La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1637)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1637) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1637)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1634) -
Chapitre 42 : Le Garde-forestier et l’équipe de bucherons –
Une fois la fellation achevée, le Maître se retirait, alors je me léchais les lèvres, pour y récupérer ce qu’il restait du divin nectar… Un peu plus tard, j’étais brutalement réveillé par des aboiements mais aussi par un vacarme assourdissant. J’entendais crier, héler, rire, des bruits confus, une agitation et un désordre bruyant. J’avais été mis à la niche peu après cette sublime fellation réalisée sur ce noble Sexe du Maître et je m’étais endormi brutalement avec ce délicieux goût de sperme en bouche. Avant ça, Markus m’avait nourri… une mixture infâme dans une gamelle immonde, contraint de tout avaler, sous la menace d’une cravache, cinglant l’air et parfois mes fesses arrondie par ma position en quadrupédie. Puis Markus m’avait sorti, j’étais toujours à quatre pattes telle une chienne, pour que je puisse satisfaire mes besoins naturels. Au retour, il m’avait posé une cage de chasteté sur ma nouille. Cage plus étroite encore que celle que je portais habituellement, contraignant ma nouille, l’obligeant à se recroqueviller tel un escargot dans sa coquille. A n’en pas douter, je préférais cette douleur constante et prégnante sur ma nouille plutôt que de sentir cette dernière libre et raide entre mes cuisses, balloter et s’agiter à chacun de mes mouvements. Le supplice était beaucoup grand encore, que celui imposé par cette cage. En effet, voir ma nouille remuer, la voir se tendre (et je bandais de plus en plus souvent), affolait mes envies, boostait ma libido servile… Mes envies de m’empoigner, de m’astiquer, de me branler, chose bien sûr, qu’il m’était interdit de faire sans un accord préalable du Maître ou d’un Dominant. Une torture physique et mentale quasiment insupportable, une contrainte bien plus importante que cette maudite cage ! Bref… j’en arrivais à bénir cet objet métallique !

Je ne bougeais pas, silencieux je restais couché en chien de fusil, avec toutefois une oreille attentive sur l’extérieur, sur ce tumulte invraisemblable : Des voix graves, des rires graveleux et grivois, des bruits sourds et diffus. « Combien sont-ils ? », me questionnais-je… La réponse ne se faisait pas attendre. La trappe de la niche s’ouvrait, la grille se soulevait, une main harponnait mes couilles pour m’extirper et m’arracher de ce lieu obscur et exigu, qui pourtant me ressourçait et m’apportait le repos nécessaire à ma condition physique. La lumière vive m’était insupportable, je plissais les yeux pour tenter de distinguer ce monde extérieur, ces femmes et ces hommes assis sur de luxueuses chaises de l’époque des rois autour de cette grande et longue table dressée et décorée à l’ancienne avec des chandeliers allumés à chaque mètre, où tous petit-déjeunaient ! A cet instant, un silence lourd et pesant faisait place au boucan. Seul un chien (l’animal), un braque de Weimar, aboyait en se précipitant sur moi.

- Couchez le chien !, entendais-je.

S’ensuivaient des éclats de rire fous et délirants, que je ne parvenais pas à comprendre. Pourquoi étais-je la risée de tous ? Il me fallait quelques minutes pour réaliser ma stupidité ou mon conditionnement. A cet ordre… sans penser, ni réfléchir, je m’étais immédiatement allongé au sol en prenant soin de dévoiler mes attributs virils, au vu et au su de ceux présents, sans rien cacher, tel que l’on me l’avait appris. Sauf que… cet ordre ne s’adressait pas à moi, mais à l’animal, à ce jeune chien un peu fou, qui avait obéi de suite, se tenant ainsi fort éloigner de moi. Markus s’approchait et me redressait en tirant sur ma chevelure…
- Regarde-moi, la pute !, m’ordonnait-il
Markus tirait plus encore sur ma chevelure pour que je redresse bien la tête en arrière, son regard, pour une fois rieur, se logeait dans le mien.

- Je vais être obligé de te punir, salope…, me disait-il droit dans les yeux, avec le regard sombre désormais, ayant changé de visage en un quart de seconde, passant du rire à la sévérité !

Je ne comprenais pas, j’attendais sagement la suite, sans lâcher mon regard imposé.

- Une punition un peu moins soutenue néanmoins, parce que tu commences à avoir de bons réflexes, mais… (Markus se taisait encore un long instant)… Mais, te disais-je, quand vas-tu comprendre ta réelle condition ?

Le Dominant me toisait, en me tenant, d’une main, toujours sévèrement par les cheveux, de l’autre, il me giflait copieusement. Je ne bronchais pas, me laissais malmener et humilier devant ces regards inconnus, devant ces femmes et ces hommes attablés qui m’observaient et me dévisageaient sans un mot, sans un bruit, spectateurs de la scène.

- Quand vas-tu comprendre que tu n’es qu’une salope de chienne…
Markus venait d’insister lourdement sur le mot chienne... Je commençais à comprendre où il venait en venir.

- Tu n’es pas un chien, mais une grosse chienne… Une putain de chienne, une salope de chienne ! Comment faut-il te le dire pour que tu comprennes ça ? Tu devrais l’admettre pourtant, tu aimes la queue, tu aimes prendre des bites, tu aimes te faire mettre, tu n’es qu’une femelle affamée et constamment en chaleur… Ce n’est pas parce que tu as un morceau de chair entre les cuisses, bien ridicule d’ailleurs, que tu es un mâle… Tu le sais ça maintenant… Ta nouille n’a plus qu’une seule fonction, c’est pour pisser ! Sauf cas exceptionnel, si un jour Monsieur le Marquis veut te faire copuler avec qui bon Lui semblera… Le sort en a voulu ainsi… Tu le sais que tu es au plus bas de la hiérarchie de la sous-race des bâtards… Une pauvre merde se complaisant dans la débauche et la perversité… Tu n’es qu’une chienne d’esclave ! Juste là pour soulager celles et ceux qui veulent bien abuser de toi autant qu’ils en ont envie, c’est ta seule raison d’être… Une chienne femellisée … Ton anus est, de fait, vaginalisé !... Ne l’oublie jamais, considère ton trou du cul comme un vagin, salope !…
Markus m’humiliait littéralement plus fortement par une gifle plus dense encore que celles déjà reçues et par la violence humiliante de ses mots, je titubais et m’écroulais au sol. Mais immédiatement la main de cet homme pervers attrapait mon collier et me tirait près de la table, me poussant sous celle-ci et en me disant.

- Aller la chienne, va faire ton boulot de chienne suceuse !

Sitôt sous la table, une main m’attrapait par le colbac et m’entrainait entre deux jambes écartées. Une main tremblante, agitée et excitée tentait de dégrafer les boutons de cette braguette déjà gonflée. Une énorme bite fort raide jaillissait de ce slip glissé sous une paire de couilles poilues et gorgées d’excitation.

- Suce-moi, vidange-moi et regarde-moi… Je veux que tes yeux restent dans mon regard pendant que tu me donnes du plaisir… Je vais bien arroser ta petite gueule de putain de chienne… Aller, m’es y de l’entrain et de la vigueur, je ne veux pas sentir tes dents, mais uniquement tes lèvres et la langue. Aller… mieux que ça… Aspire-moi, avale-moi... Fait ce qui fait partie de ta nature, fait la pute !

Cet homme gras, salace au regard libidineux tenait ma nuque à deux mains, sa grosse queue plus épaisse que longue allait et venait puis restait enfoncer dans ma gorge. Elle m’étouffait à m’en donner des nausées. J’étais là, à quatre pattes sous cette table et tentais de remplir dignement et correctement mon office d’avaleuse de bites, de putain, alors que je sentais des doigts se pencher sous la table et venir se loger entre mes fesses que je gardais écartées en cambrant au maximum mes reins… Je laissais en ma bouche suceuse cette bite m’envouter, m’ensorceler et me dominer. Elle allait et venait encore et toujours jusqu’à ce que je sente ces doigts dans ma nuque se crisper, jusqu’à ce que j’entende l’homme convulser, jusqu’à ce qu’une giclée de foutre, suivie d’autres, viennent s’écraser contre mon palais et ma gorge, aspergeant et inondant ma bouche de salope soumise chienne. A peine avais-je le temps de reprendre mes esprits, à peine avais-je le temps d’ingurgité qu’une autre main sur le côté me chopait par le collier pour me placer bouche contre la braguette de ce jeans délavé, sentant la transpiration, la pisse et le mâle en rut.

Cette fois-ci, agenouillé dans la pénombre, sur ordre, je défaisais le pantalon, respirait cette sueur qui perlait sur sa peau et ses muscles bandés sous la paume de ma main, les textures de coton que j’empoignais. Je déballais ce sexe raide de cet écrin vermillon puis prenais ce nouveau membre turgescent sur ma langue, l’enveloppait et savourait son goût de pisse, de mâle… Mon cœur s’emballait, ma nouille encagée cherchait à durcir, mon esprit s’embrumait lorsque ce chibre dur, bien veiné comblait ma bouche et jouait contre ma langue. J’aimais ces odeurs de mecs, leurs mots salaces, leurs mots humiliants, faisant de moi cette chienne en chaleur et affairée à sucer un gland violacé. J’aimais ces sensations si fortes quand celui que je suçais se cambrait comme une danseuse, lorsqu’il commençait à soupirer un instant plus tard, lorsqu’il implorait le Dieu du sexe par un juron, puis jouissait sa semence tiède directement sur ma langue et au fond de ma gorge me propulsant aux fins fonds de ma servilité débridée…
Était-ce la perspective des enfers de la perversité qui me comblait d’extase ? Était-ce ces enfers-là qui offraient à ma peau de sublimes frissons, à ma langue des détours savants, à mes doigts leurs désirs jamais satisfaits ? Était-ce la perspective de territoires inconnus, de corps nouveaux et pervers, du viscéral besoin de sentir en moi des mâles, odorants, rugueux, était-ce la perspective de sentir de nouvelles chaleurs de ces braquemarts durs et brulants enflammant ma bouche ? Ainsi, de bite en bite, j’allais, avançais à quatre pattes sous cette table, arrachant des plaintes, me gavant de leurs sucs délicieux, sans jamais m’en rassasier ! On avait, en effet, fait de moi, cette chienne femellisée, j’en avais pleinement conscience et cet état servile, cette évidence, cette réalité incontournable m’emmenait dans un autre monde, celui de la débauche, de la luxure, ce monde qui exaltait, comblait mes pulsions primaires de soumission. J’étais enfin moi-même !...

(A suivre…)

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