La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1603)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1603)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1600) -
Chapitre 35 : Totalement possédé -
Evidemment je me trompais, j’évacuais ma semence sans passion, sans plaisir, sans extase, mais avec abondance ...
Antoine et moi étions de nouveau à genoux devant ces deux sœurs jumelles tellement perverses. Elles semblaient toutes deux jouir sadiquement de la situation. Elles nous avaient annihilés, réduits à rien, n’ayant plus aucune volonté, sans plus de personnalité, totalement paralysés de nos facultés mentales et surtout physiques. Nous étions dans un état pitoyable, tels deux misérables esclaves sexuels éreintés et vidés, deux objets dépravés, sous leur vicieux joug ! Chacun notre tour, à six reprises, nous nous étions vus contraints de féconder cette jeune et très belle femelle esclave salope Nala MDE, avec ses cuisses largement écartées et toujours sanglées dans ce fauteuil gynécologique, près de nous. Elle aussi n’en pouvait plus de ces douze rapports sexuels subis en si peu de temps. Pauvre esclave salope Nala MDE ! Sa vulve cramoisie, rouge écarlate, n’était qu’un agglomérat de chair meurtrie, souillée de foutres et collante d’aspect. Une partie de nos spermes ressortait, dégoulinant de ses lèvres intimes, comme un trop-plein débordant d’un siphon bouché. Quant à nous, les mâles-reproducteurs, que nous étions juste pour une fécondation imposée, nos nouilles maintenant flasques et douloureuses reposaient sur nos couilles taries, plus que vidées et à l’agonie. Madame Marie, non sans sadisme, s’était approchée de moi, du bout de sa cravache, elle soulevait mes burnes, les tapotant tout en se penchant un peu pour les examiner de plus près.
- Es-tu sûr bâtard qu’il n’y a plus de jus là-dedans ?, m’interrogeait-elle odieusement, avec une moquerie mesquine.
Comment pouvais-je en être certain… Que faire ? Que dire ? Heureusement cette perverse cuisinière n’attendait aucune réponse de ma part, elle soulevait maintenant les burnes d’Antoine de la même manière en lui posant la même question et avec un sourire d’une rare de dédain.
- On dirait que ces deux putains ne sont plus en mesure de se vanter, avec leurs nouilles molles. Ces deux catins sont moins fières maintenant que nous avons anéanti leur virilité de petits mâles. Ces deux chiens sont beaucoup moins arrogants et prétentieux dès lors que leurs couilles pendantes sont vides et légères… Leur nouille ne leur servira plus qu’à pisser et pour un bon bout de temps ! … Qu’en penses-tu, ma chère Claire ?
- Oh moi, je ne crois que ce que je vois… Je veux être sûre que leurs burnes soient totalement drainées et asséchées… et je ne vois qu’une solution à ça !
Madame Claire s’était tue. Odieuse dans le propos comme dans le ton employé, elle nous laissait une fois encore, dans l’expectative, dans la crainte d’un affront supplémentaire. Elle passait doucement derrière nous, cravachant gentiment, trop complaisamment nos omoplates. Je m’attendais au pire, tout en me questionnant… Comment connaitre plus dégradant et humiliant encore ? Elle m’attrapait le menton, me soulevant le visage. Ces grands yeux noirs pernicieux et diaboliques me foudroyaient dans son regard si intense, il n’y avait que mépris. J’étais incapable de garder plus longtemps mon regard dans le sien, apeuré et craintif, je baisais les paupières.
- Petite salope, tu vas devoir me justifier qu’il n’y a plus rien du tout dans ton minus sac à foutre. Je veux être certaine qu’il ne reste rien d’autres que tes deux minables petites boules de chiot, dans ce ridicule réceptacle pendant entre tes cuisses de bâtard de chien… La Nature a été trop généreuse avec toi, tu ne mérites pas d’avoir des couilles … Alors il est utile que nous nous servions de ce qu’elles peuvent contenir pour nos projets … Et puis, sache que ton père était comme tu es maintenant, quand il a fécondé ta putain de mère… Et pour quel résultat ? Hein ? Eh bien, pour donner naissance à un bâtard comme toi ! Ha, ! ha ! ha !, finit-elle par me dire en éclatant d’un rire sadique…
Mon corps tremblait, des frissons incontrôlables parcouraient mon échine. Une fois encore, elle me laissait dans l’attente, dans l’avanie et le déshonneur, dans l’insulte dégradante parlant de mes parents et de ce qu’ils avaient engendrés, alors qu’elle, cette sadique, jubilait, triomphait en m’anéantissant totalement. Madame Claire se relevait, me contournait, évitait le corps d’Antoine toujours immobile, tête basse, le regard au sol. Elle se plaçait devant nous, à deux mètres de nous.
- Regardez-moi les putes, hurlait-elle subitement
Difficile de nous soustraire à ce regard sadique, l’humiliante gynéco lentement nous dévisageait l’un et l’autre, sa tête allant de gauche à droite, très lentement. Elle passait sa langue régulièrement sur ses lèvres, telle une hyène affamée devant une proie, deux en l’occurrence ! Elle était odieuse, détestable et méprisable… Jamais je n’avais vécu de telles humiliations. Soudainement elle éclatait de nouveau de rire, un rire quelque peu forcé, cette fois…
- Vous ne ressemblez à rien les putes… vous n’êtes rien d’ailleurs, deux petites choses insignifiantes. Je vous vois apeurés, tremblants, voire effrayés… Pourtant je suis gentille avec vous… Je suis tellement adorable que j’ai l’intention de vous faire plaisir en vous imposant un petit jeu… Oui un petit jeu, disons, … un tantinet pervers !...
Comme à son habitude, Madame Claire se taisait… un long et lourd silence… avant de reprendre !
- Vous allez tous les deux vous branler, là devant moi et ma sœur. Je vous donne dix minutes maxima pour extraire le peu de jus qu’il reste dans vos couilles… Le premier de vous deux qui éjaculera sera récompensé et l’autre puni bien sûr… Si ni l’un, ni l’autre n’a réussi le challenge au bout des dix minutes consenties, alors, Madame Marie, ma charmante sœur se fera un véritable plaisir, elle vous sanctionnera sévèrement. Vous la connaissez ma sœur, mieux que moi, elle est d’une perversité à toute épreuve, son sadisme n’est plus à démontrer, nous disait calmement et avec fierté, cette satanée médecin avant de nous crier : - Empoignez vos nouilles et mettez-y de l’énergie et de l’entrain, branlez-vous petites salopes que vous êtes, allez top chrono !
Cette femme était simplement démoniaque, possédée par la perversité… Elle nous toisait avec dédain et condescendance…. Tout comme Antoine, je ne parvenais pas à faire se redresser ma nouille qui avait été trop sollicitée. Je l’astiquais pourtant énergiquement, des coups de poignets rapides ou lents, en faisant défiler dans mon cerveau des images érotiques et pornographiques électrisantes, et même des scènes et situations de Domination/soumission qui en temps normal me faisaient terriblement bander… Mais là, au vu de l’évident épuisement éjaculatoire, rien n’y faisait. Nous nous paluchions depuis déjà cinq minutes et nos bites restaient amorphes, inconsistantes et insignifiantes… Juste un petit regain d’excitation pour moi, lorsque Walter entrait. Il nous toisait rapidement puis s’adressait aux sadiques jumelles.
- Désolé de vous déranger, Mesdames, mais sur ordre de Monsieur le Marquis, je dois emmener tous de suite Ses deux chiens, sans attendre.
Je bénissais ce cher Majordome, et bien évidement le Maître… Ils nous sauvaient d’une punition certaine. Avant même d’attendre une quelconque réponse des deux frangines, Walter se saisissait de nos colliers et nous entrainait courbés, à sa suite, d’un pas rapide…
- Soit, répliqua Madame Claire, Monsieur le Marquis reste le Seul décideur sur Ses propriétés ! Walter, tu Lui diras que ces deux chiens ont parfaitement rempli, et certainement fécondé par la même occasion, la chienne esclave Nala MDE !, même s’Il a dû voir tout cela en direct en vidéo-surveillance- Pas de souci, Claire, je lui dis tout de même, aller, je vous laisse, les frangines ! Ah une dernière chose, Monsieur le Marquis m’a dit de vous rappeler que vous pouvez à volonté, utiliser esclave Nala MDE, pour vos plaisirs ! Alors ne vous gênez pas !, rajouta-t-il en nous emmenant hors de la pièce…
Le Majordome nous emmena jusque dans une pièce vide et austère, au troisième étage du Château.
- Attendez là, les salopes, cul par terre, assis en tailleur, mains dans le dos et tête baissée. Je pense que je n’ai pas besoin de mettre vos nouilles en cage, ni de vous attacher les mains !, ajoutait Walter avec un rire goguenard.
Non il n’en avait vraiment pas besoin… Il repartait en claquant la porte derrière lui, mais peu après il revenait en compagnie d’un homme que je ne connaissais pas. Celui-ci ne fit cas de nous. Il s’excusait auprès de Walter d’avoir un peu de retard.
- J’arrive tout juste de Paris, en TGV… et sortir de Lyon, et plus particulièrement de la Part Dieu à cette heure-ci pour rejoindre cette belle contrée beaujolaise, ce n’est pas du gâteau !
- Ne vous inquiétez pas Markus, Prenez votre temps !, lui répondait le Majordome.
Qui était cet homme à l’accent scandinave que Walter avait appelé Markus ? Grand, bien bâti, l’œil vif avec une tignasse blonde, vêtu strictement dans un complet bleu foncé.
- Y-a-t ’il un lieu pour me changer, Walter ?
- Mais bien sûr, le Château est bien assez grand ! Venez, suivez-moi.
Lorsqu’il revenait, toujours accompagné du Majordome, il était métamorphosé : Un jeans presque moulant, polo du même style, lunettes dans les cheveux. Il avait un physique assez impressionnant et un charme qui ne l’était pas moins, un look hétéro. Cette fois-ci, il nous contemplait, soulevant nos mentons respectifs, ses yeux nous transperçaient, les petites rides qui les entouraient lorsqu’il me souriait me faisaient fondre et la virilité qui ressortait de tout son corps et sa posture. Des bras forts, une mâchoire bien découpée, un torse solide et apparemment délicatement poilu, selon ce que le polo laissait voir. Tout concourait à me mettre en émoi, malgré la terrible matinée passée entre les mains de ces deux sœurs perverses, ma nouille très timidement frémissait. Markus se relevait et continuait de discuter avec Walter, conversation que je n’écoutais pas me contentant d’admirer son corps, prisonnier dans ses habits moulants. La bosse, que sa bite et ses couilles faisaient apparaitre sur le jeans, ressortait bien, de même que les marques appuyées de ses tétons sur le polo. Lorsqu’il se tournait, je ne pouvais rien faire d’autre que d’admirer son cul, si bien dessiné dans son pantalon.
- Avant de commencer mes massages, il faudrait que je puisse uriner mon cher Walter.
- Suivez-moi !
En attendant que ce Markus revienne, je l’imaginais en train de pisser, d’ouvrir sa braguette, de sortir sa bite de son slip, de la tenir entre ses doigts, de la secouer pour en faire tomber les dernières gouttes. J’imaginais un bel engin, bien logé dans une toison blonde et surmontant des couilles proportionnées à la taille du personnage. Ces idées qui me traversaient la tête avaient pour effet de me faire gonfler un peu ma nouille. « Tu es formaté gay, mon pauvre Alex, soumis esclave mais gay avant tout ! », pensais-je
- Alex… Allo… allo… Alex, tu as entendu… - Non rien, j’étais perché, répondis-je à Antoine…- Eh bien perché, si j’en crois ta nouille, c’est cet homme qui te fait bander ?
- Oui !
- Tu n’as pas entendu que nous allions être massés… - Non, rien entendu !
- C’est une belle récompense que le Maître nous offre, j’en suis quasiment certain…
Markus et le Majordome rentraient de nouveau.
- Par qui je commence ?, questionnais Markus- Comme il vous plaira, lui répondait Walter
L’inconnu saisissait d’une main ferme mon collier. Il me soulevait du sol gaillardement.
- Allez viens avec moi, mon mignon, suis-moi !
Dans cette pièce jouxtant celle que nous venions de quitter, Markus m’ordonnait de me coucher à plat ventre sur un large futon posé à même le sol. Une fois positionné, Markus me bandait les yeux avec un foulard en soie…
(A suivre…)
Chapitre 35 : Totalement possédé -
Evidemment je me trompais, j’évacuais ma semence sans passion, sans plaisir, sans extase, mais avec abondance ...
Antoine et moi étions de nouveau à genoux devant ces deux sœurs jumelles tellement perverses. Elles semblaient toutes deux jouir sadiquement de la situation. Elles nous avaient annihilés, réduits à rien, n’ayant plus aucune volonté, sans plus de personnalité, totalement paralysés de nos facultés mentales et surtout physiques. Nous étions dans un état pitoyable, tels deux misérables esclaves sexuels éreintés et vidés, deux objets dépravés, sous leur vicieux joug ! Chacun notre tour, à six reprises, nous nous étions vus contraints de féconder cette jeune et très belle femelle esclave salope Nala MDE, avec ses cuisses largement écartées et toujours sanglées dans ce fauteuil gynécologique, près de nous. Elle aussi n’en pouvait plus de ces douze rapports sexuels subis en si peu de temps. Pauvre esclave salope Nala MDE ! Sa vulve cramoisie, rouge écarlate, n’était qu’un agglomérat de chair meurtrie, souillée de foutres et collante d’aspect. Une partie de nos spermes ressortait, dégoulinant de ses lèvres intimes, comme un trop-plein débordant d’un siphon bouché. Quant à nous, les mâles-reproducteurs, que nous étions juste pour une fécondation imposée, nos nouilles maintenant flasques et douloureuses reposaient sur nos couilles taries, plus que vidées et à l’agonie. Madame Marie, non sans sadisme, s’était approchée de moi, du bout de sa cravache, elle soulevait mes burnes, les tapotant tout en se penchant un peu pour les examiner de plus près.
- Es-tu sûr bâtard qu’il n’y a plus de jus là-dedans ?, m’interrogeait-elle odieusement, avec une moquerie mesquine.
Comment pouvais-je en être certain… Que faire ? Que dire ? Heureusement cette perverse cuisinière n’attendait aucune réponse de ma part, elle soulevait maintenant les burnes d’Antoine de la même manière en lui posant la même question et avec un sourire d’une rare de dédain.
- On dirait que ces deux putains ne sont plus en mesure de se vanter, avec leurs nouilles molles. Ces deux catins sont moins fières maintenant que nous avons anéanti leur virilité de petits mâles. Ces deux chiens sont beaucoup moins arrogants et prétentieux dès lors que leurs couilles pendantes sont vides et légères… Leur nouille ne leur servira plus qu’à pisser et pour un bon bout de temps ! … Qu’en penses-tu, ma chère Claire ?
- Oh moi, je ne crois que ce que je vois… Je veux être sûre que leurs burnes soient totalement drainées et asséchées… et je ne vois qu’une solution à ça !
Madame Claire s’était tue. Odieuse dans le propos comme dans le ton employé, elle nous laissait une fois encore, dans l’expectative, dans la crainte d’un affront supplémentaire. Elle passait doucement derrière nous, cravachant gentiment, trop complaisamment nos omoplates. Je m’attendais au pire, tout en me questionnant… Comment connaitre plus dégradant et humiliant encore ? Elle m’attrapait le menton, me soulevant le visage. Ces grands yeux noirs pernicieux et diaboliques me foudroyaient dans son regard si intense, il n’y avait que mépris. J’étais incapable de garder plus longtemps mon regard dans le sien, apeuré et craintif, je baisais les paupières.
- Petite salope, tu vas devoir me justifier qu’il n’y a plus rien du tout dans ton minus sac à foutre. Je veux être certaine qu’il ne reste rien d’autres que tes deux minables petites boules de chiot, dans ce ridicule réceptacle pendant entre tes cuisses de bâtard de chien… La Nature a été trop généreuse avec toi, tu ne mérites pas d’avoir des couilles … Alors il est utile que nous nous servions de ce qu’elles peuvent contenir pour nos projets … Et puis, sache que ton père était comme tu es maintenant, quand il a fécondé ta putain de mère… Et pour quel résultat ? Hein ? Eh bien, pour donner naissance à un bâtard comme toi ! Ha, ! ha ! ha !, finit-elle par me dire en éclatant d’un rire sadique…
Mon corps tremblait, des frissons incontrôlables parcouraient mon échine. Une fois encore, elle me laissait dans l’attente, dans l’avanie et le déshonneur, dans l’insulte dégradante parlant de mes parents et de ce qu’ils avaient engendrés, alors qu’elle, cette sadique, jubilait, triomphait en m’anéantissant totalement. Madame Claire se relevait, me contournait, évitait le corps d’Antoine toujours immobile, tête basse, le regard au sol. Elle se plaçait devant nous, à deux mètres de nous.
- Regardez-moi les putes, hurlait-elle subitement
Difficile de nous soustraire à ce regard sadique, l’humiliante gynéco lentement nous dévisageait l’un et l’autre, sa tête allant de gauche à droite, très lentement. Elle passait sa langue régulièrement sur ses lèvres, telle une hyène affamée devant une proie, deux en l’occurrence ! Elle était odieuse, détestable et méprisable… Jamais je n’avais vécu de telles humiliations. Soudainement elle éclatait de nouveau de rire, un rire quelque peu forcé, cette fois…
- Vous ne ressemblez à rien les putes… vous n’êtes rien d’ailleurs, deux petites choses insignifiantes. Je vous vois apeurés, tremblants, voire effrayés… Pourtant je suis gentille avec vous… Je suis tellement adorable que j’ai l’intention de vous faire plaisir en vous imposant un petit jeu… Oui un petit jeu, disons, … un tantinet pervers !...
Comme à son habitude, Madame Claire se taisait… un long et lourd silence… avant de reprendre !
- Vous allez tous les deux vous branler, là devant moi et ma sœur. Je vous donne dix minutes maxima pour extraire le peu de jus qu’il reste dans vos couilles… Le premier de vous deux qui éjaculera sera récompensé et l’autre puni bien sûr… Si ni l’un, ni l’autre n’a réussi le challenge au bout des dix minutes consenties, alors, Madame Marie, ma charmante sœur se fera un véritable plaisir, elle vous sanctionnera sévèrement. Vous la connaissez ma sœur, mieux que moi, elle est d’une perversité à toute épreuve, son sadisme n’est plus à démontrer, nous disait calmement et avec fierté, cette satanée médecin avant de nous crier : - Empoignez vos nouilles et mettez-y de l’énergie et de l’entrain, branlez-vous petites salopes que vous êtes, allez top chrono !
Cette femme était simplement démoniaque, possédée par la perversité… Elle nous toisait avec dédain et condescendance…. Tout comme Antoine, je ne parvenais pas à faire se redresser ma nouille qui avait été trop sollicitée. Je l’astiquais pourtant énergiquement, des coups de poignets rapides ou lents, en faisant défiler dans mon cerveau des images érotiques et pornographiques électrisantes, et même des scènes et situations de Domination/soumission qui en temps normal me faisaient terriblement bander… Mais là, au vu de l’évident épuisement éjaculatoire, rien n’y faisait. Nous nous paluchions depuis déjà cinq minutes et nos bites restaient amorphes, inconsistantes et insignifiantes… Juste un petit regain d’excitation pour moi, lorsque Walter entrait. Il nous toisait rapidement puis s’adressait aux sadiques jumelles.
- Désolé de vous déranger, Mesdames, mais sur ordre de Monsieur le Marquis, je dois emmener tous de suite Ses deux chiens, sans attendre.
Je bénissais ce cher Majordome, et bien évidement le Maître… Ils nous sauvaient d’une punition certaine. Avant même d’attendre une quelconque réponse des deux frangines, Walter se saisissait de nos colliers et nous entrainait courbés, à sa suite, d’un pas rapide…
- Soit, répliqua Madame Claire, Monsieur le Marquis reste le Seul décideur sur Ses propriétés ! Walter, tu Lui diras que ces deux chiens ont parfaitement rempli, et certainement fécondé par la même occasion, la chienne esclave Nala MDE !, même s’Il a dû voir tout cela en direct en vidéo-surveillance- Pas de souci, Claire, je lui dis tout de même, aller, je vous laisse, les frangines ! Ah une dernière chose, Monsieur le Marquis m’a dit de vous rappeler que vous pouvez à volonté, utiliser esclave Nala MDE, pour vos plaisirs ! Alors ne vous gênez pas !, rajouta-t-il en nous emmenant hors de la pièce…
Le Majordome nous emmena jusque dans une pièce vide et austère, au troisième étage du Château.
- Attendez là, les salopes, cul par terre, assis en tailleur, mains dans le dos et tête baissée. Je pense que je n’ai pas besoin de mettre vos nouilles en cage, ni de vous attacher les mains !, ajoutait Walter avec un rire goguenard.
Non il n’en avait vraiment pas besoin… Il repartait en claquant la porte derrière lui, mais peu après il revenait en compagnie d’un homme que je ne connaissais pas. Celui-ci ne fit cas de nous. Il s’excusait auprès de Walter d’avoir un peu de retard.
- J’arrive tout juste de Paris, en TGV… et sortir de Lyon, et plus particulièrement de la Part Dieu à cette heure-ci pour rejoindre cette belle contrée beaujolaise, ce n’est pas du gâteau !
- Ne vous inquiétez pas Markus, Prenez votre temps !, lui répondait le Majordome.
Qui était cet homme à l’accent scandinave que Walter avait appelé Markus ? Grand, bien bâti, l’œil vif avec une tignasse blonde, vêtu strictement dans un complet bleu foncé.
- Y-a-t ’il un lieu pour me changer, Walter ?
- Mais bien sûr, le Château est bien assez grand ! Venez, suivez-moi.
Lorsqu’il revenait, toujours accompagné du Majordome, il était métamorphosé : Un jeans presque moulant, polo du même style, lunettes dans les cheveux. Il avait un physique assez impressionnant et un charme qui ne l’était pas moins, un look hétéro. Cette fois-ci, il nous contemplait, soulevant nos mentons respectifs, ses yeux nous transperçaient, les petites rides qui les entouraient lorsqu’il me souriait me faisaient fondre et la virilité qui ressortait de tout son corps et sa posture. Des bras forts, une mâchoire bien découpée, un torse solide et apparemment délicatement poilu, selon ce que le polo laissait voir. Tout concourait à me mettre en émoi, malgré la terrible matinée passée entre les mains de ces deux sœurs perverses, ma nouille très timidement frémissait. Markus se relevait et continuait de discuter avec Walter, conversation que je n’écoutais pas me contentant d’admirer son corps, prisonnier dans ses habits moulants. La bosse, que sa bite et ses couilles faisaient apparaitre sur le jeans, ressortait bien, de même que les marques appuyées de ses tétons sur le polo. Lorsqu’il se tournait, je ne pouvais rien faire d’autre que d’admirer son cul, si bien dessiné dans son pantalon.
- Avant de commencer mes massages, il faudrait que je puisse uriner mon cher Walter.
- Suivez-moi !
En attendant que ce Markus revienne, je l’imaginais en train de pisser, d’ouvrir sa braguette, de sortir sa bite de son slip, de la tenir entre ses doigts, de la secouer pour en faire tomber les dernières gouttes. J’imaginais un bel engin, bien logé dans une toison blonde et surmontant des couilles proportionnées à la taille du personnage. Ces idées qui me traversaient la tête avaient pour effet de me faire gonfler un peu ma nouille. « Tu es formaté gay, mon pauvre Alex, soumis esclave mais gay avant tout ! », pensais-je
- Alex… Allo… allo… Alex, tu as entendu… - Non rien, j’étais perché, répondis-je à Antoine…- Eh bien perché, si j’en crois ta nouille, c’est cet homme qui te fait bander ?
- Oui !
- Tu n’as pas entendu que nous allions être massés… - Non, rien entendu !
- C’est une belle récompense que le Maître nous offre, j’en suis quasiment certain…
Markus et le Majordome rentraient de nouveau.
- Par qui je commence ?, questionnais Markus- Comme il vous plaira, lui répondait Walter
L’inconnu saisissait d’une main ferme mon collier. Il me soulevait du sol gaillardement.
- Allez viens avec moi, mon mignon, suis-moi !
Dans cette pièce jouxtant celle que nous venions de quitter, Markus m’ordonnait de me coucher à plat ventre sur un large futon posé à même le sol. Une fois positionné, Markus me bandait les yeux avec un foulard en soie…
(A suivre…)
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