La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1636)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1636) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1636)
Mattieu au Château – (suite de l'épisode N°1632) –
Monsieur le Marquis d’Évans sait plus que personne, ce que je suis et ce que j'ai besoin pour être tout simplement moi-même… Je suis enfin chez moi, tout en me pensant. ‘‘Ouf ! Aller Matthieu c'est fini, passe à autre chose, oublie tout ça, t’as mieux à faire dans la vie !’’... Le soir venu, je suis devant la télé avec ma femme, un super film ‘‘ Spartacus’’... Mais je n'arrive pas à me concentrer, impossible, je me revois, nu, léchant les chaussures de ce Marquis d’Évans, et en bander terriblement ! Je réentends Ses Paroles puissantes, autoritaires et je n'arrive pas à enlever ces images et Ses paroles de mon esprit. J’ai donc peine à me concentrer sur le film. Sauf que quelques scènes retiennent toute mon attention, dont celle où des esclaves asservis sont agenouillés. Je suis surpris de cette étrange coïncidence de tomber sur ce film empli de scènes de Domination de l’homme par l’homme, des esclaves dominés et maltraités par les romains ! Et ça me fait bander ! Le film fini, la fatigue aidant, je vais me coucher mais je ne trouve pas le sommeil, là encore je suis obsédé par ces deux jours passés. J'essaie de caresser ma femme, mais je n'arrive pas à m'exciter et de plus elle me tourne le dos pour me faire comprendre qu’elle veut dormir !... Alors je me lève, je m'assois sur mon canapé et me revoilà à penser à cet homme, ce Marquis, à Son regard, à Son charisme… Il m'obsède, me possède, je revois ma langue sur Ses chaussures et je m'aperçois que je me mets à bander de nouveau comme jamais... Mais qu'est ce qui m'arrive ! Ma femme dort, je suis trop excité de repenser à ce Château... Alors, je n’y tiens plus, je me branle, oui je me branle en m’imaginant nu comme sur ce tableau, avec un collier, le dos meurtri et léchant ce Noble comme un vulgaire animal... Et je ne tarde pas à sentir la montée de mon foutre…, je jouis en essayant de retenir mes cris...

Je vide mes couilles sur mon bas-ventre. Jamais je n’ai joui aussi fort, j'en ai la tête qui me tourne. Je me relâche et me dis qu'il fallait sûrement cela pour passer à autre chose... Eh bien non, 15 minutes après ça revient en tête, plus fortes sont mes pensées obsédantes, elles deviennent incontrôlables avec cette voix intérieure, en moi, et qui me rabâche... ‘‘Tu es un soumis, un sale chien, tu as besoin de cela, c'est là que tu seras épanouis et heureux’’. Et voilà que je rebande, mon bas-ventre me brûle, mon esprit est figé sur Monsieur le Marquis d’Évans. Et mon érection est encore plus puissante que la précédente, ma nouille est dure comme du bois alors j’astique ma hampe jusqu’à que j’éjacule de nouveau, mais cette fois sur le plancher du salon. Je m’essuie ma nouille avec un mouchoir en papier tout en regardant mon sperme au sol. Alors je me mets à genoux pour l’essuyer quand une idée obsessionnelle me vient à l’esprit ! En effet, je me mets à imaginer être devant le Châtelain que je viens de prendre en bouche en cette position agenouillée et qu’il a joui sur mon visage alors que quelques gouttes de Sa semence sont tombées au sol. Alors imbibé pas cette pensée qui ne me quitte pas l’esprit, je me mets en levrette pour venir lécher mon propre sperme imaginant que c’est celui du Noble… Je me surprends à avaler ma propre semence, mais je suis trop excité mentalement pour me retenir… Heureusement que ma femme dort !

La nuit passe et je ne trouve pas le sommeil car toute la nuit j'ai pensé et repensé à ces deux journées. Mon sexe me torture par des bandaisons intempestives, mon esprit hurle ce besoin profond d'être soumis à nouveau, ça devient viscéral. Le combat devient difficile, je ne contrôle plus rien. Hier, s'est ouvert la boite de pandore … Et ce matin ma nature servile et enfouie depuis trop longtemps fait voler en éclat ma morale, ma carapace, mon éducation ... Je n'arrive même pas à avaler mon café, j'arrive au bureau bien avant l'heure. Je salue mes collègues, qui aperçoivent ma mine déconfite, mes yeux rougis de fatigue, bref j’ai visiblement la tête d’un homme qui a passé une nuit blanche.

- Pas bien dormis hier, Matt ?

Je ne réponds pas, je suis comme un zombi, un homme qui va à l'abattoir, un homme qui capitule, qui baisse les bras, qui rend les armes devant cette pulsion de soumission violente, inouïe, devant cette nature servile qui maintenant prend le contrôle de ma vie, s’empare de mes pensées, possède mon corps…
- Bonjour Matthieu, tu vas bien ?, me demande mon supérieur hiérarchique - Oui merci, tu n’aurais pas le numéro de téléphone du Marquis d’Évans ?
- Pourquoi faire ? C'est bon, on n’a plus rien à faire là-bas.
- J'ai oublié de lui parler d'un petit détail technique que j'ai repéré que les raccordements de la boîte à fusibles...

J'en arrive à mentir à mon directeur qui, en plus, est un ami. Je me reconnais plus.

- Attends, je regarde…. Oui tient, note-le.

Je l'ai, je l'ai, ça y’est toute la nuit je pensais à ce moment.... J’ai Son téléphone, mais comment appeler, quoi Lui dire, je suis fou. Je remercie mon chef et file dans mon bureau et j’essaie de travailler, j'ai tant à faire, mais je n'y arrive pas. Tout mon corps me brûle, me dévore, mon esprit est obsédé, je lis et relis mille fois ce numéro, je finis par le connaître par cœur.... 9h, 10h....10h30... Je me décide enfin, j’ose ! Alors je compose le numéro, mais… je coupe de suite... Non je ne peux pas, je ne peux pas... Mais je sens qu'en moi j'ai déjà perdu la bataille, j'ai besoin de le revoir, j'ai besoin.... trop besoin… Alors je rappelle mais cette fois je laisse sonner...... Bippppp bippppp bippppp bippppp
- Allo, bonjour... ici Monsieur Walter, le Château d’Evans…A qui ai-je l’honneur ?

Pas de chance, je tombe sur cet épouvantail de Majordome, mais à bien y réfléchir, c’est évident que c’est lui qui décroche aux appels téléphoniques, c’est le travail d’un majordome, ça !

- Bon… bon…jour, je suis l’électricien-contrôleur venu hier et…- (me coupant la parole et en me tutoyant sans aucun respect : ) Ah, c’est toi, le chien ! Je te passe Monsieur le Marquis… Je sais qu’Il attendait ton coup de fil ! Il n’est pas bon de Le faire attendre !

Comment ça, Il attendait mon coup de fil ? Comme s’Il était persuadé que j’appellerai ! Je reste en ligne et j’entends de nouveau le bippppp bippppp bippppp bippppp et ça décroche de nouveau.

- Allo... (voix glaciale, sèche, autoritaire) - Oui bon… bon... bonjour Monsieur le …Ma… Marquis, dis-je en m’entendant balbutier.
- Qui est à l’appareil ?
- Je … Je suis le … le contrôleur d'hi… hier, dis-je encore en balbutiant mes mots.
- Que veux-tu ? Je t'ai dit que je ne voulais plus jamais entendre parler de toi.
- Écoutez … C’était difficile comme cela et … au… aussi rapidement de prendre cette … décision… je ne pou…pouvais pas, j'aimerai en … parler un … un peu plus avec Vous...

Le Châtelain me coupe brutalement la parole
- Je savais que tu appellerais, j’en étais même certain, comme tu vois, Je ne Me trompe que très rarement… Tout était écrit sur le document ! Tu as choisi. Je ne suis pas quelqu'un qui discute, J'exige, tu refuses alors hors de ma vue, ou tu acceptes et alors tu te soumets... (Bipppppppppp)
Non, Il a coupé, Monsieur le Marquis a coupé, et là, je sens un grand vide, un vide profond, à ce moment-là, je sens la défaite de mon moi vanille. Je sens ma nature servile triompher.... Dans un état quasi second empli de servilité, je refais le numéro, les larmes aux yeux, le cœur qui s'emballe, le téléphone tremble entre mes doigts… Ca sonne, Bipppp bippppp bippp bipppp bippp…
- Allo, bonjour... ici Monsieur Walter, le Château d’Evans…A qui ai-je l’honneur ?
- Monsieur Walter, c’est… c’est encore moi, l’électricien-contrôleur, désolé … Heu … On… On a été coupé !
- Ah ? … Bon, si tu le dis ! Je te repasse Monsieur le Marquis, espèce de chien qui ne sait pas mentir !

Je devais être offusqué d’être traité d’espèce de chien, mais dans l’état que je suis, j’en éprouve même du plaisir quand ça sonne de nouveau dans le bureau du Châtelain … Oui c’est vrai, je reconnais que j’ai menti, ça n’a pas coupé, c’est le Noble qui a raccroché sous mon nez. Et ça le Majordome l’a bien évidemment compris… Puis ça décroche et j’entends de nouveau la voix de Monsieur Le Marquis.

‘‘Vous êtes bien en contact avec Monsieur le Marquis d’Évans, ne pouvant vous répondre actuellement, veuillez me laisser un message et si besoin mon majordome ou Moi-même vous rappellerons. Clik...’’- Monsieur le… Marquis, c'est… c’est encore moi … je … je souhaite signer le … document, c’est une évidence… Je vous salue … très respectueusement …
Ma voix est tremblante et à peine audible... Et je raccroche. Je tremble, qu'ai-je fait ? Comment est-ce possible ?… J'espère qu'Il ne me répondra pas et en même temps j'ai mon portable à la main et je le regarde toutes les dix secondes, espérant qu’Il me rappelle. Bizarres sensations quand le pour et le contre se mélangent ! 11h, 11h30, 12h, voilà te temps de la pause déjeuner mais je n’ai pas faim alors je reste au bureau, mon besoin de soumission a investi entièrement mon âme et mon corps, comme imbibés de ce monde chocolat qui a envahi tout mon être. J'ai besoin de L'entendre... C’est fou, ce qui m'arrive. 12h15 je reçois un sms mais je ne connais pas le numéro.

"Espèce de bâtard, envoie immédiatement ton adresse mail personnelle à ce numéro qui s’affiche sur ton écran. Monsieur Walter. "
Mais qu'est-ce qu'il veut encore celui-là. Et encore un insulte, en plus ! Mais je constate que j’en éprouve du plaisir, je ne me reconnais pas ! Je comprends tout à coup que c'est certainement Monsieur le Marquis qui lui a donné mon numéro de téléphone. Je tape mon adresse mail avec un empressement incroyable, je crois que je n’ai jamais répondu aussi vite à un sms ! Et puis plus rien de toute la journée. 100 fois j'ai vérifié mes mails, rien, rien, rien. Je rentre chez moi, triste, démoli, brisé. Je suis fatigué, je n’ai rien mangé de la journée. Ma femme adorable voit ma mine défaite et me prépare un bon repas. J’essaie de penser à autre chose. Je suis un peu détendu après cette bonne douche, ce bon repas mangé sans appétit, ce verre de whisky, un véritable remontant ! (NDLA : A consommer avec modération). Je me sens un peu mieux. Finalement je reprends le dessus. 23h45, je vais couper mon pc avant d'aller me coucher, je vérifie rapidement mes mails et là je suis comme paralysé.... Un mail... L’expéditeur est : Château du Marquis d’Évans ! Je me remets à trembler, mon corps ne porte plus mes jambes, heureusement que je suis assis. Je suis fébrile, excité, et je m’aperçois que je bande à nouveau. J’ouvre au plus vite ...

‘‘Demain à 10h précises, tu laisses ta voiture au village à l'adresse que tu trouveras en P.S. Le propriétaire est un ami d’enfance, il la mettra dans sa cour, bien en sécurité. Tu viens à pied jusqu'au Château soit 30 minutes de marche par les coursières indiquées en détail sur la pièce jointe, sur la carte topographique. La grille du Château sera ouverte. Tu sais ensuite où aller et ce que tu as à faire… Surtout soit à l'heure, je ne supporte pas quand on n’est pas ponctuel. Attention, si tu n'es pas là 10h30 ne me contact plus jamais car je ne suis pas une girouette et je n'ai pas de temps à perdre. Sache que je te fais une immense faveur de t'accorder une seconde et dernière chance de venir à Mes Pieds, mais tu seras puni très sévèrement d'avoir offensé Le Maitre. Donc réfléchit bien, car cette fois c'est la dernière, il n’y en aura pas d’autre, que ce soit clair. Signé : Monsieur le Marquis d’Évans.’’
Je relis au moins 5 fois ce mail et je me sens tellement excité que je me branle comme un dingue et je me vide les couilles sur mon bureau. Cet homme me possède déjà et qui sait ce qui m'attend... Demain est un jour nouveau, mais pas n’importe lequel, c’est Le Jour, celui qui va bouleverser ma vie, à jamais…
(A suivre …)

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