La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1609)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1609) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1609)
Camélia Château devenue chienne Maera MDE (hors-série) –
Je ne sais pas quelle heure il est, quand je me réveille, nue, allongée sur un lit, un simple drap recouvrant mon corps servile. Je lève alors les yeux, regarde tout autour de moi, et visiblement je suis seule sur ce vieux matelas à ressorts dans ce sombre cachot. Je me redresse, je ne connais pas cet endroit, ce n’est pas mon Cachot, celui-ci est beaucoup plus grand en profondeur. Mais est-ce un cachot ? On dirait plutôt une crypte, large et longue. Je n’en vois pas le bout, il y fait trop sombre pour cela, mais je devine à l’architecture de ces immenses piliers surmontés d’une voûte en arc de pierre, que je me trouve dans les sous-sols du Château… Je passe les mains sur mon corps, arrivée à mon cou, je sens mon collier en cuir épais, muni d’une plaque de cuivre. Du bout du pouce, je sens trois lettres gravées sur cette plaque, je me rappelle vite qu’il s’agit des nobles Initiales du Maitre « MDE ». Je souris, toujours aussi fière de porter ce divin collier. Mon regard s’égare sur le fond obscurci de la crypte, quand j’entends résonner des bruits de pas arriver, prise de panique, je descends du lit rapidement, m’agenouille, mains dans le dos, jambes écartées, et tête baissée. Les bruits de pas se font plus forts, un homme entre par une lourde porte latérale qui grince à son ouverture. Il s’approche, je ne vois que Ses chaussures quand il s’arrête devant moi, Ses pieds sont juste sous mes yeux. Il me caresse le cuir chevelu avec douceur, Sa main descend le long de ma nuque, Il brandit alors les trois anneaux fixés sur mon collier, et me fait redresser la tête, Ses doigts sous mon menton. Je constate alors la silhouette du Maitre, dans toute Sa splendeur, Son charisme… Je suis contrainte à lever les yeux vers Lui. Nos regards se croisent alors, Ses yeux bleus profonds me percent, Son regard est d’une telle intensité, qu’il m’impose le silence, ainsi que Son impressionnante Présence, Sa naturelle Domination et Son grand calme parfaitement maîtrisé et imperturbable… Je reste très impressionnée, immobile, je me sens petite…
Monsieur le Marquis me domine de toute Sa splendeur, de Sa belle hauteur, que je sens mes larmes de bonheur montées par l’émotion servile qui me traverse, elles naissent au coin de mes yeux, et coulent le long de mes joues. Instinctivement, je m’apprête à les essuyer, mais le Noble me stoppe d’un geste de Sa main libre, Il recueille mes larmes du bout de Ses doigts, et me Les présente à ma bouche, sans hésiter, j’ouvre mes lèvres, Il insère Ses doigts, et je le lèche avec douceur et précaution. Lorsque le Maître semble satisfait, Il s’écarte de moi, je reprends ma position tête baissée, regard au sol. Il revient vers moi, muni d’une laisse qu’Il attache à l’anneau de mon collier. D’une voix forte, le Châtelain m’ordonne de présenter ma croupe de chienne, ce que je m’empresse de faire : Le front au sol, le cul tendu et relevé, mes reins creusés, j’écarte mes fesses de mes mains, afin de rendre bien visible mes trous de chienne salope. Alors un objet froid se présente à l’entrée de ma chatte déjà fort trempée par Sa présence. Il l’introduit en moi sans ménagement, c’est un gode, il est gros, il m’emplit totalement. Puis des liens passent sur mes hanches et entre mes jambes, je comprends, qu’Il vient de me munir d’une cage-ceinture de chasteté où est fixé un gode pénétrant. En plus, des liens, la cage-ceinture est fermée par un petit cadenas, qu’Il ferme, et dont Il met la clef dans Sa poche poitrine de Sa veste. Puis, le Maitre m’assène de quelques frappes sur mes fesses, me signifiant qu’Il est satisfait de me voir ainsi. Monsieur le Marquis repasse devant moi, prend possession de la laisse, et me tire, m’imposant la position à genoux.

- chienne Maera MDE, te voilà munie d’une ceinture de chasteté un peu spéciale. Tu comprendras par toi-même très vite. Je t’ordonne de ne pas t’en préoccuper quoi qu’il se passe, et de plus, je t’interdis de jouir. Tu accompliras les tâches qui te seront imposées, sans laisser paraitre à aucun moment ton état d’excitation. As-tu compris, Ma chienne en chaleur ? Parle, je t’y autorise…- Oui, j’ai compris que je dois m’atteler aux tâches qui me seront confiées sans me préoccuper de la ceinture de chasteté et de mes excitations. Dans tous les cas, je n’ai pas l’autorisation de jouir… Merci Maitre, de m’avoir accoutumée de la sorte.
- Bien, Walter ne devrait pas tarder à venir te chercher, tu lui obéiras à lui et à tous les autres Dominants en cette Demeure, qui auront la charge de t’éduquer. Je veux que tu sois chienne, docile, à l’écoute et très obéissante, ainsi tu feras des progrès. Est-ce clair, chienne Maera MDE?
- Oui, Maitre, j’obéirai à Monsieur Walter et aux autres Dominants, comme je Vous obéis.

Une pointe de déception me pique à vif, j’avais espéré être éduquée directement par le Maitre, et que cette tâche ne revienne pas à un de ses bras droits, comme ce vicieux Walter…
- Bien… Démontre-moi à présent, que tu aimes ta position, Ma chienne. Je décide, tu exécutes.

A ces mots, je me jette à Ses pieds, et j’honore le Maitre en Lui léchant avec application et détermination Ses belles chaussures noires vernies. Je m’applique, évitant de toucher Ses lacets et me concentrant uniquement sur la partie en cuir de grande qualité. Lorsque le Maitre semble satisfait, Il me présente Sa 2ème chaussure toute aussi parfaitement cirée, dont je réitère l’opération avec soin. Puis, lassé de m’avoir à Ses pieds, Il recule d’un pas, je reprends ma position d’attente. Il me scrute encore quelques secondes, puis tourne les talons et quitte la crypte, me laissant seule, en position d’attente, le regard fixé au sol. Je reste ainsi quelques minutes qui me paraissent être une éternité. Alors que mes genoux commencent à faiblir, et que mon corps tangue sous l’immobilité, la porte latérale s’ouvre de nouveau dans un grincement lourd…
- Ah te voilà, la petite salope ! Sache que le Maitre m’a donné libre accès à tes orifices, certes, Il t’a muni d’une cage de chasteté, et m’a interdit de te pénétrer par ta petite chatte de pute…
Je reste silencieuse face à ses propos quand je vois la main de Walter devant mes yeux dans laquelle il y a la clef de ma cage qu’il met dans sa poche, une fois qu’il s’est bien assuré que j’ai bien vu ladite clé, il se place face à moi, son entre jambe à ma hauteur, sans aucune pudeur, il ouvre sa braguette et en sort sa verge déjà en semi-érection. Je reste encore bien excitée mais j’essaie de me montrer impassible comme exigé par le Maitre de ne rien laissé paraître.

- Prend-la en bouche, lèche-la, et applique-toi. Je sais que tu aimes faire cela aux hommes. Tu n’es qu’une petite trainée, qui aime donner du plaisir aux hommes par ta langue, alors vas-y, petite chienne en chaleur, occupes-toi de ma belle queue.

Me rappelant des mots du Maitre, j’ouvre ma bouche en grand, et m’approche du volumineux Vit, alors que je le prends en bouche en douceur, et que je commence quelques va-et-vient, le Majordome place ses deux mains sur ma tête, et m’impose son rythme. Je fais un mouvement de recul, Walter m’assène d’une claque, et me force à garder la bouche grande ouverte. Il me manipule tel un objet qu’on utiliserait à sa guise sans se préoccuper de son état. Il m’assène de coups de reins profonds jusqu’au fond de ma gorge, je retiens plusieurs hauts le cœur, mes yeux sont grand ouverts d’excitation. Walter le remarque :
- Bien, chienne Maera MDE, c’est ça ! Regarde bien la vérité en face, admire la puissance, admire comme je te Domine, comme je te réduis à un simple et vulgaire trou, qui me procure du plaisir, tu n’es rien, la chienne, juste un corps servile avec des trous qu’on peut profiter à volonté, salope !

Je laisse paraître mon calme, mais je sens ma mouille devenir plus abondante. Walter ferme les yeux, et accentue ses mouvements, ses ongles s’impriment dans mes joues, le rythme est plus intense, plus profond. Le Majordome profite de cet instant, et d’un long râle de mâle en rut, il déverse sa semence en longs jets saccadés dans ma gorge. Connaissant le règlement, je tente de garder au maximum le sperme de Walter dans ma bouche. Il se retire, m’ouvre la bouche insère deux doigts afin de vérifier que je n’ai pas encore avalé. Visiblement satisfait, il m’ordonne d’avaler et de le nettoyer, ce que je fais avec précaution. Sans plus se préoccuper de moi, il referme son pantalon, ramasse la laisse à mes pieds et m’oblige à le suivre en quadrupédie. En passant devant un vieux meuble, il prend une cravache posée sur une étagère, et continue son chemin. On quitte la crypte par la porte latérale et il m’emmène vers un long corridor, je me redresse légèrement mais il m’assène de quelques coups sur ma croupe, m’obligeant à reprendre ma position de quadrupédie, et m’incitant à évoluer de manière féline.

- Tu as tellement à apprendre, petite salope. Je vais user de tes trous autant de fois que je le pourrais, j’ai aimé le fond de ta gorge, alors j’ai envie de prendre ton deuxième trou libre. Mais avant cela, tu dois passer plusieurs tests afin de revérifier certaines de tes aptitudes, ainsi que ta condition physique…
Silencieuse, je suis Walter, le regard au sol, tentant d’améliorer ma démarche en quadrupédie la plus femelle féline possible. La cage de chasteté me gêne, et le gode placé dans mon fondement est si gros, qu’il frotte contre mes parois, et me procure du plaisir excitant à chacun de mes mouvements. Je sens l’excitation de mon bas ventre gonflé crescendo peu à peu le temps de cette promenade. Je tente de me concentrer sur les paroles du Majordome, et l’envie est bien trop présente de me faire prendre comme une bonne salope de chienne. J’ignore où il me dirige et ce qui m’attend… Je constate qu’on bifurque vers un couloir étroit, et comme nous n’avons emprunté aucuns escaliers, ce fait me laisse à penser que nous sommes toujours dans les sous-sols du Château… Puis nous entrons dans une pièce sans fenêtres, aux murs et plafond blanchis de plâtre, au carrelage d’un blanc parfait. Et cette blancheur éblouissante me rend quasi aveugle, je distingue peu les différentes formes qui m’entourent. Deux hommes baraqués, me portent alors quand je me sens soulevée du sol et me positionnent rapidement sur une chaise d’auscultation de gynécologie. Avant même que je réagisse, des liens m’emprisonnent, à mes poignets, mes chevilles, mon front et mon ventre. Walter se penche sur moi, et retire ma laisse. Une forte lumière est placée juste sur mon visage, m’aveuglant davantage. Sans comprendre, je passe du blanc immaculé, au noir total…
En effet, un bandeau vient d’être placé sur mes yeux, j’en suis presque soulagée, le noir est rassurant pour moi par rapport à l’aveuglement d’une trop forte lumière blanche. Ensuite des boules Quies sont introduites dans mes oreilles, m’isolant ainsi du bruit extérieur. Je remue un peu, instinctivement, retenue ainsi, mais les liens sont bien serrés sur ma chair et m’empêchent un quelconque mouvement. Puis un bâillon-boule m’est enfoncée dans ma bouche m’obligeant de garder le silence. Privée de mes sens, je me résigne, et garde le calme et le silence. Quelques bruits me parviennent difficilement, j’entends une porte s’ouvrir et se refermer puis plus rien. Au bout de quelques minutes le gode en moi, se met alors à vibrer. Cette nouvelle épreuve m’est imposée, je ronronne de plaisir tant cette sensation m’est agréable. Le temps s’écoule durant ce qui semble être une éternité à me retenir de jouir. Je suis entravée, impuissante et avec cette envie forte qui me tenaille, celle de jouir...

Ensuite deux mains m’empoignent mes mamelles de chienne, les pince, les soupèse, mes petits seins sont fermes globalement, et d’une taille raisonnable. L’homme que je ne vois pas, défait la boucle sur le côté de ma joue et me retire la boule, puis m’ouvre la bouche, m’insérant deux doigts profondément, il mesure ainsi ma capacité à supporter l’introduction d’objet de taille plutôt imposante. En effet, son majeur est entièrement introduit dans ma bouche, comme un assaut d’un sexe masculin par des va-et-vient cadencés. Curieux de connaitre jusqu’à quelle profondeur, je suis capable de prendre en bouche, il décide d’introduire dans ma cavité buccale un gode d’une taille plutôt impressionnante, d’environ 15 cm. L’objet s’insère en moi, sans grand difficulté. Il décide donc de passer à une taille supérieure de 20 cm, me provoquant un haut le cœur, lorsque l’objet est introduit totalement au fond de ma gorge. Ensuite je sens qu’un écarteur se place entre mes lèvres de femelle, et m’écarte autant qu’il peut afin de mesurer mon ouverture buccale : 4,5 cm soit une belle performance. Puis il retire cet appareil de ma bouche…
L’homme réutilise l’écarteur l’insérant, cette fois, dans mon cul pour prendre note de sa performance de dilatation, en tournant la molette d’écartement : 4 cm, ce qui est bien faible. Quand j’entends la voix du Majordome dire que divers exercices vont devoir être menés dans mon cul de chienne, pour qu’il puisse accueillir différents objets, tous plus gros les uns que les autres ainsi que diverses bites, des normales aux plus épaisses. Ensuite, il me retire la cage de chasteté et m’ôte le gode vaginal où s’échappe un flot de cyprine. J’entends alors la voix du Maître (qui est donc présent dans la pièce) dire que décidément cette chienne est dans un état d’excitation tel qu’il sent Son propre sexe durcir dans Son pantalon. Alors une main inconnue, que je suppose être celle de Monsieur le Marquis, mesure cette fois l’ouverture de mon vagin, avec plus de difficulté, puis j’entends de nouveau le Noble dire que cette chienne est très étroite, ce qui lui donne envie de me fourrer de suite, sans attendre.

Alors le Châtelain décide de me remettre le bâillon-boule dans ma bouche de salope, puis Il me pose des pinces à linge sur mes deux tétons. Ensuite, d’un coup sec et sans préparation, le Maître fait légèrement basculer le siège afin que mon cul de chienne soit vraiment en face de Sa Verge que j’imagine déjà bien durcie. C’est ainsi avec Sa grosse queue gonflée et bien dressée qu’Il me sodomise sans aucun préliminaire. Mon corps de salope l’a excité, et Il me prend enfin, en m’imposant Son rythme, Sa Domination, Sa virilité en moi. Il veut me démontrer ainsi à quel monde je me plie, et qu’Il me domine. Mais aussi que je ne suis qu’un petit jouet entre Ses mains de Maitre absolu. Monsieur le Marquis me saillit ainsi profondément, sauvagement en me sodomisant si bestialement… C’est que le Noble a découvert mon fort potentiel de chienne salope à devenir une parfaite soumise obéissante.

Le Châtelain m’assène de grands coups de reins, faisant claquer Ses couilles contre mes fesses, étant prise d’assaut par mon cul de putain. Et Il sait que moi, la petite chienne salope que je suis, aime le sexe, aime être dominée, et surtout qu’elle en redemande encore et encore…
(A suivre …)

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