La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1605)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1605) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1605)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1602) –
Alors que le plaisir montait de plus en plus, je souhaitais tellement qu’Il m’encule …
Quand le Châtelain sortit Son doigt délicieux, il ne tardait pas à revenir mais avec deux doigts. Déjà bien ouverte, Il maintenait l’ouverture écartée avec Ses deux doigts quand je sentis le froid d’un objet se poser sur ma rosette. Il enfonçait délicatement un engin cylindrique d’un bon diamètre ressenti, tout en me disant :
- Respire bien et détend-toi, petite chienne …
C’est ce que je faisais car l’objet semblait de belle taille. Lentement le gode entrait dilatant de plus en plus mon anus déjà bien ouvert, jusqu’au moment où le gland en plastique dur étant passé, mon cul l’avala entièrement. Je sentis le sexe factice prendre place, m’habitant pleinement, me remplissant totalement mon fondement… Mon dieu que c’était bon ! Le Châtelain le fit ressortir puis le renfonça à nouveau, jusqu’à la garde. Durant un long moment il le maintenait par la base appuyant sur celle-ci... Puis, il me fit relever et se faisant, je sentais avec encore plus de sensations, la présence en moi de l’objet bien planté dans mon cul. J’avais les jambes écartées mais pas assez au goût du Maître qui m’ordonna de les écarter encore plus, ce que je fis, tellement je voulais m’offrir, me faire prendre. Tous ces mouvements me faisaient sentir le gode en moi. J’entendis un petit bruit de roulettes et sentis arriver entre mes jambes une sorte de petite table peu large. Le Maître ajusta le tout. Puis s’exclama :
- Abaisse-toi en t’accroupissant, chienne, en pliant tes genoux…
J’obéis immédiatement et sentis contre ma vulve un objet.

- Descends encore.

Je descendis encore mieux mais lentement en m’enfonçant sur un gode, vaginal cette fois, et de grand taille aussi, me semblait-il.

- Plus profond, j’ai dit !

Je m’enfonçais profondément et je sentais en moi mes deux orifices garnis, comblés, encombrés. Bien remplie, j’étais comme une bonne chienne en chaleur. Je les sentais même se toucher entre eux au travers de mes parois vaginale et anale. Une excitation galopante me fit mouiller abondamment
- Relève-toi lentement, puis abaisse-toi à nouveau, branle-toi toute seule ton petit clitoris de pute, tandis que j’admire le tableau que tu m’offres, salope. Ne retiens pas tes envies mais ne jouis surtout pas, seul Moi peux te le permettre, Mon esclave.

Et me voilà, par des flexions sur mes genoux à les plier et les déplier, m’enfonçant, me relevant, réglant mon rythme sur les Exigences données par le Maître, accélérant, ralentissant, arrêtant même, puis reprenant de plus belle, quand soudain, je sentis des vibrations dans mon bas-ventre. Au début, vibrations douces mais réelles puis de plus en plus fortes. L’ensemble des mouvements associé aux vibrations me conduisait imparablement à un orgasme puissant. Ma respiration s’accélérait, je galérais à me retenir de jouir et le Maître le voyait mais Il continuait avec moi.

- Plus vite, ralentis, reprends à nouveau, encore ….

Je sentais en moi les deux godes se toucher à chaque va-et-vient. Puis subitement
- Ne bouge plus.
- Maî... Maître, j’ai trop envie !

Comme seule réponse, un sifflement fendit l’air et j’eus la sensation de brûlure sur mon sein droit qui venait de recevoir un fort coup de cravache. Un second sifflement m’atteignit à nouveau sur le même sein mais plus bas à hauteur de l’aréole. Méthodiquement, les coups tombaient, le téton lui-même fut servi. Puis ce fut le tour du sein gauche, les coups tombaient comme s’il dessinait sur eux un tableau et ça m’excitait encore plus. En effet une fois terminé, j’entendis le Maître me dire, maintenant tes seins sont parfaitement décorés ; et ça c’est juste pour Mon plaisir, salope... Reprends tes mouvements maintenant, monte et baisse !

Je me remis en mouvement à nouveau, les vibrations reprirent fortement cette fois, accompagnées aussi de vibrations anales. La totale en fait ! Prise en même temps dans mes deux trous de pute et tous deux par des engins vibrants… J’entendis le Maître s’approcher de ma bouche, et me dire :
- Ouvre la bouche, la chienne !

J’obéis et je sentis Sa grosse Verge déjà bien dure s’enfoncer profondément dans mon gosier. Je hoquetais, manquant m’étrangler, mais Il empoignais ma queue de cheval et me la tirait fortement la tête contre son bas-ventre me forçant à le prendre entièrement dans ma cavité buccale. Alors Il me besogna la bouche un long moment, choisissant et m’imposant Lui-même quand il devait me laisser reprendre de l’air. Il me baisait littéralement mon orifice buccal avec des petits coups de reins réguliers, je me sentais n’être qu’un trou déversoir de foutre, je me sentais bien remplie dans mes trois orifices, je me sentais salope, je me sentais utilisée, je me sentais chienne en chaleur, je me sentais tout simplement à ma place. Quand Il éjacula dans des râles puissants d’un mâle en rut. Il m’ordonna de tout avaler. Alors comme la femelle en chaleur que j’étais, j’avalai le sperme chaud du Maître et tout cela en continuant mécaniquement mes mouvements si excitants avec mes deux godes plantés dans ma chatte et dans mon cul de putain. Le Maître resté dans ma bouche, et moi toujours en mouvement, il lança les vibrations à fond et ordonna :
- Jouis maintenant ! C’est un ordre, Ma chienne !

Il ne me fallut même pas une demi-seconde pour réagir, pour obéir, tellement j’avais besoin de laisser éclater ma jouissance qui s’annonçait explosive avant même que l’orgasme puisse s’exprimer. Alors je jouis comme une bête, comme une femelle en chaleur, je râlais comme une lionne en feu, je me laissais aller entièrement, je lâchais à tue-tête des cris orgasmiques bruyants. J’étais accroupie presque couchée à même le sol, empalée à me faire ramoner mes deux orifices, je me raidie, gémissant, criant, hurlant mon plaisir de plus en plus fort, sans pouvoir me contrôler. À un moment, c'était comme si je gonflais de plaisir et que j’allais éclater, comme un ballon, tellement mon corps chaud d’extrêmes excitations était sous très haute pression avec l'accumulation du plaisir en ces instants magiques, ou comme une cocotte-minute qu’on ne laisse pas échapper la vapeur et qui va exploser. Quand cette puissante sensation d’éclater avait atteint son paroxysme, une gigantesque explosion orgasmique s'était produite en moi, diffusant à la vitesse d’un éclair sur toute ma colonne vertébrale, remontant sur toute mon échine et se diffusant dans tout mon corps, avec une puissance inouïe et on ne peut plus dévastatrice, de tout le plaisir qui s'était accumulé...

Je poussais de longs hurlements dix fois plus forts qu’un banal orgasme habituel. De longues et libératrices décharges électriques orgasmiques irradiaient tout mon corps exprimées par des spasmes que je ne pouvais pas contrôler, mon corps nu et servile, tout en sueur n’était que plaisirs. Mon cerveau était en une extrême ébullition jouissive, j’avais l’impression de jouir mentalement autant que physiquement, tout en même temps. Le Maître m’apprit plus tard qu’à ce moment-là, j’étais en transe, tout mon corps tremblait et que cet état a duré de longue minutes. Moi, je ne m’en suis pas rendu compte, j’avais presque perdu conscience après ce séisme orgasmique… Revenant doucement à moi, je sentais encore mon corps trembloter. J’étais complètement vidée … mais comblée… Je n’avais jamais de ma vie, eu un orgasme aussi puissant, violent, extrême d’intensité…
- Belle petite chienne-esclave, tu es parfaite, me dit-il en m’ordonnant de m’enlever du gode vaginal.

Puis je sentis que Monsieur le Marquis prenait la laisse et alors qu’il tirait dessus.

- A quatre pattes, à présent, je vais t’emmener pisser maintenant.

Me voilà, en quadrupédie, yeux bandés, suivant le Maître, tentant tant bien que mal de descendre les marches froides en pierre des escaliers étroites et abruptes en colimaçon, ce qui n’était pas évident quand on a la tête la première en position quatre pattes. Mais le Noble me guidait doucement et après avoir traversé un sombre et petit couloir latéral au mur blanchi de plâtre, nous voilà dehors via une porte dérobé donnant sur l’extérieur. Les gravillons rouge me faisaient mal aux genoux mais je suivais tout de même comme je le pouvais. Le froid me saisit sur ma nudité et l’envie d’uriner arriva naturellement.

- Pisse maintenant, Ma chienne.
- Comment Maître- Comme le font les chiens pardi, lève une papatte et pisse.

J’avais tellement envie que je ne me le fis pas dire deux fois, et de longs jets d’urines fumants s’évacuaient de ma vessie. Tandis que je me secouais la jambe levée pour faire tomber les dernières gouttes, Walter arriva :
- Belle nuit étoilée, Walter !
- En effet, Monsieur le Marquis- Rien à signaler ?
- Non Monsieur le Marquis, tout va bien ! Sauf qu’un esclave a cassé un vase de valeur en souhaitant le dépoussiérer- Ah ? Et qu’as-tu choisi comme punition ?
- Une journée au pilori et pour qui voudra bien l’enculer, pourra le faire à volonté durant toute la journée de demain…- Très bien, ça lui apprendra à faire attention …
Dur apprentissage, car je compris qu’il ne valait mieux pas fauter Le Maître adressa un ‘‘bonne nuit’’ à Walter, puis je reçus un petit coup sur la fesse et Il tira sur la laisse, ce qui fut le signal du retour. Nous nous sommes rendus jusqu’à Son bureau, la chaleur de la grande cheminée où de grosses bûches devaient être enflammées, me donna des délicieux frissons car cette vive chaleur me procura un bien-être douillet. Le Châtelain me retira le bandeau. Mes yeux tentaient de s’habituer à la lumière, alors que je découvrais les traces sur mes seins.

- Tu as été parfaitement obéissante, Ma petite chienne, me dit le Maître en me tapotant affectueusement les fesses… Pour rappel, tu es Mon esclave, Ma chose, Mon objet complètement à Moi. Ainsi Je veux pouvoir disposer et utiliser ton corps servile à Ma guise. En échange, Je te dresserai comme tu n’imagines pas que Je puisse le faire, mais je te promets, que tu y trouveras ton bonheur…
J’écoutais Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître, me parler avec une telle assurance, une telle certitude, une telle Dominance, que j’en restais comme toujours, sans voix, buvant Ses mots... Toujours nue devant Lui, je me trouvais toujours aussi bien, je me comprenais car je devenais celle que j’étais dans ma propre Nature, faite pour obéir, servir et en trouver une plénitude, un épanouissement nécessaire à ma vie. Le Maître le sentit, alors Il s’approcha de moi, me prit dans Ses bras tendrement et me dit tout en m’embrassant d’un doux baiser empli d’amour, de tendresse :
- Ta place est ici, à Mes pieds et je sais que tu y seras heureuse…
Puis en s’asseyant, Il me fit signe de venir m’agenouiller à Ses pieds.

Instinctivement, je posai ma tête sur son genou, j’étais bien, je me sentais sécurisée, aimée. Et Sa main très douce, caressait ma nuque et mes cheveux avec lenteur et amour. J’étais heureuse, comme jamais, jusque-là je l’avais été mille fois en Sa présence, mais là c’était un pur moment de bonheur entre deux êtres qui s’aimaient. Oui, c’est cela, j’étais tout simplement heureuse …
(A suivre …)

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