La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1611)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1611) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1611)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1604) -
Chapitre 36 : Saillies à la chaine -
Markus éclatait de rire alors qu’il me barbouillait le visage en y étalant avec sa main, le sperme qu’il y avait répandu… Jamais je n’avais pensé un jour m’essayer à de telles pratiques tel que le fist-fucking, à des exercices aussi déviants et pervers, jamais je n’aurais pensé que mon corps, mon mental puissent réagir aussi aisément au délabrement, à l’abaissement, à l’avilissement, avec une soif infinie, une ambition, une appétence toujours plus importante d’aller plus loin encore. J’étais là, bouche grande ouverte, sous le joug de Markus, son pied posé sur ma nouille flétrie, son talon écrasant mes burnes, incapable de bouger, me laissant humilier sans plus aucune fierté, me laissant conduire dans l’abjection et l’ignominie. Markus me toisait, me rabaissait avec son regard à la fois diabolique et dépravé, il m’avilissait comme si je n’étais qu’une chose qui ne méritait que d’être foulée au pied, broyée, écrasée devant renoncer à toute forme de dignité. Condescendant, audacieux et arrogant parce qu’enivré par cette vision que je lui offrais, allongé au sol sur le dos, les cuisses largement écartées comme une salope en chaleur, je le laissais me contempler, me malmener. Mon cœur battait, mon esprit s’embrumait, je perdais pied. Des images pathétiques défilaient dans ma tête, je me voyais entre les cuisses de Monsieur le Marquis, entre celles de Walter, de Marcel, où bien celles encore de Greg, cet esclave étalon…
Tous me forniquaient, m’enculaient, me baisaient, me niquaient sauvagement. Je devais être rouge écarlate de honte mais aussi de désir brulant. Ma poitrine se soulevait rapidement au rythme de mon hâtive respiration. De mes lèvres entrouvertes je me laissais aller à des gémissements pathétiques et affligeants, à des jérémiades de chienne excitée qui accentuaient au fil du temps le sentiment d’humiliation. Markus semblait se satisfaire de la situation, son sourire s’élargissait en un rictus cruel. Il caressait son entrejambe bien gonflé sur son jean moulant, sa langue passait sur ses lèvres déjà bien humides et ses yeux gourmands me fixaient comme un prédateur le ferait avant de fondre sur sa proie. Il se hissait sur la pointe de son pied gauche, celui posé au sol, pour que tout son poids repose sur ma nouille. De son pied droit, il broyait mes burnes, faisant tourner son pied comme s’il voulait écraser un mégot de cigarette incandescent, alors que je suffoquais en serrant les dents pour contenir la douleur.

- Ouvre ta gueule de pute, sale bâtard !, m’ordonnait-il.

J’obéissais, lui se raclait la gorge puis se penchait vers moi. Son crachat tombait directement au fond de ma gorge, j’avalais… un deuxième mollard tombait sur mes lèvres !

- Viens collecter avec ta langue de pute ce que je t’offre, petite catin !

Je fermais les yeux et passais ma langue sur mes lèvres souillées, et dégustais cette fois-ci cette offrande en frissonnant de plaisir. Ma nouille se redressait tant j’étais assujetti et possédé par cet homme terriblement Dominant. Il me cassait, me brisait, m’accablait, et plus il m’anéantissait, plus ma nouille gonflait, plus il me mettait en pièce, et plus je savourais les sensations extraordinaires qui irradiaient mon corps de chiennasse affamée.

- Ouvre ta putain de gueule, t’ai-je ordonné !, me hurlait-il encore en écrasant douloureusement une nouvelle fois mes couilles.

Quelques secondes, après un jet brulant frappait mon visage et éclaboussait mes lèvres. Sa pisse m’inondait, me submergeait. Elle coulait à flot dans ma gorge ne me laissant pas le temps de savourer son goût âpre et salé. Avec difficulté j’avalais en me laissant souiller par ce liquide rêche et rude. J’étais dans l’odieux, le détestable, le répugnant, mon corps et mon âme totalement avilis, totalement asservis, appréciant ces bassesses inimaginables et terriblement excitantes. Cette pisse infecte me transcendait, ma nouille maintenant raide et dure prenait le pas sur mon mental. Je me sentais pute, j’étais salope, j’étais chienne, j’étais un crachoir, un urinoir, j'étais esclave... Markus d’ailleurs me le confirmait peu après.

- Tu n’es qu’une vraie catin, tu le sais ça… hein ? … La pire des salopes que je n’ai jamais connue !

Markus secouait sa bite au-dessus de mon corps en répandant sur ma peau les dernières gouttes de pisse avant d’ôter son pied de mon sexe enflammé. Markus me laissait là, inerte, indolent, sclérosé dans cette posture outrageuse, figé dans mes pensées, juste le temps nécessaire pour accepter cette vérité. Je n’étais plus rien, naturellement construit pour subir et obéir et cela apportait un sens à ma vie. Je me sentais maintenant digne de savourer mon existence, heureux et libre d’être aux pieds des hommes Dominants, d’être à la hauteur de cette Domination physique, mentale et sexuelle imposée par le Maître... Peu après, Monsieur le Marquis entrait. Il passait près de moi, sans un mot, me regardant d’un air altier et conquérant dans le silence le plus absolu, puis après m’avoir fixé du regard un très long moment, il s’asseyait sur une chaise après avoir descendu Son pantalon et caleçon à Ses chevilles.

- Tu commences à comprendre ce que j’attends de toi, Ma petite salope… mais ce n’est qu’un début… Il me faut plus pour Me satisfaire pleinement !

Le Noble se taisait un instant, me toisait, pour reprendre :
- Tu commences seulement à m’exciter, juste un peu… Mon noble Vit prend un peu de volume en te voyant ainsi souillé et anéanti, mais Mon érection n’est pas encore à son apogée. Tu vois, je suis obligé de Me masturber un peu pour que Mon membre soit comme il devrait être…
Le Maître ne me laissait pas gamberger davantage, Il m’ordonnait clairement de me mettre à quatre pattes et venir près de Lui entre Ses jambes ouvertes. Mon regard se portait sur Sa noble main entourant Son sexe majestueux, d’une beauté pleine de grandeur. Je matais envieusement ce gland luisant et décalotté sortant de ce poing fermé sur cette hampe veineuse de chair turgescente.

- Tu pourras te satisfaire de ta condition d’esclave lorsque tu verras Mon sexe raide et dégoulinant… Tu n’en es pas encore là, tu dois encore progresser, tu dois faire des efforts et toujours donner le meilleur de toi pour parvenir à Me satisfaire pleinement.

A cet instant, Monsieur le Marquis glissait Sa main libre dans ma chevelure. Ses doigts s’agrippaient à ma tignasse brune, Il tirait ma tête en arrière m’obligeant à la relever. Son auguste regard se plaçait dans mes yeux craintifs.

- Mais c’est un bon début… Tu commences réellement à comprendre ce pour quoi tu es fait, ce qui est bon pour toi… Je vais donc te récompenser, Ma putain de petite chienne !

Sans desserrer Ses doigts de mes cheveux, le Maître me faisait avancer un peu plus encore et logeait brutalement Son phallus brulant au fond de ma gorge.

- Régale-toi, Ma petite salope !

J’étais au bord de l’asphyxie avec Son énorme sexe planté au plus profond de mon gosier, touchant ma glotte, mais j’attendais sagement, que les mains du Noble, plaquées derrière ma nuque, relâchent leurs pressions. Les larmes me montaient aux yeux, je bavais abondamment mais ne faisait aucun mouvement arrière par crainte d’une sévère correction. Je me contentais d’humer ces poils pubiens me chatouillant les narines.

- C’est bien Ma chienne… Tu commences à comprendre, tu commences à savoir prendre une grosse queue en fond de gorge. Aller, suce-Moi maintenant, donne-Moi du plaisir, applique-toi, la chienne…
Ma bouche enveloppait ce majestueux sexe, ma langue habille et protectrice tournoyait autour de cet éperon de chair brulante. J’allais titiller du bout de mon appendice buccal le frein sous ce gland frémissant et violacé. Mon cœur battait à cent à l’heure en comprenant que chaque parole du Maitre coulait en moi désormais comme un ordre, mais aussi comme un remède dopant ma servilité, un plaisir enivrant auquel il m’était impossible de résister. « Suce-Moi, donne-Moi du Plaisir, applique-toi » Ces mots résonnaient dans mon crâne de salope… Oh que oui, je m’appliquais ! Ma bouche allait et venait, j’avalais et rejetais ce membre érigé, j’apportais une attention soutenue dans mes mouvements de va-et-vient, dans la salive que je répandais autour de cette noble Queue en émettant des bruits de succion, telle une chienne affamée. Monsieur le Marquis venait de se mettre debout, Ses doigts s’accrochaient à mes oreilles, Il me maintenait ainsi, menait la danse, donnait le tempo, régulait la cadence des allers et venues dans ma bouche de putain. Le Châtelain pénétrait, baisait ma bouche s’enfonçant jusqu’à ma gorge, se retirait pour s’engager plus profondément, prenant ma cavité buccale juste comme un simple trou chaud et humide pour Son unique plaisir… Encore et toujours, Il s’introduisait, se dégageait pour mieux plonger en moi, comme s’Il voulait que cette pénétration atteigne mon âme, comme s’Il voulait divulguer et propager toutes les valeurs de soumission et d’abandon. Sa divine Verge si tendue était maintenant dure comme de l’ébène, quelques gouttes claires et salées perlaient de ce magnifique gland gonflé, gorgé de plaisir, que je m'empressais de déguster et d'avaler en bouche. Je m’efforçais d’encaisser les coups de butoir en fermant les yeux, en me concentrant sur le relief veineux de ce volumineux membre incandescent. J’entendais le Châtelain pousser un souffle court puis me murmurer des encouragements :
- Vas-y Ma salope, c’est bon, continue Ma putain de chienne, c’est bien !... C’est bon … !

(A suivre…)

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