La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1597)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1597) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1597)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1588) -
Chapitre 33 : Une fécondation parfaitement maitrisée -
Je reconnaissais la voix du Maître… C’était Lui, quel soulagement ! Il me faisait boire un peu d’eau, j’avalais sans crainte le comprimé… J’entendais Antoine geindre, lui aussi déféquait bruyamment tout en s’excusant de n’avoir su et pu retenir ce lavement… Lui aussi fournissait un effort physique pénible, je l’entendais à bout de souffle, ahanant sous le joug des perversions subies... Peu après, Monsieur le Marquis ôtait ma cagoule, libérait les liens me tenant en semi-suspension, sans pour autant me libérer les mains toujours attachées derrière ma nuque, puis Il m’approchait d’Antoine. De mon collier, le Noble attachait une courte chaine à celui de mon congénère, faisant ainsi nous rapprocher plus encore l’un de l’autre. Du centre de cette courte chaine, Il fixait une laisse et nous entrainait derrière Lui cette fois-ci en bipédie. Nous montions à l’étage supérieur, passions dans un long couloir, nouilles tendues à l’extrême, tous deux ravagés par un désir sexuel incroyable, mon bas-ventre en surchauffe, titillé par ce plug qui bougeait à chacun de mes pas, par le frôlement du corps d’Antoine, par cette corde rêche qui brulait mon entrejambe. Jamais je ne m’étais senti autant excité, jamais ma nouille avait été aussi tendue. Elle me faisait souffrir tant elle était érigée, gorgée de sang aux veines saillantes, dure comme du marbre, brulante comme un brasier ardent...

Lorsque j’entrais dans cette pièce largement éclairée, je fus simplement stupéfait et totalement désorienté ! Outre cette très belle et jeune femelle soumise entièrement nue, assise ou plutôt presque allongée, sanglée sévèrement sur un fauteuil de gynécologie, ses cuisses largement écartées, laissant ainsi bien en vue sa vulve aux contours parfaitement épilés bien en vue et avec des pinces posées sur ses lèvres intimes lui écartant amplement sa chatte, et je voyais à ses côtés, non pas une Madame Marie… mais deux ! Deux cuisinières, deux femmes identiques avec le même rictus pervers et sadique, le regard noir, toutes deux avec la même morphologie, toutes deux ayant une cravache en main, Seul détail d’importance, l’une était coiffée différemment avec une queue de cheval, l’autre aucune... J’hallucinais !… Était-ce le comprimé avalé qui m’égarait ? Était-ce l’hologramme de Madame Marie ? Je n’y comprenais plus rien… Walter était là, lui aussi, il s’amusait avec les tétons de cette jeune femelle soumise au visage masquée. Il la faisait gémir en serrant, pressant et tirant sur ses mamelons en comprimant ses seins de ses deux mains…
- Bonjour Claire !, lançait le Maître en s’avançant vers l’une d’elle.

Monsieur le Marquis embrassait celle qui avait une queue de cheval, puis reprenait
- Votre sœur jumelle, ma bonne et dévouée Marie, ici présente, toujours consciencieuse, m’a dit que vous aviez fait votre choix parmi les six soumises MDE que je vous ai adressées récemment ! (NDLA : Lire Camélia au Château devenue chienne Maera MDA, l’épisode écrit par MDE) - En effet Monsieur le Marquis, c’est celle-ci, celle que j’ai appelé s28 et qui, chez Vous, se nomme esclave salope Nala MDE. Je l’ai choisi pour être en conformité avec Vos Exigences de sélection. C’est elle qui a le bassin le plus large, une parfaite santé et surtout les meilleures dispositions naturelle à une parfaite fécondation. Et donc nous prenons moins de risques, expliquait cette fameuse Claire en désignant de son index cette jeune soumise allongée se faisant maintenant doigter par Walter qui la besognait de ses longs doigts….
- Très bien Claire, et vous pensez que le jour J est arrivé…- Oui j’ai scrupuleusement vérifié… elle est à 12 jours de ses dernières règles, sa température vient de s’élever de cinq dixième… Cette chienne a visiblement ses chaleurs, cette bonne femelle à la reproduction est donc fécondable, c’est le bon moment !... Mais que vois-je ? Ce sont eux vos deux mâles reproducteurs ?, reprenait Madame Claire en désignant Antoine et moi d’un coup de tête
Je ne comprenais rien du tout de cette conversation…
- Oui exactement, ce sont eux… Il faut finir de les préparer, je compte sur toi, ma bonne Marie.

La cuisinière se frottait les mains, son regard venait de s’illuminer, sa perversité s’affichait largement sur son visage…
- Vous pouvez compter sur moi Monsieur le Marquis, avec l’aide de Claire, nous allons finir le boulot… ces deux salopes de mâles reproducteurs vont se rappeler longtemps de ce que c’est que de procréer… Vous leur avez bien donné les comprimés, Monsieur le Marquis ?
- Oui, il y a tout juste un quart d’heure…- C’est parfait, Monsieur le Marquis, ça nous laisse un peu de temps.

Une douleur inouïe me traversait la fesse gauche, accompagnée d’un claquement. Je réalisais que cette perverse cuisinière ne jouait pas avec sa cravache mais me fouettait. Loin de s’estomper, la douleur grandissait dans les secondes qui suivirent. Avant même que je puisse retrouver mon souffle, perdu par la surprise, un second coup frappait de nouveau mes fesses. Plus fort et plus cinglant que le premier. Il provoquait une douleur qui me traversait le ventre et se diffusait dans tous mon corps. C’était maintenant au tour d’Antoine de recevoir le fouet, deux coups lui aussi qui le faisait gémir et se tordre, m’entrainant avec lui, puisque toujours solidaires et attachés l’un à l’autre par nos colliers. Les coups s’enchainaient, passant de l’un à l’autre, poussant nos corps aux limites les plus extrêmes pour finalement s’arrêter juste avant que nous demandions grâce. Alors que je me concentrais sur ces brûlures et tentais de les apprivoiser, je sentais une main pleine de lubrifiant, celle de Madame Claire, se poser sur mon gland. Elle commençait à me masturber très lentement, très doucement. L’effet était simplement dément. Perdu dans ces nouvelles sensations, alors que tous mes capteurs sensoriels étaient activés, je recevais cette douce caresse sexuelle comme jamais auparavant.

Cette femme autant vicieuse que sa sœur, me maitrisait totalement et savait me conduire au bord de la jouissance, sans jamais la provoquer. Elle pressait, caressait, frottait, effleurait, étirait ma nouille à qui aucune des sensations qui pouvaient exister ne m’était épargnées. Je regardais ma nouille, elle était rouge écarlate, totalement cramoisie, le gland déformé par l’attente. Antoine subissait la même chose, mais par Madame Marie laquelle sa main s’activait sur la hampe de chair congestionnée d’Antoine. Mon ventre hurlait du désir de lâcher le plaisir accumulé, mais Madame Claire ne me le permettait pas. Elle contenait et contrôlait le feu qui me dévorait. Enfin, nos nouilles étaient relâchées… Les deux sœurs perverses nous libéraient de toutes les étreintes qui nous emprisonnaient. Les cordages étaient ôtés, nos couilles libérées de leurs cordelettes, nos plug retirés. J’étais sur le point d’apprécier le bonheur de ma liberté retrouvée, lorsque ces deux Dominas perverses nous exigeaient de les suivre. Je me sentais honteux, ma nouille toujours raide, mes fesses brulantes, nous suivions ces deux vicieuses mégères comme deux enfants disciplinés.

- Montez et couchez-vous sur ces slings, les salopes, vos culs de putain bien dégagés, le cuir du sling devant passer sous vos reins de catin.

Nous nous couchions comme ordonné en ignorant encore ce que nous allions subir. Madame Marie m’attachait les chevilles et les poignets avec des menottes aux chaines du sling, puis se dirigeait vers mon cul pour y introduire quelque chose que je n’avais jamais expérimenté : Un chapelet de boules, cinq au total, toutes identiques et d’une bonne grosseur. Cette perverse cuisinière procédait lentement à leur introduction pour que je ressente le passage de chacune d’elles profondément dans mon anus. L’impression était incroyable, non douloureuse, mon trou avait été préparé longuement par la présence d’un plug. En revanche, la présence de ces boules me donnait la sensation d’avoir le ventre plein et qu’une énorme pression s’y exerçait. Ma prostate était compressée, avec l’impression que tout le sperme contenu voulait sortir. Mon gland devenait fou, il palpitait sans cesse, le bout de ma nouille était une nouvelle fois caressée furtivement, pour me rendre un peu plus hystérique encore. La suite me conduisait dans l’inimaginable. Très lentement et tranquillement, Madame Marie me faisait un bondage serré de mes couilles. Tel que j’étais positionné, je ne voyais pas mon bas-ventre, mais je savais que mes couilles, séparées l’une de l’autre par une cordelette, ressortant comme deux noix obscènes, devaient être rouge foncé. A cet instant, je voyais cette sévère cuisinière se saisir de son objet fétiche, sa cravache…
Mon regard anxieux se tournait vers le Maître. Lui, tranquillement assis, regardait silencieusement cette séquence redoutée, presque religieusement, bras croisés sur sa poitrine, la tête haute, le visage impassible, le regard dominateur... Alors je tournais la tête et voyais Antoine dans la même posture que la mienne, lui aussi les couilles ligotées, lui aussi attendait, crispé, poings serrés, que le premier coup tombe sur ses couilles. Combien j’aurai préféré ne pas voir, combien il m’aurait été agréable d’être aveuglé par un bandeau sur les yeux. Là, toute mon attention était fixée sur le bout de cette cravache avec l’appréhension qui allait avec. Mon corps se tendait, se contractait, allant même à s’impatienter… Je souhaitais que l’on en finisse au plus vite. Le premier coup tombait sur mes burnes, il n’était ni violent, ni très appuyé mais l’état de mes couilles nouées et offertes dans leur prison de cordes les rendait hypersensibles. La douleur était foudroyante et irradiait dans tout mon bas-ventre. La conjonction des boules dans mon cul et des coups sur mes couilles ligotées me conduisait à un stade extrême, j’étais en transe, ne sachant plus si je souffrais ou si je jouissais… Neuf coups encore m’étaient donnés, et à chaque fois je sursautais en gémissant de douleur et/ou de plaisir je ne savais plus, incapable de distinguer le bon et le mal, mon corps était dans un état de quasi fusion…
Je pensais qu’il en était terminé… et bien évidemment je me trompais… Les deux perverses frangines s’échangeaient leur proie. Madame Claire, me posait deux pinces mordantes et puissantes sur mes petits tétons de lope… Je manquais de suffoquer tant la pression était rude, tant la pression exercée sur mes tétons rendait ma nouille plus raide encore, plus érigée, plus dense, dure, gonflée, tendue à l’extrême. Ah !... Maudite nouille… je la haïssais… elle me trahissait, plus je souffrais, plus elle se dressait droite et fière de ma vive virilité incontrôlable, je sentais mon gland s’humidifier, impossible pour moi de cacher mon excitation, je mouillais ! Cette femme d’une rare cruauté, perversité, jouait rapidement avec mon gland tumescent, violacé à l’excès et totalement décalotté. Puis peu après elle attachait une corde à mes couilles ligotées et la nouait à un filin passant au-dessus du sling. Très vite je comprenais la perfidie de cette femme. De la même manière, elle passait une cordelette dans chacune des pinces à sein et la reliait au filin auquel étaient déjà attachées mes couilles…
- Je crois, petite salope, que si tu fais le moindre mouvement… tu vas regretter d’avoir une paire de couilles et des petits tétons de pute… car les cordelettes vont se tendre et te causeront des douleurs supplémentaires. A toi de rester calme et digne, à toi d’accepter sans broncher le traitement imposé… Et regarde bien Le Maître… Tu ne voudrais tout de même pas le décevoir, regarde comme Il prend du plaisir à te voir ainsi harnaché… Donne-toi à Lui, donne-Lui tout de toi, c’est ainsi qu’Il veut que tu sois… Offre Lui ton supplice, accepte ce sacrifice, prouve Lui ton total et entier dévouement !

Effectivement Monsieur le Marquis était désormais debout près de Sa soumise, s28 alias l’esclave salope Nala MDE et avait sorti Sa noble Verge tendue et se faisait sucer doucement par la femelle semi-couchée sur le fauteuil de gynécologie, tranquillement en me regardant puis en regardant Antoine. Tous deux, étions dans une bien piètre et douloureuse posture…. Il fallait que nous tenions, il fallait ne pas bouger, tenir le coup pour satisfaire le Maître qui nous scrutait, visiblement… Ce que je redoutais arrivait : Madame Claire prenait la cravache et donnait des petits coups sur mes burnes et mes fesses déjà meurtries par les attaques du fouet. Mes simples sursauts qui accompagnaient chaque coup martyrisait mes génitaux et mes mamelons, voire les deux en même temps, au gré de mes mouvements. Ma nouille, quant à elle, restait figée et ruisselante, les boules dans mon cul exacerbaient mon envie pressante de jouissance. A cet instant, tout alla très vite… Monsieur le Marquis se retirait de la bouche de la femelle et s’écartait, puis Madame Claire lâchait sa cravache, m’ôtait précipitamment toutes les cordelettes, me détachait des menottes liant poignets et chevilles et m’emmenait près de la femelle soumise, l’esclave salope Nala MDE que je ne connaissais pas. La sœur jumelle de la cuisinière se saisissant de ma nouille pour l’enfourner dans cette chatte si bien exposée, si bien accessible grâce à la parfaite position du fauteuil, cette chatte béante, gluante de mouille, dégoulinante de cette cyprine abondante et brulante d’envie d’une copulation causée par ses chaleurs.

- Ne bouge surtout pas salope !, m’ordonnait-elle, alors que ma nouille était entrée dans le sexe de la belle soumise, comme dans du beurre, et que je restais donc planté au fond de sa chatte en feu, à la limite de l’éjaculation...

Monsieur le Marquis, se maintenait debout près de moi, attrapait les deux pinces posées sur mes seins, puis comptait à haute voix…
- Un, deux et trois.

A cet instant, le Châtelain desserrait les mâchoires de ces pinces mordant mes chairs intimes, alors que Madame Claire retirait le chapelet de boules logées dans mon cul. Mon anus vibrait et jouissait au passage de chacune des boules, envoyant des étoiles et une ultime tension au bout de ma nouille tendue et immobile, logée profondément dans ce conduit fort humide, chaud et si accueillant, brulant de désirs qu’était le sexe trempé de la femelle…
- Maintenant jouit, Je l’exige le chien, féconde cette chienne, Je le veux…
Toutes les émotions, les sensations et les tensions accumulées depuis près de deux heures se regroupaient pour aller chercher au plus profond de mon corps tout le sperme qui y était contenu. Ma semence sortait alors là avec une violence insensée, alors que je poussais un hurlement de jouissance digne d’un cerf en rut et que mon corps était secoué par des spasmes qui accompagnaient chaque jet saccadé et abondant. J’inondais le bas-ventre de cette soumise Nala MDE au terme d’un choc corporel que je venais d’affronter...

(A suivre…)

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