La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1614)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1614)
L’esclave salope MDE au Château – Histoire écrite à 4 mains par Monsieur le Marquis et Son esclave salope MDE -
Heureuse de mon petit déjeuner avec la noble Semence du Maitre dedans, je me mets à quatre pattes, et lape comme une petite chienne... Un autre jour et après un orgasme incroyable auquel le Maître m’avait autorisé, il me fallut du temps pour revenir à moi, allongée ainsi parterre incapable de bouger, le temps de reprendre mes esprits après être partie bien haut dans l’ivresse extrême de la jouissance… Ce jour-là, donc, le Maitre s’abaisse à ma hauteur, Il me caresse d’abord délicatement la tête, pour finir par me prendre dans Ses bras et me berce doucement le temps pour moi de me remettre de cet explosif orgasme. Epuisée physiquement, le corps vidé de tant de plaisirs, je m’endors sans attendre et sans le vouloir, dans les bras du Maitre... A mon réveil, je ne sais combien de temps plus tard, je suis allongée sur le canapé du bureau du Maitre, avec une chaude couette sur moi. Le temps d’émerger un peu, je me redresse. Sur le mur, au-dessus du canapé, se trouve un miroir et assise sur ce canapé, je vois tout le haut de mon corps jusqu’à ma poitrine nue, à peu près. Mon regard s’arrête sur mon cou et je touche alors mon collier. Je me surprends à m’y arrêter dessus… Et j’observe mes deux anneaux tout en espérant d’obtenir le troisième au plus vite, en tout cas, je ferai toujours tout pour l’obtenir. En attendant, mon collier est magnifique, ma main se pose dessus, et de mes doigts je le touche, je touche mes deux anneaux aux liserés d’or incrustés dans le cuir de mon collier, tellement heureuse de leur présence. Ma main droite aussi se pose sur mon tatouage, juste au-dessus de mon sexe, reçu il n’y a pas si longtemps aussi, quand je suis devenue une esclave MDE.
Perdue dans mes pensées entre mon tatouage et mes anneaux que j’observe longuement, un sourire se dessine sur mes lèvres, je me mords celle inférieure, me doutant que le Maitre proche de moi doit travailler. J’essaie d’être la plus silencieuse possible, pourtant je sens un regard sur moi, et en tournant la tête, je vois le Noble en train de me regarder, Il m’observe intensément. Je croise Son regard bleu et si profond, voire hypnotique, dans lequel je vois tellement d’amour et de douceur. Visiblement, je ne suis pas en face du Dominant, et j’en viens à me perdre dans Ses yeux absolument magnifiques, et à regarder cet homme si charismatique au grand cœur, que j’aime. Je ne peux m’empêcher de penser à la chance que j’ai de Le connaitre, de L’avoir rencontré. Mon regard attendri se perd dans celui de cet homme et que j’ai rencontré il y’a quelques années et qui m’a sauvé. Et je me sens si petite, si fragile devant Lui, mais aussi tellement sécurisée, rassurée, apaisée… Petit à petit, l’esclave que je suis reprend le dessus, et même si je suis toujours perdu dans mes pensées avec mon regard posé sur le Châtelain, mon esprit est désormais ailleurs : Je repense à ce Maitre juste que j’ai rencontré, je pense au Maitre à qui j’appartiens, corps, âme et esprit, à qui je me suis entièrement, saine d’esprit, donnée sans retenue. Chaque jour, je suis un peu plus sûre de mon choix servile, de ma destinée d’esclave, de mon avenir de chienne à Ses pieds. Et je sais sans équivoque où est ma véritablement place et nulle part ailleurs, cette place que je qualifie de naturelle car elle me permet de vivre ma propre Nature servile, innée. J’ai été découverte à moi-même par le Maître, avant même que moi je sache ce je souhaitais être, ce que j’étais au plus profond de mon for intérieur. Le Maitre, Lui le savait, Il l’avait décelé, compris, analysé, décrypté et Il m’a guidé jusqu’à ce que je suis devenu aujourd’hui. Et de repenser à cette magnifique réalité si concrète, si ressentie à chaque instant, et sans m’en rendre compte, des larmes de pure émotions de bien-être, coulent de mes yeux sur mes joues. C’est Monsieur le Marquis qui me fait revenir de mes sublimes pensées, un peu avec difficulté, tellement je suis concentrée à souhaiter connaitre les raison de mes larmes, inquiet voulant s’assurer que je ne suis pas triste. Je me positionne alors sur le sol, m’agenouille et mets mes deux mains jointes comme pour faire une prière, afin de demander l’autorisation de parler.
- Oui, Ma belle chienne, que souhaites-tu Me dire ? Parles, je t’y autorise !
- Maitre, je vous suis reconnaissante de m’accorder le droit de m’exprimer. Les larmes de tristesse à Vos pieds depuis que je Vous connais sont bien rares. Et c’est loin d’être de la tristesse, c’est bien tout le contraire de ce que je ressens à Vos nobles Pieds, avec Vous. Je pensais juste à tout l’inouï bonheur que j’ai d’être à cette place, sous Votre Joug, dans Votre Cheptel, et à combien je suis si heureuse de Vous connaitre…
Profitant de l’autorisation de m’exprimer, je détaille alors au Maitre, mes pensées les plus sincères, et mes ressentis les plus intimes. Je lui dis tout ce que je ressens, tout ce que j’ai sur le cœur, tout ce qu’Il m’apporte, tout ce qu’Il fait, pour me faire vivre ma véritable Nature servile. Et je sais que le Maitre ressent ma sincérité livrée à cœur ouvert. J’exprime aussi au Maitre, ce fort et viscéral besoin d’être encore plus intensément cette chienne, cette soumise, cette salope, cette esclave à Ses nobles Pieds. J’exprime ce fort besoin, cette nécessité, cette évidence de vivre ma soumission, de toujours plus Lui appartenir, jusqu’à arriver au stade où je ne m’appartiens plus à moi-même. Lui appartenir au stade où je ne décide plus de rien, où toute ma vie est dirigée, gérée par le Maitre sur toutes choses. Lui appartenir entièrement, qu’il n’y ait plus de distinction entre ma vie vanille et chocolat. Que mes deux vies ne fassent plus qu’une, celle d’une vie totale d’esclave absolue et parfaite entièrement guidée par Lui. Que le Maître décide de comment je m’habille par exemple quand je suis en mode vanille, de ce que je mange. Qu’Il décide aussi de mes loisirs, de mes éventuelles sorties, bref que tout, absolument tout soit décidé par Lui. Que plus Il me privera de la liberté de décider, et plus je me sentirai paradoxalement libre d’être cette esclave…
Il est rare que je m’exprime autant, même si je sais que c’est quelque chose que le Maitre veut. Il est rare que je laisse autant, en si peu de temps parler mes ressentis. Quand j’ai fini de tout dire au Maitre, je baisse la tête, mon regard regardant le sol. Il m’arrive parfois d’avoir peur de Sa réaction quand j’exprime tout ça, peur qu’Il me trouve beaucoup trop dépendante de Lui, que ce que je souhaite soit trop ‘exigent’ pour Lui alors que je n’ai absolument rien, à exiger en tant que dominée. Mon souhait d’appartenance extrême au Maitre est tellement fort que je me devais de Lui exprimer tout cela. Pourtant comme à chaque fois que j’exprime ce puissant besoin, ce souhait, les mots du Maitre en réponse sont semblables à mes ressentis, Son besoin de Domination à mon égard, Son envie que je Lui appartienne encore plus, Sa nécessité à m’amener encore plus intensément à la totale dépendance envers Lui, sont aussi forts de Son côté, que du mien… Nous sommes à l’évidence sur la même longueur d’ondes, avec les mêmes aspirations, les mêmes objectifs, mais chacun à sa place naturelle. Nous sommes comme deux aimants, indissociables. C’est une puissante symbiose qui nous réunit, une osmose totale que nous vivons…
Et s’Il lui arrive de me punir par exemple, et même si chaque punition est difficile à vivre, je sais que je dois m’y plier et subir chaque punition faite pour m’améliorer. Qu’elles ont pour but de me faire grandir dans ma soumission, pour m’apprendre les bons comportements. Oh, le Maître n’est pas un sadique, Ses punitions ne sont pas forcément physiques. Elles sont mentales et beaucoup plus efficaces car elles me font toujours comprendre ce que je ne dois pas faire, comment je dois me comporter envers Lui. Et donc je souhaite aussi Lui en exprimer une profonde gratitude à m’éduquer de la sorte, à me punir quand Il le juge nécessaire. Et à ne jamais commenter une punition afin de ne porter aucun jugement sur celle-ci, comme sur ma faute, même si j’estimais que la faute en n’était pas une, ce n’est pas à moi d’en décider. Si le Maître a décidé par exemple de me punir c’est qu’Il a jugé que je le méritais et je n’ai pas à commenter Son choix. Je m’y conforme, même si c’est difficile à accepter, même si Sa décision de me punir est juste ou injuste, je n’ai pas à m’en poser la question, j’obéis, je subis la punition sans état d’âmes, et ainsi j’apprends à avoir le meilleur comportement que doit avoir une esclave crédible de son statut, de son état…
Comme toujours après mettre mise à nue sur mes ressentis, je me suis faite prendre par le Maitre par tous mes orifices qui a use et abuser de mon corps servile qui ne m’appartient plus. J’ai passé le reste de l’après-midi aux pieds du Maitre pendant qu’Il travaille. J’ai parfois eu la chance d’être utilisée par Lui, et à d’autres moments, j’ai juste servi de repose-pieds ou d’urinoir... C’est le soir vers 18h que le Maitre me prend avec Lui dans sa salle de bain, où il va d’abord se doucher et où j’ai eu la chance de pouvoir le laver avec Lui. Alors je m’applique délicatement à ne pas frotter trop fort, à laver le Maitre comme il faut, qu’il ne regrette pas de m’avoir offert cet honneur, de m’avoir offert cette chance de Le laver…
(A suivre …)
Heureuse de mon petit déjeuner avec la noble Semence du Maitre dedans, je me mets à quatre pattes, et lape comme une petite chienne... Un autre jour et après un orgasme incroyable auquel le Maître m’avait autorisé, il me fallut du temps pour revenir à moi, allongée ainsi parterre incapable de bouger, le temps de reprendre mes esprits après être partie bien haut dans l’ivresse extrême de la jouissance… Ce jour-là, donc, le Maitre s’abaisse à ma hauteur, Il me caresse d’abord délicatement la tête, pour finir par me prendre dans Ses bras et me berce doucement le temps pour moi de me remettre de cet explosif orgasme. Epuisée physiquement, le corps vidé de tant de plaisirs, je m’endors sans attendre et sans le vouloir, dans les bras du Maitre... A mon réveil, je ne sais combien de temps plus tard, je suis allongée sur le canapé du bureau du Maitre, avec une chaude couette sur moi. Le temps d’émerger un peu, je me redresse. Sur le mur, au-dessus du canapé, se trouve un miroir et assise sur ce canapé, je vois tout le haut de mon corps jusqu’à ma poitrine nue, à peu près. Mon regard s’arrête sur mon cou et je touche alors mon collier. Je me surprends à m’y arrêter dessus… Et j’observe mes deux anneaux tout en espérant d’obtenir le troisième au plus vite, en tout cas, je ferai toujours tout pour l’obtenir. En attendant, mon collier est magnifique, ma main se pose dessus, et de mes doigts je le touche, je touche mes deux anneaux aux liserés d’or incrustés dans le cuir de mon collier, tellement heureuse de leur présence. Ma main droite aussi se pose sur mon tatouage, juste au-dessus de mon sexe, reçu il n’y a pas si longtemps aussi, quand je suis devenue une esclave MDE.
Perdue dans mes pensées entre mon tatouage et mes anneaux que j’observe longuement, un sourire se dessine sur mes lèvres, je me mords celle inférieure, me doutant que le Maitre proche de moi doit travailler. J’essaie d’être la plus silencieuse possible, pourtant je sens un regard sur moi, et en tournant la tête, je vois le Noble en train de me regarder, Il m’observe intensément. Je croise Son regard bleu et si profond, voire hypnotique, dans lequel je vois tellement d’amour et de douceur. Visiblement, je ne suis pas en face du Dominant, et j’en viens à me perdre dans Ses yeux absolument magnifiques, et à regarder cet homme si charismatique au grand cœur, que j’aime. Je ne peux m’empêcher de penser à la chance que j’ai de Le connaitre, de L’avoir rencontré. Mon regard attendri se perd dans celui de cet homme et que j’ai rencontré il y’a quelques années et qui m’a sauvé. Et je me sens si petite, si fragile devant Lui, mais aussi tellement sécurisée, rassurée, apaisée… Petit à petit, l’esclave que je suis reprend le dessus, et même si je suis toujours perdu dans mes pensées avec mon regard posé sur le Châtelain, mon esprit est désormais ailleurs : Je repense à ce Maitre juste que j’ai rencontré, je pense au Maitre à qui j’appartiens, corps, âme et esprit, à qui je me suis entièrement, saine d’esprit, donnée sans retenue. Chaque jour, je suis un peu plus sûre de mon choix servile, de ma destinée d’esclave, de mon avenir de chienne à Ses pieds. Et je sais sans équivoque où est ma véritablement place et nulle part ailleurs, cette place que je qualifie de naturelle car elle me permet de vivre ma propre Nature servile, innée. J’ai été découverte à moi-même par le Maître, avant même que moi je sache ce je souhaitais être, ce que j’étais au plus profond de mon for intérieur. Le Maitre, Lui le savait, Il l’avait décelé, compris, analysé, décrypté et Il m’a guidé jusqu’à ce que je suis devenu aujourd’hui. Et de repenser à cette magnifique réalité si concrète, si ressentie à chaque instant, et sans m’en rendre compte, des larmes de pure émotions de bien-être, coulent de mes yeux sur mes joues. C’est Monsieur le Marquis qui me fait revenir de mes sublimes pensées, un peu avec difficulté, tellement je suis concentrée à souhaiter connaitre les raison de mes larmes, inquiet voulant s’assurer que je ne suis pas triste. Je me positionne alors sur le sol, m’agenouille et mets mes deux mains jointes comme pour faire une prière, afin de demander l’autorisation de parler.
- Oui, Ma belle chienne, que souhaites-tu Me dire ? Parles, je t’y autorise !
- Maitre, je vous suis reconnaissante de m’accorder le droit de m’exprimer. Les larmes de tristesse à Vos pieds depuis que je Vous connais sont bien rares. Et c’est loin d’être de la tristesse, c’est bien tout le contraire de ce que je ressens à Vos nobles Pieds, avec Vous. Je pensais juste à tout l’inouï bonheur que j’ai d’être à cette place, sous Votre Joug, dans Votre Cheptel, et à combien je suis si heureuse de Vous connaitre…
Profitant de l’autorisation de m’exprimer, je détaille alors au Maitre, mes pensées les plus sincères, et mes ressentis les plus intimes. Je lui dis tout ce que je ressens, tout ce que j’ai sur le cœur, tout ce qu’Il m’apporte, tout ce qu’Il fait, pour me faire vivre ma véritable Nature servile. Et je sais que le Maitre ressent ma sincérité livrée à cœur ouvert. J’exprime aussi au Maitre, ce fort et viscéral besoin d’être encore plus intensément cette chienne, cette soumise, cette salope, cette esclave à Ses nobles Pieds. J’exprime ce fort besoin, cette nécessité, cette évidence de vivre ma soumission, de toujours plus Lui appartenir, jusqu’à arriver au stade où je ne m’appartiens plus à moi-même. Lui appartenir au stade où je ne décide plus de rien, où toute ma vie est dirigée, gérée par le Maitre sur toutes choses. Lui appartenir entièrement, qu’il n’y ait plus de distinction entre ma vie vanille et chocolat. Que mes deux vies ne fassent plus qu’une, celle d’une vie totale d’esclave absolue et parfaite entièrement guidée par Lui. Que le Maître décide de comment je m’habille par exemple quand je suis en mode vanille, de ce que je mange. Qu’Il décide aussi de mes loisirs, de mes éventuelles sorties, bref que tout, absolument tout soit décidé par Lui. Que plus Il me privera de la liberté de décider, et plus je me sentirai paradoxalement libre d’être cette esclave…
Il est rare que je m’exprime autant, même si je sais que c’est quelque chose que le Maitre veut. Il est rare que je laisse autant, en si peu de temps parler mes ressentis. Quand j’ai fini de tout dire au Maitre, je baisse la tête, mon regard regardant le sol. Il m’arrive parfois d’avoir peur de Sa réaction quand j’exprime tout ça, peur qu’Il me trouve beaucoup trop dépendante de Lui, que ce que je souhaite soit trop ‘exigent’ pour Lui alors que je n’ai absolument rien, à exiger en tant que dominée. Mon souhait d’appartenance extrême au Maitre est tellement fort que je me devais de Lui exprimer tout cela. Pourtant comme à chaque fois que j’exprime ce puissant besoin, ce souhait, les mots du Maitre en réponse sont semblables à mes ressentis, Son besoin de Domination à mon égard, Son envie que je Lui appartienne encore plus, Sa nécessité à m’amener encore plus intensément à la totale dépendance envers Lui, sont aussi forts de Son côté, que du mien… Nous sommes à l’évidence sur la même longueur d’ondes, avec les mêmes aspirations, les mêmes objectifs, mais chacun à sa place naturelle. Nous sommes comme deux aimants, indissociables. C’est une puissante symbiose qui nous réunit, une osmose totale que nous vivons…
Et s’Il lui arrive de me punir par exemple, et même si chaque punition est difficile à vivre, je sais que je dois m’y plier et subir chaque punition faite pour m’améliorer. Qu’elles ont pour but de me faire grandir dans ma soumission, pour m’apprendre les bons comportements. Oh, le Maître n’est pas un sadique, Ses punitions ne sont pas forcément physiques. Elles sont mentales et beaucoup plus efficaces car elles me font toujours comprendre ce que je ne dois pas faire, comment je dois me comporter envers Lui. Et donc je souhaite aussi Lui en exprimer une profonde gratitude à m’éduquer de la sorte, à me punir quand Il le juge nécessaire. Et à ne jamais commenter une punition afin de ne porter aucun jugement sur celle-ci, comme sur ma faute, même si j’estimais que la faute en n’était pas une, ce n’est pas à moi d’en décider. Si le Maître a décidé par exemple de me punir c’est qu’Il a jugé que je le méritais et je n’ai pas à commenter Son choix. Je m’y conforme, même si c’est difficile à accepter, même si Sa décision de me punir est juste ou injuste, je n’ai pas à m’en poser la question, j’obéis, je subis la punition sans état d’âmes, et ainsi j’apprends à avoir le meilleur comportement que doit avoir une esclave crédible de son statut, de son état…
Comme toujours après mettre mise à nue sur mes ressentis, je me suis faite prendre par le Maitre par tous mes orifices qui a use et abuser de mon corps servile qui ne m’appartient plus. J’ai passé le reste de l’après-midi aux pieds du Maitre pendant qu’Il travaille. J’ai parfois eu la chance d’être utilisée par Lui, et à d’autres moments, j’ai juste servi de repose-pieds ou d’urinoir... C’est le soir vers 18h que le Maitre me prend avec Lui dans sa salle de bain, où il va d’abord se doucher et où j’ai eu la chance de pouvoir le laver avec Lui. Alors je m’applique délicatement à ne pas frotter trop fort, à laver le Maitre comme il faut, qu’il ne regrette pas de m’avoir offert cet honneur, de m’avoir offert cette chance de Le laver…
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