La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1596)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1596)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1582) –
- … Je vais t’utiliser ce week-end, tu vas être Ma machine à plaisirs, à nous deux, Ma belle chienne-salope-esclave…
Rien que d’entendre la voix de Monsieur le Marquis, j’en suis toute excitée, comme une véritable groupie devant son idole, ou une véritable chienne animale devant son maître. Je pense à tout ce que je vais vivre ce week-end, à tous les plaisir que je vais avoir de Lui donner du plaisir, ce qui reste ma principale et unique priorité. En effet, servir le Maitre reste pour moi un plaisir sur lequel je ne pourrais pas mettre de mots, et duquel je ne pourrais jamais me passer, en plus d’être un indescriptible plaisir, c’est aussi un viscéral besoin, une évidente nécessité incommensurable. Le Noble me fait mettre à genoux, et se déplace dans la pièce. Je ressens déjà ma mouille sur mes cuisses, rien que Sa présence m’excite, avant même qu’il commence à me toucher, à m’utiliser. Le Châtelain me connait et Il sait que je suis déjà trempée, qu’en Sa présence, il ne m’en faut pas beaucoup plus pour exacerber ma libido. Pourtant, avec le Maitre j'atteins toujours un niveau d’excitation que je pensais impossible, des orgasmes inimaginables, j’atteins toujours le septième ciel, voire plus encore !
- Ma chienne, Ma si précieuse chienne esclave, tu es Mon cadeau d’anniversaire, et je peux t’assurer que je vais bien profiter de toi, tu vas m’apporter tellement de plaisirs, je vais user et jouir de ton corps de pute de mille façons…
Sur ces mots, le Maitre attrape mes mains et les positionne derrière mon dos puis me les attache ensemble. Il attache aussi mes bras ensemble, de façon à ce que je ne puisse plus les bouger. Alors le Noble me bondage ensuite les seins, faisant ressortir la rondeur de ceux-ci et toute leur rougeur, Il me les attache séparément pour ensuite mettre une corde qui me les reliera ensemble... C’est ensuite mon sexe qui est bondagé par une corde qui part autour de mon ventre au niveau de la ceinture et qui continue en descendant sur mon sexe. La corde se place alors sur mon clitoris, passe entre mes lèvres intimes et remonte derrière sur ma raie anale pour monter jusqu’à mon cou, et fait le tour de mon nuque, redescend entre mes seins pour retrouver et s’attacher devant, au niveau de la taille, retrouvant ainsi le début de la corde. Je n’ai aucun moyen de bouger tout le haut de mon corps est complètement bondagé, le peu de mouvements que je puisse faire m’oblige aussi à bouger mon bassin et à faire frotter la corde sur mon sexe Et cela m’excite tellement. Attachée ainsi à genoux, j’ai pleinement la sensation d’être un objet, mon équilibre et assez bancal, il ne m’en faut pas beaucoup pour tomber. Le Maitre m’attrape par les cheveux, et me fait relever la tête sur Lui au-dessus de moi et m’oblige à ouvrir grand ma bouche. Alors, Il me crache en plein visage et dans ma bouche ouverte puis relâche ma tête qui retombe, en avant…
Le Noble commence ensuite à caresser, d’une main, mes seins arrondis et gorgés de sang afflué par le serrage des cordes, et de l’autre main Il descend doucement, délicatement par une douce caresse sensuelle, sur mon ventre où Il attrape la corde, celle qui est sur mon sexe, et la tire sur le haut afin d’accentuer le frottement sur mon clitoris et entre les lèvres intimes. De sa première main, le Châtelain me malaxe abondamment les seins, me pince les tétons fort sensibles, pendant que de l’autre main, Il me branle en faisant manœuvrer la corde frottant sur mon sexe. Instinctivement sous l’excitation galopante, mon corps se cambre en arrière, ce qui me fait encore plus ressentir la pression des cordes sur mon sexe et sur mes seins. Je me sens tel un objet, une chose, entre les mains du Maitre, une poupée maniée à Sa guise, à Sa Volonté, Lui qui reste Maitre de mon plaisir... Je commence à gémir et à supplier le Maitre de me laisser jouir, de m’accorder un orgasme, mais non, rien ne vient. Monsieur le Marquis m’a amené au bord de l’orgasme, et quand j’allais jouir, il m’a relâché, m’interdisant ainsi silencieusement la jouissance...
Le Châtelain m’exige d’ouvrir la bouche et y met un bâillon-écarteur, qui me maintient ma cavité buccale grande ouverte, ensuite Il attache mon collier, que je porte déjà au cou, une autre corde jusqu’à mon sexe, et pour finir Il me fait allonger par terre, où il me noue les jambes entre elle, de façon à ce que je ne puisse plus du tout bouger, ni écarter mes jambes, ni pouvoir les déplacer. J’ai une corde qui me relie les jambes entre elles au niveau des cuisses, en dessous et au-dessus de genoux, au milieu des mollets, et une autre au chevilles, ce qui ne me laisse plus aucune liberté de mouvements, si ce n’est que de pouvoir juste me tortiller comme un ver de terre… Ainsi attachée aux pieds du Noble, à attendre Sa bonne Volonté, Son bon vouloir, à juste être un objet à Ses pieds. Pour finir le Châtelain m’attache à nouveau la longue chaine, en guise de laisse, à l’anneau du mur et cela jusqu’à mon collier, puis s’éloigne de moi dans la vaste pièce. Le bâillon-écarteur commence à me faire me baver. Cette situation dans laquelle je suis, m’excite beaucoup, énormément même. Le Maitre est assez loin de moi, presque à l’entrée du Cachot, il y’a une bonne distance qui nous sépare, et Il m’exige de venir jusqu’à Ses pieds :
- Mon esclave MDE, tu vas ramper jusqu’à moi, jusqu’à Mes pieds, telle la petite vermine que tu es, telle la petite merde, la larve, le ver de terre insignifiant, que tu es. Une fois à Mes pieds, tu auras droit à ta récompense, tu auras le droit de lécher Mes chaussures. Aller, exécution la chienne...
C’est donc avec difficulté que je commence à me déplacer, à forcer pour avancer en me tortillant dans tous les sens, c’est plus une reptation qu’autre chose pour arriver aux pieds du Maitre, ainsi attachée, saucissonnée sans autre moyen de bouger. Alors mes mouvements son difficiles, et à chaque fois que je bouge même juste un peu, la corde sur mon sexe frotte plus et m’excite d’avantage. Alors, parfois je suis obligée de m’arrêter, pour ne pas jouir d’un orgasme non autorisé. Le bâillon me faire baver et avec cette bave tombe par terre, devant moi, et je me retrouve obliger de ramper dedans pour pouvoir atteindre les pieds du Châtelain. C’est à mi-chemin que j’entends la voix du Noble. Une voix autoritaire, dure, calme mais froide, celle du Dominant, pleinement.
- Combien de temps il te faut pour arriver jusqu’à Mes pieds, espèce de limace rampante, espèce de petite larve, de petit ver de terre, tu ferais mieux de commencer à te dépêcher si tu ne veux pas connaitre Mon courroux ! Ai-je l’air d’avoir que ça à faire ?, Ai-je l’air d’attendre que la chienne que tu es, se décide à obéir et à venir à Sa place à Mes pieds ?... Si dans la minute qui suit, tu n’es pas arrivée à Mes pieds, je peux t’assurer que tu seras sanctionnée, la limace !
Sur Ses mots, Monsieur le Marquis commence à compter à voix haute les 60 secondes que j’ai, pour arriver à Ses pieds. Et même en essayant de mieux forcer à me tortiller, je sais que je n’arriverai jamais à temps. C’est presque aux pieds du Noble que la minute imposée s’écoule. Le Maitre ne dit rien, je comprends donc que je ne dois pas m’arrêter, et Il continue même à compter. C’est après 50 secondes en plus, que j’arrive enfin aux pieds du Maitre, à ma place.
- Eh bien la chienne, il était temps. Ton incapacité à ramper comme il faut m’a fait attendre. Tu seras bien sûr punie pour les 50 secondes de retard. Je vais commencer à te mettre en condition physique pour que tu deviennes bien obéissante, et que tu réussisses à arriver à Mes pieds plus rapidement. Bien, mais avant que je t’autorise tout de même à lécher Mes chaussures, tu vas boire un peu, avec ton bâillon et ta gueule écartée de chienne. Et ensuite, tu lécheras le cuir de Mes chaussures sales, tu les rendras brillantes, avec ta langue de putain…
C’est le nez dans ma gamelle, allongée par terre avec difficulté, que je me désaltère. Le Châtelain m’écrase la tête doucement en signe de Domination avec Son pied, pour me montrer combien je Lui suis inferieure. C’est seulement maintenant que je réalise que Ses chaussures sont pleines de boue sur les semelles, qu’il a un peu essuyé sur ma joue de putain, avant de présenter Son pied devant ma bouche. Et d’un claquement de doigts, de me le faire lécher. C’est avec ardeur et le souhaite de satisfaire le Maitre que je m’applique le plus possible, et de rendre ainsi Ses deux chaussures brillantes et nickels. Une fois fait, Monsieur le Marquis me fait ramper jusqu’à la fin de la pièce à nouveau à côté de ma cage. Il sort la couette qui est sur le sol de la cage et la dépose par terre. Et Il exige de me coucher dessus, il me retire le bâillon, n’aimant pas que je dorme bâillonnée de peur qu’il m’arrive quelque chose, mais me laisse attacher comme je suis, bondagée de la tête aux pieds. Puis le Noble sort Son sexe, et commence à m’uriner dessus, un long jet, sur mon visage, sur mon corps partout…
- La chienne, tu vas rester ici pour la nuit, tu dormiras ainsi, sanctionnée et trempée de Ma liqueur dorée, ainsi tu resteras imprégnée de Mon empreinte… Et s’il te vient l’envie dans la nuit d’uriner, tu n’auras qu’à te pisser dessus. Tu as ta gamelle d’eau et de manger juste ici, je te dis à demain, la chienne puante…
Sur Ses mots le Maitre le met une couverture sur moi, et s’en va. Je me sens tellement humiliée, puante de pisse, laissée ainsi ici comme ça, avec aucun échappatoire. Pourtant, je suis tellement épuisée de tout effort que je ne mets pas longtemps avant de m’endormir, en me faisant d’abord pipi dessus car ma vessie était trop pleine... Il doit être environ 2 heures du matin quand je suis subitement réveillée. C’est le bruit du grincement de l’ouverture de la porte du cachot qui me fait ouvrir un œil… Il me faut un moment pour sortit pleinement de mon sommeil… Le Maître est là, juste devant moi :
- Le moment de ta punition est arrivé !
Monsieur le Marquis a tout un matériel d’harnachement en mains. Etant toujours amplement saucissonnée, je ne peux pas m’agenouiller. Alors, c’est le Noble qui me relève, calant mon corps sur mes genoux. Ensuite, Il m’harnache dans le dos avec une espèce d’harnais et des sangles tout autour de ma taille pour bien le maintenir. Puis Il utilise une télécommande pour faire descendre un gros crochet d’acier fixé à une épaisse corde suspendue à un palan arrimé solidement au plafond. Le crochet est descendu juste en dessous de ma tête jusqu’au harnais dans mon dos. Il y accroche le crochet au harnais et fait lever l’ensemble toujours avec sa télécommande… Et donc je me retrouve suspendue dans le vide, les pieds à 50 centimètres du sol tout en étant bondagée, tel un objet qui se balance au bout d’une corde… Le Châtelain va pour s’en aller en me laissant ainsi et juste avec Ses quelques mots…
- Tu vas finir ta nuit comme ça… La position est juste inconfortable, suspendue comme un saucisson… Ainsi tu pourras tout à loisir repenser, ressasser ta faute ainsi positionnée suspendue à ce crochet… Tu as dépassé de 50 secondes le temps imparti pour arriver jusqu’à Mes pieds. Au petit matin, vers les 7h, je viendrai te détacher… Et pas avant 7 heures du matin car je compte 1 heure, suspendue ainsi à ce crochet pour 10 secondes de retard et donc 50 secondes sont égales à 5 heures à rester suspendue. Il est 2 heures du matin, donc je ne reviendrai pas avant 7heures… Bonne nuit la chienne saucissonnée, puante et punie …
(A suivre …)
- … Je vais t’utiliser ce week-end, tu vas être Ma machine à plaisirs, à nous deux, Ma belle chienne-salope-esclave…
Rien que d’entendre la voix de Monsieur le Marquis, j’en suis toute excitée, comme une véritable groupie devant son idole, ou une véritable chienne animale devant son maître. Je pense à tout ce que je vais vivre ce week-end, à tous les plaisir que je vais avoir de Lui donner du plaisir, ce qui reste ma principale et unique priorité. En effet, servir le Maitre reste pour moi un plaisir sur lequel je ne pourrais pas mettre de mots, et duquel je ne pourrais jamais me passer, en plus d’être un indescriptible plaisir, c’est aussi un viscéral besoin, une évidente nécessité incommensurable. Le Noble me fait mettre à genoux, et se déplace dans la pièce. Je ressens déjà ma mouille sur mes cuisses, rien que Sa présence m’excite, avant même qu’il commence à me toucher, à m’utiliser. Le Châtelain me connait et Il sait que je suis déjà trempée, qu’en Sa présence, il ne m’en faut pas beaucoup plus pour exacerber ma libido. Pourtant, avec le Maitre j'atteins toujours un niveau d’excitation que je pensais impossible, des orgasmes inimaginables, j’atteins toujours le septième ciel, voire plus encore !
- Ma chienne, Ma si précieuse chienne esclave, tu es Mon cadeau d’anniversaire, et je peux t’assurer que je vais bien profiter de toi, tu vas m’apporter tellement de plaisirs, je vais user et jouir de ton corps de pute de mille façons…
Sur ces mots, le Maitre attrape mes mains et les positionne derrière mon dos puis me les attache ensemble. Il attache aussi mes bras ensemble, de façon à ce que je ne puisse plus les bouger. Alors le Noble me bondage ensuite les seins, faisant ressortir la rondeur de ceux-ci et toute leur rougeur, Il me les attache séparément pour ensuite mettre une corde qui me les reliera ensemble... C’est ensuite mon sexe qui est bondagé par une corde qui part autour de mon ventre au niveau de la ceinture et qui continue en descendant sur mon sexe. La corde se place alors sur mon clitoris, passe entre mes lèvres intimes et remonte derrière sur ma raie anale pour monter jusqu’à mon cou, et fait le tour de mon nuque, redescend entre mes seins pour retrouver et s’attacher devant, au niveau de la taille, retrouvant ainsi le début de la corde. Je n’ai aucun moyen de bouger tout le haut de mon corps est complètement bondagé, le peu de mouvements que je puisse faire m’oblige aussi à bouger mon bassin et à faire frotter la corde sur mon sexe Et cela m’excite tellement. Attachée ainsi à genoux, j’ai pleinement la sensation d’être un objet, mon équilibre et assez bancal, il ne m’en faut pas beaucoup pour tomber. Le Maitre m’attrape par les cheveux, et me fait relever la tête sur Lui au-dessus de moi et m’oblige à ouvrir grand ma bouche. Alors, Il me crache en plein visage et dans ma bouche ouverte puis relâche ma tête qui retombe, en avant…
Le Noble commence ensuite à caresser, d’une main, mes seins arrondis et gorgés de sang afflué par le serrage des cordes, et de l’autre main Il descend doucement, délicatement par une douce caresse sensuelle, sur mon ventre où Il attrape la corde, celle qui est sur mon sexe, et la tire sur le haut afin d’accentuer le frottement sur mon clitoris et entre les lèvres intimes. De sa première main, le Châtelain me malaxe abondamment les seins, me pince les tétons fort sensibles, pendant que de l’autre main, Il me branle en faisant manœuvrer la corde frottant sur mon sexe. Instinctivement sous l’excitation galopante, mon corps se cambre en arrière, ce qui me fait encore plus ressentir la pression des cordes sur mon sexe et sur mes seins. Je me sens tel un objet, une chose, entre les mains du Maitre, une poupée maniée à Sa guise, à Sa Volonté, Lui qui reste Maitre de mon plaisir... Je commence à gémir et à supplier le Maitre de me laisser jouir, de m’accorder un orgasme, mais non, rien ne vient. Monsieur le Marquis m’a amené au bord de l’orgasme, et quand j’allais jouir, il m’a relâché, m’interdisant ainsi silencieusement la jouissance...
Le Châtelain m’exige d’ouvrir la bouche et y met un bâillon-écarteur, qui me maintient ma cavité buccale grande ouverte, ensuite Il attache mon collier, que je porte déjà au cou, une autre corde jusqu’à mon sexe, et pour finir Il me fait allonger par terre, où il me noue les jambes entre elle, de façon à ce que je ne puisse plus du tout bouger, ni écarter mes jambes, ni pouvoir les déplacer. J’ai une corde qui me relie les jambes entre elles au niveau des cuisses, en dessous et au-dessus de genoux, au milieu des mollets, et une autre au chevilles, ce qui ne me laisse plus aucune liberté de mouvements, si ce n’est que de pouvoir juste me tortiller comme un ver de terre… Ainsi attachée aux pieds du Noble, à attendre Sa bonne Volonté, Son bon vouloir, à juste être un objet à Ses pieds. Pour finir le Châtelain m’attache à nouveau la longue chaine, en guise de laisse, à l’anneau du mur et cela jusqu’à mon collier, puis s’éloigne de moi dans la vaste pièce. Le bâillon-écarteur commence à me faire me baver. Cette situation dans laquelle je suis, m’excite beaucoup, énormément même. Le Maitre est assez loin de moi, presque à l’entrée du Cachot, il y’a une bonne distance qui nous sépare, et Il m’exige de venir jusqu’à Ses pieds :
- Mon esclave MDE, tu vas ramper jusqu’à moi, jusqu’à Mes pieds, telle la petite vermine que tu es, telle la petite merde, la larve, le ver de terre insignifiant, que tu es. Une fois à Mes pieds, tu auras droit à ta récompense, tu auras le droit de lécher Mes chaussures. Aller, exécution la chienne...
C’est donc avec difficulté que je commence à me déplacer, à forcer pour avancer en me tortillant dans tous les sens, c’est plus une reptation qu’autre chose pour arriver aux pieds du Maitre, ainsi attachée, saucissonnée sans autre moyen de bouger. Alors mes mouvements son difficiles, et à chaque fois que je bouge même juste un peu, la corde sur mon sexe frotte plus et m’excite d’avantage. Alors, parfois je suis obligée de m’arrêter, pour ne pas jouir d’un orgasme non autorisé. Le bâillon me faire baver et avec cette bave tombe par terre, devant moi, et je me retrouve obliger de ramper dedans pour pouvoir atteindre les pieds du Châtelain. C’est à mi-chemin que j’entends la voix du Noble. Une voix autoritaire, dure, calme mais froide, celle du Dominant, pleinement.
- Combien de temps il te faut pour arriver jusqu’à Mes pieds, espèce de limace rampante, espèce de petite larve, de petit ver de terre, tu ferais mieux de commencer à te dépêcher si tu ne veux pas connaitre Mon courroux ! Ai-je l’air d’avoir que ça à faire ?, Ai-je l’air d’attendre que la chienne que tu es, se décide à obéir et à venir à Sa place à Mes pieds ?... Si dans la minute qui suit, tu n’es pas arrivée à Mes pieds, je peux t’assurer que tu seras sanctionnée, la limace !
Sur Ses mots, Monsieur le Marquis commence à compter à voix haute les 60 secondes que j’ai, pour arriver à Ses pieds. Et même en essayant de mieux forcer à me tortiller, je sais que je n’arriverai jamais à temps. C’est presque aux pieds du Noble que la minute imposée s’écoule. Le Maitre ne dit rien, je comprends donc que je ne dois pas m’arrêter, et Il continue même à compter. C’est après 50 secondes en plus, que j’arrive enfin aux pieds du Maitre, à ma place.
- Eh bien la chienne, il était temps. Ton incapacité à ramper comme il faut m’a fait attendre. Tu seras bien sûr punie pour les 50 secondes de retard. Je vais commencer à te mettre en condition physique pour que tu deviennes bien obéissante, et que tu réussisses à arriver à Mes pieds plus rapidement. Bien, mais avant que je t’autorise tout de même à lécher Mes chaussures, tu vas boire un peu, avec ton bâillon et ta gueule écartée de chienne. Et ensuite, tu lécheras le cuir de Mes chaussures sales, tu les rendras brillantes, avec ta langue de putain…
C’est le nez dans ma gamelle, allongée par terre avec difficulté, que je me désaltère. Le Châtelain m’écrase la tête doucement en signe de Domination avec Son pied, pour me montrer combien je Lui suis inferieure. C’est seulement maintenant que je réalise que Ses chaussures sont pleines de boue sur les semelles, qu’il a un peu essuyé sur ma joue de putain, avant de présenter Son pied devant ma bouche. Et d’un claquement de doigts, de me le faire lécher. C’est avec ardeur et le souhaite de satisfaire le Maitre que je m’applique le plus possible, et de rendre ainsi Ses deux chaussures brillantes et nickels. Une fois fait, Monsieur le Marquis me fait ramper jusqu’à la fin de la pièce à nouveau à côté de ma cage. Il sort la couette qui est sur le sol de la cage et la dépose par terre. Et Il exige de me coucher dessus, il me retire le bâillon, n’aimant pas que je dorme bâillonnée de peur qu’il m’arrive quelque chose, mais me laisse attacher comme je suis, bondagée de la tête aux pieds. Puis le Noble sort Son sexe, et commence à m’uriner dessus, un long jet, sur mon visage, sur mon corps partout…
- La chienne, tu vas rester ici pour la nuit, tu dormiras ainsi, sanctionnée et trempée de Ma liqueur dorée, ainsi tu resteras imprégnée de Mon empreinte… Et s’il te vient l’envie dans la nuit d’uriner, tu n’auras qu’à te pisser dessus. Tu as ta gamelle d’eau et de manger juste ici, je te dis à demain, la chienne puante…
Sur Ses mots le Maitre le met une couverture sur moi, et s’en va. Je me sens tellement humiliée, puante de pisse, laissée ainsi ici comme ça, avec aucun échappatoire. Pourtant, je suis tellement épuisée de tout effort que je ne mets pas longtemps avant de m’endormir, en me faisant d’abord pipi dessus car ma vessie était trop pleine... Il doit être environ 2 heures du matin quand je suis subitement réveillée. C’est le bruit du grincement de l’ouverture de la porte du cachot qui me fait ouvrir un œil… Il me faut un moment pour sortit pleinement de mon sommeil… Le Maître est là, juste devant moi :
- Le moment de ta punition est arrivé !
Monsieur le Marquis a tout un matériel d’harnachement en mains. Etant toujours amplement saucissonnée, je ne peux pas m’agenouiller. Alors, c’est le Noble qui me relève, calant mon corps sur mes genoux. Ensuite, Il m’harnache dans le dos avec une espèce d’harnais et des sangles tout autour de ma taille pour bien le maintenir. Puis Il utilise une télécommande pour faire descendre un gros crochet d’acier fixé à une épaisse corde suspendue à un palan arrimé solidement au plafond. Le crochet est descendu juste en dessous de ma tête jusqu’au harnais dans mon dos. Il y accroche le crochet au harnais et fait lever l’ensemble toujours avec sa télécommande… Et donc je me retrouve suspendue dans le vide, les pieds à 50 centimètres du sol tout en étant bondagée, tel un objet qui se balance au bout d’une corde… Le Châtelain va pour s’en aller en me laissant ainsi et juste avec Ses quelques mots…
- Tu vas finir ta nuit comme ça… La position est juste inconfortable, suspendue comme un saucisson… Ainsi tu pourras tout à loisir repenser, ressasser ta faute ainsi positionnée suspendue à ce crochet… Tu as dépassé de 50 secondes le temps imparti pour arriver jusqu’à Mes pieds. Au petit matin, vers les 7h, je viendrai te détacher… Et pas avant 7 heures du matin car je compte 1 heure, suspendue ainsi à ce crochet pour 10 secondes de retard et donc 50 secondes sont égales à 5 heures à rester suspendue. Il est 2 heures du matin, donc je ne reviendrai pas avant 7heures… Bonne nuit la chienne saucissonnée, puante et punie …
(A suivre …)
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