La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1631)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1631)
Mattieu au Château – (suite de l'épisode précédent N°1630) –
Combien de temps, je ne peux le dire… une demi-heure ? 1 heure ? Je ne n'ai plus aucune notion du temps mais les crampes commencent à venir… Ce qui est certain, c’est que le temps est long à cause de cette immobilité douloureuse physiquement et que le temps est court mentalement car j’avais hâte de vivre la suite tout en l’appréhendant avec une peur due à l’inconnu, à ma servilité naturelle, à mon infériorité ressentie, face à la supériorité, à la prestance et l’éloquence du Châtelain… Enfin, la porte s’ouvre. Je suis pétrifié, honteux, tremblant, mais encore paradoxalement excité comme jamais. J'aperçois du coin de l'œil Ses chaussures brillantes d’un noir ciré au cuir éclatant. Oui, c'est bien Lui, Monsieur le Marquis d’Évans. Il vient devant moi, je sens Son parfum enivrant, je ressens Sa force et Son charisme sans égal.
- J'attends…, qu'as-tu as à Me demander ?
Honteux, tête basse, toujours agenouillé, les mains derrière le dos et parlant difficilement, j’arrive tout de même à sortir quelques mots de ma bouche, tout en balbutiant encore ceux-ci :
- Je …je Vous de… demande de … faire de moi …Vo… Votre esclave.
Une paire de gifles fusent à une allure fulgurante, laquelle je n’ai pas vu venir, mais qui m’a fortement ébranlé, me déstabilisant encore plus qui a failli me faire tomber sur le côté.
- Tu vas recommencer en étant plus poli que ça, espèce de chien malpoli- S’Il Vous plait …je …je Vous de… demande de … faire de moi …Vo… Votre esclave, oui s’Il Vous plait, Maître.
Une deuxième paire de gifles tout aussi forte s’abat sur mes deux joues
Je ne t’ai pas autorisé à M’appeler Maître, Je t’ai interrogé sur ce que tu avais à Me demander, ça ne veut pas dire que Je t’accepte, espèce de bâtard… Alors recommence, abruti sans cervelle…
- Je …je Vous de… demande de … faire de moi …Vo… Votre esclave, s’Il Vous plait, Monsieur le Marquis- Voilà qui est mieux. Je te préviens, je ne laisse rien passer, Mon éducation et dressage te seront sévères mais bénéfiques si je daigne t’accepter…
Ça y est, je l'ai dit, j'ai fait ma demande et donc donné tout pouvoir à ma nature servile, à ma vie de soumis, laquelle j'ai résisté depuis tant d'années. Je n’ai plus qu’à espérer d’être accepté, qu’Il daigne m’accepter à Ses pieds… Pour seule réponse, Monsieur le Marquis me tend Sa chaussure. Elle a un peu de boue juste sur le pourtour tranchant avec le cirage parfait et donc j’en suppose qu’Il vient de faire Sa balade matinale dans Son magnifique Domaine. Je vois cette chaussure, je ne peux quand même pas lécher cette boue.
- Nettoie salope, fait la briller, et Je verrai après si tu mérites que je t’accepte, espèce de chien. Avec Moi, tout se mérite… Même si jamais rien n’est acquis … Tu peux mériter, mais aussi, tout perdre …
L'ordre à claquer. Cette voix, cette parole, c'est la parole d'un Maitre envers Son esclave, même si je ne suis pas encore accepté, je sens déjà fortement Son Emprise verbale sur ma petite personne. Complètement brisé, anéanti, je baisse la tête, je tire la langue le plus possible et je commence à lécher cette boue… j'avale cette boue, je nettoie Sa chaussure. Et pour la première fois de ma vie, je sens en moi un bien-être intérieur incomparable, inouï qui me donne des frissons, un bonheur réel qui irradie mon âme, je me sens bien, malgré la situation humiliante, je me sens à ma place, je me sens être ce que je suis naturellement, enfin, moi-même, sans artifice, sans être dans l’hypocrisie du ‘paraitre’ de la vie vanille à montrer celui qu’on n’est pas, parce que la société n’acceptera jamais qu’on soit humilié, soumis, esclave.
Le Noble garde un regard sévère, impassible, autoritaire dans un silence absolu … silence juste troublé par mes coups de langue râpeuse sur ce soulier de grande marque. Sa chaussure brille enfin de partout, je sens la terre dans ma bouche, j'ai envie de la cracher, mais je ne peux pas, alors j'avale, oui j'avale la boue quand je vois la deuxième chaussure se placer devant moi. J'ai compris, plus besoin de parler, je sors à nouveau ma langue et comme un bon chien, je lèche et nettoie la deuxième chaussure du Châtelain... Pendant que je m'applique on frappe à la porte. Subitement je réalise mon état : Je suis nu et ce que je suis en train de faire, j'essaie de me relever mais une autre gifle, magistrale encore celle-ci, me couche à terre.
- Continue salope, nettoie ! Et espère... Oui espère que je t’accepte… Ce n’est pas gagner ! Alors lèche, la pute !
La douleur est vive, les larmes coulent, mais je baisse encore la tête et reprends mon nettoyage en règle.
- Entrer...
- Ah, c'est toi mon bon Walter.
- Oui Monsieur le Marquis … (Un silence et.)… Mais ? Qui est ce chien à Vos pieds, si je puis me permettre de demander, Monsieur le Marquis ?
- Aaaah, lui ? C'est l’inspecteur EDF, notre contrôleur des installations électriques… Un petit chien curieux d’ailleurs ! Tu ne sais pas où je l’ai trouvé ?
- Au sous-sol, vers les armoires électriques, je suppose !
- Non, pas du tout ! Ce bâtard était dans la salle de punitions, il regardait les tableaux de Dominations/soumission et de plus, il bandait ! Je l’ai surpris en flagrant délit de bander ! Une véritable bosse sous son pantalon bien trop voyante pour le trahir sur sa propre Nature servile !
- Encore un qui se croit soumis, un de plus ! Juste un fantasmeur !
- Détrompe-toi, mon cher Walter, détrompe-toi ! Celui-là, je sais qu’il ne fabule pas dans ses fantasmes… Il est véritablement né pour être esclave, ça crève les yeux ! Tu connais Ma capacité à dégoter ce genre de clébard servile !
- Si Vous le dites, Monsieur le Marquis, c’est que ça doit être la réalité car je connais très bien Votre faculté à dénicher, en effet, un véritable esclave et il est très rare que Vous Vous trompiez !…
Le Majordome, cet homme que je déteste depuis la veille, se met alors à rire pour rajouter :
- … Et puis, je savais bien qu'il avait l'air d'une petite salope sous ses airs de prétentieux. Oui, Vous avez vraiment du flaire, Monsieur le Marquis, Vous l'avez repéré et mis déjà à Vos pieds.
- Oh mon cher Walter, je pense, oui que nous avons là un bon spécimen de chien qui sera très obéissant. Il va apprendre, il va être éduqué, dressé et il deviendra un bon esclave, encore une fois Je suis certain de ne pas Me tromper...
Le Maitre retire Sa chaussure de devant ma bouche, Ses chaussures brillent et Il me regarde fixement avec sévérité :
- Tu vas nettoyer aussi les chaussures de Mon Majordome, il est Mon second, Mon serviteur fidèle et loyal et il m'épaule à dresser les chiens de ton espèce. Tu lui devras obéissance comme à Moi…
Quoi ! Lécher les chaussures de cet homme ? Non là, je ne peux pas, je n'ose rien dire mais jamais je ne pourrai faire cela à cet homme grossier et peu sympathique. Je reste alors à genoux tête baissée et le Majordome met sa chaussure boueuse sous mon visage.
- Lèche sa chaussure, espèce de chien, me lance le Noble !
Cette chaussure est vraiment boueuse, et je n'ose bouger, ce n’est pas possible de faire cela. Voyant mon blocage, le Châtelain s'approche et je reprends une énième gifle encore plus forte que les autres.
- J'exige et tu obéis salope, sinon tu passes la portes et tu M’oublies. Et ça sera la dernière fois que tu auras à faire à Moi. Je n’ai pas de temps à perdre avec les hésitants… Lèche, si tu souhaites avoir une chance que je t’accepte comme esclave une bonne fois pour toute !
Je suis choqué par Sa force de la gifle, j'ai mal, mais je ne peux pas nier que j’en suis aussi très excité… Mentalement et physiquement, j’en bande d’ailleurs plus que raison ! Alors, je baisse la tête et je nettoie cette boue, je lèche les chaussures de ce Walter, je mange cette boue et nettoie complètement ses deux chaussures... Je suis plein de terre, je ressens l'envie de cracher mais j'avale sous les rires moqueurs du Majordome qui s'en va, en confirmant au Châtelain qu'il a trouvé, en effet, un vrai chien soumis bon à dresser et à éduquer… Comment expliquer que malgré les gifles, la honte, l'humiliation que je viens de subir, je ressens au fond de moi un profond bien-être, une sorte de plénitude mentale que je ne connaissais pas, que je ressens aussi cette folle et incroyable excitation par une puissante érection que je ne peux cacher. En effet, je sens mon sexe tendu, dressé au zénith, ce qui fait sourire le Maître. Il me laisse à genoux, Il me jette mes vêtements sur moi, pour me dire tout en me toisant de haut :
- Ouvre bien tes oreilles de chien : Bien alors après ce premier acte de léchage, J’ai décidé que Je t’accepte dans Mon Cheptel d’esclaves, tu es donc désormais Mon esclave … Mais Je veux acter cette réalité, donc sur le bureau, il y a un document. Lis-le, prends le temps de bien le lire, si cela ne te convient pas, rhabille-toi et dégage à tout jamais. Si tu es d'accord avec ce document, signe-le, il y a quatre exemplaires. Signe-le et met-toi prosterné, c’est à dire le corps couché, les mains tendus sur le devant, juste les jambes relevées afin que ton cul soit bien relevé. C'est la position parfaite de l'esclave. Prends la décision que tu veux, mais sache qu'elle sera irrévocable ! Tu as 1h pour lire, réfléchir et pour signer ou pas signer....
Monsieur le Marquis quitte le bureau, Il claque la porte et je me retrouve là, ne savant plus du tout ce que je faisais là et qui j'étais, mais je ressentais un inexplicable bonheur d'avoir été traité ainsi. C'est fou mais je sens encore mon sexe bander, encore de ce traitement. Je me relève doucement et je m'approche du bureau, je vois ce document en quatre exemplaires, je commence à lire et là … quel choc !…
(A suivre …)
Combien de temps, je ne peux le dire… une demi-heure ? 1 heure ? Je ne n'ai plus aucune notion du temps mais les crampes commencent à venir… Ce qui est certain, c’est que le temps est long à cause de cette immobilité douloureuse physiquement et que le temps est court mentalement car j’avais hâte de vivre la suite tout en l’appréhendant avec une peur due à l’inconnu, à ma servilité naturelle, à mon infériorité ressentie, face à la supériorité, à la prestance et l’éloquence du Châtelain… Enfin, la porte s’ouvre. Je suis pétrifié, honteux, tremblant, mais encore paradoxalement excité comme jamais. J'aperçois du coin de l'œil Ses chaussures brillantes d’un noir ciré au cuir éclatant. Oui, c'est bien Lui, Monsieur le Marquis d’Évans. Il vient devant moi, je sens Son parfum enivrant, je ressens Sa force et Son charisme sans égal.
- J'attends…, qu'as-tu as à Me demander ?
Honteux, tête basse, toujours agenouillé, les mains derrière le dos et parlant difficilement, j’arrive tout de même à sortir quelques mots de ma bouche, tout en balbutiant encore ceux-ci :
- Je …je Vous de… demande de … faire de moi …Vo… Votre esclave.
Une paire de gifles fusent à une allure fulgurante, laquelle je n’ai pas vu venir, mais qui m’a fortement ébranlé, me déstabilisant encore plus qui a failli me faire tomber sur le côté.
- Tu vas recommencer en étant plus poli que ça, espèce de chien malpoli- S’Il Vous plait …je …je Vous de… demande de … faire de moi …Vo… Votre esclave, oui s’Il Vous plait, Maître.
Une deuxième paire de gifles tout aussi forte s’abat sur mes deux joues
Je ne t’ai pas autorisé à M’appeler Maître, Je t’ai interrogé sur ce que tu avais à Me demander, ça ne veut pas dire que Je t’accepte, espèce de bâtard… Alors recommence, abruti sans cervelle…
- Je …je Vous de… demande de … faire de moi …Vo… Votre esclave, s’Il Vous plait, Monsieur le Marquis- Voilà qui est mieux. Je te préviens, je ne laisse rien passer, Mon éducation et dressage te seront sévères mais bénéfiques si je daigne t’accepter…
Ça y est, je l'ai dit, j'ai fait ma demande et donc donné tout pouvoir à ma nature servile, à ma vie de soumis, laquelle j'ai résisté depuis tant d'années. Je n’ai plus qu’à espérer d’être accepté, qu’Il daigne m’accepter à Ses pieds… Pour seule réponse, Monsieur le Marquis me tend Sa chaussure. Elle a un peu de boue juste sur le pourtour tranchant avec le cirage parfait et donc j’en suppose qu’Il vient de faire Sa balade matinale dans Son magnifique Domaine. Je vois cette chaussure, je ne peux quand même pas lécher cette boue.
- Nettoie salope, fait la briller, et Je verrai après si tu mérites que je t’accepte, espèce de chien. Avec Moi, tout se mérite… Même si jamais rien n’est acquis … Tu peux mériter, mais aussi, tout perdre …
L'ordre à claquer. Cette voix, cette parole, c'est la parole d'un Maitre envers Son esclave, même si je ne suis pas encore accepté, je sens déjà fortement Son Emprise verbale sur ma petite personne. Complètement brisé, anéanti, je baisse la tête, je tire la langue le plus possible et je commence à lécher cette boue… j'avale cette boue, je nettoie Sa chaussure. Et pour la première fois de ma vie, je sens en moi un bien-être intérieur incomparable, inouï qui me donne des frissons, un bonheur réel qui irradie mon âme, je me sens bien, malgré la situation humiliante, je me sens à ma place, je me sens être ce que je suis naturellement, enfin, moi-même, sans artifice, sans être dans l’hypocrisie du ‘paraitre’ de la vie vanille à montrer celui qu’on n’est pas, parce que la société n’acceptera jamais qu’on soit humilié, soumis, esclave.
Le Noble garde un regard sévère, impassible, autoritaire dans un silence absolu … silence juste troublé par mes coups de langue râpeuse sur ce soulier de grande marque. Sa chaussure brille enfin de partout, je sens la terre dans ma bouche, j'ai envie de la cracher, mais je ne peux pas, alors j'avale, oui j'avale la boue quand je vois la deuxième chaussure se placer devant moi. J'ai compris, plus besoin de parler, je sors à nouveau ma langue et comme un bon chien, je lèche et nettoie la deuxième chaussure du Châtelain... Pendant que je m'applique on frappe à la porte. Subitement je réalise mon état : Je suis nu et ce que je suis en train de faire, j'essaie de me relever mais une autre gifle, magistrale encore celle-ci, me couche à terre.
- Continue salope, nettoie ! Et espère... Oui espère que je t’accepte… Ce n’est pas gagner ! Alors lèche, la pute !
La douleur est vive, les larmes coulent, mais je baisse encore la tête et reprends mon nettoyage en règle.
- Entrer...
- Ah, c'est toi mon bon Walter.
- Oui Monsieur le Marquis … (Un silence et.)… Mais ? Qui est ce chien à Vos pieds, si je puis me permettre de demander, Monsieur le Marquis ?
- Aaaah, lui ? C'est l’inspecteur EDF, notre contrôleur des installations électriques… Un petit chien curieux d’ailleurs ! Tu ne sais pas où je l’ai trouvé ?
- Au sous-sol, vers les armoires électriques, je suppose !
- Non, pas du tout ! Ce bâtard était dans la salle de punitions, il regardait les tableaux de Dominations/soumission et de plus, il bandait ! Je l’ai surpris en flagrant délit de bander ! Une véritable bosse sous son pantalon bien trop voyante pour le trahir sur sa propre Nature servile !
- Encore un qui se croit soumis, un de plus ! Juste un fantasmeur !
- Détrompe-toi, mon cher Walter, détrompe-toi ! Celui-là, je sais qu’il ne fabule pas dans ses fantasmes… Il est véritablement né pour être esclave, ça crève les yeux ! Tu connais Ma capacité à dégoter ce genre de clébard servile !
- Si Vous le dites, Monsieur le Marquis, c’est que ça doit être la réalité car je connais très bien Votre faculté à dénicher, en effet, un véritable esclave et il est très rare que Vous Vous trompiez !…
Le Majordome, cet homme que je déteste depuis la veille, se met alors à rire pour rajouter :
- … Et puis, je savais bien qu'il avait l'air d'une petite salope sous ses airs de prétentieux. Oui, Vous avez vraiment du flaire, Monsieur le Marquis, Vous l'avez repéré et mis déjà à Vos pieds.
- Oh mon cher Walter, je pense, oui que nous avons là un bon spécimen de chien qui sera très obéissant. Il va apprendre, il va être éduqué, dressé et il deviendra un bon esclave, encore une fois Je suis certain de ne pas Me tromper...
Le Maitre retire Sa chaussure de devant ma bouche, Ses chaussures brillent et Il me regarde fixement avec sévérité :
- Tu vas nettoyer aussi les chaussures de Mon Majordome, il est Mon second, Mon serviteur fidèle et loyal et il m'épaule à dresser les chiens de ton espèce. Tu lui devras obéissance comme à Moi…
Quoi ! Lécher les chaussures de cet homme ? Non là, je ne peux pas, je n'ose rien dire mais jamais je ne pourrai faire cela à cet homme grossier et peu sympathique. Je reste alors à genoux tête baissée et le Majordome met sa chaussure boueuse sous mon visage.
- Lèche sa chaussure, espèce de chien, me lance le Noble !
Cette chaussure est vraiment boueuse, et je n'ose bouger, ce n’est pas possible de faire cela. Voyant mon blocage, le Châtelain s'approche et je reprends une énième gifle encore plus forte que les autres.
- J'exige et tu obéis salope, sinon tu passes la portes et tu M’oublies. Et ça sera la dernière fois que tu auras à faire à Moi. Je n’ai pas de temps à perdre avec les hésitants… Lèche, si tu souhaites avoir une chance que je t’accepte comme esclave une bonne fois pour toute !
Je suis choqué par Sa force de la gifle, j'ai mal, mais je ne peux pas nier que j’en suis aussi très excité… Mentalement et physiquement, j’en bande d’ailleurs plus que raison ! Alors, je baisse la tête et je nettoie cette boue, je lèche les chaussures de ce Walter, je mange cette boue et nettoie complètement ses deux chaussures... Je suis plein de terre, je ressens l'envie de cracher mais j'avale sous les rires moqueurs du Majordome qui s'en va, en confirmant au Châtelain qu'il a trouvé, en effet, un vrai chien soumis bon à dresser et à éduquer… Comment expliquer que malgré les gifles, la honte, l'humiliation que je viens de subir, je ressens au fond de moi un profond bien-être, une sorte de plénitude mentale que je ne connaissais pas, que je ressens aussi cette folle et incroyable excitation par une puissante érection que je ne peux cacher. En effet, je sens mon sexe tendu, dressé au zénith, ce qui fait sourire le Maître. Il me laisse à genoux, Il me jette mes vêtements sur moi, pour me dire tout en me toisant de haut :
- Ouvre bien tes oreilles de chien : Bien alors après ce premier acte de léchage, J’ai décidé que Je t’accepte dans Mon Cheptel d’esclaves, tu es donc désormais Mon esclave … Mais Je veux acter cette réalité, donc sur le bureau, il y a un document. Lis-le, prends le temps de bien le lire, si cela ne te convient pas, rhabille-toi et dégage à tout jamais. Si tu es d'accord avec ce document, signe-le, il y a quatre exemplaires. Signe-le et met-toi prosterné, c’est à dire le corps couché, les mains tendus sur le devant, juste les jambes relevées afin que ton cul soit bien relevé. C'est la position parfaite de l'esclave. Prends la décision que tu veux, mais sache qu'elle sera irrévocable ! Tu as 1h pour lire, réfléchir et pour signer ou pas signer....
Monsieur le Marquis quitte le bureau, Il claque la porte et je me retrouve là, ne savant plus du tout ce que je faisais là et qui j'étais, mais je ressentais un inexplicable bonheur d'avoir été traité ainsi. C'est fou mais je sens encore mon sexe bander, encore de ce traitement. Je me relève doucement et je m'approche du bureau, je vois ce document en quatre exemplaires, je commence à lire et là … quel choc !…
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