La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1599)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1599) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1599)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1597) -
Chapitre 34 : Un intermède punitif entre deux fécondations -
J’inondais le bas-ventre de cette soumise MDE au terme d’un choc corporel que je venais d’affronter...

Cette perverse Madame Claire, médecin gynécologue de son métier, ne devait guère apprécier les attributs masculins des esclaves mâles de Monsieur le Marquis. Elle avait empoigné mes couilles en passant par derrière, entre mes jambes, et m’avait dégagé de cette chatte brulante avec force et autorité. Elle comprimait mes burnes d’une telle façon que j’en perdais le souffle, suffoquait même, la douleur était-elle, qu’elle me contraignait à me plier en deux en gardant la bouche grande ouverte :
- Ne t’inquiète pas espèce de bâtard, je vais te les assécher tes burnes de salope, tu vas y retourner dans peu de temps dans cette putain de chatte de chienne en chaleurs, mais chacun son tour !, me disait cette femme au ton cassant.

La sévère sœur jumelle de Madame Marie me maintenait toujours fermement, et faisait rouler entre ses longs doigts mes deux testicules tout en les comprimant sévèrement, tout en les étirant vers le sol. Je n’avais d’autre choix que de me mettre à genoux puis de m’affaler à terre en me laissant tomber sur le dos, tout en refermant mes cuisses pour qu’enfin cette perverse femme si obscène lâche prise. Ce qu’elle fit d’ailleurs. Je me retrouvais alors juste devant les nobles Pieds du Maître, Lui, toujours assis, impassible, Son regard sévère porté sur moi.

- Allons, Ma petite salope… Quelle est cette attitude irrespectueuse, cette réaction épidermique… Ne t’a-t’on pas encore appris ce que sont les règles élémentaires pour tout esclave demeurant sous Mon joug ?, reprenait le Châtelain très calmement.

Je ne voyais pas où il voulait en venir… Je ne comprenais pas, trop préoccupé à retrouver mon souffle. Voyant que je ne réagissais pas, Monsieur le Marquis posait Son pied sur mon visage et pressait Sa chaussure parfaitement cirée sur ma joue.

- Ne sais-tu donc pas encore, Mon chien, que quoi que l’on te fasse, tu dois te montrer digne et garder les jambes largement écartées, toujours écartées d’ailleurs, sauf contrordre, reprenait le Noble tout en appuyant un peu plus la pointe de Sa chaussure creusant ainsi ma joue…
Instantanément j’ouvrais mes cuisses et je laissais ainsi mes génitaux, bien en vue…
- Estime-toi chanceux, je vais seulement t’infliger cinq coups sur tes burnes, tu n’as pas intérêt à bouger sinon je recommence… Marie, donne-moi ta cravache !

Ma nouille était flasque et retombait sur mes burnes, Madame Marie la saisissait du bout des doigts avec des yeux brillants d’appétit pervers et qui respiraient le sadisme, elle positionnait relevant ma nouille sans délicatesse sur mon pubis.

- Ainsi, vous avez le champ libre, Monsieur le Marquis…, faisait-elle remarquer en souriant sadiquement
Le Châtelain se levait, Son pied gauche arrimé au sol, l’autre toujours sur mon visage, il ajustait Sa position, les cinq coups tombaient très rapidement, très précisément, juste au bon endroit… Je n’eus pas le temps de bouger, de crier… seuls mes poings s’étaient refermés… Et là, chose inimaginable, incroyable ma nouille était devenue subitement raide, tendue. Elle s’était érigée en un instant, alors que je venais de jouir, alors que je venais de prendre des coups appuyés… à ne rien y comprendre ! Était-ce parce que je n’étais non pas aux pieds du Maître, mais sous ceux-ci ? Était-ce mon côté sombre qui me sautait au visage, avec la découverte de mon masochisme ? Était-ce mon cerveau qui ne répondait plus aux attaques physiques supportées par mon corps ? Alors que je réfléchissais toujours, j’entendais brailler Antoine des râles puissants, forts… On aurait cru entendre une bête jouissante… Il m’avait remplacé dans la chatte brulante de cette esclave femelle Nala MDE et visiblement il gueulait son puissant plaisir en éjaculant des flots de semence, après qu’on lui ait ôté ce chapelet de boules de son cul de putain…
Quelques minutes après, Antoine et moi étions à genoux, côte à côte, à seulement quelques centimètres de cette toison somptueuse formant un écrin soyeux pour Son noble Joyaux. Je regardais, sentais, m’enivrais, touchais du regard cette sublime manifestation de la Virilité du Maître. J’entrais dans un état second, ma respiration et mon cœur s’affolaient avec l’impression d’être happé et avalé par cette Virilité dévoilée. Après un temps certain, Monsieur le Marquis attrapait nos nuques pour plaquer nos visages de chaque côté de son Vit en semi-érection. En gros plan, ce membre en préparation à la jouissance à venir était bouleversant : Il n’était plus flasque, il n’était pas encore dressé, il se présentait à nous, lascif et obscène, dans l’attente du plaisir. Son odeur me saisissait, sans doute Monsieur le Marquis avait-il déjà joui. Les senteurs puissantes de l’amour et du plaisir étaient incrustées dans ce membre en contact avec mon visage. Sur ordre, Antoine avalait ce noble Sexe et rapidement le faisait grossir et durcir alors qu’une main empoignait ma chevelure pour me dégager de quelques centimètres de cet endroit soyeux et moelleux. Ineffable sensation que de percevoir l’effet immédiat du plaisir donné, Antoine s’appliquait, creusait ses joues, pompait ce gland turgescent, avalait cette Verge dure désormais comme du marbre, relâchait Son Emprise pour recommencer encore et toujours...

Maintenant ce Sexe avalé était raide et tendu à l’extrême et le Noble commençait véritablement à baiser la bouche d’Antoine par des ondulations de Son bassins, de Ses hanches. Il faisait pénétrer et ressortir Son Phallus de cette bouche servile. Sa nuque fortement maintenue par la poigne du Maître, Antoine ne pouvait plus bouger, il subissait les pénétrations de cette Hampe en fond de gorge, selon le rythme et l’amplitude que Monsieur le Marquis voulait lui donner. La cadence s’accélérait, les mouvements augmentaient, et la force grandissait. Je voyais Antoine suffoquer sous ces assauts incessants, dont les Nobles couilles battaient contre son menton à chaque mouvement alors que son nez s’écrasait sur la toison rendue humide par l’effort. Antoine n’était plus qu’un simple trou, juste grand ouvert pour donner du plaisir et qu’on utilisait en ce sens… J’étais là, toujours avec ces doigts puissants agrippés à ma chevelure, à regarder, envieux, cupide et jaloux de Sa divine Verge … Avec ce désir intense d’être moi aussi possédé et dominé de la sorte. Mon regard dévorait ce Membre viril, le convoitait, je le souhaitais, quitte à crier grâce sous Son Emprise. Mais le Maître en décidait autrement quand Il ordonnait à Antoine :
- Mets-toi à quatre pattes salope, en levrette, tu poses tes coudes par terre et tu écartes tes jambes de putain.

L’Exigence était sèche et n’appelait pas à la discussion. Antoine s’exécutait et s’offrait sans que je puisse percevoir une quelconque gêne ou pudeur. Le Maitre m’attrapait une nouvelle fois par ma chevelure et me tirait à Lui en me disant :
- Toi, la salope, tu vas rester à genoux près de moi. Tu vas me regarder défoncer le cul de cette putain de chienne, tu vas bien regarder… pour que tu comprennes que Ma noble Virilité se mérite, pour que tu comprennes que les salopes comme toi, désobéissantes ou tout au moins ne respectant pas les règles de cette auguste Demeure ne peuvent prétendre à Mon Sexe… En quelque sorte une punition que je t’inflige, une punition psychologique, sans doute plus dure que ces coups de cravache sur tes burnes de lope, puisque j’ai constaté que tu bandais, espèce de petite catin que tu es !

Quelques secondes plus tard, la froideur du gel pénétrant le cul d’Antoine, le faisait trembler et gémir. Sans ménagement, Monsieur le Marquis barbouillait son intérieur avec ce lubrifiant en introduisant un, puis deux, puis trois doigts dans ce conduit maintenant écartelé et lubrifié. Antoine se laissait fouiller en gémissant doucement, docilement. Il tremblait peut-être d’impatience, peut-être d’excitation, certainement les deux… Monsieur le Marquis, maintenant à genoux derrière le fessier arrondi d’Antoine, poussait Son Vit d’un coup violent au fond de cette cavité dilatée. Bien que préparé, Antoine geignît sous cet assaut foudroyant. Il était embroché, transpercé par ce coup de boutoir impressionnant, les couilles du Maître venant buter ses fesses. Antoine fermait les yeux, des larmes coulaient sur ses joues, ses mâchoires crispées me faisait dire que la douleur avait dû être foudroyante et devait lui brûler le ventre. Mais Monsieur le Marquis n’en avait cure et commençait des va-et-vient violents et rapides, Ses coups de reins étaient d’une puissance inouïs, profonds, cadencés. Je voyais Antoine abdiquer et se résigner, les yeux inondés de larmes, la bouche grande ouverte d’extase venant se mêler à la saillie bestiale. Il acceptait ce Membre lui perforant et lui dévorant le fondement.

Le Maître finalement freinait son rythme, mais amplifiait encore la longueur de la pénétration. Il était au fond du corps d’Antoine, le Sien étant plaqué contre lui, jusqu’à la garde, Ses couilles écrasées contre son cul. Maintenant Antoine gémissait agréablement, il cambrait plus encore ses reins, apprivoisait ce Phallus incandescent, cherchant même à s’empaler encore mieux sur celui-ci. La douleur semblait avoir totalement disparu et devait laisser place à une impression incroyablement puissante. J’en bavais d’envie ! Je savais qu’à cet instant-là, mon corps tout entier eut été en ébullition, tous les nerfs de mon ventre auraient été surexcités avec des sensations inimaginables. Antoine devait connaitre ce plaisir-là, son érection, éteinte sous l’Emprise de la douleur, se réveillait et arrivait bientôt à son acmé sous l’effet du massage intérieur que lui prodiguait le Maitre. Ce dernier le possédait, le transportait au-delà des frontières du plaisir. Je les voyais en harmonie l’un et l’autre… Je rageais ! A nouveau le rythme augmentait et redevenait bestial, animal, une saillie anale dans la possession totale du corps soumis… Antoine ahanait de plus en plus fort. Chaque pénétration allait un peu plus loin, je voyais Monsieur le Marquis approcher de la jouissance.

- Lève-toi salope et garde Ma Verge au fond de toi !, ordonnait le Maître…
(A suivre…)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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