La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1607)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1607) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1607)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode précédente N°1606) –
- Tu es une bonne chienne en chaleur très réceptive à l’excitation et qui mouille parfaitement bien, je n’en doutais pas, maintenant j’en ai la preuve physique après ce petit examen où je me suis improvisé gynéco, pour l’occasion…
Ensuite, le Maître me retira tous les godes et exigea de mettre debout face à lui, de baisser la tête et les yeux, de mettre mes mains derrière ma nuque et d’écarter les jambes. Une fois fait, je l’entendais remuer dans un placard des pièces métalliques et Il revint avec une sorte de ceinture en métal, effectivement qu’il me plaça sur le ventre. Cette ceinture était glaciale et le contact avec ma peau du ventre très chaude me fit me crisper, voire frissonner quand le froid remontait sur mes cuisses…
- C’est froid … Maître… Je- Je ne t’ai pas autorisée à parler
Une puissante gifle accompagna Ses mots et atterrit sur ma joue gauche mais ma tête étant immobilisée par le collier en enregistra à la fois, la force et l’intensité. Il ajusta la ceinture que j’observais du coin de l’œil. De chaque côté de la ceinture, un anneau avec une attache métallique pendait dans le vide… Le Maître me prit le bas gauche et le tira fortement en le plaquant contre ma hanche en y apposant mon poignet près de l’anneau qu’il enferma dans l’attache de l’anneau de la ceinture côté gauche. Mon épaule me faisait un mal, tandis qu’il en faisait de même avec l’autre bras qui vint se plaquer contre ma hanche et son poignet attaché à l’anneau de la ceinture côté droit. Mais l’installation ne s’arrêtait pas là. Au milieu de la ceinture et donc de mon ventre, une chaîne pendante entre mes cuisses, chaîne qu’il releva assez haut sur le dos tout en m’ordonnant de plier mes jambes en m’accroupissant, puis de me coucher au sol sur le ventre. Le Châtelain exigea que je relève alors mes genoux rapprochant ainsi mes talons de mes fesses… Au bout de cette chaîne se trouvant donc dans mon dos, un anneau duquel partaient deux autres chaînes plus courtes se terminant, elles aussi par des attaches dans lesquelles mes chevilles furent immobilisées.

Ainsi recroquevillée de manière retournée pour mes jambes, je ne pouvais pas bouger, ne pouvant prendre appui ni sur mes pieds, ni mes mains savamment bondagés. Des crampes commençaient d’envahir mes cuisses. Ensuite, le Noble me retourna sur le côté comme un sac à patates. Seuls mes seins étaient bien offerts et libres. Son bondage terminé, Monsieur le Marquis me regardait comme pour voir s’il n’avait rien oublié, puis Il retourna dans le placard et revint un instant plus tard avec une sorte de soutien-gorge de cuir clouté mais sans les bonnets. Le Maître plaça cette espèce de soutien-seins faisant passer les seins dans les trous, et attacha fortement celui-ci dans le dos. Ainsi tenus, mes seins étaient remontés assez haut, fermement maintenus, ce qui les faisait sembler plus volumineux. Ensuite, il attrapa dans le placard une cagoule-muselière qu’il me fixa solidement sur le visage. Cette muselière avait juste un trou rond au niveau de ma bouche, d’un diamètre adapté au passage d’une bite…
Le Châtelain se recula, admira son œuvre, sembla satisfait et ouvrit de nouveau Sa braguette. Il en sortit une Verge démesurément grosse, se coucha à mes côtés et Il prit Sa Verge dans Sa main qu’il présenta à ma bouche dans le trou de la cagoule-muselière. Encore fort excitée par toute cette mise en scène, j’ouvris rapidement la bouche et pris Son Vit offert. Ma langue le travaillait uniquement à l’intérieur de ma cavité buccale, tandis que mes lèvres le serraient fortement. Je ne pouvais pas faire autre chose pour le sucer à cause de la muselière, je ne pouvais pas, par exemple, Lui lécher les couilles ou Sa hampe en tirant ma langue à l’extérieur de ma bouche. J’avais donc vraiment l’impression de n’être qu’un simple trou à plaisir et cette perspective m’excitait grandement. Je n’avais donc d’autre choix que de faire aller et venir ma tête d’avant en arrière sur ce pieu dressé et planté dans ma cavité buccale, tandis qu’il se saisissait de mes tétons offerts, dépassant du soutien seins en cuir clouté, et il y plantait Ses ongles, me faisant gémir de plaintes de plaisirs excitants :
Mes tétons qu’il vrillait, pinçait et étirait ensuite, avec Ses ongles toujours enfoncés de Son autre mains, je me sentais mouiller encore plus fort. Et alors que je reculais ma tête et donc que je ressortais Son épais sexe de ma bouche pour mieux le reprendre tout de suite après, Monsieur le Marquis n’apprécia pas ce qu’Il comprit comme un arrêt de ma part, et lâchant mes tétons, Il me donna deux gifles si terribles que ma tête, ne pouvant accompagner les coups à cause du collier et des chaînes, les subirent de plein fouet. Immédiatement, je le repris en bouche tandis qu’il enfonçait à nouveau Ses ongles dans mes tétons. Alors que je le sentais arriver proche de l’éjaculation, Il sortit tout d’un coup de ma bouche et éjacula plusieurs fois sur mes cheveux des saccades de sperme épais m’atteignant aussi sur le front. Le nectar s’écoulait sur mon visage, lentement, Sa semence coulant sur les yeux m’empêchait de bien voir… Le Noble semblait heureux de ce qu’Il voyait et tentait d’écarter mes jambes solidement entravées en arrière des chevilles jusqu’au bas de mon dos. Y arrivant difficilement, le Maître entra sans préambule, quatre de Ses énormes doigts dans ma chatte trempée. Celle-ci déjà bien pénétrée, dilatée tantôt par le gode vaginal qu’Il m’avait enlevé quand j’étais sortie de la table de gynéco, s’ouvrit sans peine car j’étais trop excitée. Et Ses doigts enfoncés le plus profondément possible en mon vagin, remuaient en moi, en des mouvements circulaires allant dans la profondeur et me faisant tenter d’écarter moi-même plus encore mes cuisses de pute, tant le Maître me donnait envie par Son passage forcé qui se transforma en un véritable fist quand il y enfonça ton Son poing entièrement dans mon sexe dégoulinant de cyprine. Mon dieu que c’était si bon ! Instinctivement, je fermais les yeux, et geignais comme une chienne en chaleur tant j’avais envie de lâcher un puissant orgasme, mais je n’étais pas autorisée à jouir…
- Salope de femelle, tu as envie ? Parle, je t’y autorise, chienne …- Ouiiiii Maître, répondis-je… tandis que je trémoussais sans honte devenue une véritable femelle en rut…
Je ne sais si je dois attribuer Son geste à de la bonté ou autre chose, mais le Châtelain remua si bien Ses longs doigts en les faisant manœuvrer par des va-et-vient réguliers et profonds, jusqu’au fond de mon vagin qu’à un moment donné, malgré mes liens, je réussis à me cambrer en poussant des cris jouissifs où je pus jouir sans retenue quand je sus que j’étais autorisée par un :
- Alors, jouis, salope, maintenant, Je le veux, Ma femelle en rut !
- Ahhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ohhhhhhhhhh ! Ahhhhhhhh !

J’hurlais comme une chienne de rue en rut, alors que Monsieur le Marquis poursuivait ses gestes, Son savant fistage au fond de ma chatte écartelée, grande ouverte, coulante de mouille en abondance, Ses doigts attrapant même mon col utérin, qu’il massait avec art tandis qu’il m’arrachait des beuglements de plaisirs bestiaux. J’avais la très nette sensation, avec Lui et les mots qu’Il venait de prononcer, « Ma femelle en rut ! », de devenir effectivement une femelle animale constamment en chaleur. Et j’en étais une, en ce moment précis, fière, très fière même ! Avec Ses tous petits va-et-vient très courts, lents et rotatifs de Son poignet entièrement entré dans mon sexe, avec Ses doigts énormes enfoncés jusqu’au fond de ma vulve, le Maître me travaillait comme jamais encore ma chatte ne l’avait été par une main… Un incroyable fist tellement grandiose ! Quand Il ressortit Ses doigts, je commis une faute, celle de parler sans y être autorisée avec juste un seul mot qui m’échappa :
- Nonnn !, dis-je
- Tu n’es pas autorisée à parler, la chienne, me répliqua-t-il en me giflant de Sa main libre… Mais … Tu en veux encore ma salope ? Alors, Je vais t’en donner, salope ! Tu vas voir...

Le Maître écarta à nouveau mes genoux, dégageant une nouvelle fois ma chatte en fusion, proche d’éclater de mille plaisirs orgasmiques et Il représenta à nouveau Ses quatre doigts qu’Il enfonça une nouvelle fois en mon vagin tant dilaté. Les sentant s’enfoncer, je gloussais encore comme une dinde mais, arrivés en bas des quatre doigts, je sentais qu’il essayait d’y entrer de nouveau Son pouce aussi… Le Noble poussait Son poignet fortement et Ses poussées rouvraient très aisément, lentement et largement ma chatte de plus en plus… Cette sensation d’écartèlement me rendait folle d’envies nouvelles, me rendant encore plus bestiale, plus femelle, plus chienne encore... Lentement, je sentais Sa main rentrer de nouveau en moi, me dilatant totalement comme pour un accouchement !… J’en avais le souffle coupé, des myriades d’étoiles commençaient de s’allumer devant mes yeux encombrés de Sa semence séchée, c’était bon divinement bon :
- Ahhhh ! Hummm !, je gémissais de plaisir …
Tout participait en moi à ce déchaînement de rut, d’extrême excitation par la séance de la table de gynéco, le savant bongage où j’en étais immobilisée tel un saucisson ficelé, Son travail avec Ses doigts, mes orgasmes qui me fut autorisés, Sa main maintenant presque entièrement en moi, dilatée comme jamais encore avec Son poing entier en fistage … Je la sentais cette main glisser lentement mais inexorablement en ma vulve détrempée… Voilà elle est en moi tout au fond pour la seconde fois, mes lèvres vaginales se referment sur Son poignet comme voulant garder entre elles ce si gros volume pénétrant, qui maintenant se refermait en ma vulve. Je vécus ce véritable fistage comme jamais je n’avais eu autant de sensations à me faire grimper aux rideaux !… Ainsi ce fist mis en place, le Maître m’autorisa à jouir à souhaits, comme il m’a dit sans retenue, alors que Son bras commença à travailler tel un énorme piston et je subis un labourage interne et intime si puissant, que je jouissais non-stop, ne pouvant me retenir de faire pipi tant ma vessie était comprimé par Son poing refermé en moi… Sans plus aucune honte, ni retenue, ni pudeur, je me laissais entièrement aller à un massage intime d’une rare intensité. Je ne voyais plus rien, toute occupée à deux choses : Mes jouissances qui s’enchainaient en non-stop toutes plus explosives les unes que les autres et ce poing qui continuait ses allers et retours si excitants et jouissifs en mon bas-ventre si divinement défoncé. Ma pisse, ma cyprine, mon éjaculat féminin, telle une femme fontaine, giclaient, fusaient de part et autre de Son divin poing, expulsés de mon intimité à chaque fois qu’Il effectuait une petite reculée pour mieux me l’enfoncer ensuite…
Je n’ai aucune honte à avouer que je me suis sentie devenir cette femelle animale en chaleur, une femelle obsédée de jouissances fortes et bestiales, si heureuse de mon initiation, en cet instant que m’avait donnée le Maître, si Bon avec moi. Je me mettais même à fortement aimer cet état de rut permanent qui me faisait découvrir de nouvelles et exceptionnelles choses dans ma libido…. Tandis que le Maître travaillait à me fister ainsi, je tentais de l’aider en écartant encore plus mes cuisses avec Sa main puissante dans ma large vulve écartée, béante, offerte à être aussi distendue… Lentement mais avec force, Il poussait toujours, poussait, et je m’ouvrais, m’ouvrais jusqu’au moment où je savourais quand Sa main toucha le fond de mon sexe, à son maximum glissant enfin en ma plus profonde intimité. Oh sensation divine de comblement absolu ! Sentir cette main puissante entièrement en mon corps, se refermant ensuite formant un épais pieu terrible formé par Son poing fermé qui me rendait folle de plaisirs, je transpirais d’envies prête à exploser des orgasmes démesurés à tous moments…
Et puis je ne pouvais pas imaginer ce qui allait suivre, tellement c’était délicieux ! En effet, alors que Son bras, agissant comme un piston démoniaque, quand Son poing écartelait, défonçait, pilonnait ma chatte en feu, Son autre main chercha le trou de ma rosette, de mon cul. Et donc tandis qu’Il labourait ma chatte de la main droite entièrement enfoncée en moi, Son doigt de la main gauche effleurant mon œillet anal me fit exploser de fulgurants orgasmes successifs traversant toute mon échine par de multiples décharges électriques d’une puissance incroyable, m’ébranlant ainsi tout mon corps de spasmes d’une harmonie parfaite dans ses tremblements jouissifs, quand Il me dit un seul mot à Son tour :
- Jouit !

Puis sans même me laisser le temps de me remettre de mes folies orgasmiques, Il commença d’enfoncer deux de Ses doigts de Sa main gauche en mon anus déjà un peu dilaté par le gode anal tantôt sorti après la séance de la table de gynéco. Effectivement, je sentais Ses doigts entrer lentement dans mon cul, en faisant des cercles pour étirer, élargir ma muqueuse anale, tandis que par devant, ma chatte distendue se laissait toujours défoncer par Son poing entièrement englouti. Sensation divine, explosive de mon clitoris aussi, qui comprimé par l’énorme pieu me pilonnant la chatte, participait aux mouvements du bras comme en de puissants massages clitoridiens, tandis que les deux épais doigts dans mon cul, maintenant bien enfoncés et allant et venant, continuaient de m’envoyer en d’autres galaxies. Les yeux mi-clos, je tremblais de jouissances comme une feuille, les doigts de la main gauche ressortirent pour mieux revenir par la suite à trois doigts, cette fois. Le Châtelain poussait fortement sur mon cul en faisant des cercles, étirant encore et encore mes parois anales… Je m’ouvrais facilement ayant été parfaitement et préalablement dilatée par les godes, et c’est finalement quatre doigts qui maintenant se trouvaient en mon fondement anal, qui travaillaient de concert avec Son poing planté par devant jusqu’à Son poignet. Je sentais mon ventre ballonné, pistonné, envahi de myriades d’étoiles scintillantes, quand le Noble retira Sa main gauche par rotation, laissant mon anus largement ouvert et béant…
Tandis que Son bras droit s’activait maintenant fortement dans ma vulve largement distendue où je sentais au fond de mon vagin, Ses doigts qui tournaient par la rotation de Son poignet, je criais mes orgasmes puissants sans plus aucunes retenues, à chaque et nombreuse fois que le Maître m’exigeait de jouir, alors qu’il replanta Ses quatre doigts en pointe dans mon anus, poussa vivement, ils s’enfoncèrent sans difficulté me faisant rugir d’envies nouvelles. Puis, repliant Son pouce entre les doigts, son bras se mit à pousser, pousser, pousser dans mon fondement anal, je me dandinais, prise en sandwich.

- C’est bien me disait-il, vas-y, pousse, oui continue tandis qu’Il enfonçait sa main lentement…
A nouveau cette impression d’être remplie totalement, le ressenti d’une main entière forçant mon trou du cul, tandis que ma chatte continuait à recevoir les à-coups du bras droit… Je me détendis entièrement et dans une dernière poussée, Sa main entra entièrement en moi, mon anus se refermant sur Son poignet… Je criais de mille plaisirs comme une femelle enculée bestialement… Ahhhh ! Mes tremblements spasmodiques de plus en plus vifs aidaient Monsieur le Marquis dans Ses enfoncements…. Hummm ! Ouiiiiii ! Les yeux entièrement fermés, toute à mes ressentis de femelle animale lubrique en rut, je me laissais empaler, mieux encore, j’aidais le Maître qui maintenant enfonçait Son poing gauche par derrière. Deux pistons maintenant me ramonaient en cadence, celui de derrière enfoncé aussi profondément que celui de devant, j’explosais en une myriade de feulements bestiaux, de cris rauques de tigresse possédée par mille mâles en même temps… Un long travail du Châtelain, m’expédia loin, très loin dans des découvertes orgasmiques totalement inconnues jusque-là de ma sexualité, me faisant pisser une nouvelle fois sur Son bras droit sans aucune pudeur, mieux encore, par plaisirs, j’abandonnais ma condition humaine pour devenir une bête de sexe assoiffée de sensations orgasmiques majeures.

Tout en me travaillant la totalité du ventre, devant et derrière, le Maître attrapa entre Ses dents mon téton droit, le mordit vivement, pour ensuite m’ordonner de jouir de nouveau, ce qui me fit hurler de douleurs si bonnes qu’immédiatement je jouissais à nouveau en même temps du cul et de la chatte dans des cris de jouissance d’une intensité telle qu’on avait dû m’entendre à mille lieux ! … En effet, je poussais des hurlements de jouissances absolues, démoniaques, comme possédée par le démon du rut en personne. Tout mon corps servile et possédé vibrait à l’unisson d’innombrables orgasmes d’une violence exceptionnelle et qui se déversaient maintenant, les uns après les autres dans toutes les parties de mon corps en spasmes. Plus aucune parcelle de celui-ci qui ne vibrât pas, j’étai en une méga transe orgasmique. Le Noble mâchait mon téton, l’aspirait, le suçais, l’étirait, le mordillait tandis que Ses deux poings, maintenant bien enfoncés en moi, travaillaient toujours en cadence, se touchant à l’intérieur au travers de mes membranes, tout explosait en moi, tout était atomisé… Je m’abandonnais entièrement aux mouvements du Maître qui m’abreuvait de mille sensations incontrôlables, insensées, je n’étais plus moi-même, définitivement plus moi-même, admettant mon état nouveau de femelle animale obsédée de cul…
(A suivre …)

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