La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1610)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1610)
Kate au Château – (devenue Choris) - Saga se passant au Moyen-Age – (hors-série) –
Ce récit hors-série se passe quand Chloris était jeune et pas encore mariée à Antonin, elle s’appelait alors Kate mais était déjà soumise au Seigneur d’Evans –
Kate se tient nue face au Seigneur d’Evans... Droite, les yeux baissés, habitée par cette délicieuse sensation qu'elle éprouve à chaque fois dans cette situation, une sensation de dévotion pure, de soumission totale envers le Maître. Alors de fait, elle n'ose pas lever les yeux, n'ose pas bouger, à peine respirer… Kate a juste entendu les pas du Seigneur s'éloigner vers le centre du salon, les talons de Ses chausses claquer sur la pierre qui pave l'immense pièce. Au dehors, l'orage gronde encore plus fort, mais là, elle a chaud, si près des hautes flammes qui illuminent l’âtre de la vaste cheminée où craque une énorme bûche sèche et enflammée. De longues minutes s'écoulent. Elle demeure immobile, les mains jointes dans le dos et desserre les cuisses pour tenter, de se sentir encore plus nue et offerte. Les pas à nouveau raisonnent... Il s'approche... Sa présence là, tout près, elle peut la sentir... Le Seigneur d’Evans se plante face à elle... Elle sent alors sur elle Son regard, un regard qu’elle devine insistant, sévère, fixe, Dominateur... Du bout des doigts, le Seigneur d’Evans saisit son menton et la force à relever la tête vers lui qui la domine de Sa haute stature :
- Regarde-Moi, ordonne-t-il froidement. Elle obéit... – Que ressens-tu ? Là en ce moment même ?
Un silence... puis timidement, la voix de Kate qui balbutie, une petite larme d’émotion coule doucement...
- Je... je sou … je souhaiterai que Vous m’utilisiez, encore et encore... Faites de moi ce que Vous voudrez... Je suis toute à Vous…
Le Seigneur ne prononce pas un mot de plus. Il caresse le visage de la jeune femelle, passe Son doigt sur la larme d’émotion pour l’étancher, caresse son cou, ses épaules... il se saisit d'un sein, le palpe, le presse doucement... puis la main descend sur les hanches, s'immisce entre les cuisses qu'Il force à s'écarter. Sa main baladeuse caresse le clitoris et descend vers les douces lèvres intimes, pour que Ses doigts écartent tendrement les chairs humides, puis s'enfoncent lentement... puis se retirent... Kate tremblante d’excitation, ne bouge pas… docile, elle gémit déjà de plaisir. Elle savoure, apprécie les caresses du Noble, en silence. Elle se laisse entraîner loin de la cheminée, vers le centre du salon, jusqu'à la table sur laquelle le Seigneur d’Evans à l’habitude d’écrire de Sa plume d’oie. Il est là d'ailleurs et elle le devine, un peu en retrait mais bien présent. Kate n'est qu'une poupée sans forces, sans volonté, qui se laisse amener là où bon Lui semble. Il la mène où Il le veut, elle ne résiste pas, n'hésite pas, ne réfléchit pas. Elle est là pour Lui... Elle acceptera tout, puisqu'elle s'y est engagée de tout ce qu'Il exigera, elle en a même besoin, c’est sa raison d’être… Au bout d’un moment, Il se saisit de son corps et la force à se pencher sur la longue table massive, le haut de son corps reposant sur le dessus du plateau, écrasant ses seins contre le bois froid. Alors qu'il écarte ses cuisses, elle sent les mains épaisses du Seigneur d’Evans qui s'emparent de ses poignets et qui les enserre dans des liens qu'il attache aux pieds de la table. Les mains du Seigneur caressent sa croupe formant comme d'invisibles volutes sur ses fesses et le bas de ses reins. Elle s'abandonne et se laisse bercer par la voix chaude mais à la fois autoritaire...
- Tu m'appartiens... Je vais te posséder, totalement. Et comme tu le sais, tu iras où je voudrai, tu feras tout ce que j'exigerai de toi
Tout en disant cela, Le Seigneur d’Evans glisse un doigt humide dans le sexe déjà poisseux de Kate. Puis un autre... Ensuite, enfin, le Noble pousse lentement Sa volumineuse Verge déjà dressée entre les cuisses de la femelle. Il entre en elle, s'enfonce, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit. Kate se sent entièrement possédée et désire tellement cette Verge tout entière en elle, alors elle écarte encore plus les cuisses, les jambes. Le sexe du Seigneur la possède profondément. Longuement, Il la baise, savourant pleinement ce fourreau chaud et humide qui accueille Son Vit en forte érection. C'est Sa possession totale et définitive qu'Il déguste ainsi, lentement, satisfait de la facilité avec laquelle il est entré en elle, et la possède virilement à la hussarde de plus en plus profond, comme si cette femelle soumise voulait l'engloutir tout entier. Tout d’un coup la porte s’ouvre et Antonin arrive. Voyant la scène, il sourit d’un air complice quand le Seigneur lui dit :
- Antonin, met-toi à l’aise, quitte tes chausses et vient nous rejoindre, Kate a besoin qu’on s’occupe d’elle !
Alors Antonin ne tarde pas à se déshabiller, très excité par la situation et c’est sans attendre qu’il passe de l'autre côté de la table, passe ses mains dans ses cheveux, Il enfonce un doigt entre ses lèvres et elle suce ce doigt, avec ferveur...
- Ooohhh .... Oooh Ouiiiiiiiiii encooooore, supplie-t-elle…
Le Seigneur d’Evans s'enfonce en elle et la baise longuement, profondément à grands coups de reins puissants... Kate savoure cet éclair si violent qui traverse son corps servile, tout son corps de soumise jusqu'à ses plus infimes extrémités. Elle se délecte d'une telle sensation de plaisirs jouissifs. En elle, se mêlent la pulsion animale du plaisir charnel et la sublime sensation de ne plus être dans son propre corps de femme mais plutôt dans celui d’une chienne en chaleur. Elle est parcourue de vibrations incontrôlables qui lui remontent sur toute son échine. Kate sait qu'elle gémit, qu'elle râle, qu'elle crie, qu’elle ne contrôle plus rien et en jubile de bonheur. Elle n'est plus elle-même, ou plutôt elle devient vraiment elle-même, une salope de chienne !
Kate agite son corps nu, se cambre du bassin, non pour s'échapper, mais de façon incontrôlable... Parce qu'elle est saisie d'une série de vibrations qui la parcourent en tous sens, qui lui font perdre tout contrôle.
- Ouiiiiiiiiiiiii ! … J’aime être Sa catin !, se dit-elle quand le Seigneur d’Evans lui ordonne de jouir
Alors cette créature de chair jouit sans retenue ! Kate se livre sans pudeur, prête à tout pour Lui ... Pour Celui qui la possède maintenant sous les yeux d'Antonin, alors qu’elle crie encore, qu’elle s'entend hurler pour supplier qu'Il la prenne encore et encore. La seule faim qui l'anime, c'est celle du puissant désir d’être possédée, d’être remplie. Elle le souhaite tellement qu'Il la prenne durant des heures, qu'Il la possède totalement, elle ramperait à Ses pieds pour qu'Il consente encore et toujours à la faire Sienne !
Oui, Kate jouit sans s’arrêter, son corps pris de spasmes incontrôlables tandis que le Seigneur se retire d'elle après avoir éjaculer dans des râles longs tel un mâle en rut et dans des derniers coups de boutoirs. Le plaisir de Celui qui la possède s'est mêlé au sien... Elle en dégouline de cyprine, elle est heureuse de sentir leurs plaisirs qui coulent lentement à l'intérieur de ses cuisses. Elle est épuisée, haletante... Le Seigneur d’Evans contemple ce corps encore agité de faibles soubresauts... Il s'adresse à Antonin:
- Mon Ami, quelle bonne chienne, elle fait. Quel potentiel ! Je crois que notre Plaisir et le sien n'ont pas fini d'être comblé !
- Certes, approuve Antonin, Kate est une soumise, une belle femelle d'une qualité rare. Une vraie salope en devenir ! J'ai hâte que nous en usions encore !
- Tout à fait mon ami. Nous n'allons pas tarder, d'ailleurs. Mais avant, je tiens à corriger un ou deux détails. Cette pilosité intime ne me sied point ! Il faut y remédier et au plus vite ! Car je vois que quelques poils ont déjà repoussés…
En un instant, Marion et Clémence, deux autres soumises ont été appelée avec tout le matériel nécessaire. Kate est détachée et déplacée, afin de se tenir couchée sur le dos, les cuisses largement ouvertes et Marion se met au travail, faisant peu à peu disparaître toute pilosité du corps de Kate qui réagit encore avec excitation au moindre contact avec son intimité, pour le plus grand plaisir du Seigneur d’Evans et d’Antonin qui assistent au rasage des poils. Un corps parfait, que l'on prépare pour qu'il soit idéalement à leur goût... Et une femelle docile, qui se révèle plus prometteuse encore qu'ils ne l'avaient supposé...
Après avoir été apprêtée, son corps servile débarrassé de toute pilosité inesthétique et recouvert d'un onguent faisant comme un voile de fraîcheur sur sa peau douce, Kate avait été préparée...Un épais collier de cuir s'était refermé autour de son cou gracile, tandis que de lourdes menottes de fer se refermaient sur ses fins poignets tirés dans son dos. Kate n'opposait aucune résistance, bien au contraire, elle était comme une poupée à laquelle on pouvait faire prendre n'importe quelle position, les deux soumises chargées de la préparer avaient ainsi pu rendre son corps parfaitement lisse sans qu'elle esquisse le moindre geste de refus. Puis elle avait été d'une parfaite docilité en recevant de nouveau le collier et les chaînes... Ensuite les bas de soie blanche et jarretières assorties, ainsi que les hautes chausses à boucle qui constituaient désormais les seuls ornements de son corps exposé aux regards dans sa plus prime nudité. Si Kate avait immédiatement compris une chose depuis qu'elle s'était lancée à corps perdu dans la parfaite soumission, car tel était bien ce qu'elle avait besoin, dans son engagement à servir le Seigneur, c'est qu'il était plus prudent de peu s'exprimer, de suivre le cours des choses et de se montrer souple et docile en toutes circonstances. Elle évitait ainsi toutes éventuelles réprimandes qui seraient sans aucun doute accompagnées d'un châtiment et pouvait ainsi se concentrer sur ce monde sublime de la Domination-soumission … Et puis, tout ce qui comptait pour elle, c'était de combler Celui qui avait ainsi captivé et capturé son corps et son âme...
Maintenant c’était Antonin, son bien aimé et futur époux, qui la tenait en laisse et lui faisait les honneurs d'un dédale de couloirs et de salles que tant de séjours en cette Demeure jamais ne lui avaient été révélés. Comment aurait-elle pu soupçonner, lors de ses allées et venues au Château qu'existait, sous leurs pieds dans les bas-fonds de la bâtisse, un véritable petit monde servile, de femmes et d'hommes voués à une appartenance totale. Pas à pas, menée comme une chienne docile par Antonin, elle arpentait les couloirs, découvrant des cachots où croupissaient des soumis punis au corps marqué par les traces de flagellation, des salles où femelles et mâles étaient livrés aux plus lubriques pratiques... S'appliquant à suivre le rythme imposé par Antonin, Kate avait le sentiment de s'enfoncer dans un monde nouveau, presque inquiétant, mais tellement excitant aussi. Elle était encore excitée de la façon si naturelle dont elle avait cédé, obéi aux exigences du Maître et Seigneur et de celui qu'elle aimait.
Car oui, elle aimait l'incroyable désir qui brûlait entre ses cuisses.... Au détour d’un long couloir, le Seigneur d’Evans les avait rejoint et avait même empoigné la laisse que lui tendait Antonin. Alors le Maître l'avait promenée à Son tour dans tous les coins et recoins des sous-sols du château. Kate avait ensuite suivi le Maître adoré jusque dans un cellier, c’était un ancien cachot aménagé. Là, Il l'avait simplement laissée au centre de la pièce, la délaissant comme un objet sans utilité immédiate et s'abandonnant aux soins de deux autres soumises, Marion et Clémence, déjà présentes en ce lieu qui Le vêtirent pour la nuit, non sans Lui avoir prodigué maintes délicieuses caresses tout en Lui ôtant Sa tenue de la journée. Marion et Clémence s'étaient appliquées à égayer le Maître, leurs bouches gourmandes et leurs mains expertes faisant monter un Lui un irrépressible désir, une érection d’une forte rigidité mais qu'Il ne leur avait pas permis de mener à Son terme, car Il entendait, ce soir, se réserver pour Sa soumise Kate, ce parangon de pureté qu'Il pliait et plierait encore bien plus à Ses plus pervers caprices...
Le Seigneur d’Evans, Antonin à Ses côtés, claqua dans les mains et les deux femelles s'éclipsèrent, emmenées en laisse par Antonin, conscientes que cette nuit, elles n'ont été que des boute-en-train et que c'est une autre qui subira les assauts du Maître auxquels presque jalousement, elles aspirent également. Maigre satisfaction, pour les consoler, Le Seigneur a consenti à les faire dormir dans la même cellule et les a autorisées à s'ébattre de concert et à se livrer l'une à l'autre dans de saphiques plaisirs sous les coups de reins d’Antonin qui saura les dominer toute la nuit...
Kate, immobile au centre du cellier et attend... Elle sent qu’on lui met des menottes d’un fort solide acier et qu’elles pèsent lourdement à ses poignets, la laisse pend sur le devant de son corps, entre ses seins et jusqu'à la pointe de son intimité... Elle attend, anxieuse... Mais Le Seigneur prend son temps... Il sent Son membre viril tendu à l'extrême. Son excitation érectile qu'il va étancher en chevauchant la tendre et belle Kate ouverte à tous Ses plaisirs, offerte à toutes Ses Exigences. Il avance vers elle, tout près... lui caresse la joue, le cou, les cheveux... Docile, elle garde les yeux baissés, mais ne peut retenir le faible tremblement qui gagne tout son corps... Il la caresse tendrement, lentement, ne délaisse pas la moindre parcelle de ce corps aux courbes idéales, les seins petits mais ronds et fermes, les fesses juste parfaitement cambrées, le sexe désormais parfaitement épilé laissant entrevoir les chairs plus colorées d'une chatte qui même à l'œil paraît humide... Il passe alors sa main entre les cuisses, enfonce un, deux, trois doigts dans ce sexe trempé de la belle femelle qui ne peut retenir un faible gémissement. Le Seigneur titille ses sens avant de la posséder en Maître tout puissant qu'Il est…
Pas un seul mot est prononcé quand Il porte Ses lèvres contre celles de Kate et lui offre un long et tendre baiser auquel elle s'abandonne avec délices... Il lui insuffle ainsi les plus grands espoirs, les plus folles espérances. Puis, Il l'entraîne jusqu'au lit placé entre deux larges étagères de provisions et la fait s'allonger, toujours menottée. Avec douceur, mais fermeté, il lui écarte largement les cuisses, se couche sur elle et la prend une nouvelle fois, sans autres préliminaires. Il la pénètre et la possède, longuement... Elle se donne, totalement, frénétiquement ! Gémissante, râlante... oubliée la pure jeune femme. Le Seigneur sent sous Lui de nouveau une femelle en chaleur, une chienne dont le corps servile n'aspire qu'à être sailli... Et Le Seigneur ne s'en prive pas... Ce soir, Kate est inondée du plaisir de combler les plaisirs de Ce Maître tant adulé. Docilement, elle se laisse retourner et se tient prosternée en levrette sur le vaste lit. Le visage écrasé dans les draps, les poignets toujours enferrés, elle cambre ses reins et écarte les cuisses...
Le Seigneur doigte alors l'anus tellement étroit. Il y glisse le Majeur, le fait aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus vite, avant d'y ajouter un second, puis un troisième doigt... Elle gémit, rend un profond son de gorge rauque... Le Seigneur ne lui cède aucun répit... Il retire Ses doigts et pose Son gland à l'entrée de cet œillet, de ce petit cul encore fort serré... Il appuie, appuie de toutes ses forces et sent la rosette qui s'élargit, s'ouvre et malgré le cri strident qu'elle ne peut retenir, s'enfonce en elle, profondément, implacablement... Il la sodomise, se saisissant à deux mains de ses hanches pour la forcer à demeurer immobile et à Le recevoir au plus profond de son être. Et il l'encule et l'encule encore, en une saillie bestiale lui imposant un va-et-vient inflexible de ses coups de boutoir qui la baisse profondément dans ses entrailles et la font Sienne plus qu'elle n'a jamais été. Il ne cesse d'aller et venir en elle, jusqu'à ce qu'elle abdique toute résistance et ne devienne plus qu'un pantin désarticulé dont Il use et abuse comme bon Lui semble...
Après un très long moment de ce traitement savoureux, Il se retire et la force à descendre du lit, la fait mettre à genoux, forçant alors sans difficulté ses jolies lèvres charnues et enfonçant jusqu'à la garde Son membre gluant jusque dans sa gorge. Et c'est là, après quelques lentes allées et venues qu'il inonde la gorge et la bouche de Kate du flot épais et abondant de Son plaisir de mâle. Il n'a même pas à maintenir sa nuque, docilement elle avale, comme avec avidité la semence du Seigneur et Maître. Et lorsqu'Il Se retire et la contemple, à Ses Pieds, elle lève vers Lui des yeux inondés de larmes mais qui n'expriment qu'adoration et reconnaissance... Rompue, brisée, à bout de forces, elle tend pourtant les bras en un geste rapide et se saisit de la main du Seigneur d’Evans afin d'y déposer le plus humble et délicat des baisers... Un baiser qui incarne à la fois l'abandon et la passion, la servilité et la reconnaissance, l'avilissement accepté et la soumission exaltée... Puis épuisée, elle est autorisée à se lover aux pieds du Seigneur, se mettant en boule. Et les yeux de la belle se ferment, elle s'effondre dans un sommeil profond que le Maître choisit de ne point troubler…
Ce récit hors-série se passe quand Chloris était jeune et pas encore mariée à Antonin, elle s’appelait alors Kate mais était déjà soumise au Seigneur d’Evans –
Kate se tient nue face au Seigneur d’Evans... Droite, les yeux baissés, habitée par cette délicieuse sensation qu'elle éprouve à chaque fois dans cette situation, une sensation de dévotion pure, de soumission totale envers le Maître. Alors de fait, elle n'ose pas lever les yeux, n'ose pas bouger, à peine respirer… Kate a juste entendu les pas du Seigneur s'éloigner vers le centre du salon, les talons de Ses chausses claquer sur la pierre qui pave l'immense pièce. Au dehors, l'orage gronde encore plus fort, mais là, elle a chaud, si près des hautes flammes qui illuminent l’âtre de la vaste cheminée où craque une énorme bûche sèche et enflammée. De longues minutes s'écoulent. Elle demeure immobile, les mains jointes dans le dos et desserre les cuisses pour tenter, de se sentir encore plus nue et offerte. Les pas à nouveau raisonnent... Il s'approche... Sa présence là, tout près, elle peut la sentir... Le Seigneur d’Evans se plante face à elle... Elle sent alors sur elle Son regard, un regard qu’elle devine insistant, sévère, fixe, Dominateur... Du bout des doigts, le Seigneur d’Evans saisit son menton et la force à relever la tête vers lui qui la domine de Sa haute stature :
- Regarde-Moi, ordonne-t-il froidement. Elle obéit... – Que ressens-tu ? Là en ce moment même ?
Un silence... puis timidement, la voix de Kate qui balbutie, une petite larme d’émotion coule doucement...
- Je... je sou … je souhaiterai que Vous m’utilisiez, encore et encore... Faites de moi ce que Vous voudrez... Je suis toute à Vous…
Le Seigneur ne prononce pas un mot de plus. Il caresse le visage de la jeune femelle, passe Son doigt sur la larme d’émotion pour l’étancher, caresse son cou, ses épaules... il se saisit d'un sein, le palpe, le presse doucement... puis la main descend sur les hanches, s'immisce entre les cuisses qu'Il force à s'écarter. Sa main baladeuse caresse le clitoris et descend vers les douces lèvres intimes, pour que Ses doigts écartent tendrement les chairs humides, puis s'enfoncent lentement... puis se retirent... Kate tremblante d’excitation, ne bouge pas… docile, elle gémit déjà de plaisir. Elle savoure, apprécie les caresses du Noble, en silence. Elle se laisse entraîner loin de la cheminée, vers le centre du salon, jusqu'à la table sur laquelle le Seigneur d’Evans à l’habitude d’écrire de Sa plume d’oie. Il est là d'ailleurs et elle le devine, un peu en retrait mais bien présent. Kate n'est qu'une poupée sans forces, sans volonté, qui se laisse amener là où bon Lui semble. Il la mène où Il le veut, elle ne résiste pas, n'hésite pas, ne réfléchit pas. Elle est là pour Lui... Elle acceptera tout, puisqu'elle s'y est engagée de tout ce qu'Il exigera, elle en a même besoin, c’est sa raison d’être… Au bout d’un moment, Il se saisit de son corps et la force à se pencher sur la longue table massive, le haut de son corps reposant sur le dessus du plateau, écrasant ses seins contre le bois froid. Alors qu'il écarte ses cuisses, elle sent les mains épaisses du Seigneur d’Evans qui s'emparent de ses poignets et qui les enserre dans des liens qu'il attache aux pieds de la table. Les mains du Seigneur caressent sa croupe formant comme d'invisibles volutes sur ses fesses et le bas de ses reins. Elle s'abandonne et se laisse bercer par la voix chaude mais à la fois autoritaire...
- Tu m'appartiens... Je vais te posséder, totalement. Et comme tu le sais, tu iras où je voudrai, tu feras tout ce que j'exigerai de toi
Tout en disant cela, Le Seigneur d’Evans glisse un doigt humide dans le sexe déjà poisseux de Kate. Puis un autre... Ensuite, enfin, le Noble pousse lentement Sa volumineuse Verge déjà dressée entre les cuisses de la femelle. Il entre en elle, s'enfonce, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit. Kate se sent entièrement possédée et désire tellement cette Verge tout entière en elle, alors elle écarte encore plus les cuisses, les jambes. Le sexe du Seigneur la possède profondément. Longuement, Il la baise, savourant pleinement ce fourreau chaud et humide qui accueille Son Vit en forte érection. C'est Sa possession totale et définitive qu'Il déguste ainsi, lentement, satisfait de la facilité avec laquelle il est entré en elle, et la possède virilement à la hussarde de plus en plus profond, comme si cette femelle soumise voulait l'engloutir tout entier. Tout d’un coup la porte s’ouvre et Antonin arrive. Voyant la scène, il sourit d’un air complice quand le Seigneur lui dit :
- Antonin, met-toi à l’aise, quitte tes chausses et vient nous rejoindre, Kate a besoin qu’on s’occupe d’elle !
Alors Antonin ne tarde pas à se déshabiller, très excité par la situation et c’est sans attendre qu’il passe de l'autre côté de la table, passe ses mains dans ses cheveux, Il enfonce un doigt entre ses lèvres et elle suce ce doigt, avec ferveur...
- Ooohhh .... Oooh Ouiiiiiiiiii encooooore, supplie-t-elle…
Le Seigneur d’Evans s'enfonce en elle et la baise longuement, profondément à grands coups de reins puissants... Kate savoure cet éclair si violent qui traverse son corps servile, tout son corps de soumise jusqu'à ses plus infimes extrémités. Elle se délecte d'une telle sensation de plaisirs jouissifs. En elle, se mêlent la pulsion animale du plaisir charnel et la sublime sensation de ne plus être dans son propre corps de femme mais plutôt dans celui d’une chienne en chaleur. Elle est parcourue de vibrations incontrôlables qui lui remontent sur toute son échine. Kate sait qu'elle gémit, qu'elle râle, qu'elle crie, qu’elle ne contrôle plus rien et en jubile de bonheur. Elle n'est plus elle-même, ou plutôt elle devient vraiment elle-même, une salope de chienne !
Kate agite son corps nu, se cambre du bassin, non pour s'échapper, mais de façon incontrôlable... Parce qu'elle est saisie d'une série de vibrations qui la parcourent en tous sens, qui lui font perdre tout contrôle.
- Ouiiiiiiiiiiiii ! … J’aime être Sa catin !, se dit-elle quand le Seigneur d’Evans lui ordonne de jouir
Alors cette créature de chair jouit sans retenue ! Kate se livre sans pudeur, prête à tout pour Lui ... Pour Celui qui la possède maintenant sous les yeux d'Antonin, alors qu’elle crie encore, qu’elle s'entend hurler pour supplier qu'Il la prenne encore et encore. La seule faim qui l'anime, c'est celle du puissant désir d’être possédée, d’être remplie. Elle le souhaite tellement qu'Il la prenne durant des heures, qu'Il la possède totalement, elle ramperait à Ses pieds pour qu'Il consente encore et toujours à la faire Sienne !
Oui, Kate jouit sans s’arrêter, son corps pris de spasmes incontrôlables tandis que le Seigneur se retire d'elle après avoir éjaculer dans des râles longs tel un mâle en rut et dans des derniers coups de boutoirs. Le plaisir de Celui qui la possède s'est mêlé au sien... Elle en dégouline de cyprine, elle est heureuse de sentir leurs plaisirs qui coulent lentement à l'intérieur de ses cuisses. Elle est épuisée, haletante... Le Seigneur d’Evans contemple ce corps encore agité de faibles soubresauts... Il s'adresse à Antonin:
- Mon Ami, quelle bonne chienne, elle fait. Quel potentiel ! Je crois que notre Plaisir et le sien n'ont pas fini d'être comblé !
- Certes, approuve Antonin, Kate est une soumise, une belle femelle d'une qualité rare. Une vraie salope en devenir ! J'ai hâte que nous en usions encore !
- Tout à fait mon ami. Nous n'allons pas tarder, d'ailleurs. Mais avant, je tiens à corriger un ou deux détails. Cette pilosité intime ne me sied point ! Il faut y remédier et au plus vite ! Car je vois que quelques poils ont déjà repoussés…
En un instant, Marion et Clémence, deux autres soumises ont été appelée avec tout le matériel nécessaire. Kate est détachée et déplacée, afin de se tenir couchée sur le dos, les cuisses largement ouvertes et Marion se met au travail, faisant peu à peu disparaître toute pilosité du corps de Kate qui réagit encore avec excitation au moindre contact avec son intimité, pour le plus grand plaisir du Seigneur d’Evans et d’Antonin qui assistent au rasage des poils. Un corps parfait, que l'on prépare pour qu'il soit idéalement à leur goût... Et une femelle docile, qui se révèle plus prometteuse encore qu'ils ne l'avaient supposé...
Après avoir été apprêtée, son corps servile débarrassé de toute pilosité inesthétique et recouvert d'un onguent faisant comme un voile de fraîcheur sur sa peau douce, Kate avait été préparée...Un épais collier de cuir s'était refermé autour de son cou gracile, tandis que de lourdes menottes de fer se refermaient sur ses fins poignets tirés dans son dos. Kate n'opposait aucune résistance, bien au contraire, elle était comme une poupée à laquelle on pouvait faire prendre n'importe quelle position, les deux soumises chargées de la préparer avaient ainsi pu rendre son corps parfaitement lisse sans qu'elle esquisse le moindre geste de refus. Puis elle avait été d'une parfaite docilité en recevant de nouveau le collier et les chaînes... Ensuite les bas de soie blanche et jarretières assorties, ainsi que les hautes chausses à boucle qui constituaient désormais les seuls ornements de son corps exposé aux regards dans sa plus prime nudité. Si Kate avait immédiatement compris une chose depuis qu'elle s'était lancée à corps perdu dans la parfaite soumission, car tel était bien ce qu'elle avait besoin, dans son engagement à servir le Seigneur, c'est qu'il était plus prudent de peu s'exprimer, de suivre le cours des choses et de se montrer souple et docile en toutes circonstances. Elle évitait ainsi toutes éventuelles réprimandes qui seraient sans aucun doute accompagnées d'un châtiment et pouvait ainsi se concentrer sur ce monde sublime de la Domination-soumission … Et puis, tout ce qui comptait pour elle, c'était de combler Celui qui avait ainsi captivé et capturé son corps et son âme...
Maintenant c’était Antonin, son bien aimé et futur époux, qui la tenait en laisse et lui faisait les honneurs d'un dédale de couloirs et de salles que tant de séjours en cette Demeure jamais ne lui avaient été révélés. Comment aurait-elle pu soupçonner, lors de ses allées et venues au Château qu'existait, sous leurs pieds dans les bas-fonds de la bâtisse, un véritable petit monde servile, de femmes et d'hommes voués à une appartenance totale. Pas à pas, menée comme une chienne docile par Antonin, elle arpentait les couloirs, découvrant des cachots où croupissaient des soumis punis au corps marqué par les traces de flagellation, des salles où femelles et mâles étaient livrés aux plus lubriques pratiques... S'appliquant à suivre le rythme imposé par Antonin, Kate avait le sentiment de s'enfoncer dans un monde nouveau, presque inquiétant, mais tellement excitant aussi. Elle était encore excitée de la façon si naturelle dont elle avait cédé, obéi aux exigences du Maître et Seigneur et de celui qu'elle aimait.
Car oui, elle aimait l'incroyable désir qui brûlait entre ses cuisses.... Au détour d’un long couloir, le Seigneur d’Evans les avait rejoint et avait même empoigné la laisse que lui tendait Antonin. Alors le Maître l'avait promenée à Son tour dans tous les coins et recoins des sous-sols du château. Kate avait ensuite suivi le Maître adoré jusque dans un cellier, c’était un ancien cachot aménagé. Là, Il l'avait simplement laissée au centre de la pièce, la délaissant comme un objet sans utilité immédiate et s'abandonnant aux soins de deux autres soumises, Marion et Clémence, déjà présentes en ce lieu qui Le vêtirent pour la nuit, non sans Lui avoir prodigué maintes délicieuses caresses tout en Lui ôtant Sa tenue de la journée. Marion et Clémence s'étaient appliquées à égayer le Maître, leurs bouches gourmandes et leurs mains expertes faisant monter un Lui un irrépressible désir, une érection d’une forte rigidité mais qu'Il ne leur avait pas permis de mener à Son terme, car Il entendait, ce soir, se réserver pour Sa soumise Kate, ce parangon de pureté qu'Il pliait et plierait encore bien plus à Ses plus pervers caprices...
Le Seigneur d’Evans, Antonin à Ses côtés, claqua dans les mains et les deux femelles s'éclipsèrent, emmenées en laisse par Antonin, conscientes que cette nuit, elles n'ont été que des boute-en-train et que c'est une autre qui subira les assauts du Maître auxquels presque jalousement, elles aspirent également. Maigre satisfaction, pour les consoler, Le Seigneur a consenti à les faire dormir dans la même cellule et les a autorisées à s'ébattre de concert et à se livrer l'une à l'autre dans de saphiques plaisirs sous les coups de reins d’Antonin qui saura les dominer toute la nuit...
Kate, immobile au centre du cellier et attend... Elle sent qu’on lui met des menottes d’un fort solide acier et qu’elles pèsent lourdement à ses poignets, la laisse pend sur le devant de son corps, entre ses seins et jusqu'à la pointe de son intimité... Elle attend, anxieuse... Mais Le Seigneur prend son temps... Il sent Son membre viril tendu à l'extrême. Son excitation érectile qu'il va étancher en chevauchant la tendre et belle Kate ouverte à tous Ses plaisirs, offerte à toutes Ses Exigences. Il avance vers elle, tout près... lui caresse la joue, le cou, les cheveux... Docile, elle garde les yeux baissés, mais ne peut retenir le faible tremblement qui gagne tout son corps... Il la caresse tendrement, lentement, ne délaisse pas la moindre parcelle de ce corps aux courbes idéales, les seins petits mais ronds et fermes, les fesses juste parfaitement cambrées, le sexe désormais parfaitement épilé laissant entrevoir les chairs plus colorées d'une chatte qui même à l'œil paraît humide... Il passe alors sa main entre les cuisses, enfonce un, deux, trois doigts dans ce sexe trempé de la belle femelle qui ne peut retenir un faible gémissement. Le Seigneur titille ses sens avant de la posséder en Maître tout puissant qu'Il est…
Pas un seul mot est prononcé quand Il porte Ses lèvres contre celles de Kate et lui offre un long et tendre baiser auquel elle s'abandonne avec délices... Il lui insuffle ainsi les plus grands espoirs, les plus folles espérances. Puis, Il l'entraîne jusqu'au lit placé entre deux larges étagères de provisions et la fait s'allonger, toujours menottée. Avec douceur, mais fermeté, il lui écarte largement les cuisses, se couche sur elle et la prend une nouvelle fois, sans autres préliminaires. Il la pénètre et la possède, longuement... Elle se donne, totalement, frénétiquement ! Gémissante, râlante... oubliée la pure jeune femme. Le Seigneur sent sous Lui de nouveau une femelle en chaleur, une chienne dont le corps servile n'aspire qu'à être sailli... Et Le Seigneur ne s'en prive pas... Ce soir, Kate est inondée du plaisir de combler les plaisirs de Ce Maître tant adulé. Docilement, elle se laisse retourner et se tient prosternée en levrette sur le vaste lit. Le visage écrasé dans les draps, les poignets toujours enferrés, elle cambre ses reins et écarte les cuisses...
Le Seigneur doigte alors l'anus tellement étroit. Il y glisse le Majeur, le fait aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus vite, avant d'y ajouter un second, puis un troisième doigt... Elle gémit, rend un profond son de gorge rauque... Le Seigneur ne lui cède aucun répit... Il retire Ses doigts et pose Son gland à l'entrée de cet œillet, de ce petit cul encore fort serré... Il appuie, appuie de toutes ses forces et sent la rosette qui s'élargit, s'ouvre et malgré le cri strident qu'elle ne peut retenir, s'enfonce en elle, profondément, implacablement... Il la sodomise, se saisissant à deux mains de ses hanches pour la forcer à demeurer immobile et à Le recevoir au plus profond de son être. Et il l'encule et l'encule encore, en une saillie bestiale lui imposant un va-et-vient inflexible de ses coups de boutoir qui la baisse profondément dans ses entrailles et la font Sienne plus qu'elle n'a jamais été. Il ne cesse d'aller et venir en elle, jusqu'à ce qu'elle abdique toute résistance et ne devienne plus qu'un pantin désarticulé dont Il use et abuse comme bon Lui semble...
Après un très long moment de ce traitement savoureux, Il se retire et la force à descendre du lit, la fait mettre à genoux, forçant alors sans difficulté ses jolies lèvres charnues et enfonçant jusqu'à la garde Son membre gluant jusque dans sa gorge. Et c'est là, après quelques lentes allées et venues qu'il inonde la gorge et la bouche de Kate du flot épais et abondant de Son plaisir de mâle. Il n'a même pas à maintenir sa nuque, docilement elle avale, comme avec avidité la semence du Seigneur et Maître. Et lorsqu'Il Se retire et la contemple, à Ses Pieds, elle lève vers Lui des yeux inondés de larmes mais qui n'expriment qu'adoration et reconnaissance... Rompue, brisée, à bout de forces, elle tend pourtant les bras en un geste rapide et se saisit de la main du Seigneur d’Evans afin d'y déposer le plus humble et délicat des baisers... Un baiser qui incarne à la fois l'abandon et la passion, la servilité et la reconnaissance, l'avilissement accepté et la soumission exaltée... Puis épuisée, elle est autorisée à se lover aux pieds du Seigneur, se mettant en boule. Et les yeux de la belle se ferment, elle s'effondre dans un sommeil profond que le Maître choisit de ne point troubler…
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