La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1604)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1604) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1604)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1603) -
Chapitre 35 (bis) : Totalement possédé -
Une fois positionné, Markus me bandait les yeux avec un foulard en soie…
- Je te bande les yeux, Alex, pour simplement démultiplier le plaisir du sens du toucher. Il faut que tu te détendes un maximum pour que tu puisses vivre pleinement ce que Monsieur le Marquis veut pour toi et ton ami Antoine.

Je ne répondais rien, je n’avais rien à dire, j’étais seulement surpris qu’il m’appelle Alex sans y ajouter un qualificatif habituel, comme salope, bâtard, chienne, esclave, etc… Je l’entendais se préparer, se frotter les paumes des mains, les enduire d’huile. Puis il s’asseyait près de mon visage, ses cuisses enserrant ma tête et commençait son massage, d’abord les épaules, la nuque, le crâne puis le haut du dos. Ses mains étaient douces, expertes et sensuelles engendrant de superbes sensations et des plaisirs innommables. De temps à autre, il se redressait et appliquait des pressions le long de mes vertèbres, puis ses mains glissaient le long de ma colonne. C’était délicieux, simplement sublime de sentir son corps, et plus particulièrement ses attributs masculins se poser sur ma tête, chaque fois que ses mains allaient à la rencontre du haut de mon fessier, je gémissais gentiment, agréablement. Ses massages étaient doux et tendres, très expérimentés et à maintes reprises, il accompagnait ses gestes de doux baisers. J’étais détendu, béat, me sentant immensément désiré. Au bout d’un certain temps, Markus se levait, glissait un coussin sous mon abdomen, dégageait ma nouille redevenue raide, de dessous mon corps pour l’avoir bien en vue entre mes cuisses, puis se plaçait entre mes jambes écartées et massait mes pieds, mes mollets, mes jambes, l’intérieur de mes cuisses, mes fesses...

Parfois ses doigts frôlaient mes testicules, parfois ses mains fermes sur mon fessier écartaient mon sillon, laissant mon anus à découvert quelques instants. Après quelques minutes encore, Markus se consacrait uniquement et seulement à mon anus. Ses doigts l’effleuraient puis le massait plus énergiquement encore, sans jamais le pénétrer. Mon corps s’enflammait… ma nouille avait retrouvé sa vigueur, elle était à son apogée. Il me glissait un nouveau coussin sous mon abdomen, plus haut, plus rigide que le précédent, puis m’intimait l’ordre de ne pas bouger. Là, ce n’était plus de l’huile au contact de mon anus, mais du gel lubrifiant… Il me doigtait le cul, il y allait franchement avec poigne et fermeté. Mon cul ondulait au rythme des va-et-vient, des cercles qu’il faisait dans mon anus avec son doigt pénétrant. Je sentais un second doigt rejoindre le premier, il écartait mon orifice, avec davantage de gel, j’en avais plein, plein la raie, son majeur et index glissaient plus profondément en moi. Visiblement, il me dilatait les parois anales avec savoir-faire. Je parvenais à me détendre pensant à cette probable sodomie à venir, mais sodomie était peut-être trop lexicale, pour ce qui se préparait. Markus semblait terriblement excité, je l’entendais haleter, souffler et respirer de plus en plus fort. Markus allait peut-être m’enculer sauvagement, me fourrer, me défoncer, me détruire le cul ? Mais contre toute attente, il retirait ses doigts, puis pointait immédiatement après, un objet métallique, froid, contre mon œillet… L’objet me pénétrait et une fois en place, s’écartait.

- Avec ce spéculum-écarteur bien planté dans ton cul de bâtard, je vais bien dilater ta chatte de mâle, petite salope !

Il n’y avait plus d’alex… Markus venait subitement de me reléguer au rang qui était le mien. Je le subissais, il me dominait. Il s’était relevé d’entre mes jambes pour me placer des bracelets en cuir sur chacun de mes membres. Peu après j’étais écartelé, tenu attaché à plat ventre, le cul relevé et béant… peu après encore, il me ligotait les couilles et une fois le lien bien arrimé à celles-ci, je ressentais une douloureuse traction sur mes burnes, projetées à l’arrière et étirées à quarante-cinq degrés vers le haut.

- Je suis gentil avec toi petite pute, je viens t’attacher et suspendre tes couilles à un crochet fixée au plafond et mettre un poids de seulement cinq cents grammes au bout de la corde. Mais tu vas devoir supporter beaucoup plus… J’adore les salopes de ton espèce aux couilles bien pendantes…
Au même moment, je sentais mon trou du cul s’élargir plus encore… Markus venait de donner un tour de clé supplémentaire au spéculum…
- Je suis certain que tu es bien ainsi, je vais donc te laisser pour m’occuper de ce petit bâtard d’Antoine. Lui aussi va connaitre mon côté carnassier.

Avant de m’abandonner, Markus une nouvelle fois m’écartait le cul d’un tour de molette supplémentaire.

- Tu ne vas être qu’un trou, ton cul ne sera qu’un garage à bites !, concluait-il avant de partir, un réceptacle à semences.

Après un temps certain, Markus était de nouveau près de moi. Il libérait la tension sur mes couilles, sans pour autant dénouer la corde qui les entourait. Il m’écartait un peu plus encore le cul puis ôtait le foulard de soie que j’avais toujours sous les yeux. Il était là, nu, assis, près de moi. J’avais juste au-dessus de mon regard la vue contre-plongeante sur l’intérieur de ses cuisses poilues, ses couilles pendantes et sa bite dressée. Une fois qu’il fut satisfait par le sentiment de domination que semblait lui procurer le fait de me surplomber en s’exhibant sans la moindre appréhension, il levait la jambe gauche et m’appliquait son pied sur la bouche et le nez. Il s’en dégageait une odeur assez forte mais pas forcément désagréable.

- Lèche mon pied petite salope, applique-toi sur mes orteils.

Je n’avais jamais été particulièrement à la recherche de ce genre de pratique. J’hésitais donc un peu avant de m’exécuter, pris entre le dégoût et la fascination que me procurait le fait d’être dominé ainsi par cet inconnu. Mais Markus ne me laissait guère le temps d’hésiter beaucoup plus. Il donnait un coup sec sur la corde reliée à mes burnes, qu’il tenait en main. Je sursautais et gémissais bruyamment, soufflé par la brusquerie de l’attaque.

- Lèche ! Je te dis !, imposait-il sans concession
Alors sans hésiter, selon ses instructions initiales, je m’appliquais sur chacun de ses orteils. Une fois le pied gauche terminé, il me tendait le droit. L’odeur me saisissait de nouveau, me faisant alterner entre l’écœurement et la délectation. Lui, jubilait, son ventre poilu, sa bite tendue, ses couilles pendantes, la base de ses cuisses velues à portée de mon visage et de ma bouche me plongeaient dans une ivresse incommensurable. Markus dégageait son pied et agrippait ses doigts dans ma chevelure, me soulevait ainsi la tête et engouffrait sa queue dans ma bouche et la poussait d’un coup jusqu’au bout, jusqu’à la garde, ses couilles pendantes tapant contre mon menton, mon nez collé à son pubis blond aux odeurs de mâle, mélange de transpiration, d’urine, peut-être de sperme. Odeurs qui s’attachaient à ces burnes secrètement et chaudement contenues des heures durant dans un slip. Ces fragrances intimes me montaient aux narines, et me plongeaient dans un trouble qui me rappelait celui qui m’avait toujours saisi depuis l’adolescence, dans les vestiaires où mes camarades se dévêtaient après un effort sportif où les maillots trempés y laissaient la place aux corps suants et dénudés, dont les poils qui les recouvraient bouclaient sous l’effet de la transpiration tout en m’envoyant des signes olfactifs dont il m’était souvent difficile de maîtriser les effets sur l’état de ma nouille. Une expérience que j’avais finie par adorer : Inspirer profondément ces odeurs aphrodisiaques, pour en retirer tous les plaisirs, tout en ordonnant à ma nouille de garder une position qui me permettait d’aller me doucher… Tout un art ! Aujourd’hui, je pouvais simplement me laisser aller à inspirer au plus profond de mes poumons l’odeur que cette queue ruisselante m’envoyait, sans me soucier de l’effet produit sur mon bas-ventre…
Markus se retirait de ma bouche, et empoignant son sexe, il commençait à se masturber devant moi. D’une main, il se caressait les couilles, de l’autre, il allait doucement sur son chibre par des vas-et-viens lents. A cet instant, deux mains se posaient sur mes lobes fessiers, les écartant plus encore.

- Le cul de Ma petite salope est incroyable, super ouvert !… Pensez-vous qu’il soit près, mon cher Markus ?
- Oh oui, je le pense, voilà trois quart d’heure que le cul de votre pute est contraint, tenu écarté, lui répondait Markus
Je venais de reconnaitre la voix du Maître… Il me retirait cet engin me tenant le cul ouvert. J’avais l’impression que celui-ci allait exploser, me laissant complètement vide. Peu après, Monsieur le Marquis m’enfonçait deux doigts qui entraient dans mon intimité sans aucune difficulté, à peine si je les sentais. Le Châtelain en ajoutait un troisième, puis un quatrième et bientôt un cinquième.

- L’heure est venue ma pute, je vais te posséder différemment, autrement. Tu dois te détendre pour accepter Ma Présence en toi.

Monsieur le Marquis retirait Ses doigts, attrapait une bouteille d’un autre lubrifiant que celui utilisé précédemment. Celui-ci semblait plus visqueux et plus élastique. Il s’enduisait la main et repositionnait ses cinq doigts devant mon trou. Il les enfonçait doucement. Je sentais mon sphincter s’ouvrir en grand pour les accueillir.

- Tu vas pousser Ma petite chienne, comme si tu voulais rejeter Mes doigts.

Alors, je me contractais au maximum et lorsque je relâchais, la main du Noble avançait un peu plus en moi et les articulations de la base de Ses doigts glissaient inexorablement dans mon antre dilaté. Je sentais une petite douleur tout autour de mon anus, mais le Maître maintenait la pression et progressait millimètre par millimètre pour arriver à la base de Son pouce.

- Voilà, c’est bien Ma pute, pousse encore…, m’encourageait-il.

Mon ventre était accaparé par des sensations inconnues et incroyables, à la fois dérangeantes mais aussi terriblement jouissives, alors que Markus continuait à se branler très lentement devant moi. Lui aussi à sa façon aiguillonnait mes sens, me poussait à l’abandon, me stimulait en me soutenant le menton et en me disant :
- Vas-y la pute, continue à bien tirer ta langue de chienne, montre-moi que tu as envie de dévorer ma bite. Ecarte-toi bien, offre ton cul, laisse la main du Maître te posséder de l’intérieur…
Je poussais de toutes mes forces, avec une volonté déterminée, je voulais que cette main passe. Alors que je relâchais à l’issue d’un effort important, je sentais s’enfoncer en moi cette noble Main jusqu’au poignet. Je râlais, une sensation incroyable qui provoquait une vague de plaisir intense ressentie dans tout mon corps… Mon cerveau s’emballait, quelques secondes plus tard, j’expulsais une quantité hallucinante de foutre, alors que je pensais que mes couilles étaient totalement asséchées.

- Je te possède totalement Ma salope… et par le cul cette fois-ci. Tout entier désormais, ton corps m’appartient… Tu es à Moi, rien qu’à Moi, totalement à Moi, Ma putain de chienne !

Je restais à l’agonie d’un plaisir inénarrable, avec cette Main en moi, caressant mes parois internes. J’étais exténué, sans force, des perles de sueurs coulaient de mon front tandis que j’inspirais de pleines goulées d’air comme un poisson hors de l’eau. Je suffoquais ! Des décharges électriques brulantes remontaient le long de ma colonne vertébrale alors que je gisais sur ce futon, ivre de cette nouvelle expérience et de cette totale appartenance devant Markus, témoin en forte érection, qui éjaculait sur mon visage dans des râles digne d’un cerf en rut.

- Je te baptiste, pour ce premier fist anal, de mon nectar intime, petite pute…, me disait-il.

Markus éclatait de rire alors qu’il me barbouillait le visage en y étalant avec sa main, le sperme qu’il y avait répandu…
(A suivre…)

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