La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1618)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1618)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1617) -
Chapitre 38 : La Maison Forestière –
Celui d’une pute soumise, d’une chienne lubrique et débauchée, d’un esclave strictement obéissant et sincèrement respectueux… Je me déplaçais maintenant à quatre pattes, nu, tenu en laisse, conduit en pleine nature. J’appréciais l’odeur de la terre, de l’humidité du sous-bois, de l’herbe, je prenais goût à être ainsi considéré, tel un chien qu’on baladait ou qu’on emmenait pisser. J’avançais en écoutant les pas et les sifflotements de Markus dans mon dos. Il semblait heureux de me voir ramper devant lui, de voir mes couilles lestées se balancer entre mes cuisses écartées. Le sol était plutôt herbeux et souple. Parfois mes mains, mes genoux et mes pieds s’enfonçaient un peu plus dans la terre humide, parfois s’écorchaient sur des petits cailloux. J’évitais les ronces et les racines, visant plutôt la mousse et les feuilles séchées, mais au détour du chemin, j’arrivais face à une ornière boueuse et comblée d’eau provoquée par un récent passage de grosses roues d’un tracteur. Je ralentissais, puis m’arrêtais en cherchant rapidement à contourner ce passage vaseux. Sauf qu’à cet instant, un coup de pied dévastateur entre mes jambes me faisait bondir en l’air et retomber à quelques centimètres de cette ornière boueuse. Par réflexe, je me recroquevillais et mes deux mains se posaient sur mes génitaux. Markus alors posait l’un de ses pieds sur mes cuisses. Cet acte simple, mais terriblement exigeant et conquérant suffisait à me faire comprendre ce que cet homme vicieux et pervers à souhait, revendiquait. Je lui dévoilais ma nouille et mes burnes, écartais les jambes en grimaçant pour qu’il puisse faire ce qu’il voulait de moi. Avec son sourire sadique, il posait la semelle crottée de sa chaussure sur ma bite en cage, y pesait de tout son poids, avant de me fixer dans les yeux. Après quelques secondes de cet acte odieux, il se raclait la gorge et crachait un mollard atterrissant sur mes lèvres.
- Lèche, la chienne !, ordonnait-il sans ambages
J’obéissais, ouvrais la bouche et laissais ce crachat épais glisser dans ma bouche. Alors, il ôtait son pied de ma nouille, puis d’un simple geste de tête, il me faisait signe de me relever.
- Avance, droit devant, grosse salope !, me sommait-il, de la boue ou pas, tu avances droit devant, peu importe où tu poses tes pattes, le chien …
Je me remettais à quatre pattes, et pas après pas, glissais peu à peu dans la boue du chemin, y trainant mes bras, mes jambes et mes pieds, progressant ainsi en relevant au maximum mon ventre pour que celui-ci ne touche pas cette eau sale, froide et souillée d’une bonne épaisseur. Ma fierté se brisait en mille morceaux, je me vautrais dans la gadoue épaisse, dans la fange, et là, ce n’était pas qu’une expression… Markus me poussait vers le fond, il me rabaissait et m’obligeait à ne plus être celui que je croyais être encore, un homme ! Là, je n’étais ni beau, ni fort, ni digne d’être respecté, je n’étais qu’une chose répugnante et lamentable, une chose vulnérable et faible, une chose foulée au pied, broyée, écrasée devant renoncer à toute forme de fierté, je n’étais qu’un animal domestiqué, qu’un chien obéissant, qu’une larve insignifiante, qu’un ver de terre rampant en quadrupédie dans la boue. Oh, mon dieu… pourquoi fallait-il que j’en passe par là pour éprouver une satisfaction totale, un bonheur absolu, un orgasme cérébral foudroyant ? Je nageai dans mon élément, l’humiliation ! Même ma queue enserrée, enfermée tentait de s’épanouir ! Elle frétillait, s’emballait dans cet étui métallique beaucoup trop étroit déclenchant des ondes bienfaitrices irradiant ma colonne vertébrale, mes muscles, faisant palpiter et battre mon anus comme battait mon cœur par des spasmes anaux contractant et décontractant mon œillet … Soudainement, Markus tirait brutalement sur la laisse, pour stopper mon avancé dans cette boue infecte.
- Dis-moi la chienne, je suis certain que tu as envie de faire un petit pissou ! N’est-ce pas ?
Markus ne me laissait pas répondre.
- J’en suis sûr, je vois bien que tu tords du cul depuis un moment déjà. Alors tu vas pisser là, comme une petite chienne… Tu sais comment elle pisse, les chiennes ?… Elles écartent bien leurs cuisses, rabaissant l’arrière-train, posant quasiment leur derrière proche du sol et se soulageant ainsi. Alors fais-moi voir que tu es une bonne petite chienne !
Odieux, cet homme était ignoble, infâme et détestable. Son gout pour l’humiliation était sans fin, ni limite… Oui, sans fin, sans limite, car il savait réactiver mon excitation, mon souhait de me déshonorer davantage, de vivre cette avanie dans chacune de mes terminaisons nerveuses pour que celles-ci renvoient à mon cerveau les plaisirs de la déliquescence, de la décomposition de mon être. L’esprit vidé, le cœur et mon anus battant, enivré par cette humiliation écrasante, je vidais ma vessie comme exigé. Dans mes veines coulait aussi le besoin de sombrer plus bas encore, je m’employais alors, avec zèle, à coller mon ventre dans la boue à ramper tel un serpent jusqu’à sortir de cette ornière désormais souillée de ma pisse… Je grelotais… alors pour me réchauffer, Markus frictionnait sauvagement mon corps d’herbe fraichement coupée, comme il aurait bouchonné un cheval, pour nettoyer ma peau et lustrer mon poil, même si je n’avais plus un poil sur mon corps. Puis, d’un coup de pied sur les fesses, il me faisait reprendre ma marche en quadrupédie à toute allure… A plusieurs reprises, je trébuchais, m’affalais au sol, me relevais, repartais, jusqu’à ne plus avoir un cheveu de sec tant je transpirais. Là, dans la clairière, que nous venions d’atteindre, je n’avais vraiment plus froid, le soleil d’ailleurs me dardait le dos et le cul…
- A cinq minutes d’ici, nous serons arrivés à la Maison Forestière du Domaine des Evans. C’est ici, avec moi, espèce de petite salope que tu vas vivre les brimades, les insultes et les humiliations dues à ton rang de bâtard. Je vais dresser la sous-merde que tu es… Tu vas me maudire, j’en suis certain mais j’en n’ai que faire, seule Ma perversion à ton égard compte… Je vais m’employer à t’éduquer, te dompter et te familiariser à la perversité, l’humiliation et la débauche, et c’est ce que Monsieur le Marquis veut avant toute chose. Tu es fait pour ça, uniquement pour ça... Mais avançons encore, car sur le chemin je vais te faire découvrir un lieu que l’on peut qualifier, sans conteste, de historique, et que Monsieur le Marquis m’a très aimablement fait découvrir, là, sur Ses propres Terres… C’est juste au détour de ce chemin, il y a une intersection qui part en fourche en deux chemins distincts avec une statue de pierre placée au milieu, sur le talus… Mais je veux que tu saches en quoi cette statue a d’historique !... Avance, le chien ! …
Je me demandais bien de quoi Markus voulait parler ! Je le découvrais sans tarder au détour du chemin en coude caché par les hautes haies de muriers. Et quelle fut ma surprise ! Il y avait bien un haut socle de pierre avec scellée dessus, une impressionnante statue sculptée dans un monobloc de pierre, de la taille d’un homme, et surélevée dudit socle… Une plaque de cuivre placée sur la façade du socle précisait :
« Ici le 18 juillet 1785, lors d’un de ses nombreux séjours sur les Terres de la Famille des Evans, le Marquis de Sade attacha sur deux pieux dressés, Sa Justine dénudée, durant toute une journée et qui subit de nombreux sévices sexuels »
La statue représentait avec précision le Marquis de Sade en tenue d’aristocrate, la tête haute, les bras écartés, tenant dans chacune de ses mains un haut pieu vertical et à ses côtés une femme nue agenouillée baissant la tête et que l’on devine aisément représenter Justine …
- Embrasse les pieds du Marquis de Sade, exigea Markus… Recueille-toi un instant devant cet illustre hôte de l’ancêtre de Monsieur le Marquis…
J’approchais avec servilité ma tête au pied de la statue tout en me redressant un peu afin que mon visage touche un des pieds du célèbre écrivain. J’efflorais en même temps le visage en pierre de Justine et j’avoue que l’émotion me prenait à la gorge. J’avais l’impression que les deux personnages de la statue me regardaient, me sentaient… Puis c’est avec humilité que j’embrassais la pierre froide… Quand un coup de pied me rappela à l’ordre :
- Maintenant recule-toi et prosterne-toi devant de Sade et fait preuve d’une parfaite humilité envers ce que De Sade représente …
J’obtempérais avec docilité pour me mettre en levrette prosternée devant l’auteur de Justine ou les Malheurs de la vertu
- Parfait, aller, ça suffit me disait-il en tirant sur la laisse qui me fit redresser la tête.... Bien je vais commencer à t’humilier là devant cette magnifique statue, emplacement empli de symboles ! Repose la tête au sol et de tes deux mains, écarte largement ton cul de salope, mets-toi dans cette posture ignoble et décadente.
Markus sortait son portable et me photographiait, en plans rapprochés, en plan plus larges.
- Tu vas faire le buzz sur les réseaux sociaux spécialisés, ma petite putain… Tu vas en exciter plus d’un, j’en suis certain…
Markus continuait à photographier mon cul en gros plan, ma nouille en cage, mes burnes alourdies et distendues sous l’effet des ballstrecher, ma petite gueule de putain, menton posé au sol à ras les feuilles tombées au pied du socle de la statue, langue pendante. J’essuyais ces affronts sans rien dire, ni faire, juste brisé, ne m’inquiétant de quoique ce soit d’autre que d’obéir, l’esprit vidé, le cœur battant, enivré par cette humiliation toujours plus écrasante… Encore une fois, j’avais l’impression que le Marquis de Sade me regardait…
(A suivre…)
Chapitre 38 : La Maison Forestière –
Celui d’une pute soumise, d’une chienne lubrique et débauchée, d’un esclave strictement obéissant et sincèrement respectueux… Je me déplaçais maintenant à quatre pattes, nu, tenu en laisse, conduit en pleine nature. J’appréciais l’odeur de la terre, de l’humidité du sous-bois, de l’herbe, je prenais goût à être ainsi considéré, tel un chien qu’on baladait ou qu’on emmenait pisser. J’avançais en écoutant les pas et les sifflotements de Markus dans mon dos. Il semblait heureux de me voir ramper devant lui, de voir mes couilles lestées se balancer entre mes cuisses écartées. Le sol était plutôt herbeux et souple. Parfois mes mains, mes genoux et mes pieds s’enfonçaient un peu plus dans la terre humide, parfois s’écorchaient sur des petits cailloux. J’évitais les ronces et les racines, visant plutôt la mousse et les feuilles séchées, mais au détour du chemin, j’arrivais face à une ornière boueuse et comblée d’eau provoquée par un récent passage de grosses roues d’un tracteur. Je ralentissais, puis m’arrêtais en cherchant rapidement à contourner ce passage vaseux. Sauf qu’à cet instant, un coup de pied dévastateur entre mes jambes me faisait bondir en l’air et retomber à quelques centimètres de cette ornière boueuse. Par réflexe, je me recroquevillais et mes deux mains se posaient sur mes génitaux. Markus alors posait l’un de ses pieds sur mes cuisses. Cet acte simple, mais terriblement exigeant et conquérant suffisait à me faire comprendre ce que cet homme vicieux et pervers à souhait, revendiquait. Je lui dévoilais ma nouille et mes burnes, écartais les jambes en grimaçant pour qu’il puisse faire ce qu’il voulait de moi. Avec son sourire sadique, il posait la semelle crottée de sa chaussure sur ma bite en cage, y pesait de tout son poids, avant de me fixer dans les yeux. Après quelques secondes de cet acte odieux, il se raclait la gorge et crachait un mollard atterrissant sur mes lèvres.
- Lèche, la chienne !, ordonnait-il sans ambages
J’obéissais, ouvrais la bouche et laissais ce crachat épais glisser dans ma bouche. Alors, il ôtait son pied de ma nouille, puis d’un simple geste de tête, il me faisait signe de me relever.
- Avance, droit devant, grosse salope !, me sommait-il, de la boue ou pas, tu avances droit devant, peu importe où tu poses tes pattes, le chien …
Je me remettais à quatre pattes, et pas après pas, glissais peu à peu dans la boue du chemin, y trainant mes bras, mes jambes et mes pieds, progressant ainsi en relevant au maximum mon ventre pour que celui-ci ne touche pas cette eau sale, froide et souillée d’une bonne épaisseur. Ma fierté se brisait en mille morceaux, je me vautrais dans la gadoue épaisse, dans la fange, et là, ce n’était pas qu’une expression… Markus me poussait vers le fond, il me rabaissait et m’obligeait à ne plus être celui que je croyais être encore, un homme ! Là, je n’étais ni beau, ni fort, ni digne d’être respecté, je n’étais qu’une chose répugnante et lamentable, une chose vulnérable et faible, une chose foulée au pied, broyée, écrasée devant renoncer à toute forme de fierté, je n’étais qu’un animal domestiqué, qu’un chien obéissant, qu’une larve insignifiante, qu’un ver de terre rampant en quadrupédie dans la boue. Oh, mon dieu… pourquoi fallait-il que j’en passe par là pour éprouver une satisfaction totale, un bonheur absolu, un orgasme cérébral foudroyant ? Je nageai dans mon élément, l’humiliation ! Même ma queue enserrée, enfermée tentait de s’épanouir ! Elle frétillait, s’emballait dans cet étui métallique beaucoup trop étroit déclenchant des ondes bienfaitrices irradiant ma colonne vertébrale, mes muscles, faisant palpiter et battre mon anus comme battait mon cœur par des spasmes anaux contractant et décontractant mon œillet … Soudainement, Markus tirait brutalement sur la laisse, pour stopper mon avancé dans cette boue infecte.
- Dis-moi la chienne, je suis certain que tu as envie de faire un petit pissou ! N’est-ce pas ?
Markus ne me laissait pas répondre.
- J’en suis sûr, je vois bien que tu tords du cul depuis un moment déjà. Alors tu vas pisser là, comme une petite chienne… Tu sais comment elle pisse, les chiennes ?… Elles écartent bien leurs cuisses, rabaissant l’arrière-train, posant quasiment leur derrière proche du sol et se soulageant ainsi. Alors fais-moi voir que tu es une bonne petite chienne !
Odieux, cet homme était ignoble, infâme et détestable. Son gout pour l’humiliation était sans fin, ni limite… Oui, sans fin, sans limite, car il savait réactiver mon excitation, mon souhait de me déshonorer davantage, de vivre cette avanie dans chacune de mes terminaisons nerveuses pour que celles-ci renvoient à mon cerveau les plaisirs de la déliquescence, de la décomposition de mon être. L’esprit vidé, le cœur et mon anus battant, enivré par cette humiliation écrasante, je vidais ma vessie comme exigé. Dans mes veines coulait aussi le besoin de sombrer plus bas encore, je m’employais alors, avec zèle, à coller mon ventre dans la boue à ramper tel un serpent jusqu’à sortir de cette ornière désormais souillée de ma pisse… Je grelotais… alors pour me réchauffer, Markus frictionnait sauvagement mon corps d’herbe fraichement coupée, comme il aurait bouchonné un cheval, pour nettoyer ma peau et lustrer mon poil, même si je n’avais plus un poil sur mon corps. Puis, d’un coup de pied sur les fesses, il me faisait reprendre ma marche en quadrupédie à toute allure… A plusieurs reprises, je trébuchais, m’affalais au sol, me relevais, repartais, jusqu’à ne plus avoir un cheveu de sec tant je transpirais. Là, dans la clairière, que nous venions d’atteindre, je n’avais vraiment plus froid, le soleil d’ailleurs me dardait le dos et le cul…
- A cinq minutes d’ici, nous serons arrivés à la Maison Forestière du Domaine des Evans. C’est ici, avec moi, espèce de petite salope que tu vas vivre les brimades, les insultes et les humiliations dues à ton rang de bâtard. Je vais dresser la sous-merde que tu es… Tu vas me maudire, j’en suis certain mais j’en n’ai que faire, seule Ma perversion à ton égard compte… Je vais m’employer à t’éduquer, te dompter et te familiariser à la perversité, l’humiliation et la débauche, et c’est ce que Monsieur le Marquis veut avant toute chose. Tu es fait pour ça, uniquement pour ça... Mais avançons encore, car sur le chemin je vais te faire découvrir un lieu que l’on peut qualifier, sans conteste, de historique, et que Monsieur le Marquis m’a très aimablement fait découvrir, là, sur Ses propres Terres… C’est juste au détour de ce chemin, il y a une intersection qui part en fourche en deux chemins distincts avec une statue de pierre placée au milieu, sur le talus… Mais je veux que tu saches en quoi cette statue a d’historique !... Avance, le chien ! …
Je me demandais bien de quoi Markus voulait parler ! Je le découvrais sans tarder au détour du chemin en coude caché par les hautes haies de muriers. Et quelle fut ma surprise ! Il y avait bien un haut socle de pierre avec scellée dessus, une impressionnante statue sculptée dans un monobloc de pierre, de la taille d’un homme, et surélevée dudit socle… Une plaque de cuivre placée sur la façade du socle précisait :
« Ici le 18 juillet 1785, lors d’un de ses nombreux séjours sur les Terres de la Famille des Evans, le Marquis de Sade attacha sur deux pieux dressés, Sa Justine dénudée, durant toute une journée et qui subit de nombreux sévices sexuels »
La statue représentait avec précision le Marquis de Sade en tenue d’aristocrate, la tête haute, les bras écartés, tenant dans chacune de ses mains un haut pieu vertical et à ses côtés une femme nue agenouillée baissant la tête et que l’on devine aisément représenter Justine …
- Embrasse les pieds du Marquis de Sade, exigea Markus… Recueille-toi un instant devant cet illustre hôte de l’ancêtre de Monsieur le Marquis…
J’approchais avec servilité ma tête au pied de la statue tout en me redressant un peu afin que mon visage touche un des pieds du célèbre écrivain. J’efflorais en même temps le visage en pierre de Justine et j’avoue que l’émotion me prenait à la gorge. J’avais l’impression que les deux personnages de la statue me regardaient, me sentaient… Puis c’est avec humilité que j’embrassais la pierre froide… Quand un coup de pied me rappela à l’ordre :
- Maintenant recule-toi et prosterne-toi devant de Sade et fait preuve d’une parfaite humilité envers ce que De Sade représente …
J’obtempérais avec docilité pour me mettre en levrette prosternée devant l’auteur de Justine ou les Malheurs de la vertu
- Parfait, aller, ça suffit me disait-il en tirant sur la laisse qui me fit redresser la tête.... Bien je vais commencer à t’humilier là devant cette magnifique statue, emplacement empli de symboles ! Repose la tête au sol et de tes deux mains, écarte largement ton cul de salope, mets-toi dans cette posture ignoble et décadente.
Markus sortait son portable et me photographiait, en plans rapprochés, en plan plus larges.
- Tu vas faire le buzz sur les réseaux sociaux spécialisés, ma petite putain… Tu vas en exciter plus d’un, j’en suis certain…
Markus continuait à photographier mon cul en gros plan, ma nouille en cage, mes burnes alourdies et distendues sous l’effet des ballstrecher, ma petite gueule de putain, menton posé au sol à ras les feuilles tombées au pied du socle de la statue, langue pendante. J’essuyais ces affronts sans rien dire, ni faire, juste brisé, ne m’inquiétant de quoique ce soit d’autre que d’obéir, l’esprit vidé, le cœur battant, enivré par cette humiliation toujours plus écrasante… Encore une fois, j’avais l’impression que le Marquis de Sade me regardait…
(A suivre…)
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