés, elle caressa de son autre main mon ventre pour aller jusqu’à mon pubis, puis me branla doucement mon clitoris… Je ne suis pas une lesbienne, loin de là, mais ma soumission revenant au galop, contrainte et immobilisée sur ce siège, je me sentais avant tout soumise et je ne pus malgré moi mouiller, même si c’était une femme qui me branlait, c’était avant tout une Dominatrice… Et moi je n’étais que soumise et ici présente sur la Volonté du Maître et cela ne faisait aucun doute, même si je ne savais pas encore pourquoi. Walter en m’emmenant dans cet institut n’a fait qu’obéir aux ordres de son patron, Monsieur le Marquis d’Evans…
La main de la Dominatrice lesbienne me masturbait avec énergie maintenant et je compris à son regard strict, le temps d’un œil furtif de ma part, que la jouissance m’était interdite, alors je dus faire de véritables efforts à ne pas lâcher un orgasme, quand elle me doigta tout en me branlant mon clito. Sa deuxième main avait quitté ma poitrine pour venir me doigter vicieusement, ses deux puis trois doigts allaient et venait en moi avec rapidité, profondeur et j’en mouillais comme une chienne en chaleur… Sa main sur mon clito se retira pour aller se mettre devant ma bouche à me la faire fermer comme pour m’imposer de ne pas crier ou gémir alors qu’elle continuait à me doigter avec une frénésie incroyable… Au bout d’un moment, Madame Claire stoppa tout et me présenta ses doigts trempés de ma mouille devant ma bouche et me dit laconiquement :
- Lèche, mon chaton…
Ensuite, elle prit son temps pour me faire un incroyable fist vaginal jusqu’à enfoncer son poignet entier dans mon sexe coulant de cyprine, elle m’embrassa à pleine bouche, présenta à un autre moment son sexe humide devant ma bouche et je dus longuement lui donner du plaisir avec ma langue jusqu’à son orgasme en ma cavité buccale. Madame Claire fit basculer, à un autre moment, le siège afin de me prendre avec un gode ceinture… Je dus subir toutes ses perversités lesbiennes… Elle remit le siège dans la position initiale pour me pénétrer tout un tas d’objets dans mes orifices, tel un spéculum vaginal, puis un autre anal, ensuite un plug vibrant dans l’anus, des boules de geisha avec télécommande qu’elle mit en route avec diverses intensités vibrantes tandis que je lui léchais la chatte une nouvelle fois… Bref, je dus subir mille traitements obscènes mais je l’avoue délicieux, même si à aucun moment je fus autorisée à jouir, ce qui fut le plus difficile à tenir… Je restais ainsi à ses pervers plaisirs durant 1 heure quand esclave Audrey fit son entrée et qu’elle me détacha. La Dominatrice lesbienne ordonna à Audrey :
- Ramène cette salope dans sa chambre et amène-moi la suivante, il faut que je les essaie toutes les six avant que Walter revienne les chercher en cette fin d’après-midi… (puis elle regarde une grande pendule accrochée au mur) Ça va, on est dans les temps, il n’en reste plus que deux à essayer… De plus, que d’ici deux heures, j’aurai tous les résultats médicaux de ces six chiennes MDE et que je pourrais ainsi donner mon verdict à Monsieur le Marquis …
Je fus ramenée dans ma chambre-cellule et dus patienter… Je me couchais donc pour tuer le temps m’interrogeant toujours, me demandant bien de quel verdict Madame Claire devait donner au Maître ? J’ai dû finir par m’endormir un long moment car c’est la porte vitrée qui s’ouvrit qui me réveilla par l’entrée de Madame Claire. Elle me remit le bâillon que j’avais le matin à mon arrivée ainsi que les menottes, et me fit sortir dans le couloir. elle fit de même avec mes cinq compagnonnes de fortune et nous quittions le couloir exactement comme on en était entrées, en silence et en file indienne. Une fois dehors, la fourgonnette était là et le Majordome attendait debout contre le capot du véhicule…
- Alors ?, demanda-t-il à Madame Claire- Elles sont toutes en bonne santé et parfaitement fécondable, j’avoue avoir hésité un moment entre la s26 et la s28 ! Mais même si la s26 ferait une bonne mère porteuse, ce n’est pas elle qui a été choisie, j’ai préféré retenir la s28 d’un meilleure bassin… Tu diras donc à Monsieur le Marquis que c’est la s28 qui a été sélectionnée ! Tient je te donne sa fiche avec son nom de chienne MDE ! …
J’en tombais des nus ! Cette perverse gynécologue avait donc été missionnée par le Noble pour sélectionner parmi nous six, six soumises MDE plus exactement, la femelle la plus fécondable !, mais pourquoi ? Je n’en savais rien ! Je ne savais même pas qui était la s28 qui a été choisie à ma place ! J’avais été le temps d’un jour cette s26 qui a fait hésiter la Dominatrice lesbienne… C’est donc plein d’interrogations, de questionnements que je rentrais avec les cinq autres soumises jusqu’au Château… Plus tard, le soir arrivait sur le Château quand je regagnais ma cellule après avoir reçu les quotidiens coups de fouet sur mon cul, manger dans ma gamelle et en me souvenant les deniers mots de Walter, mots tous identiques à ceux de la veille :
- Je te conseille de manger, tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos……
(A suivre …)
- Je te conseille de manger, tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos…
Le lendemain matin, le jour était à peine levé qu’on vint me chercher et je fus emmenée par Walter dehors. A l’extérieur du Château, garée devant le perron, une fourgonnette blanche stationnait portant une large inscription sur les côtés du véhicule ‘Institut Médical Claire Fournant’ Le Pavillon 69400 Villefranche/Saône’. Les portes arrières étaient grandes ouvertes et le Majordome me fit monter, sans aucun mot… A l’intérieur, il y avait déjà sur un côté, trois soumises nues, assises et attachées aux chevilles à des anneaux vissés à une barre métallique horizontale fixée sur le plancher. Le Majordome m’installa en face d’elles sur le même principe d’attache. Elles avaient les yeux bandés, étaient bâillonnées et menottés aux poignets. Walter m’équipa et m’attacha de la même manière, me privant ainsi de la vue et de la parole ainsi que de toute possibilité de mobilité. Walter nous laissa et revint par deux fois, et je compris par les bruits, qu’il avait à chaque fois amené une autre soumise dans les même conditions. Nous étions donc au total, six soumises embarquées quand les portes se refermaient et que la fourgonnette se mit en route… Ou allions-nous ? Etait-ce à cet institut médical ? Si oui, pourquoi ?… Autant de questions qui me traversaient l’esprit… Je n’avais encore jamais vu les trois soumises déjà en place quand on me fit monter dans le véhicule, et je ne savais pas qui étaient les deux autres puisque j’avais été préalablement bandée des yeux…
Nous roulâmes environ une trentaine de minutes quand je compris par les cahots du véhicule que nous venions d’emprunter un chemin de campagne certainement mal carrossé par des ornières. Cela dura environ cinq minutes avant que la fourgonnette trouve un sol plus acceptable et quelques instants plus tard, elle stoppa. On attendit un petit moment, j’entendais discuter dehors mais je ne pouvais pas comprendre ce qui se disait, les personnes devaient se trouver un peu trop loin du véhicule. Puis des bruits de pas distincts se firent entendre et je reconnus clairement la voix de Walter disant … :
- Par ailleurs, Claire, tu as le bonjour de ta sœur, elle t’embrasse de toute son affection
‘Cette Claire doit être cette Claire Fournant, du nom de l’institut écrit sur la fourgonnette, je suppose ?’…, me disais-je en tête. ‘Et qui est sa sœur ?’…, je m’interrogeais encore quand les portes arrière s’ouvrirent. Walter monta et nous délivra à toutes nos chevilles et tirant sur notre laisse, tout en nous laissant en bipédie, il nous fit descendre une par une en nous alignant devant le véhicule. J’avais toujours les yeux bandés, le bâillon sur la bouche, et menottée les mains dans le dos… Une fois toutes les six descendues, le Majordome nous retira le bandeau des yeux. Et qu’elle fut ma grande surprise quand je vis cette Claire ! En effet, c’était Madame Marie, la cuisinière du Château ! Elle avait l’air toute aussi sévère, des yeux noir et ronds, un regard sadique, un rictus pervers, une cravache en main et des hautes bottes en cuir noir. Elle portait un haut également noir à dentelles sur un large décolleté et une jupe courte et serrée de cuir sur des bas noirs à résilles. Mais que faisait-elle ici ? Heureusement, ma curiosité fut vite épongée quand Walter prit la parole devant nos regards interloqués, le mien et celui des cinq autres soumises, toutes aussi étonnées que moi !
- Je vous présente Madame Claire Farrier, fondatrice, directrice et gynécologue de cet institut médical privé. Je vois chez vous toutes, votre grand étonnement ! Alors je vais vous le dire tout de suite, Madame Claire Farrier est la sœur jumelle de Marie, notre si bonne cuisinière… Et si vous avez trouvé en Marie une certaine et stricte sévérité, je peux vous garantir que sa sœur est du même terreau ! … Bien, maintenant que j’ai assuré votre arrivée ici, je vous laisse entre ses mains, je reviendrai vous chercher en fin d’après-midi pour un retour au Château … Vous allez donc passer une journée entière dans cet institut pour passer certains examens…
Walter ne dit pas un mot de plus, il tourna les talons, embrassa de deux bises, Madame Claire, remonta dans la fourgonnette et repartit au plus vite. Nous étions toujours silencieuses et alignées quand je regardais autour de moi, tout en me posant mille questions : De quels examens s’agissait-il ? Est-ce dans le domaine de la gynécologie ? Si oui, pourquoi ? Qu’allions-nous subir toute cette journée ? Cette Madame Claire était-elle vraiment comme sa sœur, toute aussi sévère, vicieuse, perverse et sadique ?… Je regardais donc tout autour de moi et j’aperçus un magnifique pavillon ressemblant en tout point à un joli manoir de la fin du XIXème siècle. Une grande cour devant, une montée d’escalier et des massifs de fleurs en abondance dans les pelouses du parc cerné par des murs d’enceinte surmontés de barrières ouvragées… Mes pensées furent interrompues quand Madame Claire s’adressa à nous sur un ton sévère :
- Mes petites chattes, aller, suivez-moi en file indienne … Je vous préviens, je ne tolérerai aucun écart de conduite durant toute cette journée à passer ici, dans mon institut… Par ailleurs, Monsieur Walter a omis de vous préciser que je suis une Dominatrice lesbienne, une vraie de vraie, mes poules ! Maintenant avancer derrière moi…
C’est tout de même avec une certaine appréhension que je suivais en quatrième position dans la file, cette troublante Dominatrice ressemblant trait pour trait à Madame Marie… Nous franchissions la large porte d’entrée pour ensuite traverser un large hall d’entrée moderne, à la grande luminosité engendrée par de larges et hautes baies vitrées, et où un grand guichet d’accueil était flanqué en son centre. Une hôtesse était derrière son ordinateur et ne fit pas cas de nous… Puis via une porte dérobée, nous passâmes dans un long couloir aux carreaux blanc et à la lumière blanchâtre des néons. Ce qui me frappa, c’était que les murs de ce couloir était entièrement constitués de vitres et portes vitrées et derrière chacune elles, il y avait une chambre d’hôpital et toutes identiques les unes des autres, à la lumière blanche également et cela de chaque côté du couloir. Toutes ces chambres se succédaient sur toute la longueur du couloir d’environ 50 mètres. Derrière chaque vitre, il y avait une femme nue couchée sur un lit médicalisé, elles semblaient dormir et portaient toutes, un collier au cou... Une pancarte sur chaque porte vitrée comportait un simple numéro suivant la lettre ‘s’. Je me trouvais devant la porte de ‘s26’ quand je m’aperçus que la chambre était vide et que Madame Claire stoppa… Ce qui fut le cas de l’autre côté pour la chambre ‘s25’ et visiblement les quatre autres suivantes, ce qui me fit comprendre que ces six chambre nous étaient réservées…
La Dominatrice lesbienne nous libéra de nos menottes, nous enleva le bâillon tout en nous caressant les seins au passage et nous fit entrer chacune dans une chambre. J’étais donc entrée dans la chambre s26 quand elle referma la porte en me disant.
- Tu t’allonges sur le lit et tu attends qu’on vienne te chercher, petite chatte…- Excusez-moi, Madame, mais qu’allez-vous faire de nous… de moi ?
- Je ne t’ai pas autorisée à t’exprimer, la minette curieuse !, me répondit-elle en me lançant une paire de gifles qui claquaient fort sur mes joues et faillirent me faire tomber tellement elle n’avait pas retenu sa lourde main claquante.
Puis elle tourna les talons et alla enfermer les autres soumises venues avec moi dans la fourgonnette
J’étais allongée nue sur ce lit médical avec juste mon collier et ma laisse depuis environ une demi-heure quand une infirmière entra, tout sourire, à la blouse blanche sans bouton et donc largement ouverte, laissant ainsi sa nudité paraitre ainsi que ses seins aux tétons annelés et son sexe parfaitement lisse.
- Bonjour Maera MDE. Je suis esclave Audrey, infirmière de métier. Tu n’as pas le droit de me parler et donc tu dois garder le silence toute la journée sauf ordre contraire. Tu me suivras une bonne partie de la journée car je vais te faire passer des examens qui vont durer jusqu’à dans l’après-midi. Mais pour l’heure, je vais te faire une prise de sang puisque tu es en principe à jeun… Ensuite tu pourras prendre ton petit-déjeuner, voici ton repas, il est la ! Et puis avec les autres, tu iras à la douche…
esclave Audrey appuya sur un bouton d’une petite télécommande sortie de sa poche et une petite trappe d’un placard à même le sol s’ouvrit laissant apparaitre une grande gamelle nutritive ainsi qu’une gamelle d’eau… Dans la demi-heure qui suivit, j’avais mangé, on m’avait douché avec les cinq autres soumises dans une grande salle de bain aux douches collectives… Puis durant toute la matinée, on me fit passer un scanner, un électrocardiogramme, la tension et toute une batterie d’examens classiques médicaux… Le repas du midi fut pris dans ma chambre sans aucune intimité, puisque tous les murs étaient vitrées, c’est ainsi que je dus me soulager la vessie dans la cuvette du wc placé dans une toute petite pièce, également vitrée elle aussi, dans un angle de la chambre…
L’après-midi, ce fut le moment d’un examen gynécologique approfondi. esclave Audrey m’emmena dans un espèce de bloc opératoire, où trônait au beau milieu de la pièce à la lumière blafarde un impressionnant siège de gynécologie. Elle me fit monter sur ce siège et m’attacha solidement les pieds aux étriers par des sangles m’imposant ainsi à garder les jambes largement écartées… Elle me sangla également les poignets tout aussi solidement…
- Voilà, maintenant Madame Claire va venir t’examiner … C’est une gynécologue très réputée… Tu seras entre de bonnes mains…, me dit Audrey avec un petit sourire coquin tout en quittant la pièce…
Je me posais encore des questions. Pourquoi cet examen ? Dans quel but ? … Madame Claire arriva dans les minutes qui suivirent, elle se planta devant moi immobile et commença à me regarder fixement de son regard pervers, je voyais en elle ce même regard vicieux que sa sœur, la même perversité dans ses yeux globuleux… Je dus baisser mon regard par soumission… Puis, je sentis ses deux mains venir me caresser mes seins, me palper mes tétons, les étirer, les pincer, jouer avec… Et elle prit tout son temps… Elle déboutonna sa robe blanche, car la sienne avait des boutons, et laissait apparaitre une somptueuse poitrine dénudée… Puis toujours une main sur un de mes tétons martyrisés, elle caressa de son autre main mon ventre pour aller jusqu’à mon pubis, puis me branla doucement mon clitoris… Je ne suis pas une lesbienne, loin de là, mais ma soumission revenant au galop, contrainte et immobilisée sur ce siège, je me sentais avant tout soumise et je ne pus malgré moi mouiller, même si c’était une femme qui me branlait, c’était avant tout une Dominatrice… Et moi je n’étais que soumise et ici présente sur la Volonté du Maître et cela ne faisait aucun doute, même si je ne savais pas encore pourquoi. Walter en m’emmenant dans cet institut n’a fait qu’obéir aux ordres de son patron, Monsieur le Marquis d’Evans…
La main de la Dominatrice lesbienne me masturbait avec énergie maintenant et je compris à son regard strict, le temps d’un œil furtif de ma part, que la jouissance m’était interdite, alors je dus faire de véritables efforts à ne pas lâcher un orgasme, quand elle me doigta tout en me branlant mon clito. Sa deuxième main avait quitté ma poitrine pour venir me doigter vicieusement, ses deux puis trois doigts allaient et venait en moi avec rapidité, profondeur et j’en mouillais comme une chienne en chaleur… Sa main sur mon clito se retira pour aller se mettre devant ma bouche à me la faire fermer comme pour m’imposer de ne pas crier ou gémir alors qu’elle continuait à me doigter avec une frénésie incroyable… Au bout d’un moment, Madame Claire stoppa tout et me présenta ses doigts trempés de ma mouille devant ma bouche et me dit laconiquement :
- Lèche, mon chaton…
Ensuite, elle prit son temps pour me faire un incroyable fist vaginal jusqu’à enfoncer son poignet entier dans mon sexe coulant de cyprine, elle m’embrassa à pleine bouche, présenta à un autre moment son sexe humide devant ma bouche et je dus longuement lui donner du plaisir avec ma langue jusqu’à son orgasme en ma cavité buccale. Madame Claire fit basculer, à un autre moment, le siège afin de me prendre avec un gode ceinture… Je dus subir toutes ses perversités lesbiennes… Elle remit le siège dans la position initiale pour me pénétrer tout un tas d’objets dans mes orifices, tel un spéculum vaginal, puis un autre anal, ensuite un plug vibrant dans l’anus, des boules de geisha avec télécommande qu’elle mit en route avec diverses intensités vibrantes tandis que je lui léchais la chatte une nouvelle fois… Bref, je dus subir mille traitements obscènes mais je l’avoue délicieux, même si à aucun moment je fus autorisée à jouir, ce qui fut le plus difficile à tenir… Je restais ainsi à ses pervers plaisirs durant 1 heure quand esclave Audrey fit son entrée et qu’elle me détacha. La Dominatrice lesbienne ordonna à Audrey :
- Ramène cette salope dans sa chambre et amène-moi la suivante, il faut que je les essaie toutes les six avant que Walter revienne les chercher en cette fin d’après-midi… (puis elle regarde une grande pendule accrochée au mur) Ça va, on est dans les temps, il n’en reste plus que deux à essayer… De plus, que d’ici deux heures, j’aurai tous les résultats médicaux de ces six chiennes MDE et que je pourrais ainsi donner mon verdict à Monsieur le Marquis …
Je fus ramenée dans ma chambre-cellule et dus patienter… Je me couchais donc pour tuer le temps m’interrogeant toujours, me demandant bien de quel verdict Madame Claire devait donner au Maître ? J’ai dû finir par m’endormir un long moment car c’est la porte vitrée qui s’ouvrit qui me réveilla par l’entrée de Madame Claire. Elle me remit le bâillon que j’avais le matin à mon arrivée ainsi que les menottes, et me fit sortir dans le couloir. elle fit de même avec mes cinq compagnonnes de fortune et nous quittions le couloir exactement comme on en était entrées, en silence et en file indienne. Une fois dehors, la fourgonnette était là et le Majordome attendait debout contre le capot du véhicule…
- Alors ?, demanda-t-il à Madame Claire- Elles sont toutes en bonne santé et parfaitement fécondable, j’avoue avoir hésité un moment entre la s26 et la s28 ! Mais même si la s26 ferait une bonne mère porteuse, ce n’est pas elle qui a été choisie, j’ai préféré retenir la s28 d’un meilleure bassin… Tu diras donc à Monsieur le Marquis que c’est la s28 qui a été sélectionnée ! Tient je te donne sa fiche avec son nom de chienne MDE ! …
J’en tombais des nus ! Cette perverse gynécologue avait donc été missionnée par le Noble pour sélectionner parmi nous six, six soumises MDE plus exactement, la femelle la plus fécondable !, mais pourquoi ? Je n’en savais rien ! Je ne savais même pas qui était la s28 qui a été choisie à ma place ! J’avais été le temps d’un jour cette s26 qui a fait hésiter la Dominatrice lesbienne… C’est donc plein d’interrogations, de questionnements que je rentrais avec les cinq autres soumises jusqu’au Château… Plus tard, le soir arrivait sur le Château quand je regagnais ma cellule après avoir reçu les quotidiens coups de fouet sur mon cul, manger dans ma gamelle et en me souvenant les deniers mots de Walter, mots tous identiques à ceux de la veille :
- Je te conseille de manger, tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos……
(A suivre …)
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