La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1619)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1619)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1618) -
Chapitre 38 bis : La Maison Forestière –
Encore une fois, j’avais l’impression que le Marquis de Sade me regardait… me dominait … du haut de sa statue… Tout d’un coup, je sentais comme une brûlure sur ma peau, dans mon dos, sur mes fesses, dans ma raie toujours tenue largement écartée, sur l’intérieur de mes cuisses, sur mes boules comprimées. Quel sadique… délicatement, méticuleusement, il caressait mes fesses, mon entrejambe d’une touffe d’orties, touffe qu’il déposait sous mon ventre, alors que la semelle de sa chaussure se posait sur mon cul irrité. Markus pressait de tout son poids, jusqu’à ce que je m’aplatisse au sol sous son pied, jusqu’à ce que mon bas ventre vienne en contact direct avec ce bouquet urticant. Markus ricanait vicieusement en voyant mes larmes sur mes joues, ainsi, je le stimulais, l’excitais… Il venait d’empoigner son sexe lourd, à demi-bandé. Il s’était assis devant moi, sa verge dégageait une odeur forte, un mélange de sueur légère et d’excitation bestiale, un parfum enivrant qui emplissait mon esprit d’une brume délicieuse. Instinctivement, j’ouvrais la bouche espérant sentir ce membre venir se poser sur mes lèvres…
Mais hélas, Markus remballait son matériel viril et se relevait, puis il déposa délicatement afin de ne pas se piquer, sa poignée d’ortie dans une des mains de la statue, entre le pieu et les doigts de pierre, comme si l’illustre écrivain tenait en main ces orties, prêt à s’en servir pour Justine ! … D’un coup de pied dans les fesses, il m’ordonnait ensuite de me relever et d’un coup sec sur la laisse, tout en jetant un dernier coup d’œil respectueux envers la statue, il m’obligeait à repartir, toujours en quadrupédie jusqu’à cette petite Maison Forestière, juste à quelques minutes et qui était totalement isolée, placée sur un sol herbeux et adossée à l’orée d’une forêt de feuillus. Arrivés devant la porte, je sentais l’extrémité de la chaussure de Markus s’introduire entre mes fesses et presser contre mon cul :
- Entre, salope.
Au même moment, il déverrouillait la porte avec une lourde clé qu’il sortit de sa poche. J’obéissais, hanté par le sentiment de pénétrer en enfer, ou dans la taverne d’un fauve. Sitôt à l’intérieur, une vieille odeur de transpiration, de pisse et d’abandon envahissait mes narines et les pores de ma peau, un parfum entêtant qui finissait de m’étourdir. A droite, une dizaine de paires de bottes crottées et puantes en caoutchouc étaient posées sur un simple rayonnage en bois, à gauche une courte rangée d’urinoirs, au sol un carrelage crasseux était couvert de traces terreuses avec des feuilles mortes gisant ici et là. Sur un mur sale, était exposée une demi-dizaine de fusils de chasse poussiéreux mal positionnés dans leur accroche et entourés de vieux calendriers Playboy aux nus féminins et sensuels … Alors que Markus refermait la porte derrière lui, je me laissais tomber sur le sol, sans me soucier des traces douteuses qui recouvraient le carrelage. Au point où j’en étais, le contact de ces saletés sur ma peau augmentaient plus encore le sentiment de dégradation qui m’enivrait.
- Tu n’es vraiment qu’une merde !, me murmurait Markus avec un ton sadique et pervers …
Je baissais les yeux, lui contemplait de son regard vicieux chaque détail de mon anatomie, il observait mon entrejambe couvert de cloques et de boursoufflures dues à ces satanées orties urticants. Contre toute attente, Markus ôtait ma cage de chasteté. Aussitôt ma nouille se redressait entre mes cuisses rougeâtres. Surexcité par les profondeurs abyssales des humiliations et « tortures » subies, je bandais fort. Ma nouille dure était tendue à l’extrême, mon gland décalotté et violacé luisait sous la faible lumière d’une petite fenêtre crasseuse, couverte de toiles d’araignées… Devant moi, Markus déboutonnait lentement sa braguette, sortait son sexe et ses testicules puis se dirigeait vers les urinoirs en tirant sur ma laisse. Je le suivais en rampant, l’esprit encore embrumé après tant d’épreuves. Entre mes jambes, ma nouille plus bandée que jamais, sautait à chacun de mes mouvements, prête à lâcher tout son sperme contenu à la première caresse. Markus pissait dans la vasque de l’un des urinoirs, un jet dru, recouvrant et giclant contre la porcelaine puante de cette pissotière. Lorsqu’il eut terminé, le Dominant pointait du doigt et ordonnait :
- Lèche, la pute !
C’est avec répulsion, que je posais mes lèvres sur cet urinoir ignoble, je glissais la pointe de ma langue contre le rebord, puis ma langue entière, bien à plat, en fermant les paupières pour mieux déguster les sensations uniques de cette nouvelle humiliation. Comment pouvais-je être surexcité, alors que je récoltais la pisse encore tiède et salée sur ce chiotte sale et infâme, tandis que Markus posait son pied sur mon dos, pour bien affirmer et assoir sa complète Domination ? Comment pouvais-je accepter une telle déconstruction de mon être… moi qui avait mis plus de vingt-cinq ans à construire ma personne sociale, l’image factice qui me permettait de vivre en société ? En si peu de temps, depuis ma rencontre avec Monsieur le Marquis, tout s’était écroulé, j’étais réduit à néant par Sa seule Volonté. Aujourd’hui encore, j’étais là, nu, vaincu, débauché, perverti par cet homme abject, choisi par le Maître. Je me sentais totalement déshonoré et pourtant n’éprouvais qu’un seul désir, celui d’être affamé de dégradation suprême pour être un esclave heureux, assumé et équilibré, bien dans ma peau, aux pieds du Noble…
Et comme si cet abaissement, ce déshonneur ne suffisait pas, Markus me laissait encore, à genoux, la tête dans cet urinoir, les mains croisées derrière le dos, les reins cambrés, les cuisses ouvertes. Je ne bougeais plus, n’osais même à peine respirer… vivant seulement l’opprobre et la dépravation… Markus était là, dans mon dos, il devait contempler mon trouble, mes égarements, mais pouvait-il voir toutes ces sensations colonisant mon épiderme ? Pouvait-il se rendre compte que cette énergie me permettait d’intégrer cette nouvelle vie imposée ? Une vie à obéir, à être souillé, à lécher et ramper aux pieds de ceux puissants et Dominants pour les exciter et les faire bander !
J’avais maintenant devant moi, ce Vit semi-bandé que Markus me présentait face à ma bouche entrouverte. Je me penchais en fermant les yeux, jusqu’à sentir contre mes lèvres ce gland humide et dur. J’ouvrais alors ma cavité buccale et cette bite y pénétrait sans attendre, centimètre après centimètre, alors que la main de Markus, posée sur ma nuque, me poussait plus en avant, jusqu’à ce que son membre soit enfoncé tout entier en moi, et que mon visage soit collé à ses poils pubiens. Sans hésiter, je débutais mon travail. Je suçais et aspirais comme si c’était le seul rôle qui m’était dévolu dans l’existence. La saveur de ce sexe dur contre ma langue ne cessait d’irradier mon être tout entier. Ce simple geste de glisser ma langue contre cette bite, de tenter de la faire cracher par mes mouvements de bouche, me permettait d’assumer ma soumission, libérant l’esclave en moi. Je me jetais à corps perdu dans cet acte sexuel. Je suçais à grands bruits, recouvrant cette verge de ma salive. Je jouais avec la pointe de ma langue sur la couronne de ce gland tumescent, y récupérant les dernières gouttes de pisse qui n’avait pas rejoint l’urinoir. Je verrouillais mes lèvres jusqu’à ce qu’elles forment un anneau solide, au travers duquel je faisais gonfler cette queue jusqu’à ce qu’elle soit terriblement dure, jusqu’à ce qu’elle m’étouffe totalement, jusqu’à ce qu’elle me déverse des flots de sperme au fond de ma gorge. Mais Markus, une fois encore, en décidait autrement, quand soudainement il me repoussait vers l’arrière, je tombais douloureusement sur les fesses.
- Mon jus se mérite petite chienne…, me disait-il en faisant glisser son pouce contre mes lèvres.
Markus baissait subitement son pantalon et son slip à ses chevilles, puis se retournait en me tendant son cul.
- Lèche-moi le cul, je veux sentir ta langue de pute titiller mon anus. Je veux sentir ta langue en moi et le plaisir qui en découle, m’ordonnait-il
Telle une chienne affamée, je rampais jusqu’à le rejoindre, je me redressais et empoignais ses fesses à deux mains pour les ouvrir. Je pressais et tirais jusqu’à ce que son anus soit bien visible, face à moi. Ma bouche se plaquait contre cet œillet d’un rose plus sombre que le reste. Ma langue effleurait chaque ride de cette entrée superbe. Je passais ma langue sur le pourtour de son œillet en fermant les yeux. Je savourais le goût de la peau humide, de la sueur, du sel, de la chair. Le goût du plaisir aussi, lorsque Markus gémissait. Mais subitement il se retournait et me giflait à plusieurs reprises.
- Tu attends quoi, sale putain… Comment faut-il que je te le dise ? Je veux sentir ta langue en moi.
Markus me tendait de nouveau son cul, l’écartant lui-même d’une main. Alors je glissais l’extrémité de ma langue au cœur de son trou, écartant délicatement ses sphincters. Puis ma langue pénétrait plus profondément, forçant pour le dilater, pour lui donner du plaisir. Je m’extrayais, puis le léchais comme une salope enflammée, à grandes lapées, avant de replonger et de le combler à nouveau, alors que lui se branlait. Son intérieur était chaud et tendu, des saveurs à la fois douces et acres s’échappaient et m’enivraient. Maintenant totalement désinhibé, je m’extirpais puis replongeais à nouveau, je sortais et entrais encore et encore, ma langue tendue dans son antre ouvert. Après quelques minutes de ce traitement, Markus se redressait, me repoussait d’une main. Je tombais une nouvelle fois sur les fesses. Debout sur ses jambes, Markus me dominait entièrement, terrible, le visage transformé. L’homme transpirait comme une bête, sa coiffure défaite, sa peau rougie, sa bouche entrouverte, son sexe tendu, il jouissait en plusieurs spasmes successifs, lâchait des râles longs et rauques, éjaculait m’envoyant à cinq ou six reprises sa semence brulante sur mon visage et ma chevelure…
(A suivre…)
Chapitre 38 bis : La Maison Forestière –
Encore une fois, j’avais l’impression que le Marquis de Sade me regardait… me dominait … du haut de sa statue… Tout d’un coup, je sentais comme une brûlure sur ma peau, dans mon dos, sur mes fesses, dans ma raie toujours tenue largement écartée, sur l’intérieur de mes cuisses, sur mes boules comprimées. Quel sadique… délicatement, méticuleusement, il caressait mes fesses, mon entrejambe d’une touffe d’orties, touffe qu’il déposait sous mon ventre, alors que la semelle de sa chaussure se posait sur mon cul irrité. Markus pressait de tout son poids, jusqu’à ce que je m’aplatisse au sol sous son pied, jusqu’à ce que mon bas ventre vienne en contact direct avec ce bouquet urticant. Markus ricanait vicieusement en voyant mes larmes sur mes joues, ainsi, je le stimulais, l’excitais… Il venait d’empoigner son sexe lourd, à demi-bandé. Il s’était assis devant moi, sa verge dégageait une odeur forte, un mélange de sueur légère et d’excitation bestiale, un parfum enivrant qui emplissait mon esprit d’une brume délicieuse. Instinctivement, j’ouvrais la bouche espérant sentir ce membre venir se poser sur mes lèvres…
Mais hélas, Markus remballait son matériel viril et se relevait, puis il déposa délicatement afin de ne pas se piquer, sa poignée d’ortie dans une des mains de la statue, entre le pieu et les doigts de pierre, comme si l’illustre écrivain tenait en main ces orties, prêt à s’en servir pour Justine ! … D’un coup de pied dans les fesses, il m’ordonnait ensuite de me relever et d’un coup sec sur la laisse, tout en jetant un dernier coup d’œil respectueux envers la statue, il m’obligeait à repartir, toujours en quadrupédie jusqu’à cette petite Maison Forestière, juste à quelques minutes et qui était totalement isolée, placée sur un sol herbeux et adossée à l’orée d’une forêt de feuillus. Arrivés devant la porte, je sentais l’extrémité de la chaussure de Markus s’introduire entre mes fesses et presser contre mon cul :
- Entre, salope.
Au même moment, il déverrouillait la porte avec une lourde clé qu’il sortit de sa poche. J’obéissais, hanté par le sentiment de pénétrer en enfer, ou dans la taverne d’un fauve. Sitôt à l’intérieur, une vieille odeur de transpiration, de pisse et d’abandon envahissait mes narines et les pores de ma peau, un parfum entêtant qui finissait de m’étourdir. A droite, une dizaine de paires de bottes crottées et puantes en caoutchouc étaient posées sur un simple rayonnage en bois, à gauche une courte rangée d’urinoirs, au sol un carrelage crasseux était couvert de traces terreuses avec des feuilles mortes gisant ici et là. Sur un mur sale, était exposée une demi-dizaine de fusils de chasse poussiéreux mal positionnés dans leur accroche et entourés de vieux calendriers Playboy aux nus féminins et sensuels … Alors que Markus refermait la porte derrière lui, je me laissais tomber sur le sol, sans me soucier des traces douteuses qui recouvraient le carrelage. Au point où j’en étais, le contact de ces saletés sur ma peau augmentaient plus encore le sentiment de dégradation qui m’enivrait.
- Tu n’es vraiment qu’une merde !, me murmurait Markus avec un ton sadique et pervers …
Je baissais les yeux, lui contemplait de son regard vicieux chaque détail de mon anatomie, il observait mon entrejambe couvert de cloques et de boursoufflures dues à ces satanées orties urticants. Contre toute attente, Markus ôtait ma cage de chasteté. Aussitôt ma nouille se redressait entre mes cuisses rougeâtres. Surexcité par les profondeurs abyssales des humiliations et « tortures » subies, je bandais fort. Ma nouille dure était tendue à l’extrême, mon gland décalotté et violacé luisait sous la faible lumière d’une petite fenêtre crasseuse, couverte de toiles d’araignées… Devant moi, Markus déboutonnait lentement sa braguette, sortait son sexe et ses testicules puis se dirigeait vers les urinoirs en tirant sur ma laisse. Je le suivais en rampant, l’esprit encore embrumé après tant d’épreuves. Entre mes jambes, ma nouille plus bandée que jamais, sautait à chacun de mes mouvements, prête à lâcher tout son sperme contenu à la première caresse. Markus pissait dans la vasque de l’un des urinoirs, un jet dru, recouvrant et giclant contre la porcelaine puante de cette pissotière. Lorsqu’il eut terminé, le Dominant pointait du doigt et ordonnait :
- Lèche, la pute !
C’est avec répulsion, que je posais mes lèvres sur cet urinoir ignoble, je glissais la pointe de ma langue contre le rebord, puis ma langue entière, bien à plat, en fermant les paupières pour mieux déguster les sensations uniques de cette nouvelle humiliation. Comment pouvais-je être surexcité, alors que je récoltais la pisse encore tiède et salée sur ce chiotte sale et infâme, tandis que Markus posait son pied sur mon dos, pour bien affirmer et assoir sa complète Domination ? Comment pouvais-je accepter une telle déconstruction de mon être… moi qui avait mis plus de vingt-cinq ans à construire ma personne sociale, l’image factice qui me permettait de vivre en société ? En si peu de temps, depuis ma rencontre avec Monsieur le Marquis, tout s’était écroulé, j’étais réduit à néant par Sa seule Volonté. Aujourd’hui encore, j’étais là, nu, vaincu, débauché, perverti par cet homme abject, choisi par le Maître. Je me sentais totalement déshonoré et pourtant n’éprouvais qu’un seul désir, celui d’être affamé de dégradation suprême pour être un esclave heureux, assumé et équilibré, bien dans ma peau, aux pieds du Noble…
Et comme si cet abaissement, ce déshonneur ne suffisait pas, Markus me laissait encore, à genoux, la tête dans cet urinoir, les mains croisées derrière le dos, les reins cambrés, les cuisses ouvertes. Je ne bougeais plus, n’osais même à peine respirer… vivant seulement l’opprobre et la dépravation… Markus était là, dans mon dos, il devait contempler mon trouble, mes égarements, mais pouvait-il voir toutes ces sensations colonisant mon épiderme ? Pouvait-il se rendre compte que cette énergie me permettait d’intégrer cette nouvelle vie imposée ? Une vie à obéir, à être souillé, à lécher et ramper aux pieds de ceux puissants et Dominants pour les exciter et les faire bander !
J’avais maintenant devant moi, ce Vit semi-bandé que Markus me présentait face à ma bouche entrouverte. Je me penchais en fermant les yeux, jusqu’à sentir contre mes lèvres ce gland humide et dur. J’ouvrais alors ma cavité buccale et cette bite y pénétrait sans attendre, centimètre après centimètre, alors que la main de Markus, posée sur ma nuque, me poussait plus en avant, jusqu’à ce que son membre soit enfoncé tout entier en moi, et que mon visage soit collé à ses poils pubiens. Sans hésiter, je débutais mon travail. Je suçais et aspirais comme si c’était le seul rôle qui m’était dévolu dans l’existence. La saveur de ce sexe dur contre ma langue ne cessait d’irradier mon être tout entier. Ce simple geste de glisser ma langue contre cette bite, de tenter de la faire cracher par mes mouvements de bouche, me permettait d’assumer ma soumission, libérant l’esclave en moi. Je me jetais à corps perdu dans cet acte sexuel. Je suçais à grands bruits, recouvrant cette verge de ma salive. Je jouais avec la pointe de ma langue sur la couronne de ce gland tumescent, y récupérant les dernières gouttes de pisse qui n’avait pas rejoint l’urinoir. Je verrouillais mes lèvres jusqu’à ce qu’elles forment un anneau solide, au travers duquel je faisais gonfler cette queue jusqu’à ce qu’elle soit terriblement dure, jusqu’à ce qu’elle m’étouffe totalement, jusqu’à ce qu’elle me déverse des flots de sperme au fond de ma gorge. Mais Markus, une fois encore, en décidait autrement, quand soudainement il me repoussait vers l’arrière, je tombais douloureusement sur les fesses.
- Mon jus se mérite petite chienne…, me disait-il en faisant glisser son pouce contre mes lèvres.
Markus baissait subitement son pantalon et son slip à ses chevilles, puis se retournait en me tendant son cul.
- Lèche-moi le cul, je veux sentir ta langue de pute titiller mon anus. Je veux sentir ta langue en moi et le plaisir qui en découle, m’ordonnait-il
Telle une chienne affamée, je rampais jusqu’à le rejoindre, je me redressais et empoignais ses fesses à deux mains pour les ouvrir. Je pressais et tirais jusqu’à ce que son anus soit bien visible, face à moi. Ma bouche se plaquait contre cet œillet d’un rose plus sombre que le reste. Ma langue effleurait chaque ride de cette entrée superbe. Je passais ma langue sur le pourtour de son œillet en fermant les yeux. Je savourais le goût de la peau humide, de la sueur, du sel, de la chair. Le goût du plaisir aussi, lorsque Markus gémissait. Mais subitement il se retournait et me giflait à plusieurs reprises.
- Tu attends quoi, sale putain… Comment faut-il que je te le dise ? Je veux sentir ta langue en moi.
Markus me tendait de nouveau son cul, l’écartant lui-même d’une main. Alors je glissais l’extrémité de ma langue au cœur de son trou, écartant délicatement ses sphincters. Puis ma langue pénétrait plus profondément, forçant pour le dilater, pour lui donner du plaisir. Je m’extrayais, puis le léchais comme une salope enflammée, à grandes lapées, avant de replonger et de le combler à nouveau, alors que lui se branlait. Son intérieur était chaud et tendu, des saveurs à la fois douces et acres s’échappaient et m’enivraient. Maintenant totalement désinhibé, je m’extirpais puis replongeais à nouveau, je sortais et entrais encore et encore, ma langue tendue dans son antre ouvert. Après quelques minutes de ce traitement, Markus se redressait, me repoussait d’une main. Je tombais une nouvelle fois sur les fesses. Debout sur ses jambes, Markus me dominait entièrement, terrible, le visage transformé. L’homme transpirait comme une bête, sa coiffure défaite, sa peau rougie, sa bouche entrouverte, son sexe tendu, il jouissait en plusieurs spasmes successifs, lâchait des râles longs et rauques, éjaculait m’envoyant à cinq ou six reprises sa semence brulante sur mon visage et ma chevelure…
(A suivre…)
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