La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1595)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1595) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1595)
Alexsoumis au Château, devenu esclav’alex (histoire par MDE) – (chapitre hors-série) –
- Une croix bien spéciale -
Ce matin-là, Monsieur le Marquis me fit découvrir un énième lieu insoupçonné du Château que je ne connaissais donc pas encore. En effet, Il m’emmena dans un des vastes greniers du Château. Je me retrouvais donc en Sa présence et à Ses pieds sous les spacieuses et hautes combles, celles situées sous la toiture de l’aile sud de la Demeure ancestrale. On aurait cru être sous la toiture d’une cathédrale ! Nous pouvions évoluer aisément debout sans souci sous d’impressionnantes charpentes de chêne où s’entremêlaient mille poutres et poutrelles multi-centenaires aux montages complexes assurant une solide structure à la couverture de la noble Bâtisse. C’est sous cet enchevêtrement d’assemblages de poutres savamment disposées que se trouvaient, sur chaque côté et remisés au cordeau, des vieux coffres en bois ouvragés, d’anciennes malles d’un autre temps et où devait dormir à l’intérieur une multitude d’objets anciens, très certainement chargés d’histoire, à faire pâlir tous antiquaires… Nous y passions donc devant pour se diriger ensuite vers le fond qui tournait à angle droit à 90 degrés, nous devions donc être dans un angle mural du Château. Au détour de ce tournant perpendiculaire, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au beau milieu de la haute comble, une magnifique croix Saint-André qui ne dépareillait en rien au décorum puisque elle était constituée dans le même bois de chêne que la massive charpente. Cette croix avait tout de même une particularité originale, puisque elle ne s’appuyait contre aucun mur, ne touchait pas une des grosses poutres maitresses juste au-dessus d’elle. Elle était simplement maintenue debout par de solides et grosses charnières cadenassées au niveau du sol. Cela me fit de suite comprendre que cette croix pouvait pivoter à l’horizontal pour se retrouver couchée au niveau du plancher … Le plancher, justement ! Il était recouvert d’une fine toile tendue et propre assurant un large périmètre sous et autour de la croix …
Cette toile était, sur quelques endroits, découpée par des petits carrés de 10 cm sur 10 cm. Le Maître exigea que je me mette sur la croix St-André, le dos contre le bois, ainsi que mes bras et jambes écartés afin que mon corps épouse la forme parfaite en X. Ensuite, et sans un mot prononcé, Il m’attacha à la croix par de solides anneaux métalliques venant fermer mes chevilles et poignets et me solidarisa à cette croix par des sangles au niveau de la ceinture, du torse et des genoux. Puis le Noble décida de me retirer ma cage de chasteté. Bien excité par la situation, j’avoue que ma nouille s’érigea instantanément, exhibant une belle érection, sentant mon gland se gorger de sang, ma hampe aux veines saillante se durcir… Enfin, il me fixa au visage un écarteur buccal afin que je ne puisse pas fermer la bouche. C’est ainsi, avec mes sens bien émoustillés, que j’entendis un bruit de clé sous mes pieds. Je compris alors que le Châtelain décadenassait les charnières. Il poussa sans trop appuyer sur la croix qui se mit légèrement à vaciller sur le devant. Ensuite, il me posa deux électrodes équipées de petites pinces qu’il fixa sur chacun de mes tétons, me provoquant ainsi une vive douleur …
- Mon esclave, je vais faire pivoter en basculant doucement cette croix grâce au discret levier placé derrière elle. Tu vas donc te retrouver en position horizontale, le corps à juste quelques centimètres à peine du plancher. Et au niveau des petits carrés découpés dans la toile, se trouvent juste en dessous, l’emplacement de ta bouche et de ta nouille, deux petites trappes qui s’ouvriront automatiquement par un mécanisme d’ouverture dès que tu seras à l’horizontal, le nez à effleurer le plancher… Pour le reste, tu comprendras tout seul, ce qu’il y aura lieu de faire… Et si tu as le malheur de jouir, je te punirais d’emblée car au moment même où tu éjaculerais, dans ce cas, tu recevrais une bonne décharge électrique sur tes petits tétons de putain, via ses deux électrodes et douleur qui se diffuserait dans tout ton corps de pute. Alors ne Me force pas à te punir, ne Me force pas à te faire souffrir, le chien…
Je compris très vite toute la perversité de la situation et ce que j’avais à faire quand mon nez effleura cette petite trappe qui venait de s’ouvrir sous mes yeux ébahis. Je me trouvais harnaché, saucissonné à cette croix, les tétons pincés et branchés à des électrodes, les bras et jambes écartelés, la bouche largement écartée, quand je venais de voir un énorme sexe d’homme dépasser de la trappe. Cette verge était tendue, verticale, et frétillait déjà juste au-dessous de ma bouche à l’ouverture béante. Je n’avais aucune idée comment cette verge avait fait pour se trouver là, mais je compris que je devais la prendre en bouche. Au même moment, alors que le gland de ma nouille raide comme un bâton effleurait le plancher, la deuxième trappe s’était ouverte, et je sentis une main en sortir et venir attraper ma nouille, pour la tirer vers le bas dans le trou de la petite trappe. Puis je sentis des lèvres et une bouche venir prendre mon gland et me téter, pour ensuite me lécher sur toute ma hampe, m’aspirer le gland … Alors qu’à mon tour je lapais, aspirais aussi, suçais cette verge saillante, sortant de la trappe, au gros gland violacé, je compris que j’étais en train de vivre un invraisemblable et improbable ‘69’… Mais comment ce gros Vit en érection pouvait être là ?, me disait-je …
Je n’avais pas le temps de réfléchir à trouver un élément de réponse que la verge que je suçais avidement se mit à lâcher sa semence comme si elle n’avait pas giclé depuis fort longtemps. Ce foutre chaud jaillissait alors que la grosse bite allait et venait dans mon trou buccal écarté. Et instinctivement, telle une bonne petite chienne, je léchais comme je le pouvais le foutre dégoulinant sur ce gland et cette hampe encore dure… Du côté de ma nouille, l’excitation était montée encore crescendo, celui qui avait attrapé ma nouille était visiblement un parfait suceur. Je faisais des efforts hors du commun pour ne pas éjaculer. J’y arrivais tant bien que mal, mais il me semblait que j’allais tenir bon ! Malgré un état d’excitation fort élevé en moi-même. Ce n’était sans compter sur la surprise qui m’attendait ! En effet, mes fesses solidement harnachées par les sangles, étaient plaquées contre, et au centre, de l’entrecroisement des deux poutrelles composant la croix Saint-André. Je sentais alors à cet emplacement un engin mécanique et cylindrique sortir du milieu de cet entrecroisement. Je compris tout de suite qu’il devait y avoir une ouverture dissimulée dans le bois entrecroisé et qui s’était ouverte pour laisser avancer un gode mécanique. Ce dernier devait avoir été préalablement graissé quand ce sexe factice avançait en mon fondement. En effet, il devait être huilé, car il glissait inéluctablement et sans peine, tout s’immisçant entre mes fesses s’écartant au passage, ouvrant mon anus, prenant possession de mon cul de salope… Il avait dû être préalablement réglé au millimètre car il s’arrêta d’avancer quand le gland en plastique fut bien planté dans mon fondement de bâtard…
Mais au lieu de faire d’éventuels va-et-vient qui m’aurait fourré, labourer l’anus, l’engin se mit juste à tourner dans une lente et régulière rotation… Et là, je ne tenais plus, tandis qu’on me suçait avec frénésie, je sentais une extraordinaire jouissance se profiler et je ne puis me retenir mieux, c’était trop exceptionnel comme situation, je me mis à éjaculer, hurlant mon plaisir jouissif, lâchant mon foutre de chien, vidant mes couilles pleines. Mais sans attendre, au moment de cet explosif orgasme, je sentis une violente douleur au niveau de mes petits tétons de chien… La décharge électrique fut vive et ultra-rapide, elle irradia tout mon corps servile… J’avais tout juste eu le temps de ressentir pleinement et avec une force inouïe, cet incroyable mélange de la jouissance et de la douleur simultanément… C’était tellement puissant comme ressenti, que je trouvais un infini plaisir à ce traitement, alors que normalement on est censé ne pas prendre du plaisir à une punition. Mais si cette décharge électrique était l’expression de la sanction, elle a été volontairement enclenchée dans un pur moment d’extrême jouissance alors que j’étais sucé, sodomisé, attaché…
Sous le choc d’une telle et extrême jouissance si violente, fulgurante, voire atomique, avec en plus la décharge électrique qui me secouait, je me mis à hurler de douleur mais aussi de plaisir orgasmique … puis tout se mit à tourner autour de moi. Et de fait, j’ai dû m’évanouir quelques instants car quand je me suis réveillé, j’étais toujours sur cette démoniaque croix Saint-André, mais on m’avait remis en position verticale. J’étais toujours harnaché, j’avais toujours l’écarteur de bouche, le gode dans le cul mais le sexe factice était devenu immobile… Ma nouille était redevenue toute molle et venait d’être réengagée… Monsieur le Marquis me regardait sévèrement :
- Tu as joui, espèce de chien de rue… Tu as été puni par ce qui a été promis, une bonne décharge électrique adaptée pour que tu la ressentes mais dosée pour qu’elle ne soit pas mortelle, bien évidemment. Et j’ai comme l’impression que tu y as eu du plaisir, je considère que la punition en n’a pas été une et je devrais donc te trouver une autre sanction. Et dois-je considérer aussi que tu es, peut-être, un masochiste ? Ça, je le saurai avec le temps si tel est le cas ou pas… Après tout, tu en es peut-être un qui s’ignore ?... Bien, tu dois te demander comment cela a été possible qu’on puisse te sucer et que tu puisses sucer à même le plancher du grenier via les deux petites trappes ! Oh, c’est fort simple. La chambre qu’il y en dessous de ce plancher, à l’étage inférieur, est équipée d’un monte-charge électrique. Il m’a simplement fallu y faire installer esclav’antoine en le positionnant couché sur la plate-forme du monte-charge, bien le sécuriser pour ne risquer aucune chute, positionnant donc sa bouche et sa nouille au niveau des deux trappes. Son corps était donc juste à quelques centimètres du plafond de la chambre, et donc juste à quelques centimètres du tien. Le décager préalablement afin qu’il bande à être excité juste par le fait de se sentir un simple objet saucissonné et attaché à 3,50 mètres du sol, alors qu’il savait qu’il devrait sucer sans savoir qui il sucerait ! Ta bouche a fait le reste… Et comme tu as fait éjaculer esclav’antoine, il sera puni lui aussi…
MDE -

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Histoire sexe : Une rose rouge
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