La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1642)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1642) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1642)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1638) -
Chapitre 43 : Humiliations et toilettage –
J’étais, une putain, une salope et une chienne et heureux de l’être, point à la ligne !… Je me retrouvais désormais à quatre pattes devant le fauteuil de Markus, sans plus bouger, ses jambes posées sur mon dos cambré. En effet, juste après avoir été le larbin de service (je venais de terminer la vaisselle et le ménage) Markus avait exigé que je vienne près de lui afin que je lui serve de repose pieds, alors qu’il regardait toujours la télévision et visionnait le film réalisé à mon insu, en compagnie de son acolyte, le pervers Rémy. Tous deux se prélassaient et continuaient à commenter les images avec des propos humiliants et abjects à mon égard. Mentalement, je n’écoutais plus… ne pensais plus… je n'étais plus qu’une chose décérébrée, privée d’intelligence et de raison ! J’obéissais, me soumettais, m’exécutais en me pliant à leurs perversités. Et physiquement, j’étais devenu cette chose utilisée et cet objet qu’est un repose pieds. Oui une chose, pour preuve, j’avais maintenant le pied nu de Rémy dans ma bouche grande ouverte. Il tentait de l’enfoncer au plus profond de mon orifice buccal :
- Lèche salope, décrasse bien entre mes orteils, je veux sentir ta langue s’enrouler autour de chacun de mes doigts de pied.

Les pieds de Rémy étaient propres, juste un petit goût acide et une légère odeur de transpiration… Cela réactivait mes sens. Je sentais ma nouille frémir dans son étui d’acier, alors que je bavais tant et plus en léchant ce pied gluant de ma salive. A cet instant, la porte du logis s’ouvrait. Je ne bougeais pas d’un iota, je tendais seulement l’oreille :
- Bonjour les garçons… Comment ça va ce matin ?

Je reconnaissais immédiatement la voix de Madame Marie… Elle semblait aimable, ce qui ne présageait rien de bon. Mais je me doutais fort bien qu’avec ses amis Dominants, elle avait un tout autre ton qu’avec les dominés comme moi ! Markus et Rémy s’étaient immédiatement redressés et étaient allés à la rencontre de cette satanée cuisinière, moi je restais là, nu, immobile à quatre pattes, sans aucun doute, soucieux du sort que me réservait cette perverse et ignoble femme.

- Je fais la tournée des popottes !, lançait-elle à la cantonade avec un sourire des plus vicieux.
- Monsieur le Marquis nous avait prévenu de votre visite Madame Marie, lui répondait Markus- Sans doute vous a-t-il dit les raisons de ma venue ?
- Oui nous le savons.
- J’adore ces journées comme celle d’aujourd’hui… Ca me sort un peu de mes cuisines… Hummm ! Comme c’est bon de s’occuper de ces chiennes, de ces putains de bâtards… Ces journées de toilettage m’exciteront décidément toujours, mon sexe en ruisselle déjà, j’en suis trempée d’avance, rajoutait-elle sur un ton devenant de plus en plus sadique sur ce qu’elle présageait, tout en me regardant avec mépris !

Madame Marie s’approchait de moi, de mon visage, soulevait sa jupe ample, écartait les cuisses. La cuisinière ne portait aucun sous-vêtement, son sexe rasé à la perfection luisait près de mon visage, visiblement très excité par mon humiliation.

- Viens renifler, la chienne, sale putain que tu es, je veux entendre tes reniflements, viens mettre ta truffe au plus près de ma vulve, sans pour autant la toucher, aller maintenant !…
Je ne bougeais pas durant quelques secondes, non pas que j’hésitais, mais juste le temps de porter mon regard sur son bas-ventre et de viser le bon endroit pour y approcher mon visage. Mais quelques secondes, avec cette sadique femme, c’est déjà trop de temps, alors une fulgurante paire de gifles fusait sur mes joues, sans même d’avoir le temps de réagir. J’en étais déstabilisé à presque en être renversé, je repris au plus vite la position pré-gifles, sans broncher.

- Alors, c’est pour aujourd’hui ou pour demain, la putain, j’ai dit maintenant !, dit-elle en attrapant une cravache à portée de sa main
Je m’approchais donc au plus vite et j’aspirais alors bruyamment par le nez, je flairais, humais comme un animal aurait pu le faire, tandis que Markus et Rémy, bras croisés me regardaient, me toisaient, m’épiaient même, cherchant peut-être une faiblesse de ma part pour me corriger ou me sanctionner sévèrement. Hélas pour eux, je m’appliquais allant même jusqu’à tortiller du cul, comme ça... sans raison, je balançais mes hanches de bas en haut, de droite à gauche, faisais rouler mon bassin d’une manière irraisonnée, machinalement, instinctivement, comme par habitude devant un sexe… qu’il soit masculin ou féminin ! La cuisinière passait lentement un doigt le long de ses lèvres intimes, y récoltant la sève avant de se pencher vers moi, et de déposer ce doigt sur ma bouche, tout en me fixant dans les yeux. Je n’avais aucun doute sur ce qu’elle attendait de moi. J’ouvrais les lèvres, et suçais ses fluides, laissant son regard sévère me pénétrer jusqu’à l’âme tandis que sa mouille me coulait dans la gorge.

- A quand même, tu en as mis du temps, sale pute, maintenant allonge-toi sur le dos, m’ordonnait-elle en ôtant son doigt de ma bouche.

Sitôt allongé, Madame Marie m’enjambait et s’accroupissait au-dessus de mon visage. Son sexe était à présent à quelques centimètres à peine de mes lèvres, je discernais son ouverture, ses lèvres rougeâtres et luisantes, son clitoris bandé. Elle s’abaissait peu à peu jusqu’à m’effleurer la bouche. Je devançais ses ordres, tirais la langue pour gouter à ce sexe, mais une violente gifle de sa cravache sur ma nouille et mes couilles m’arrachait un hurlement.

- Non ! hurlait-elle. Toi, tu n’es qu’une sale chienne, me brouter se mérite…
Je me demandais alors pourquoi elle s’était accroupie au-dessus de mon visage, si ça n’était pas pour que je lèche. La réponse ne se faisait pas attendre, elle positionnait deux doigts autour de ses lèvres intimes, pressait pour bien les écarter, puis son urine tiède tombait en un long jet sur ma langue et dans ma bouche, dégoulinant jusqu’au fond de ma gorge. J’ouvrais grand la bouche pour récupérer tout ce liquide salé, goûter jusqu’à la dernière éclaboussure de sa pisse. L’humiliation avait un goût fort et amer, quelque chose de bouleversant qui faisait battre mon cœur et me remuait les tripes. Durant les longues secondes où cette perverse cuisinière me pissait dans la bouche, j’étais comme en transe, je voyais mon passé et mon avenir comme deux parts d’une même logique, une trajectoire menant impitoyablement vers l’humiliation et l’esclavage. A chaque jour qui passait, avec ces quotidiens entrainements, je glissais logiquement et de plus en plus vite vers la résignation, et l’addiction à la déprave. Durant que la sadique cuisinière pissait, de sa main perverse, elle me cravachait des couilles par des petits tapotements me provoquant une douleur à la limite du supportable. Je comprenais qu’elle ménageait l’intensité des coups sur mes burnes afin que je ne bouge pas ma bouche de douleurs par exemple afin de bien avaler son urine... Madame Marie finissant de pisser se redressait pour libérer mon visage, elle se retournait et me dévisageait, son regard méchant m’hypnotisait, m’enfonçant plus profond encore dans cette spirale d’excitation et d’angoisse qui me poussait vers la déchéance. Son vicieux rictus lubrique et libidineux me faisait penser qu’elle n’en avait pas terminé avec moi.

- J’ai un petit cadeau de la part du Maître, dédié pour toi seulement, juste pour te récompenser et t’encourager !... A genoux, la salope..., m’exigeait la Cuisinière.

Je la voyais s’éloigner quelque peu, puis plonger sa main dans un panier souple, comme un sac à provision. Elle en sortait une bouteille en verre, dans laquelle il y avait un liquide blanchâtre…
- Ce matin au Château, il y a eu la traite des bâtards mâles, certains d’entre eux n’avaient pas giclé depuis des jours et des jours… Normal, ils ont eu ce qu’ils méritaient, ces sales bâtards ! (elle souriait encore sadiquement). Mais Monsieur le Marquis dans Sa grande bonté a décidé que ce matin, se serait la vidange des burnes pour tous Ses chiens…Alors on leur a bien vidé leurs burnes, on leur a même asséché les couilles, certains ont giclés tant et plus… et regarde le résultat salope… presque le quart d’une bouteille de foutre… rien que pour toi…. Je vais te gaver comme une oie, rajoutait-elle sur un ton d’une excessive perversité…
Madame Marie débouchait la bouteille, posait le goulot de celle-ci sur mes lèvres entrouvertes.

- Si tu en fais tomber seulement une goutte, je t’assure que tu n’auras plus de couilles avant que je ne reparte…, dit-elle, en levant sa cravache en l’air comme pour me menacer qu’elle n’hésiterait pas à me les frapper fort et sans ménagement, cette fois…
(A suivre…)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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