La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1600)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1600)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1599) -
Chapitre 34 bis : Un intermède punitif entre deux fécondations -
- Lève-toi salope et garde Ma Verge au fond de toi !, ordonnait le Maître…
Maintenant debout, le Noble bien en appui sur ses deux jambes, continuait à labourer Antoine, en le maintenant fermement par les hanches et tout en l’approchant de l’esclave Nala MDE. Madame Claire attrapait la nouille raide d’Antoine et la glissait dans la vulve de cette soumise esclave salope, alors que le Maître continuait à pilonner le cul de mon congénère. Pris en sandwich, Antoine contenait sa jouissance, les coups de boutoirs administrés dans son cul, le faisait aller et venir dans cette chatte largement offerte, dégoulinante de la semence précédente. Il gémissait de plus en plus fort.
- Je vais…, tentait de dire Antoine- Non pas encore !, répondait Monsieur le Marquis sèchement.
- Pi… Pitié Maî… Maître…- Jamais de pitié pour les salopes, contient-toi, le chien !
Le corps d’Antoine se tétanisait, bouche ouverte, les yeux exorbités, il râlait à chaque fois qu’il se faisait empaler, à chaque fois que sa nouille, sous ces assauts diaboliques, pénétrait plus profondément ce vagin féminin face à lui et donné en pâture. esclave Nala MDE sursautait, s’affolait, se trémoussait, alors que Madame Marie lui pinçait et tordait les tétons, alors que Madame Claire, dans une posture précaire, était maintenant assise sur son visage se faisait brouter la chatte et le cul. Les geignements étouffés de Nala, par ce corps posé sur elle, étaient simplement démoniaques et inhumains. Ses chairs intimes étaient malmenées et accablées, son ventre se contractait au rythme des pénétrations fulgurantes, on la sentait perdue, sidérée, terrassée, elle aussi, visiblement, au bord de la jouissance. A cet instant, le corps de Monsieur le Marquis était dévoré par des secousses incontrôlables, il s’agitait encore en tenant fermement les épaules d’Antoine pour se libérer du plaisir incandescent par des mouvements plus profonds quand Il se vidait brutalement, bruyamment en plusieurs jets puissants dans le cul de putain d’Antoine…
- Allez-y les salopes, jouissez, là, maintenant !, ordonnait-il le Noble
Spectateur et témoin passif, parce que puni, j’assistais à de cette incroyable orgie, à cette débauche inimaginable. Tous ces Dominants usaient et abusaient du corps de ces deux soumis esclaves… Tous… sauf un ! Monsieur Walter, le Majordome qui était resté jusqu’ici en retrait. Tellement captivé par cette scène orgiaque, je ne l’avais vu arriver vers moi. D’une main ferme, il empoignait ma chevelure, de son autre main, il me giflait violemment à trois reprises. Monsieur Walter me relâchait et m’ordonnait de me relever.
- Je veux voir si tu as tout bien compris, le bâtard !
Tête basse je m’interrogeais « Tout bien compris quoi ? »
- Offre-moi tes couilles, donne-les-moi, la salope !
Sans hésiter j’écartais davantage les cuisses.
- Mieux que ça, sale chienne !, insistait-il…
Comment faire mieux ? Je laissais mon bas-ventre à disposition, mains dans le dos, les jambes écartées plus encore.
- Tends-les-moi, ces burnes, bascule ton bassin en avant, petite pute… Oui c’est ça, soit comme ta mère, soit une bonne putain…
J’obéissais et je me trouvais parfaitement obscène dans cette posture, à tendre mes couilles ainsi. Mais très vite j’oubliais mon indécence, pour me fixer sur les derniers mots utilisés par le Majordome : ‘’… soit comme ta mère, soit une bonne putain !’’ Cette expression injurieuse avec une utilisation personnelle n’était que juron… mais pour moi, cette affirmation avait un tout autre sens, elle n’était pas si banale que ça ! Ma mère avait-elle été à la place de soumise Nala MDE ? C’était-elle fait engrosser par plusieurs soumis à la fois ? Impossible de réfléchir plus longtemps, le Majordome s’occupait de mes attributs masculins, il les pressait, les tordait, les étirait, les frappait… Je sursautais, grimaçais, geignais, mais en aucun cas je resserrais mes jambes… Finalement, Walter m’entrainait derrière lui, en me tenant par les burnes jusque vers le Maître reprenant son souffle. Il essuyait Son gland, tout juste sorti du cul d’Antoine, avec Ses doigts qu’il me portait ensuite à ma bouche. Je les Lui nettoyais doucement avec ma langue et mes lèvres sensuelles, me contentant que de cette modeste attention. Une douce délectation de ces fluides intimes qui m’enflammait de nouveau. Mais il y avait autre chose qui aiguisait mon appétit sexuel, ma libido exacerbée, c’était ses odeurs de cul, de cyprine, de sperme qui envahissaient la pièce, ajoutant ainsi un peu plus encore de lubricité à cet environnement charnel et concupiscent. Ma nouille était raide, une nouvelle fois tendue vers le ciel malgré la pression exercée par cette main de fer sur mes couilles.
- Ces comprimés sont formidables, ne trouvez-vous pas, Monsieur le Marquis ?, interrogeait Madame Claire- En effet, ils le sont, reprenait le Noble en attrapant lui aussi fermement ma nouille érigée.
- Ils ont un double avantage, voir bander sans cesse vos deux salopes grâce à l’aphrodisiaque puissant qu’ils contiennent, mais aussi leur permettre de produire davantage de foutre grâce à la stimulation de la spermiogenèse. C’est ce qui nous intéresse aujourd’hui, si nous voulons que votre chienne Nala MDE soit pleine d’ici ce soir. Nous allons les faire forniquer encore et encore, jusqu’à ce que les couilles de vos deux salopes mâles soient totalement asséchées, qu’il n’y ait plus une goutte de jus qui sorte de leur chibre infâme. Croyez-moi, Mon Cher Edouard, ces deux putes mâles n’auront plus envie de se branler pendant quelques jours...
Les deux mains s’agrippant à mes génitaux venaient de se retirer. Walter m’ordonnait de me pencher en avant en écartant les jambes et en cambrant mon cul. Etrangement, le Majordome me massait le dos d’une manière très sensuelle, des épaules aux fesses. Il s’arrêtait sur ces dernières, les caressant très doucement et en descendant son doigt sur ma raie. Je me crispais légèrement et serrais les fesses dans un réflexe prude. Une claque sur mon cul me rappelait à l’ordre. Walter reprenait et insistait, se frayait rapidement un chemin jusqu’au fond de ma raie. Il allait du bas du dos, en passant par le lobe des fesses d’une manière délicieuse, étrangement aussi érotique qu’apaisante. Je craignais le pire… Jamais le Majordome s’était montré aussi tendre, aussi sensuel. Malgré cette crainte, ma nouille s’emballait, ruisselait, plus encore, lorsque je percevais une fraicheur au fond de mes fesses. Son doigt, puis ses doigts lubrifiés flattaient d’abord mon entrée puis s’éternisaient sur mon anus avant de progresser lentement au fond de mon ventre. Ils jouaient, caressaient, pressaient, entraient et ressortaient jusqu’à ce que mon intérieur ne soit plus qu’un centre de plaisirs diffus, toutes les sensations accumulées s’unissant pour me mettre le feu au cul. Le Majordome ressortait ses doigts pour finalement me mettre un objet sur mon trou. Il l’introduisait brutalement m’arrachant un geignement rauque.
- J’ai trouvé un moyen efficace pour soutirer les souillures de Votre petite salope, Monsieur le Marquis. Je ne lui donne pas deux minutes pour cracher son foutre. Ce stimulateur prostatique vibrant en silicone, placé dans son cul de chienne, avec cette télécommande sans fil, va d’une part lui stimuler le périnée et d’autre part masser énergiquement sa glande interne. Je vous donne ma parole, Monsieur le Marquis, que Votre petite pute va larguer sa purée en quelques secondes seulement, sans réellement jouir. Il se contentera d’ensemencer cette petite garce de Nala MDE. Tenez Monsieur le Marquis, voilà la télécommande, je l’ai mis sur la puissance maximum, il vous suffira d’appuyer sur ce petit bouton ci, quand bon Vous semblera.
Walter enduisait ma nouille toujours dressée de lubrifiant, la massait énergiquement par deux allers-retours seulement et la plantait dans la chatte de soumise Nala MDE.
- Je te conseille de te cramponner au fauteuil gynécologique la pute, ta nouille devant obligatoirement rester logée dans la chatte de cette putain, jusqu’à ce que nous en décidions autrement, me dictait Madame Claire toujours occupée à se faire lécher
Je n’en menais pas large… pourtant l’objet arrimé dans mon cul me procurait une forte sensation érotique et dès que celui se mettait en route, je ressentais d’instances vibrations au niveau de mon périnée… puis soudainement, un massage violent, un stimuli sexuel intense et localisé uniquement sur ma prostate. Mon corps tout entier palpitait, je gesticulais, frissonnais, oscillais, tressaillais, ne pouvant plus maitriser quoi que ce soit… Je sentais ma nouille résonner au fond de cette moule gluante, avec une impression horrible. Il me semblait que je pissais dans ce conduit déjà détrempé. Evidemment je me trompais, j’évacuais ma semence sans passion, sans plaisir, sans extase, mais avec abondance ...
(A suivre…)
Chapitre 34 bis : Un intermède punitif entre deux fécondations -
- Lève-toi salope et garde Ma Verge au fond de toi !, ordonnait le Maître…
Maintenant debout, le Noble bien en appui sur ses deux jambes, continuait à labourer Antoine, en le maintenant fermement par les hanches et tout en l’approchant de l’esclave Nala MDE. Madame Claire attrapait la nouille raide d’Antoine et la glissait dans la vulve de cette soumise esclave salope, alors que le Maître continuait à pilonner le cul de mon congénère. Pris en sandwich, Antoine contenait sa jouissance, les coups de boutoirs administrés dans son cul, le faisait aller et venir dans cette chatte largement offerte, dégoulinante de la semence précédente. Il gémissait de plus en plus fort.
- Je vais…, tentait de dire Antoine- Non pas encore !, répondait Monsieur le Marquis sèchement.
- Pi… Pitié Maî… Maître…- Jamais de pitié pour les salopes, contient-toi, le chien !
Le corps d’Antoine se tétanisait, bouche ouverte, les yeux exorbités, il râlait à chaque fois qu’il se faisait empaler, à chaque fois que sa nouille, sous ces assauts diaboliques, pénétrait plus profondément ce vagin féminin face à lui et donné en pâture. esclave Nala MDE sursautait, s’affolait, se trémoussait, alors que Madame Marie lui pinçait et tordait les tétons, alors que Madame Claire, dans une posture précaire, était maintenant assise sur son visage se faisait brouter la chatte et le cul. Les geignements étouffés de Nala, par ce corps posé sur elle, étaient simplement démoniaques et inhumains. Ses chairs intimes étaient malmenées et accablées, son ventre se contractait au rythme des pénétrations fulgurantes, on la sentait perdue, sidérée, terrassée, elle aussi, visiblement, au bord de la jouissance. A cet instant, le corps de Monsieur le Marquis était dévoré par des secousses incontrôlables, il s’agitait encore en tenant fermement les épaules d’Antoine pour se libérer du plaisir incandescent par des mouvements plus profonds quand Il se vidait brutalement, bruyamment en plusieurs jets puissants dans le cul de putain d’Antoine…
- Allez-y les salopes, jouissez, là, maintenant !, ordonnait-il le Noble
Spectateur et témoin passif, parce que puni, j’assistais à de cette incroyable orgie, à cette débauche inimaginable. Tous ces Dominants usaient et abusaient du corps de ces deux soumis esclaves… Tous… sauf un ! Monsieur Walter, le Majordome qui était resté jusqu’ici en retrait. Tellement captivé par cette scène orgiaque, je ne l’avais vu arriver vers moi. D’une main ferme, il empoignait ma chevelure, de son autre main, il me giflait violemment à trois reprises. Monsieur Walter me relâchait et m’ordonnait de me relever.
- Je veux voir si tu as tout bien compris, le bâtard !
Tête basse je m’interrogeais « Tout bien compris quoi ? »
- Offre-moi tes couilles, donne-les-moi, la salope !
Sans hésiter j’écartais davantage les cuisses.
- Mieux que ça, sale chienne !, insistait-il…
Comment faire mieux ? Je laissais mon bas-ventre à disposition, mains dans le dos, les jambes écartées plus encore.
- Tends-les-moi, ces burnes, bascule ton bassin en avant, petite pute… Oui c’est ça, soit comme ta mère, soit une bonne putain…
J’obéissais et je me trouvais parfaitement obscène dans cette posture, à tendre mes couilles ainsi. Mais très vite j’oubliais mon indécence, pour me fixer sur les derniers mots utilisés par le Majordome : ‘’… soit comme ta mère, soit une bonne putain !’’ Cette expression injurieuse avec une utilisation personnelle n’était que juron… mais pour moi, cette affirmation avait un tout autre sens, elle n’était pas si banale que ça ! Ma mère avait-elle été à la place de soumise Nala MDE ? C’était-elle fait engrosser par plusieurs soumis à la fois ? Impossible de réfléchir plus longtemps, le Majordome s’occupait de mes attributs masculins, il les pressait, les tordait, les étirait, les frappait… Je sursautais, grimaçais, geignais, mais en aucun cas je resserrais mes jambes… Finalement, Walter m’entrainait derrière lui, en me tenant par les burnes jusque vers le Maître reprenant son souffle. Il essuyait Son gland, tout juste sorti du cul d’Antoine, avec Ses doigts qu’il me portait ensuite à ma bouche. Je les Lui nettoyais doucement avec ma langue et mes lèvres sensuelles, me contentant que de cette modeste attention. Une douce délectation de ces fluides intimes qui m’enflammait de nouveau. Mais il y avait autre chose qui aiguisait mon appétit sexuel, ma libido exacerbée, c’était ses odeurs de cul, de cyprine, de sperme qui envahissaient la pièce, ajoutant ainsi un peu plus encore de lubricité à cet environnement charnel et concupiscent. Ma nouille était raide, une nouvelle fois tendue vers le ciel malgré la pression exercée par cette main de fer sur mes couilles.
- Ces comprimés sont formidables, ne trouvez-vous pas, Monsieur le Marquis ?, interrogeait Madame Claire- En effet, ils le sont, reprenait le Noble en attrapant lui aussi fermement ma nouille érigée.
- Ils ont un double avantage, voir bander sans cesse vos deux salopes grâce à l’aphrodisiaque puissant qu’ils contiennent, mais aussi leur permettre de produire davantage de foutre grâce à la stimulation de la spermiogenèse. C’est ce qui nous intéresse aujourd’hui, si nous voulons que votre chienne Nala MDE soit pleine d’ici ce soir. Nous allons les faire forniquer encore et encore, jusqu’à ce que les couilles de vos deux salopes mâles soient totalement asséchées, qu’il n’y ait plus une goutte de jus qui sorte de leur chibre infâme. Croyez-moi, Mon Cher Edouard, ces deux putes mâles n’auront plus envie de se branler pendant quelques jours...
Les deux mains s’agrippant à mes génitaux venaient de se retirer. Walter m’ordonnait de me pencher en avant en écartant les jambes et en cambrant mon cul. Etrangement, le Majordome me massait le dos d’une manière très sensuelle, des épaules aux fesses. Il s’arrêtait sur ces dernières, les caressant très doucement et en descendant son doigt sur ma raie. Je me crispais légèrement et serrais les fesses dans un réflexe prude. Une claque sur mon cul me rappelait à l’ordre. Walter reprenait et insistait, se frayait rapidement un chemin jusqu’au fond de ma raie. Il allait du bas du dos, en passant par le lobe des fesses d’une manière délicieuse, étrangement aussi érotique qu’apaisante. Je craignais le pire… Jamais le Majordome s’était montré aussi tendre, aussi sensuel. Malgré cette crainte, ma nouille s’emballait, ruisselait, plus encore, lorsque je percevais une fraicheur au fond de mes fesses. Son doigt, puis ses doigts lubrifiés flattaient d’abord mon entrée puis s’éternisaient sur mon anus avant de progresser lentement au fond de mon ventre. Ils jouaient, caressaient, pressaient, entraient et ressortaient jusqu’à ce que mon intérieur ne soit plus qu’un centre de plaisirs diffus, toutes les sensations accumulées s’unissant pour me mettre le feu au cul. Le Majordome ressortait ses doigts pour finalement me mettre un objet sur mon trou. Il l’introduisait brutalement m’arrachant un geignement rauque.
- J’ai trouvé un moyen efficace pour soutirer les souillures de Votre petite salope, Monsieur le Marquis. Je ne lui donne pas deux minutes pour cracher son foutre. Ce stimulateur prostatique vibrant en silicone, placé dans son cul de chienne, avec cette télécommande sans fil, va d’une part lui stimuler le périnée et d’autre part masser énergiquement sa glande interne. Je vous donne ma parole, Monsieur le Marquis, que Votre petite pute va larguer sa purée en quelques secondes seulement, sans réellement jouir. Il se contentera d’ensemencer cette petite garce de Nala MDE. Tenez Monsieur le Marquis, voilà la télécommande, je l’ai mis sur la puissance maximum, il vous suffira d’appuyer sur ce petit bouton ci, quand bon Vous semblera.
Walter enduisait ma nouille toujours dressée de lubrifiant, la massait énergiquement par deux allers-retours seulement et la plantait dans la chatte de soumise Nala MDE.
- Je te conseille de te cramponner au fauteuil gynécologique la pute, ta nouille devant obligatoirement rester logée dans la chatte de cette putain, jusqu’à ce que nous en décidions autrement, me dictait Madame Claire toujours occupée à se faire lécher
Je n’en menais pas large… pourtant l’objet arrimé dans mon cul me procurait une forte sensation érotique et dès que celui se mettait en route, je ressentais d’instances vibrations au niveau de mon périnée… puis soudainement, un massage violent, un stimuli sexuel intense et localisé uniquement sur ma prostate. Mon corps tout entier palpitait, je gesticulais, frissonnais, oscillais, tressaillais, ne pouvant plus maitriser quoi que ce soit… Je sentais ma nouille résonner au fond de cette moule gluante, avec une impression horrible. Il me semblait que je pissais dans ce conduit déjà détrempé. Evidemment je me trompais, j’évacuais ma semence sans passion, sans plaisir, sans extase, mais avec abondance ...
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