La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1608)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1608) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1608)
Alexsoumis au Château, devenu esclav’alex (histoire écrite par MDE) –
Chapitre hors-série - : Une saillie hors norme -
La nuit tombait au Château quand, poitrine posée sur le sol, avant-bras dépliés devant la tête, celle-ci plaquée au sol sur le côté, reins cambrés et cuisses largement écartées, esclav’alex offrait son trou du cul, telle une bonne salope, une vraie salope affamée en chaleur constante qu’il était devenu... Il souhaitait de la queue, il désirait se faire enculer, peu importe par qui, mais il lui fallait une grosse bite dans son cul de putain, une bonne grosse hampe de chair bien dure pour se faire empaler, profondément empaler dans une infernale saillie ! Et il allait être exhaussé, mais pas à n’importe quel prix !… En effet, celui tout désigné n’était autre qu’esclave Greg, un mâle esclave doté d’une morphologie impressionnante, il n’était qu’une masse d’os, de muscles et de chair de plus de 182 kgs sur son 1,98 mètre, autant dire qu’il mesurait 2 mètres. Un véritable colosse asservi, avili par Monsieur le Marquis… Impressionnant physiquement, extrêmement soumis et esclave mentalement. esclave Greg était richement doté par la nature. Jamais esclav’alex n’avait vu un engin pareil pendre d’entre des cuisses. La queue du colosse était hors norme, au repos, flasque, elle lui arrivait presque à mi-cuisses, à tel point qu’il portait une cage de chasteté sur mesure, et lorsqu’il bandait, la taille de sa nouille était presque de la longueur d’un avant-bras. Et lui aussi était affamé, ses couilles n’avaient pas été purgées depuis longtemps et de voir la salope en chaleur qu’était esclav’alex se tordre du cul ainsi devant lui, l’excitait terriblement. Si esclave Greg n’avait pas été solidement tenu par les couilles avec une corde les lui enserrant, il aurait sauté sur esclav’alex et l’aurait enfilé d’un seul coup de reins puissant. Bref, c’était un bel étalon en rut. Mais, ce n’était pas sans compter sur la perversité de Monsieur le Marquis ! Il le maintenait fermement et tirait avec force sur la grosse corde pour le contenir. A chaque soubresaut, le chien mâle esclave Greg poussait un râle en reculant d’un pas puis repartait de plus belle à l’assaut de ce trou offert et prêt à être sailli.

- Du calme le chien, tu vas la sauter cette petite chienne, mais avant ça, flaire-lui bien son petit trou de lope !, ordonnait Monsieur le Marquis.

esclav’alex tremblait de tout son corps, Il avait froid sur cette dalle de béton d’une des écuries du Château. Il grelottait même, claquait des dents, bavait en tirant la langue. Impossible pour lui de contenir et contrôler son corps servile, son épiderme frissonnait, pourtant en lui, une irrépressible chaleur lui envahissait les entrailles, telle une fournaise ! Comme anesthésié et pourtant conscient de ce qu’il ressentait au plus profond de chacune de ses fibres corporelles, cette chaleur l’irradiait et l’enfiévrait complétement. Il n’était plus lui… Tout lui semblait étrange, comme s’il était spectateur de sa propre vie, comme si le monde réel perdait à ses yeux sa cohérence intrinsèque, plus rien ne lui paraissait naturel ! Il n’avait plus le sentiment d’être l’investigateur de son propre fonctionnement, mais d’être simplement l’observation d’un fonctionnement automatique qui ne nécessitait plus son intervention. Il en était arrivé au point où il se considérait comme un simple objet, telle une machine sexuelle perfectionnée projetée dans cet univers de dépravation sordide, sans pour autant en avoir le contrôle… Cette crème aphrodisiaque que Monsieur le Marquis lui avait introduit dans le cul le rendait comme fou, fou de sexe, avec un besoin charnel jamais vécu et ressenti jusqu’ici ! Cette déliquescence, cette vie immorale et dissolue le conduisait pourtant à l’épanouissement. Il se voyait là, à terre, telle une bête avec ses chaleurs affamées, et en prenait un réel plaisir, sa nouille raide perlant à grosses gouttes !

- Flaire et lèche bien son trou à cette petite salope, imprègne lui sa corolle de ta bave de clébard ! Ordonnait encore Monsieur le Marquis.

Tel un chien enragé d’un puissant rut générant cet irrépressible besoin de copuler, esclave Greg, au contact de cet anus offert et dilaté préalablement d’un gode anal fraichement retiré, inspirait bruyamment, donnait des grands coups de langue sur ce trou ouvert, parfois même, cherchait à le mordiller. Ce côté bestial était exacerbé par la Volonté du Maître. Par tous les moyens en Sa possession, le Châtelain exerçait une perverse pression sur ces deux esclaves en chaleur. Il les drivait, les excitait tant et plus, les poussait dans cette perfidie si perverse et prenait un plaisir immense à les voir se comporter ainsi. Il n’y avait plus rien d’humain, juste animal aux plus bas instincts primitifs à la copulation dans leur comportement, ils n’étaient autres que deux esclaves lubriques, vicieux, impudiques et obsédés ! Pour le Maître l’objectif fixé semblait atteint, pour les deux esclaves l’objectif n’était pas encore réel tant que l’accouplement n’aurait pas eu lieu, tant que ce besoin de forniquer sauvagement, puissamment n’aurait pas été effectif … Pour corser le tout, les deux Dominas qu’étaient Marie la cuisinière et sa sœur jumelle Claire, jusqu’ici perverses spectatrices, avaient maintenant pris en main une cravache et assenaient des coups sur les omoplates et le fessier toujours tendus d’esclav’alex.

Ces coups étaient terriblement rudes, mais au fil du temps, les sensations douloureuses, lancinantes et obsédantes se volatilisèrent sous l’effet anesthésiant et euphorisant des endorphines. esclav’alex était au-delà de la souffrance, dans un monde de pures sensations perverses. Son esprit s’évadait encore, il était là et ailleurs, il flottait en offrant son corps nu aux coups qui le lacéraient et que maintenant il acceptait comme une fatalité ou plutôt un bien-être mentalement masochiste à laquelle il ne pouvait, ni même avait l’envie de se soustraire. Sans cesse, il tendait son cul bouillant et bien exhibé, affichait un comportement sans équivoque voulant faire comprendre, à Celui et celles qui le dominaient, qu’il souhaitait être sailli par sa position en levrette exposée fort explicite. Son dos meurtri et strié était secoué par de terribles tremblements. esclave Greg, quant à lui, en un imposant chien mâle de 182 kgs, tel un porc, un gros verrat en chaleur, tenta de chevaucher à plusieurs reprises son congénère, et uniquement lorsqu’il y fut autorisé. Sous la pression, esclav’alex s’affaissa lamentablement, poussa un terrible hurlement mélangeant douleur et plaisirs quand il sentit passer ce gros membre dans son petit cul de salope !...

La fulgurante pénétration fut apocalyptique, les assauts subits étaient puissants dans une cadence inouïe de va-et-vient sauvages, bestiaux, viril et profonds qu’il crut que ses sphincters allaient se déchirer sous l’enculade vigoureuse, sous les coups de reins d’une rare vigueur d’énergie. Mais l’esclave étalon en rut, s’enfonça encore plus profondément en donnant quelques autres coups de piston encore plus puissants pour loger tout entier son impressionnant membre au plus profond d’esclav’alex. Et lorsqu’il y parvint, il ne bougea plus, et resta en coït parfaitement emmanché jusqu’à la garde, glissa ses mains sous les épaules d’esclav’alex puis agrippa ses doigts sur la nuque de celui qui n’était plus qu’un esclave sailli, possédé en posture de femelle-chienne subissant cette pénétration aux plus profond de ses entrailles. Ils restèrent ainsi, quelques minutes, complètement immobiles, leur corps n’en faisant plus qu’un, comme soudés, l’un à l’autre, dans cette pénétration anale.

Mais le désir reprit le pas bien vite, esclav’alex, excité, tenta de soulever son bassin et imprima quelques mouvements de va-et-vient, pour provoquer l’effervescence, l’emballement et l’emportement. Le coït prit une autre dimension, sous la lanière du fouet, les deux perverses Dominas se déchainaient sur le dos d’esclave Greg, alors que Monsieur le Marquis, tirant sur la corde nouée autour de ses couilles, l’obligeait à se retirer entièrement d’esclav’alex pour l’enfourner de plus belle. Toujours cramponnés l’un à l’autre, les deux esclaves forniquaient comme des bêtes, s’abandonnaient au délice de la chair, jusqu’au moment où, le chien mâle esclave Greg manifesta quelques gémissements de plaisir intense. Alors, juste avant qu’il ne jouisse d’une éjaculation bienfaitrice qui l’aurait délivré du manque d’orgasme depuis des semaines, d’un coup sec et violent, le Noble tira une nouvelle fois sur la corde attachée à ses burnes et le dégagea définitivement d’esclav’alex, celui-ci donnant encore de savoureux déhanchements démontrant les plaisirs à la sodomie profonde laquelle il appréciait les effets dans son cul de pute !

- Tu n’espérais pas jouir dans le cul de cette salope, le chien !, annonça Monsieur le Marquis à esclave Greg
Pour tout réponse, esclave Greg émit un hurlement rauque et guttural, se plia en deux et porta par réflexe, ses mains sur ses couilles, tant la douleur lui fut terrible. Mais au même moment, son corps fut pris des secousses convulsives, il roula sur le dos, dégagea ses mains de ses burnes et éjacula violemment par saccades successives envoyant loin son foutre épais et abondant sur la dalle de l’écurie, sans même qu’il se soit touché la nouille et encore moins masturbé ! Le Maître le laissait quelques secondes reprendre ses esprits tout en le fixant d’un regard sévère et réprobateur. esclave Greg craintif eut peur de la réaction du Châtelain et demanda le pardon en suppliant :
- Oh pardon… pardon Maître, je … je n‘ai pas pu me retenir de jouir !

Monsieur le Marquis posa son pied droit sur le visage de l’esclave en lui donnant deux coups de cravache sur sa nouille encore tendue. Le chien soumis se laissa frapper sans broncher d’un iota, ne souhaitant pas aggraver son cas.

- Tu as fauté le chien, gravement et doublement fauté. Tu le sais !, dicta le Noble
esclave Greg se tut, il attendit sagement la sentence en se plaçant les mains entre son dos et le sol, en signe de profond respect.

- Tu n’avais ni l’autorisation de jouir, ni encore moins de porter tes mains sur ta nouille de chien. Tu le sais ça, sale cabot en rut !, reprit Monsieur le Marquis
Le Maître appuya plus fortement encore Son pied sur la tête d’esclave Greg, lui déformant le visage en l’écrasant sur le sol. La sentence tomba !

- Celui que tu viens d’enculer, va te vider les couilles jusqu’à ce que plus une goutte ne sorte de ton sac à foutre. Tu vas voir que la masturbation forcée est un bien beau supplice !

Monsieur le Marquis fit redresser esclave Greg, lui attacha les mains dans le dos, et lia un poids d’un kilo à ses couilles de chien. Il lui ordonna de rester debout, cuisses écartées, parfaitement immobile. Pour ajouter un peu de piment à l’affaire, le Noble agrippa à ses tétons deux pinces mordantes qui lui arrachèrent un long soupir. Pendant ce temps, le chien esclav’alex était attrapé par son collier et tiré à quatre pattes, près du foutre déposé sur la dalle, par son congénère.

- Lape et avale ces cochonneries, sale putain !, lui ordonna Madame Marie
Dès lors que ces souillures furent totalement ingurgitées, la sévère cuisinière repris esclav’alex par son collier et le fit avancer à genoux, jusqu’à ce qu’il se retrouve face à cette nouille monstrueuse, semi érigée, d’esclave Greg.

- Branle-le salope, tu peux aussi le pomper, je veux qu’il jouisse !, ordonna Monsieur le Marquis.

Alors esclav’alex s’employa, ses lèvres se posèrent sur ce gland énorme et encore gluant, puis il tenta d’avaler cette énorme nouille. Elle reprit de suite un volume extraordinaire, si bien que l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans s’interrogea en lui-même : Comment avait-il pu prendre un tel morceau dans le cul ? Mais son questionnement en resta là, très vite il se fit vilipender au gout de Marie, la fellation n’était pas suffisamment ardente, elle lui assena deux ou trois coups de cravache appuyés sur ses épaules et lui ordonnant :
- Pompe mieux que ça, sale chienne, toi qui aime les nouilles, montre-nous ce que ta bouche s’est faire !, espèce de bâtard … Tu dois aussi bien sucer que ton chien de père ou que t a salope de mère …
Alors, esclav’alex prit ce chibre plus profondément encore en laissant glisser sa langue sur cette longue et épaisse hampe dressée à son maximum. Il allait et venait sur elle, la prenant jusqu’en fond de gorge. Ces mouvements amplifiés par un déhanchement incontrôlable d’esclave Greg, faisait brinqueballer entre ses cuisses, le poids accroché à ses couilles, lui arrachant quelques petits gémissements plaintifs autant que jouissifs. Lui aussi recevait quelques coups de cravache sur ses fesses déjà bien meurtries et finement striées. Il devait respecter les ordres et se tenir immobile et impassible. S’il avait à jouir, il devait le faire sans pour autant, en montrer une quelconque expression ! Et c’est ainsi qu’il lâcha une seconde fois son abondant foutre de chien, toujours aussi épais et saccadé. Il gicla ainsi plusieurs fois, inondant littéralement la bouche d’esclav’alex qui avait reçu l’ordre de tout avaler sans jamais en omettre une seule goutte, à tel point qu’il en perdit le souffle et fut pris d’un haut le cœur. Ce spasme incontrôlable lui fit régurgiter une petite partie de cette semence ! La cuisinière s’en aperçut, sa cravache entra encore en action, elle ne lésina pas sur le nombre de coups portés avec un évident sadisme jubilatoire dans le regard de Marie. esclav’alex plia sous le coup de semonce, il se recroquevilla en se protégeant la tête de ses deux mains, en serrant les cuisses, pour abriter ses couilles et sa queue toujours tendue tant la situation, fusse-t-elle douloureuse, l’excitait grandement. esclav’alex bandait comme un âne…
- Comment oses-tu recracher ce que nous t’offrons !, reprit calmement et sereinement Monsieur le Marquis.

Le Maître resta silencieux quelques longues secondes, toisant l’esclave à Ses pieds, puis Il reprit :
- Nous allons te gaver comme une oie du jus de tes congénères, une chienne de ton espèce doit savoir apprécier le foutre de ces chiens mâles. Lors de la prochaine séance de purge collective, c’est toi qui seras désigné pour bouffer toute la semence du Cheptel. Mais pour l’heure, lèche ce que tu as laissé tomber de ta bouche et repositionne-toi, à genoux, fessier posé sur tes talons, mains dans le dos et bouche grande ouverte, Ma salope.

Le Châtelain s’était mis juste à côté d’esclave Greg, il lui attrapa la nouille et commença une longue masturbation, s’acharna sur cette nouille tant et plus, pour le faire gicler une troisième fois. esclave Greg avait de plus en plus de mal à rester immobile, le poids entre ses cuisses balançait et gigotait dans tous les sens. Il se mordait les lèvres, fermait les yeux, pour mieux se concentrer sur cette éjaculation qui ne venait pas. Il lui fallut un bon quart d’heure avant que son sperme jaillisse de nouveau et s’écrase tout contre le visage d’esclav’alex juste en face, toujours immobile, bouche grande ouverte. Bien que moins abondante mais encore conséquente, l’éjaculation fut projetée sur le nez, les lèvres et les joues de l’esclave agenouillé. Alors sans attendre un quelconque ordre, esclav’alex se lécha les babines pour récolter un maximum de foutre. Marie l’aida, pour cela elle recueillit du bout de son index le sperme hors de portée de sa langue, et lui fit lécher ses doigts.

- Ses couilles sont loin d’être vides, mais le temps m’est compté, je vous le laisse, Mesdames, vous n’avez qu’à le mettre à la trayeuse, jusqu’à ce que la source soit tarie. Pensez à bien récolter son foutre, je suis sûr qu’esclav’alex s’en régalera plus tard...

Monsieur le Marquis, un sourire vicieux aux lèvres, attrapa esclav’alex par son collier, le fit se mettre à quatre pattes et lui ordonna de Le suivre. Il l’entraina ainsi tenu fermement par la laisse à l’extérieur de l’écurie pour rejoindre de l’autre côté de l’immense parc, le Château...

(A suivre…)

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