La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1643)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1643)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1642) -
- Si tu en fais tomber seulement une goutte, je t’assure que tu n’auras plus de couilles avant que je ne reparte…, dit-elle, en levant sa cravache en l’air comme pour me menacer qu’elle n’hésiterait pas à me les frapper fort et sans ménagement, cette fois…
Apeuré par cette sadique femme capable de tout, j’avalais doucement, déglutissant lentement pour ne pas m’étrangler et m’étouffer… C’était immonde et répugnant, jamais je n’avais avalé du foutre froid, sans plus grande consistance, sans grande saveur, n’ayant plus sa texture visqueuse. Jamais je n’avais bu une aussi grande quantité de sperme, sans savoir à qui appartenaient ces semences. Jamais je n’avais pris en bouche du jus de mâle autrement qu’après avoir titillé le bout d’une queue ! Madame Marie rabaissait la bouteille me laissant avaler une énième gorgée…
- Tu aimes ça, la chienne… une vraie sale catin que tu es… J’espère que parmi tous ces foutres amalgamés et assemblés, tu en reconnais au moins un ?
Où voulait-elle en venir ? Que voulait-elle me faire dire ? Je baissais la tête mais la cuisinière me la redressait aussitôt après avoir empoigné ma chevelure. Ses yeux diaboliques, son sourire malsain me faisait craindre le pire…
- Tu ne reconnais pas celui de ce bâtard d’esclav’antoine ? Pourtant il a giclé comme un gros porc en rut, lorsqu’il a su que c’était pour toi, il t’a mis une bonne dose, rien que pour toi, la pute…
Madame Marie me remettait la bouteille en bouche, la soulevait. Je buvais encore, jusqu’à l’écœurement !
- Avale, sale truie… et sans manière, tout le monde sait ici que tu n’es qu’une buveuse de foutre, qu’une videuse de couilles…
Heureusement la bouteille se tarissait… mais les humiliations continuaient. La cuisinière me tenait par les cheveux, me secouait la tête en me disant que cette bouteille contenait au moins vingt-cinq éjaculations différentes. Elle me disait que la plupart des mâles traient l’avaient été à deux ou trois reprises… sauf un, un seul n’avait eu droit à gicler qu’une seule fois… une nouvelle petite pute, une salope toute fraiche, venant d’arriver au Château, un nouveau bâtard mâle effarouché et à dresser avec force, baptisé esclave Katia par le Maître… Elle en restait là, relâchait mes cheveux et ordonnait à Markus et Rémy de m’installer coucher à plat dos sur la table :
- Non… la tête de cette pute ne doit pas reposer sur la table, mais doit rester dans le vide… Otez-lui sa cage de chasteté et tenez-lui les jambes relevées et écartées, dictait-elle à Markus et Rémy
On m’écartait les fesses, j’offrais ma rondelle au regard de cette sadique bonne femme. Madame Marie s’intéressait à ma raie anale. Son doigt effleurait mon sillon, dans son autre main, elle agitait un flacon de mousse à raser. La cuisinière me badigeonnait le cul, peu après, avec précision et dextérité, elle me rasait, m’épongeait et constatait qu’il y avait encore quelques poils. Alors, avec une pince à épiler, elle arrachait ses derniers poils récalcitrants, un à un. Je sursautais et gémissais à chaque fois qu’elle en retirait un supplémentaire. Lorsqu’elle eut terminé, se fut au tour de mes couilles de subir les assauts, puis vint le moment où, elle s’acharnait sur mon pubis avec une habileté folle. Je cramponnais la table de mes deux mains, laissant parfois de longs gémissements s’échapper de ma bouche grande ouverte à chaque fois que cette pince à épiler extirpait un nouveau poil retiré sans ménagement comme pour mieux me faire souffrir. Madame Marie ne se laissait pas impressionnée par mes plaintes, ni par mes soubresauts. Au contraire, elle jubilait de mes cris et m’injuriait, me traitait de tous les noms d’oiseau à chaque fois que je bougeais et comme je n’avais de cesse de remuer, elle avait très rapidement trouvé une solution pour me faire tenir tranquille. Madame Marie venait d’empoigner mes couilles, les tenait fermement et les comprimait à chaque sursaut ou geignement, jusqu’à ce que je m’avoue vaincu. Malgré ces affres, sans en comprendre la raison, ma nouille durcissait et se raidissait. Elle s’érigeait plus encore lorsque la cuisinière me tondait les tempes et la nuque, laissant seulement une touffe sur le haut de mon crâne. Je ne devais plus ressembler à grand-chose avec une telle coupe de cheveux, mon image en prenait un sale coup !…
Je ne connaissais pas celui qui était arrivé… Un type d’une trentaine d’année, long et mince, la peau bronzée, le visage en lame de couteau, les yeux clairs et tranchants, cheveux rasés, une barbe de trois jours. Il se tenait légèrement courbé, était vêtu d’un bomber en cuir, d’un jean, d’une paire de rangers, style loubard ou petite racaille, les mains dans les poches, il me toisait avec un air méprisant, sans crier gare, subitement et sans un mot, il me crachait au visage. Une belle entrée en matière !... Apeuré, je tremblais, mes mains étaient moites alors qu’il dézippait la fermeture éclair de sa veste laissant paraitre son torse glabre. Il se caressait son entrejambe gonflé sous son jean, puis sans un mot empoignait à pleine main ma nouille toujours tendue et tirait dessus jusqu’à ce que je hurle. La sensation était étrange, à la fois terriblement douloureuse et hypnotique. La souffrance se mêlait au plaisir de me faire branler de la sorte. J’avais le sentiment d’être emporté dans une spirale d’autodestruction dans laquelle je me laissais emporter pour échapper à la douleur. Il jouait encore quelques minutes avec ma nouille, jusqu’à ce que celle-ci soit terriblement dure et à son goût. Puis il la giflait violemment du plat de sa main.
- Je vais te faire la totale, grosse salope, tu vas être sage et tu me laisseras faire tout ce que j’exige de toi !
Cet homme défaisait la braguette de son pantalon et prenait dans sa main son sexe lourd et circoncis, un sexe brun et épais parcouru par une veine très visible. Il se branlait au-dessus de mon visage, la tête en arrière à la renverse, me fixant sans ciller. Après quelques secondes, il se penchait en avant, pinçait les lèvres, et un filet de salive dégoulinait depuis sa bouche jusqu’à la mienne. Son crachat tombait sur mes propres lèvres, avant de couler sur mon visage.
- Ouvre !, ordonnait-il
J’ouvrais la bouche, et laissais sa salive couler à l’intérieur de moi, rejoindre ma langue et descendre dans ma gorge. Elle avait un goût de tabac froid, un goût d’humiliation et de déchéance, provoquant dans mon corps des frissons glacés de honte et d’extase. Ce jeune homme crachait de nouveau et cette fois-ci son mollard tombait directement dans ma gorge. Je fermais les paupières tant mon corps frissonnait, tant ma peau était brûlante, brûlante d’un plaisir honteux
- Ouvre ta gueule, j’ai dit, sale pute !, criait-il.
J’ouvrais alors plus encore la bouche, lui enfonçait son sexe bandé. Sa bite était tiède, elle avait un gout salé et autoritaire qui enivrait mes sens. Tête renversée, je faisais glisser ma langue autour de son membre bandé, je suçai le gland à grands bruits, j’écoutais mes gémissements de plaisir, je sentais des grosses mains, celles de Markus et de Rémy, relevées mes jambes et écartées mon trou. Je sentais un objet froid presser mon anus, puis d’autres mains plus affirmées, celles de Madame Marie, s’agripper à mes hanches. A cet instant, je sentais une poussée dans chacun de mes orifices : Une bite dans ma bouche, un gode ceinture dans mon cul. Le loubard et Madame Marie me pénétraient violemment sans concession. Ils me défonçaient l’un et l’autre. Mon corps tout entier était soumis à une tension intolérable, comme écrasé par une masse brûlante qui m’alanguissait les muscles et dans mon bassin, aux creux de mes reins des sensations inexplicables, à la fois douloureuses et jouissives. Madame Marie n’en finissait pas de me péter le cul tout en fessant allègrement le cul. C’était une saillie comme on en voyait dans les films, une saillie réservée aux porcs, aux chiens, quelque chose de violent et d’humiliant. Du côté opposé, le loubard s’enfonçait encore plus profondément, jusqu’à ce que ces couilles frappent mon front et sa bite se tende plus encore, allant heurter mon palais et ma glotte, jusqu’à ce qu’il crache six ou sept longs jets de sperme tiède au fond de ma gorge, avant qu’il ne relâche son emprise.
Mon corps entier se tordait de crampes de bonheur, ce gland factice embrasait ma prostate. L’orgasme me parcourait de la tête aux pieds. Ma nouille se tendait encore sous la douleur et/ou le plaisir, gonflée à n’en plus pouvoir. Il fallait que je me termine… j’essayais de saisir ma nouille, mais une main, celle de Markus m’en empêchait, une autre me claquait le visage à deux reprises.
- Jouis du cul, salope, uniquement du cul, c’est la seule jouissance que nous t’autorisons, sale bâtard !, m’intimait Madame Marie !
Mais celle-ci se retirait d’un coup d’un seul, laissant mon cul béant, laissant mon être dans la frustration la plus totale.
- Il faut lui travailler le cul sans relâche Messieurs, comme je viens de le faire, ordre de Monsieur le Marquis… Cette salope va devoir prendre la queue de son mâle d’esclav’antoine dans peu de temps, et croyez-moi… ce ne sera pas une partie de plaisir pour cette chienne si elle n’est pas mieux dilatée…, fulminait Madame Marie à l’encontre de Markus et Rémy.
Pendant ce temps, le petit loubard m’écartait le cul de ses deux mains, examinait mon trou, un de ses doigts le pénétrait, il travaillait et étirait de tout côté ma rondelle.
- Sale bâtard, sale pute, à toi aussi de te laisser élargir, à toi de réclamer de la bite, des godes ou des plugs… ta chatte de bâtard doit céder, doit s’assouplir, doit pouvoir avaler des bites hors normes… et celle de ce bâtard d’esclav’antoine, va devenir hors norme. Je m’y emploie, je lui travaille la queue tous les jours, plusieurs fois par jour, et crois-moi, elle s’allonge et s’épaissit ! Dans peu de temps sa pine ressemblera à celle d’un âne en rut. Alors tu ne viendras pas couiner lorsqu’il te la fourrera dans le cul, nous t’aurons prévenu…
(A suivre…)
- Si tu en fais tomber seulement une goutte, je t’assure que tu n’auras plus de couilles avant que je ne reparte…, dit-elle, en levant sa cravache en l’air comme pour me menacer qu’elle n’hésiterait pas à me les frapper fort et sans ménagement, cette fois…
Apeuré par cette sadique femme capable de tout, j’avalais doucement, déglutissant lentement pour ne pas m’étrangler et m’étouffer… C’était immonde et répugnant, jamais je n’avais avalé du foutre froid, sans plus grande consistance, sans grande saveur, n’ayant plus sa texture visqueuse. Jamais je n’avais bu une aussi grande quantité de sperme, sans savoir à qui appartenaient ces semences. Jamais je n’avais pris en bouche du jus de mâle autrement qu’après avoir titillé le bout d’une queue ! Madame Marie rabaissait la bouteille me laissant avaler une énième gorgée…
- Tu aimes ça, la chienne… une vraie sale catin que tu es… J’espère que parmi tous ces foutres amalgamés et assemblés, tu en reconnais au moins un ?
Où voulait-elle en venir ? Que voulait-elle me faire dire ? Je baissais la tête mais la cuisinière me la redressait aussitôt après avoir empoigné ma chevelure. Ses yeux diaboliques, son sourire malsain me faisait craindre le pire…
- Tu ne reconnais pas celui de ce bâtard d’esclav’antoine ? Pourtant il a giclé comme un gros porc en rut, lorsqu’il a su que c’était pour toi, il t’a mis une bonne dose, rien que pour toi, la pute…
Madame Marie me remettait la bouteille en bouche, la soulevait. Je buvais encore, jusqu’à l’écœurement !
- Avale, sale truie… et sans manière, tout le monde sait ici que tu n’es qu’une buveuse de foutre, qu’une videuse de couilles…
Heureusement la bouteille se tarissait… mais les humiliations continuaient. La cuisinière me tenait par les cheveux, me secouait la tête en me disant que cette bouteille contenait au moins vingt-cinq éjaculations différentes. Elle me disait que la plupart des mâles traient l’avaient été à deux ou trois reprises… sauf un, un seul n’avait eu droit à gicler qu’une seule fois… une nouvelle petite pute, une salope toute fraiche, venant d’arriver au Château, un nouveau bâtard mâle effarouché et à dresser avec force, baptisé esclave Katia par le Maître… Elle en restait là, relâchait mes cheveux et ordonnait à Markus et Rémy de m’installer coucher à plat dos sur la table :
- Non… la tête de cette pute ne doit pas reposer sur la table, mais doit rester dans le vide… Otez-lui sa cage de chasteté et tenez-lui les jambes relevées et écartées, dictait-elle à Markus et Rémy
On m’écartait les fesses, j’offrais ma rondelle au regard de cette sadique bonne femme. Madame Marie s’intéressait à ma raie anale. Son doigt effleurait mon sillon, dans son autre main, elle agitait un flacon de mousse à raser. La cuisinière me badigeonnait le cul, peu après, avec précision et dextérité, elle me rasait, m’épongeait et constatait qu’il y avait encore quelques poils. Alors, avec une pince à épiler, elle arrachait ses derniers poils récalcitrants, un à un. Je sursautais et gémissais à chaque fois qu’elle en retirait un supplémentaire. Lorsqu’elle eut terminé, se fut au tour de mes couilles de subir les assauts, puis vint le moment où, elle s’acharnait sur mon pubis avec une habileté folle. Je cramponnais la table de mes deux mains, laissant parfois de longs gémissements s’échapper de ma bouche grande ouverte à chaque fois que cette pince à épiler extirpait un nouveau poil retiré sans ménagement comme pour mieux me faire souffrir. Madame Marie ne se laissait pas impressionnée par mes plaintes, ni par mes soubresauts. Au contraire, elle jubilait de mes cris et m’injuriait, me traitait de tous les noms d’oiseau à chaque fois que je bougeais et comme je n’avais de cesse de remuer, elle avait très rapidement trouvé une solution pour me faire tenir tranquille. Madame Marie venait d’empoigner mes couilles, les tenait fermement et les comprimait à chaque sursaut ou geignement, jusqu’à ce que je m’avoue vaincu. Malgré ces affres, sans en comprendre la raison, ma nouille durcissait et se raidissait. Elle s’érigeait plus encore lorsque la cuisinière me tondait les tempes et la nuque, laissant seulement une touffe sur le haut de mon crâne. Je ne devais plus ressembler à grand-chose avec une telle coupe de cheveux, mon image en prenait un sale coup !…
Je ne connaissais pas celui qui était arrivé… Un type d’une trentaine d’année, long et mince, la peau bronzée, le visage en lame de couteau, les yeux clairs et tranchants, cheveux rasés, une barbe de trois jours. Il se tenait légèrement courbé, était vêtu d’un bomber en cuir, d’un jean, d’une paire de rangers, style loubard ou petite racaille, les mains dans les poches, il me toisait avec un air méprisant, sans crier gare, subitement et sans un mot, il me crachait au visage. Une belle entrée en matière !... Apeuré, je tremblais, mes mains étaient moites alors qu’il dézippait la fermeture éclair de sa veste laissant paraitre son torse glabre. Il se caressait son entrejambe gonflé sous son jean, puis sans un mot empoignait à pleine main ma nouille toujours tendue et tirait dessus jusqu’à ce que je hurle. La sensation était étrange, à la fois terriblement douloureuse et hypnotique. La souffrance se mêlait au plaisir de me faire branler de la sorte. J’avais le sentiment d’être emporté dans une spirale d’autodestruction dans laquelle je me laissais emporter pour échapper à la douleur. Il jouait encore quelques minutes avec ma nouille, jusqu’à ce que celle-ci soit terriblement dure et à son goût. Puis il la giflait violemment du plat de sa main.
- Je vais te faire la totale, grosse salope, tu vas être sage et tu me laisseras faire tout ce que j’exige de toi !
Cet homme défaisait la braguette de son pantalon et prenait dans sa main son sexe lourd et circoncis, un sexe brun et épais parcouru par une veine très visible. Il se branlait au-dessus de mon visage, la tête en arrière à la renverse, me fixant sans ciller. Après quelques secondes, il se penchait en avant, pinçait les lèvres, et un filet de salive dégoulinait depuis sa bouche jusqu’à la mienne. Son crachat tombait sur mes propres lèvres, avant de couler sur mon visage.
- Ouvre !, ordonnait-il
J’ouvrais la bouche, et laissais sa salive couler à l’intérieur de moi, rejoindre ma langue et descendre dans ma gorge. Elle avait un goût de tabac froid, un goût d’humiliation et de déchéance, provoquant dans mon corps des frissons glacés de honte et d’extase. Ce jeune homme crachait de nouveau et cette fois-ci son mollard tombait directement dans ma gorge. Je fermais les paupières tant mon corps frissonnait, tant ma peau était brûlante, brûlante d’un plaisir honteux
- Ouvre ta gueule, j’ai dit, sale pute !, criait-il.
J’ouvrais alors plus encore la bouche, lui enfonçait son sexe bandé. Sa bite était tiède, elle avait un gout salé et autoritaire qui enivrait mes sens. Tête renversée, je faisais glisser ma langue autour de son membre bandé, je suçai le gland à grands bruits, j’écoutais mes gémissements de plaisir, je sentais des grosses mains, celles de Markus et de Rémy, relevées mes jambes et écartées mon trou. Je sentais un objet froid presser mon anus, puis d’autres mains plus affirmées, celles de Madame Marie, s’agripper à mes hanches. A cet instant, je sentais une poussée dans chacun de mes orifices : Une bite dans ma bouche, un gode ceinture dans mon cul. Le loubard et Madame Marie me pénétraient violemment sans concession. Ils me défonçaient l’un et l’autre. Mon corps tout entier était soumis à une tension intolérable, comme écrasé par une masse brûlante qui m’alanguissait les muscles et dans mon bassin, aux creux de mes reins des sensations inexplicables, à la fois douloureuses et jouissives. Madame Marie n’en finissait pas de me péter le cul tout en fessant allègrement le cul. C’était une saillie comme on en voyait dans les films, une saillie réservée aux porcs, aux chiens, quelque chose de violent et d’humiliant. Du côté opposé, le loubard s’enfonçait encore plus profondément, jusqu’à ce que ces couilles frappent mon front et sa bite se tende plus encore, allant heurter mon palais et ma glotte, jusqu’à ce qu’il crache six ou sept longs jets de sperme tiède au fond de ma gorge, avant qu’il ne relâche son emprise.
Mon corps entier se tordait de crampes de bonheur, ce gland factice embrasait ma prostate. L’orgasme me parcourait de la tête aux pieds. Ma nouille se tendait encore sous la douleur et/ou le plaisir, gonflée à n’en plus pouvoir. Il fallait que je me termine… j’essayais de saisir ma nouille, mais une main, celle de Markus m’en empêchait, une autre me claquait le visage à deux reprises.
- Jouis du cul, salope, uniquement du cul, c’est la seule jouissance que nous t’autorisons, sale bâtard !, m’intimait Madame Marie !
Mais celle-ci se retirait d’un coup d’un seul, laissant mon cul béant, laissant mon être dans la frustration la plus totale.
- Il faut lui travailler le cul sans relâche Messieurs, comme je viens de le faire, ordre de Monsieur le Marquis… Cette salope va devoir prendre la queue de son mâle d’esclav’antoine dans peu de temps, et croyez-moi… ce ne sera pas une partie de plaisir pour cette chienne si elle n’est pas mieux dilatée…, fulminait Madame Marie à l’encontre de Markus et Rémy.
Pendant ce temps, le petit loubard m’écartait le cul de ses deux mains, examinait mon trou, un de ses doigts le pénétrait, il travaillait et étirait de tout côté ma rondelle.
- Sale bâtard, sale pute, à toi aussi de te laisser élargir, à toi de réclamer de la bite, des godes ou des plugs… ta chatte de bâtard doit céder, doit s’assouplir, doit pouvoir avaler des bites hors normes… et celle de ce bâtard d’esclav’antoine, va devenir hors norme. Je m’y emploie, je lui travaille la queue tous les jours, plusieurs fois par jour, et crois-moi, elle s’allonge et s’épaissit ! Dans peu de temps sa pine ressemblera à celle d’un âne en rut. Alors tu ne viendras pas couiner lorsqu’il te la fourrera dans le cul, nous t’aurons prévenu…
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