La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1624)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1624) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1624)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1624) -
Chapitre 40 bis : Markus et ses acolytes -
J’étais sur le point de m’évanouir, parcouru d’endorphines nageant en plein bonheur, alors qu’Adrien remplissait mon cul de son foutre en geignant fortement de cris rauques comme un cerf en rut... Adrien se rhabillait, repartait aussitôt… sans rien dire, sans la moindre considération, sans le moindre affect. Il était venu simplement se soulager les burnes, se vider les couilles, oui, c’est ça je n’avais été rien d’autre qu’un simple vide-couilles, point à la ligne, pas d’autre commentaire à faire. D’ailleurs, je n’avais pas le temps de réfléchir plus longuement, les doigts de Rémy harponnaient ma chevelure, m’obligeant à me redresser, à me mettre à genoux, dans un équilibre précaire. Toujours maintenu fermement, Rémy se retournait, me présentait ses fesses. De sa main libre, il écartait l’un de ses lobes fessiers, et plantait mon visage dans sa raie touffue et humide.

- Tu n’es qu’une salope… Lèche-moi le cul et applique-toi !

Impuissant et vulnérable, je fermais les yeux pour encaisser cette nouvelle ignominie… Jusqu’où ces deux pervers voulaient-ils me conduire ? Ils détruisaient mon corps et mon esprit, ils effaçaient ma personnalité pour la remplacer par une autre, plus lamentable, plus soumise, un cœur animé par le seul désir de souffrir, d’être baisé et humilié, alors que de ma langue baladeuse, je m’appliquais à l’insinuer entre les parois de son anus, essayant de lui procurer le plus de plaisir, salivant ma langue, j’en imbibais ce cul écarté, j’étais devenu, non seulement un vide-couilles, mais aussi un lèche-cul, un véritable lèche-cul, dans le vrai sens du terme… Et à ma grande honte, ma nouille pointait de nouveau vers le ciel, tendue entre mes jambes, quand bien même elle avait déjà joui, il y avait peu. Les larmes coulaient le long de mes joues. Je me sentais complètement dévasté. Les deux pervers me regardaient en souriant, affichants des airs goguenards face à mon émotion et/ou humiliation. Markus, saisissait ma nouille et une nouvelle fois réitérait ses propos :
- Tu ne peux te mentir, regarde ta nouille, elle, connait ta Nature profonde, elle connait la vérité de ton état servile.

Markus donnait une pichenette sur mon gland décalotté, je sursautais sous la douleur subite. Peu après, il ôtait le bâillon enrubanné de ma bouche. Alors, sans que je puisse me contrôler, presque par instinct, je me penchais en avant et renouvelais mon engagement et mon désir profond, viscéral et intense de n’être qu’une salope asservie. Les yeux clos, je passais ma langue sur son pied droit, léchant encore et encore, du mieux que je le pouvais, léchant comme un bon chien docile et reconnaissant. J’en remuais même le cul sans m’en rendre compte par des petits coups de hanches ostentatoires, quasi instinctivement, comme un appel à la bite, comme si mon cul parlait pour moi et disait ‘Venez encore me prendre’’. Je léchais avec avidité, j’étais dans un état d’excitation extraordinaire, alors que je devrais être logiquement fatigué de toutes ces sollicitations épuisantes, un rebond d’énergie, me donna une pêche d’enfer à lécher ce pied avec tellement de conviction, d’entrain, certainement par besoin de laisser exprimer ma soumission, ma dévotion, ma servilité… Et lorsque la plante de son pied fut luisante de ma salive, j’enfonçais ma langue entre chacun de ses orteils pour mieux lécher, alors que mon excitation ne diminuait pas, ma nouille toujours tendue à l’extrême entre mes cuisses… Je me redressais, jetais un œil vers Markus, puis vers Rémy. Tous deux, me regardaient avec une lueur de satisfaction dans leurs regards, et dans leurs yeux, l’expression du plus profond mépris. Ils ne lâchaient rien… Ainsi, peu après, je me retrouvais attaché, à plat dos, membres en croix, sur une table, délesté de ces trois ballstrechers. Mes burnes respiraient, elles me semblaient déjà beaucoup plus souples et distendues. Rémy les manipulait, les soupesait, les étirait, comme s’il voulait vérifier leur élasticité et extensibilité.

- Un bon début !, faisait-il remarquer à Markus.
- Exact ! Mais nous devons poursuivre ce traitement. Monsieur le Marquis, exige que cette salope ait les couilles bien pendantes. Nous devons donc tout faire pour Le satisfaire.

Pendant ce temps, Markus s’occupait de ma nouille bandée. Il la branlait lentement avec deux doigts seulement, son pouce et son index, décalottait largement mon gland en tirant douloureusement sur mon prépuce à chaque retour de son doigt sur ma tige. Peu après, alors que ma nouille toujours totalement érigée, il plaçait sur celle-ci un étui pénien en silicone parfaitement lubrifié. Anxieux je l’étais, ne sachant pas pour quel usage était fait ce matériel. Markus l’avait parfaitement remarqué :
- Tu es stressé, la pute… T’inquiète, nous allons te tourmenter ! Tu es là pour ça… non ?... Nous allons affliger à ta nouille de bâtard, un délicieux traitement qui va ravager ton corps de putain. Juste une précision utile… Interdiction absolue de balancer ton foutre. Et si par malheur tu giclais, tu le regretteras, tu peux me croire… Car je n’hésiterai pas à faire ce qu’il faut pour te supprimer toute envie d’érection… Alors à toi de te contrôler, parce qu’une putain de ton espèce doit savoir contenir ses souillures !

Je ne comprenais pas comment il pourrait m’empêcher l’envie de bander, mais l’heure n’était pas à la réflexion, car très vite, je comprenais en quoi ce matériel servait : Un masturbateur, ou mieux, une machine à traire. Dès sa mise en route, ma queue était retenue prisonnière, comme aspirée au fond de ce conduit humide, je sentais comme des lèvres autour de ma hampe de chair, comme une langue qui me léchait, tournait et lapait ma nouille. La machine allait et venait, montait et descendait sur mon pieu lentement, très lentement. A ce rythme-là, je n’allais pas tenir longtemps. J’haletais, remuait autant qu’il m’était possible de le faire, tendant mes muscles et mon bassin et criais :
- Stop… s’il vous plait stop, je vais gicler !

Mais malgré ma supplique, ma requête, la machine continuait à me sucer, m’aspirer, me lécher, quelques allers-retours plus rapides encore. Puis la machine s’arrêtait juste avant le point de non-retour… Je soufflais, tremblais, ma respiration était chaotique, les battements de mon cœur étaient frénétiques et mon corps entier n’était plus qu’un simple pantin désarticuler. Les deux vicieux Dominants me regardaient fixement puis réactivaient la machine. Je ressentais une forte chaleur irradier et se propager dans tout le bas-ventre, j’avais la sensation d’avoir des milliers de papillons dans le ventre qui dansaient de joie. La machine s’emballait de nouveau, aspirait ma nouille, la comprimait, la compressait, la desserrait, la libérait pour mieux encore l’avaler, la convoiter, puis la cadence redevenait plus normale, moins rapide, me permettant ainsi de souffler largement. Ainsi, pendant un temps certain, je subissais les assauts de ce matériel invincible, une véritable agression, une offensive dévastatrice, des décharges foudroyantes. Seules les mains de Markus étranglant mes burnes me permettaient de tenir bon pour ne pas éjaculer.

- Tu vois comme tu es minable, la sale pute… Ton corps et ton mental totalement accaparés par cette chose pendante entre tes cuisses, que la nature n’aurait pas dû te doter ! Tu vois comme tu es chienne… Une véritable salope assoiffée de sexe…, me disait Rémy en me torturant maintenant les tétons.
- Nous allons compliquer un peu plus les choses, la putain… Tu vas voir !, reprenait Markus
Markus, justement, nous quittait un instant, pour revenir peu après, tenant en ses mains un gode métallique pas très long mais assez large. La base de celui-ci était reliée à deux fils électriques.

- Hummm… je sens que tu vas apprécier, la catin…. Je vais te mettre le feu au cul, tu vas bien sentir les électrodes avec cet engin… me disait Markus, en passant sa langue sur ses lèvres, comme s’il se régalait d’avance.

Impossible de décrire ce que je percevais, c’était à la fois délicieux et exécrable, merveilleux et horrible, diabolique et divin, sublime et effroyable… A chaque choc électrique, le gode s’enfonçait profondément dans mes entrailles au plus profond dans mon cul, générant des ondes monumentales et insupportables alors que la trayeuse me procurait des sensations prodigieuses et étourdissantes… J’étais perdu, anéanti, déboussolé, irrécupérable, incurable… Je le savais désormais, j'avais juste besoin de tout ça pour être moi, pour être cette putain, pour être cette salope que j’aspirai à devenir ! …
(A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1624)
Histoire sexe : Une rose rouge
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