La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1593)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1593) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1593)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode précédent N°1592) -
C’était la porte numéro 2… Je mis le deuxième jeton, la porte coulissa et je trouvais de nouveau un petit vestibule. Un portier-guide s’y trouvait et je dus également le sucer et je faire jouir afin d’accéder à cette deuxième chambre dans les mêmes conditions que la première… Cette pièce était également assez vaste et très haute. Ce que j’y trouvais, était tout simplement incroyable ! Devant moi il y avait un immense carrousel ! Ce manège pour enfant était de la même grandeur que ceux que l’on trouve dans les fêtes foraines. La différence était que les chevaux de bois étaient remplacés par des soumis-esclave de bois. Tous étaient en position d’un cheval au galop, cul bien relevé ! Ces mannequins étaient peints dans leur nudité portant chacun d’eux un collier rigide fixé à leur cou et qui servait au-dessus de leur cou à se tenir telle une bride… Une particularité retint tout de suite mon attention ! Au-dessus de chaque esclave de bois, placé sur leur dos, à l’endroit où on pouvait s’assoir était placé un sexe factice fixé à la verticale. Le portier-guide me dit dans un ton monocorde :
- Tu dois faire un tour de manège, tu peux choisir ta monture mais tu dois la chevaucher étant empalée du sexe sur le gode vertical au niveau de l’assise. Il te sera strictement interdit de jouir durant le tour de manège qui va durer 15 minutes, c’est ta première épreuve…
Le guide me fit signe de monter sur le carrousel. Je m’exécutais alors et je choisis de chevaucher un mannequin au gros plug en queue de cheval magnifique… Mais je n’étais pas seule ! Il y avait déjà une dizaine d’esclaves et soumis empalés et qui attendaient en silence le départ du vicieux manège… Ils étaient tous bâillonnés… Je mis un peu de temps à empaler ma chatte sur ce volumineux gode qui me pénétra jusqu’à la garde…Puis une musique d’orgue de barbarie se fit entendre et le carrousel se mit en branle pour tourner doucement d’abord… Les soumis-esclave- mannequin de bois montaient et descendaient sur leur axe au rythme de la musique. Mais le plus vicieux de la situation se passa quand je sentis le gode mécanique faire le même mouvement, il montait et descendait dans mon sexe, me pilonnant mécaniquement… Le manège s’accéléra ainsi que les va-et-vient du gode me baisant ainsi si profondément… Je dus rapidement faire des efforts surhumains pour ne pas jouir, me maintenant fermement par les mains serrant cette bride faisant office de collier du mannequin… Les quinze minutes furent d’une folie incroyable, le paysage autour de moi semblait devenir flou, je délirai dans une excitation exceptionnelle, jamais je ne tiendrais ainsi 15 minutes me pensais-je ! C’était trop bon ! En effet, au bout de 5 minutes à peine, je hurlais ma jouissance, un orgasme si puissant que la musique ne suffisait pas à étouffer mes cris orgasmiques… Je savais que je serais punie pour cet orgasme explosif, mais c’était trop puissant comme pénétration pour véritablement tenir. Et au bout de 15 minutes, quand le manège s’arrêta, le guide sans aucun mot me fit signe de descendre du carrousel et la lumière se tamisa pour laisser une porte tout fond s’éclairer, c’était la porte numéro 3…
A l’instar des deux pièces précédentes, je dus sucer et faire gicler un autre portier-guide pour pouvoir entrer dans cette troisième pièce… Je retrouvais Walter qui m’y attendait… Cette pièce sobre et tamisée par des spots en plafonnier ne comportait aucun meuble mais était juste équipée de nombreux trous dans les murs placés à diverses hauteurs. Un écran plat était fixé au-dessus des trous muraux pour indiquer des consignes ou informations. Le Majordome ne me laissa pas de temps pour découvrir les lieux, car il me dit d’un ton autoritaire :
- Je vais t’expliquer ce que l’on attend de toi, ici dans cette troisième pièce. Tu vas enfiler cette cagoule sur ta tête de chienne. Chaque trou mural est prévu pour une pénétration différente, un trou pour ta chatte de salope, un pour ton cul de putain et un pour ta bouche de chienne... Mais pour que tu saches dans quel trou, tu dois y positionner lequel de tes orifices, cela sera affiché sur l’écran une à deux minutes avant que le Dominant arrive de l’autre côté du mur pour profiter du trou mural qu’il voudra et dont il viendra ainsi prendre possession d’un de tes orifices qu’il aura sélectionné préalablement sur le clavier mis à sa disposition de l’autre côté…. A un moment déterminé, tu devras donc sucer et faire jouir un certain nombre de personnes dans un temps défini. Idem, si on te prend par le cul ou le sexe, tu devras attendre que la personne jouisse dans le temps réparti. Si elle ne jouit pas dans les temps, tu auras échoué tu seras punie. Tu as déjà une punition de prévue pour avoir joui sur le carrousel, alors n’aggrave pas ton cas…. Et tu vas commencer par te remettre en quadrupédie, me dit-il en m’installant la cagoule sur la tête puis quittant la pièce sans dire un mot de plus.

Je me tenais donc immobile à quatre pattes avec la cagoule sur la tête quand j’entendis le bruit d’un bip sur l’écran et un texte en rouge s'affichant qui m'indiquait lequel des trous sur le mur ainsi et m’informant que ce sera ma bouche qui sera utilisée en premier orifice. Je me dirigeais vers le trou en question et y fit entrer mon visage cagoulé dans ce trou juste assez large pour laisser passer ma tête et j’attendis ainsi. Un colosse arriva et présenta sans aucun préambule sa grosse bite qui bandait déjà et me l’enfila dans ma cavité buccale. Je me mis instantanément à le sucer avec avidité. Au bout de cinq minutes d’une bonne fellation des plus appliquées, il éjacula d’épais jets de sperme chaud tout en grognant des râles de plaisirs et j’avalais avec plaisir son foutre. C’est ainsi que le temps s’enchaina et que je découvris les nouveaux trous au mur où je dus présenter respectivement ma chatte et mon cul dans des trous incurvés épousant par exemple la forme de mes fesses pour y positionner le mieux possible mon cul…
Je me suis ainsi fait baiser par de nombreux mâles en rut, au gros et épais phallus, et qui n’avaient qu’une seule envie de se soulager en moi, à se vider les couilles. Ils le firent avec beaucoup de plaisir puisque je pus entendre leurs cris de jouissance tellement virils et gutturaux. On me prit ainsi par tous mes orifices à tour de rôle et de nombreuses fois je dus me retenir de ne pas fauter, de ne pas jouir, tant mon excitation montait crescendo… Puis il y eut tout à coup une pause sur l’écran, qui me surprit… Et je repensai tout d’un coup au défi dont m’avait parlé Monsieur Walter et mon intuition fut la bonne, car après quelques minutes, je vis l’écran clignoter de nouveau et qui inscrivait :
‘‘Tu as trente minutes pour faire jouir 5 cinq mâles et pas une minute de plus, la chienne. Si tu échoues, tu seras punie, ils ont bien sûr pour ordre de se retenir le plus longtemps possible, alors tu as intérêt d’être efficace, salope.’’
J’eus juste le temps de lire pour comprendre à quel point ce défi allait être compliqué à réaliser que déjà les cinq mâles virils arrivaient de derrière la cloison coulissante qui s’ouvrit devant moi . Ils étaient entièrement nus, tous en érection et se branlaient allègrement, tout en s'approchant de moi, avec un regard de rapace fondant sur sa proie et un appétit gourmand. Sans attendre, je suçais avec avidité et rapidité chaque bite et j'avalais le foutre pour les deux premières sans difficulté après avoir réussi à les faire gerber leur semence. Pour la troisième queue, cela prit plus de temps mais j’y arrivais tout de même alors que cette verge éjacula sur mes cheveux… Quant au quatrième homme, après de multiples efforts, il me fut plus difficile de le faire gicler car il trouvait un malin plaisir à souvent retirer sa grosse bite de ma bouche pour aller me la tapoter sur les joues avant de la réintroduire profondément dans ma gorge. Et à chaque fois qu’il sentait son éjaculation venir, il recommençait, il sortait et me tapotait le visage de sa verge gonflée et si dure comme du bois… Mais il finit tout de même par jouir son foutre abondant sur mon visage éjaculant d’épaisses saccades sur mon front, mes yeux, mon nez… Ensuite, je voulais passer à la cinquième bite mais une sonnerie tinta annonçant que le temps était déjà écoulé malheureusement. Les mâles partirent aussi vite qu’ils étaient venus et la cloison se referma derrière eux… J’attendis aussi dignement que je le pouvais mes deux punitions comme une bonne chienne qui venait de fauter et de décevoir le Maître. Puis je vis de nouvelles consignes qui apparaissaient et c’est avec une pointe d’appréhension que je les découvris inscrites sur l’écran :
‘‘Dirige-toi à quatre pattes, à la porte touchant la cloison, sur ta droite, et va vers les cellules et pénètre dans la cellule numéro trois. Puis tu mets un bandeau sur tes yeux et tu attends ainsi en position.’’
Je me dirigeais donc et entrais dans la cellule numéro trois qui ressemblait plutôt à une cellule de torture. Je trouvais le bandeau et je me le mis sur les yeux. Je patientais ainsi pendant une trentaine de minutes dans l’immobilité la plus totale à genoux et dans l’obscurité du bandeau… Quand j’entendis les bruits de pas du Majordome, il entra dans la pièce et la referma la porte tout de suite. L’atmosphère devenait lourde et pesante… Alors il vient me susurrer à l’oreille :
- chienne Maera MDE, chose promise, chose due, tu as perdu le défi, tu vas donc être punie, tu as deux punitions à subir. Voici la première que tu vas recevoir et pourquoi celle-ci se réalisera dans cette pièce si particulière. Tu vas donc être…
(A suivre …)

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