La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1638)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1638) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1638)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1637) -
Chapitre 42 bis : Le Garde-forestier et l’équipe de bucherons –
J’étais enfin moi-même !... Lorsque Markus me sortait de dessous de cette table, j’avais le visage collant couvert et dégoulinant de foutre. Neuf bites, je venais de dégorger neuf membres, soulager des couilles de leur trop plein de sperme. Un vagin que j’avais léché aussi et qui avait déversé sa mouille abondante sur mon visage. Je ne ressemblais plus à rien, allongé au sol totalement défait, les mâchoires douloureuses, la langue et le palais englués de semences de mâles Dominants et de cette cyprine séchée de la Domina…
Pourtant une question m’intriguait car, je n’avais pas rêvé, avant de passer sous la table, j’avais bien aperçu huit hommes (le garde-forestier, ses cinq bucherons, Markus et Rémy) et deux femmes. Alors comment avais-je pu sucer neuf bites et lécher un seul vagin ? Je n’eus pas le temps de trouver la réponse car je m’attachais dans un dernier effort à paraitre l’une des plus superbes putains de Monsieur le Marquis d’Evans. Humilié, débauché, dépravé, je l’étais… mais je ne me sentais pas pour autant vaincu. Au contraire, à chaque tour de langue, à chaque nouveau cri soutiré, j’avais senti grimper en moi, une vague intense de satisfaction, qui tenait autant à l’excitation générée par la situation qu’au devoir indéniable des objectifs fixés par le Maître : Etre une chienne, une salope de chienne femellisée à la bouche de putain et à l’anus vaginalisé !...

J’étais maintenant à quatre pattes devant ma gamelle contenant un peu de lait, des morceaux de pain, des croutes de fromages et des couennes de jambon, un infâme mélange fait des restes du petit-déjeuner que ces femmes et hommes terminaient. Tout en dévorant, j’écoutais leur conversation. Je comprenais qu’il y avait là, le garde-forestier du Domaine de la Famille des Evans. Cet homme à fier allure, grand, mince, quelque peu maniéré, portant une fine moustache, les yeux clairs, vifs et perçants, encadrait une équipe de cinq bucherons. Eux étaient tous de solides gaillards, aux épaules larges, trapus et massifs, sentant la testostérone à plein nez. Quant aux deux femmes présentes, je sus plus tard qu’il s’agissait de deux Dominas bûcheronnes vosgiennes venues en stages suite à des échanges avec une propriété forestière d’un domaine près d’Epinal et dont le propriétaire était un ami proche du Maître… D’ailleurs, elles ne tardèrent pas à quitter les lieux, allant travailler dans la forêt après avoir remercié Markus pour le plaisir orgasmique qui leur a été offert durant leur petit-déjeuner...

- Merci encore, mon cher Markus, un vrai plaisir de jouir ainsi ! On nous avait prévenues que les chiennes de Monsieur le Marquis savaient parfaitement lécher, c’est une réalité fort bien constatée ! Aller, on a encore du travail, on vous laisse, les garçons ! A toute à l’heure !
- Pas de souci, Clara ! A toute à l’heure, lui répliqua le garde-forestier, répondant à la place de Markus qui lui se contentait un signe de tête en signe d’amitié envers cette Clara !

Quant aux hommes bûcherons, chacun à leur tour, donnaient leurs appréciations à Markus et Rémy sur mes capacités buccales :
- Un bon tir jus !... Une suceuse comme j’aime !
- Une vraie chiennasse !
- Un sans-faute, bonnes lèvres, bonne langue, hâte de tester le cul vaginalisé de cette chienne !

Le cinquième bucheron, celui aux cheveux bruns frisés, celui assis au plus près de moi, un pervers comme pas deux, n’avait jusqu’ici fait aucun commentaire. Il me regardait et m’offrait un sourire, avant de se racler la gorge. De là où il était, il me crachait au visage. Son mollard m’atteignait et s’écrasait entre mes deux yeux. Sans réaction, totalement abasourdi, je laissais la salive dégouliner le long de mon nez, jusqu’à ce qu’elle atteigne mes lèvres et me glisse dans la bouche. Elle avait un goût de bière et de tabac, elle avait un goût de tornade et d’horizon poussiéreux, elle avait un goût de déshonneur et d’outrage public. A l’entente du crachat, il y avait eu deux ou trois ricanements dans la pièce et lorsque ce gros malabar puant la testostérone se levait et se campait devant moi, je frissonnais d’angoisse.

- Ouvre ta p’tite gueule de chienne !, m’ordonnait-il
J’obtempérais, alors que lui déballait une nouvelle fois son matos de son jean étroit. Il tenait sa bite flasque sous mon nez, tapotait mes lèvres avec celle-ci, retroussait son prépuce odorant, puis restait immobile quelques secondes, comme concentré. Puis, soudainement un jet puissant éclaboussait ma gorge. Il me pissait dessus, dans la bouche, une bonne rasade qu’il m’ordonnait d’avaler sans sourciller. Il pissait encore, par saccades, me laissant le temps d’ingurgité, me laissant le temps d’être avili, rabaissé et déshonoré. Et comme cela ne lui semblait pas suffisant, il inondait mon visage, mon torse et mon abdomen de sa miction chaude, un jet dru ammoniaqué. Je restais là, inerte, docile me faisant gaver, arrosé de pisse, en bon loser que j’étais, jusqu’à ce que le pisseur n’ait plus rien dans le réservoir et que sa queue se taise. Alors, je tirais la langue, léchais les dernières gouttes restantes sur mes lèvres.

J’étais là, détruit, plongé dans un abattement total. Mon esprit avait foutu le camp, ma réflexion et tout ce qui allait avec. Je sentais seulement le flux de soumission me traverser le corps tout entier. J’inspirai profondément et une odeur de mecs emplissait mes poumons, pénétrait mon cerveau et m’étourdissait plus encore. J’expirais puis inspirais encore et encore me laissant complètement emporter par cet arôme de mâles en rut. C’était comme si j’étais de nouveau pénétré alors que personne ne me touchait, comme si ces hommes imposaient toute leur force et leur personnalité à mon corps faible et vaincu. Le pisseur était encore là, debout devant moi. Il posait sa chaussure souillée de son urine sur mes couilles, les écrasait doucement au sol. La douleur bienfaitrice me faisait partir dans un rêve, un délire de brume et de poussière qui m’emportait très loin, dans un état de conscience où ne demeurait que mon corps, mes sensations avec ma virilité écrasée sous le pied de ce pervers. La pression sur mes burnes allait crescendo, cet homme avait-il l’intention de me castrer, de m’ôter toute forme de virilité pour que je devienne réellement une salope de chienne ?

Cet homme brun aux cheveux frisés, ce délicieux pervers continuait à m’accabler. Il me prenait par la nuque me poussait vers le sol pisseux. Il me forçait à poser mon front sur ce carrelage, dans cette flaque d’urine. De son autre main, il repoussait sans délicatesse mes cuisses, jusqu’à ce que mes genoux soient bien écartés et que mes couilles pendent bien. Il donnait quelques pichenettes sur celles-ci, pour que la douleur me percute jusque dans mon bas ventre. Peu après, il posait sa main sur mon cul, massait du bout du doigt mon trou de salope.

- Lèche !, m’ordonnait-il.

Alors tout bonnement, en levrette prosternée, je posais mes lèvres sur ce carrelage froid, tirait la langue pour absorber ce liquide maintenant froid resté au sol. Je me laissais emporter par la situation, seulement concentré sur les sensations qui me parcouraient le cul et les couilles, à mesure que cet homme me touchait, me manipulait, se servant de moi comme d’une serpillière. Je ne pensais plus à rien, j’étais là, tout simplement, emporté par mon instinct le plus primal, mon instinct de proie, de chienne soumise à la recherche d’une passion supérieure encore, d’une soumission totale à ces hommes me détruisant complètement et me repensant selon leurs gouts et leurs envies. Ils glissaient en moi une nature d’esclave, brisant mes défenses et mon envie de fuir, éradiquant mon passé pour ne laisser qu’un futur d’esclavage et de déprave sexuelle. A cet instant, je songeais à des mondes meilleurs, où la baise prendrait toute sa place, où je n’aurai plus qu’à me soumettre, à ouvrir la bouche et le cul pour recevoir la semence de tous ces mâles en rut.

Le garde forestier sonnait l’heure du départ :
- Aller, allons travailler, allons retrouver Clara et Béa !

Alors les cinq autres bucherons se levaient, l’un d’eux, contournant la table posait son pied sur ma hanche et poussait. Je m’affalais au sol et restais là sans plus bouger. Ultime humiliation, ultime avilissement, ma place était ici à même le sol, rampant comme un simple invertébré ! Pourquoi à cet instant, des sanglots me prenaient la gorge ? Pourquoi des larmes roulaient sur mes joues ? Était-ce la fatigue, le trop plein d’humiliations, le trop plein de bien-être ? Markus avait une analyse bien différente.

- Mais ne t’inquiète donc pas la pute, tu vas les revoir… Ils vont revenir ce soir, après leur journée de travail… Avec les couilles bien pleines… Je suis certain qu’ils te prendront, sans modération, le cul… Et puis sache que Clara adore utiliser le gode-ceinture, c’est même sa spécialité ! Quant à Béa… Tu as droit à une petite explication : Si elle a toute en apparence d’une très jolie femme avec une superbe et généreuse poitrine, elle n’a pas de vagin, mais un sexe d’homme, c’est une transsexuelle shemale, une transgenre si tu préfères ! Dominatrice devant l’Eternelle et compagne de Clara dans la vie, elle saura t’enculer avec gourmandise, elle adore sodomiser les petites femelles comme toi, sale pute que tu es ! … C’est de ça dont tu as besoin la pute, te faire remplir par tes deux trous ! Oh ma pauvre petite chienne…
Ainsi j’avais l’explication de pourquoi j’avais sucé neuf bites et léché un seul vagin ! Il est vrai que de dessous la table, je ne voyais pas forcément de qui je m’occupais et comme cette Béa avait un pantalon kaki militaire de travail, je l’avais pris pour un homme, surtout avec son sexe de mâle devant mes yeux… et avant de passer sous ladite table, je n’avais pris pour une femme de par son apparence féminine… Markus me caressait la tête, comme il aurait caressé un animal… puis empoignait mon collier pour me redresser.

- Débarrasse la table, fais la vaisselle, lave le sol, range et dépêche-toi, nous avons à nous occuper de toi.

En bon larbin, je m’exécutais, alors que Rémy et Markus s’installaient dans de larges et confortables fauteuils pour regarder la télévision. Tous deux visionnaient un film qu’ils avaient réalisé à mon insu depuis que j’étais arrivé ici. De temps à autre, l’un deux commentaient à haute voix :
- Oh mais quelle bonne putain !

L’autre reprenait :
- Tu as vu son cul s’ouvrir, c’est vraiment une grosse salope !

Moi, concentré sur ma tâche, je me répétais ces mots entendus, me les répétais encore jusqu’à me sentir complétement habité par leur signification. J’étais, une putain, une salope et une chienne et heureux de l’être, point à la ligne !…
(A suivre…)

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