La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1644)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1644)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1641) –
Ensuite Monsieur Walter me met une laisse, me tire et me dit :
- Aller le chien, suis-moi...
Le Majordome me traine à travers les couloirs et je dois le suivre nu et à quatre pattes. Je croise des soumises et des soumis en train de récurer les parquets et qui ne me regardent même pas. Visiblement pour eux, comme pour tous ceux qui vivent dans ce monde de la Domination/soumission, être nu, en quadrupédie et mené en laisse est d’une banalité évidente. Il va donc falloir que je m’y habitue aussi afin que cela devienne, pour moi également une normalité quotidienne... Les mots du Maitre résonnent encore dans ma tête... Homo... Maso... Moi homo ? Maso ? Je ne sais plus, je n'arrive plus à penser…Suis-je vraiment maso et homo ? Non je ne pense pas, et pourtant pourquoi ce profond plaisir en étant battu et en suçant des bites, pourquoi ce besoin de me faire enculer pour me sentir possédé physiquement ?... Je suis toujours ce Walter qui tire sur ma laisse, ça me fait mal et je dois accélérer, moi qui n'a pas l'habitude de me déplacer ainsi. On traverse encore des couloirs, on descend un étage et le Majordome me fait entrer dans de vastes cuisines entièrement carrelées où trônent d’immenses plans de travail en inox et très équipés de volumineux éviers, de hôtes d’évacuation de buée, de lave-vaisselles, de longs placards, etc… Il y a de quoi préparer à manger pour tout un régiment ! Oh et comme ça sent bon.... Humm, quel parfum, alors ça me met en appétit et tout à coup mon ventre crie famine. Je me demande quelle heure est-il ? J'ai perdu la notion du temps depuis mon arrivée ce matin à 10h30. En fait, je vois une haute horloge et je réalise qu'il est déjà 13h30. J'ai faim, j'ai trop faim. Le Majordome me fait stopper et mettre à genoux :
- Tu restes là et tu attends, sale chien.
- J'ai faim, s’il vous plait, je vous en prie !
J'ai osé lui demander ! Et là je ne l'ai pas vu arriver derrière moi, on me tire les cheveux pour me faire relever la tête en arrière et je me prends une magistrale gifle venant de derrière par le dessus et qui me couche sur le côté.
- Quoi ? Qu'est-ce qu’il réclame celui-là ?... espèce de vermine, à peine arrivé, il a déjà la fringale, ce bâtard ! … Tu veux bouffer ? T’as faim ? Alors, tu boufferas assez vite ma chatte, espèce de chien, mais pour ça faudra le mériter…
Je relève un peu la tête pour voir qui m’a frappé et qui me parle ainsi d’un ton si sévère et sans concession. Je vois alors une grande femme assez corpulente qui en impose au premier coup d’œil et que je ne connais pas : La quarantaine passée, des cheveux noirs et courts, assez bien en chair dans sa tenue stricte, sans maquillage, ni bijoux. Une généreuse poitrine que l’on devine sous un chemisier noir accompagnée d’une jupe en sky, assortie de bas résilles…. Elle parait visiblement rustre et sévère, un visage impassible avec des yeux ronds et marrons au regard hautain qui transpirent un sentiment de supériorité, de Domination affichée, de perversité décomplexée. Elle donne même l’impression d’être sadique tellement son visage est froid et fermé, qui ne laisse entrevoir aucun sentiment. Une voix forte, autoritaire, sèche, on sent de suite qu’elle n’est pas du genre à rigoler, l’humour ne doit pas être sa tasse de thé et son autorité naturelle impressionne grandement au premier coup d’œil. Et puis elle m'a démontée la tête. Je me suis remis à genoux. J'ai trop mal.
- Monsieur était habitué à être servi, à manger dans les grands restaurants... espèce de salope. Tu mangeras quand on te le dira et si on veut, le chien.
Très impressionné par cette femme visiblement perverse et méchante, j’en ai véritablement peur et je baisse alors la tête et j'entends Monsieur Walter lui expliquer mon arrivé et ce que j'ai signé dans le bureau du Maitre ainsi que mon nouveau nom de soumis.
- esclave Katia ! Joli nom pour une putain de son espèce… Alors ça fera une salope de plus à nourrir, comme si je n’avais que ça à faire !, réplique-t-elle…- esclave Katia, je te présente Marie, notre brillante cuisinière. Tu dois l’appeler Madame Marie. Je te préviens, tu as intérêt à te tenir à carreau quand tu es avec elle, ça vaudra mieux pour toi…, me dit ensuite Monsieur Walter
Le Majordome et Madame Marie se mettent à rire et une esclave entièrement nue, une belle et jeune femme vêtue seulement d'un collier dresse la table pour eux deux et apporte le repas ... Je sens encore cette bonne odeur de cuisine et je tourne doucement le regard.... Oh une magnifique daube provençale, à base de ragoût de viande de sanglier avec un large assortiment de légumes.... Ils vont se régaler c’est clair... Monsieur Walter claque des doigts et la jeune esclave soumise obéit tout de suite et dans un silence absolu en passant sous la table pour venir ouvrir la braguette du Majordome et le prendre en bouche, alors que ce dernier se délecte du mets si bien préparé par la cuisinière.
- Humm, Marie, ta daube provençale est un pur régal, vraiment succulent !
- Merci mon cher Walter, tu sais, ça c’était déjà une de mes spécialités quand j’apprenais la cuisine dans une des plus grandes écoles de France, il y a déjà quelques années de cela, j’avais 18 ans !
En effet, ils se régalent visiblement et moi je suis là à genoux le ventre creux. Ils mangent, ils parlent en se faisant lécher le sexe par-dessous la table, l’esclave femelle allant de l’un à l’autre… Je suis là et j'ai faim. Mais comment exprimer ce sentiment, comment dire ce que je ressens. Je suis à ma place, je pense au Maitre et je désire tellement être à nouveau à Ses Pieds. Jamais je n'ai ressenti un désir aussi fort. J’envie même cette esclave femelle, me voyant sous la table à sa place !
Monsieur Walter tout d’un coup se contracte légèrement et se met à émettre sans retenue des râles de jouissance alors qu’il éjacule dans la bouche de la femelle qui ensuite nettoie du mieux possible avec sa langue agile la verge à demi-molle du Majordome, puis rentre ce sexe devenu mou et referme la braguette. Ensuite l’homme se lève enfin. C'est 14h20. J'ai les jambes et le dos lessivés, je suis épuisé et une faim de loup me tiraille l’estomac. Il tire de nouveau sur la laisse pour repartir et arrivé devant l’encadrement de la double-porte, je sens par derrière moi un violent coup sur mes fesses qui me surprend et me fait sortir un cri de douleur subite. Le temps de tourner la tête et je vois la sadique cuisinière levant le bras avec une impressionnante cravache en main :
- Ca c’est pour te rappeler à mon bon souvenir, espèce de bâtard. Un de ses quatre, tu seras devant mes pieds et je te promets de te dresser comme il se doit, espèce de larve insignifiante, me dit Madame Marie avec un ton des plus méprisants…
Puis le Majordome lui sourit d’un air complice et tire de nouveau sur ma laisse et nous quittons les cuisines…Je ne suis plus un homme, tout cela est bien fini, je ne suis qu’un chien battu et que l’on va dresser. Arrivés tout au fond d’un long couloir, une haute porte vernie s’ouvre et on se retrouve à l’extérieur dans ce vaste parc magnifique mais celui qui donne derrière l’ancestrale Bâtisse… Monsieur Walter m'emmène sous un hangar ouvert où est garé un 4x4 avec un plateau à l’arrière qui ressemble plus à une bétaillère couverte. Il soulève une épaisse bâche.
- Va y, vermine, monte et tais-toi, je ne veux pas t’entendre japper !
Décidément il me prend vraiment pour un chien, ce que je me sens de plus en plus, et le pire (ou le meilleur) c’est que ça me fait terriblement bander ! Je me retrouve alors sur de la paille à même le plancher, enfermé dans cette bétaillère. Le Majordome démarre et on s'en va.... Mais où ? On ne roule pas très longtemps, environ quinze minutes dans des chemins de traverse d’après les cahots de la voiture qui s'arrête après ce trajet dans la campagne beaujolaise. J’entends qu’un portail électrique s'ouvre et le véhicule redémarre et entre dans une cour. Le 4x4 stoppe à nouveau... Je ne vois rien, je ne sais pas du tout où je me trouve. J’'entends Monsieur Walter saluer quelqu'un, ils parlent au moins cinq minutes mais assez loin pour que je ne puisse comprendre ce qu’ils se racontent… Puis on se rapproche et enfin on soulève la bâche.
- Descend, le chien ! m’ordonne le Majordome
Je descends et je me retrouve à quatre pattes sur de la terre battue. Et là je suis figé, je vois ma voiture, ma BMW. Je suis chez cet homme bizarre et mal poli de ce matin où j’avais laissé mon véhicule. Nous avons donc rejoint le village, certainement par des chemins en guise de coursière
- Voilà le chien, Marcel. Monsieur le Marquis veut un soin complet.
- Bien, y a pas de soucis. J'en ai pour une petite heure.
- Pas de souci, j’ai tout mon temps, en attendant, je vais saluer ta femme, vas-y occupe-toi de ce sale bâtard.
- Oui et fait toi payer le café et la gnole ! … (puis s’adressant à moi : ) … Toi, viens avec moi, le chien.
Je suis alors cet homme en regardant encore ma voiture.... C'est déjà pour moi un vestige de mon ancienne vie. J'entre dans une pièce mal rangée et pas très propre, à l'image de son propriétaire d'ailleurs ! Ce Marcel me fait monter sur une large et longue table.
- A quatre pattes et tu ne bouges plus, le chien, me dit-il en me donnant une petite tape sur la tête comme à un bon toutou...
(A suivre …)
Ensuite Monsieur Walter me met une laisse, me tire et me dit :
- Aller le chien, suis-moi...
Le Majordome me traine à travers les couloirs et je dois le suivre nu et à quatre pattes. Je croise des soumises et des soumis en train de récurer les parquets et qui ne me regardent même pas. Visiblement pour eux, comme pour tous ceux qui vivent dans ce monde de la Domination/soumission, être nu, en quadrupédie et mené en laisse est d’une banalité évidente. Il va donc falloir que je m’y habitue aussi afin que cela devienne, pour moi également une normalité quotidienne... Les mots du Maitre résonnent encore dans ma tête... Homo... Maso... Moi homo ? Maso ? Je ne sais plus, je n'arrive plus à penser…Suis-je vraiment maso et homo ? Non je ne pense pas, et pourtant pourquoi ce profond plaisir en étant battu et en suçant des bites, pourquoi ce besoin de me faire enculer pour me sentir possédé physiquement ?... Je suis toujours ce Walter qui tire sur ma laisse, ça me fait mal et je dois accélérer, moi qui n'a pas l'habitude de me déplacer ainsi. On traverse encore des couloirs, on descend un étage et le Majordome me fait entrer dans de vastes cuisines entièrement carrelées où trônent d’immenses plans de travail en inox et très équipés de volumineux éviers, de hôtes d’évacuation de buée, de lave-vaisselles, de longs placards, etc… Il y a de quoi préparer à manger pour tout un régiment ! Oh et comme ça sent bon.... Humm, quel parfum, alors ça me met en appétit et tout à coup mon ventre crie famine. Je me demande quelle heure est-il ? J'ai perdu la notion du temps depuis mon arrivée ce matin à 10h30. En fait, je vois une haute horloge et je réalise qu'il est déjà 13h30. J'ai faim, j'ai trop faim. Le Majordome me fait stopper et mettre à genoux :
- Tu restes là et tu attends, sale chien.
- J'ai faim, s’il vous plait, je vous en prie !
J'ai osé lui demander ! Et là je ne l'ai pas vu arriver derrière moi, on me tire les cheveux pour me faire relever la tête en arrière et je me prends une magistrale gifle venant de derrière par le dessus et qui me couche sur le côté.
- Quoi ? Qu'est-ce qu’il réclame celui-là ?... espèce de vermine, à peine arrivé, il a déjà la fringale, ce bâtard ! … Tu veux bouffer ? T’as faim ? Alors, tu boufferas assez vite ma chatte, espèce de chien, mais pour ça faudra le mériter…
Je relève un peu la tête pour voir qui m’a frappé et qui me parle ainsi d’un ton si sévère et sans concession. Je vois alors une grande femme assez corpulente qui en impose au premier coup d’œil et que je ne connais pas : La quarantaine passée, des cheveux noirs et courts, assez bien en chair dans sa tenue stricte, sans maquillage, ni bijoux. Une généreuse poitrine que l’on devine sous un chemisier noir accompagnée d’une jupe en sky, assortie de bas résilles…. Elle parait visiblement rustre et sévère, un visage impassible avec des yeux ronds et marrons au regard hautain qui transpirent un sentiment de supériorité, de Domination affichée, de perversité décomplexée. Elle donne même l’impression d’être sadique tellement son visage est froid et fermé, qui ne laisse entrevoir aucun sentiment. Une voix forte, autoritaire, sèche, on sent de suite qu’elle n’est pas du genre à rigoler, l’humour ne doit pas être sa tasse de thé et son autorité naturelle impressionne grandement au premier coup d’œil. Et puis elle m'a démontée la tête. Je me suis remis à genoux. J'ai trop mal.
- Monsieur était habitué à être servi, à manger dans les grands restaurants... espèce de salope. Tu mangeras quand on te le dira et si on veut, le chien.
Très impressionné par cette femme visiblement perverse et méchante, j’en ai véritablement peur et je baisse alors la tête et j'entends Monsieur Walter lui expliquer mon arrivé et ce que j'ai signé dans le bureau du Maitre ainsi que mon nouveau nom de soumis.
- esclave Katia ! Joli nom pour une putain de son espèce… Alors ça fera une salope de plus à nourrir, comme si je n’avais que ça à faire !, réplique-t-elle…- esclave Katia, je te présente Marie, notre brillante cuisinière. Tu dois l’appeler Madame Marie. Je te préviens, tu as intérêt à te tenir à carreau quand tu es avec elle, ça vaudra mieux pour toi…, me dit ensuite Monsieur Walter
Le Majordome et Madame Marie se mettent à rire et une esclave entièrement nue, une belle et jeune femme vêtue seulement d'un collier dresse la table pour eux deux et apporte le repas ... Je sens encore cette bonne odeur de cuisine et je tourne doucement le regard.... Oh une magnifique daube provençale, à base de ragoût de viande de sanglier avec un large assortiment de légumes.... Ils vont se régaler c’est clair... Monsieur Walter claque des doigts et la jeune esclave soumise obéit tout de suite et dans un silence absolu en passant sous la table pour venir ouvrir la braguette du Majordome et le prendre en bouche, alors que ce dernier se délecte du mets si bien préparé par la cuisinière.
- Humm, Marie, ta daube provençale est un pur régal, vraiment succulent !
- Merci mon cher Walter, tu sais, ça c’était déjà une de mes spécialités quand j’apprenais la cuisine dans une des plus grandes écoles de France, il y a déjà quelques années de cela, j’avais 18 ans !
En effet, ils se régalent visiblement et moi je suis là à genoux le ventre creux. Ils mangent, ils parlent en se faisant lécher le sexe par-dessous la table, l’esclave femelle allant de l’un à l’autre… Je suis là et j'ai faim. Mais comment exprimer ce sentiment, comment dire ce que je ressens. Je suis à ma place, je pense au Maitre et je désire tellement être à nouveau à Ses Pieds. Jamais je n'ai ressenti un désir aussi fort. J’envie même cette esclave femelle, me voyant sous la table à sa place !
Monsieur Walter tout d’un coup se contracte légèrement et se met à émettre sans retenue des râles de jouissance alors qu’il éjacule dans la bouche de la femelle qui ensuite nettoie du mieux possible avec sa langue agile la verge à demi-molle du Majordome, puis rentre ce sexe devenu mou et referme la braguette. Ensuite l’homme se lève enfin. C'est 14h20. J'ai les jambes et le dos lessivés, je suis épuisé et une faim de loup me tiraille l’estomac. Il tire de nouveau sur la laisse pour repartir et arrivé devant l’encadrement de la double-porte, je sens par derrière moi un violent coup sur mes fesses qui me surprend et me fait sortir un cri de douleur subite. Le temps de tourner la tête et je vois la sadique cuisinière levant le bras avec une impressionnante cravache en main :
- Ca c’est pour te rappeler à mon bon souvenir, espèce de bâtard. Un de ses quatre, tu seras devant mes pieds et je te promets de te dresser comme il se doit, espèce de larve insignifiante, me dit Madame Marie avec un ton des plus méprisants…
Puis le Majordome lui sourit d’un air complice et tire de nouveau sur ma laisse et nous quittons les cuisines…Je ne suis plus un homme, tout cela est bien fini, je ne suis qu’un chien battu et que l’on va dresser. Arrivés tout au fond d’un long couloir, une haute porte vernie s’ouvre et on se retrouve à l’extérieur dans ce vaste parc magnifique mais celui qui donne derrière l’ancestrale Bâtisse… Monsieur Walter m'emmène sous un hangar ouvert où est garé un 4x4 avec un plateau à l’arrière qui ressemble plus à une bétaillère couverte. Il soulève une épaisse bâche.
- Va y, vermine, monte et tais-toi, je ne veux pas t’entendre japper !
Décidément il me prend vraiment pour un chien, ce que je me sens de plus en plus, et le pire (ou le meilleur) c’est que ça me fait terriblement bander ! Je me retrouve alors sur de la paille à même le plancher, enfermé dans cette bétaillère. Le Majordome démarre et on s'en va.... Mais où ? On ne roule pas très longtemps, environ quinze minutes dans des chemins de traverse d’après les cahots de la voiture qui s'arrête après ce trajet dans la campagne beaujolaise. J’entends qu’un portail électrique s'ouvre et le véhicule redémarre et entre dans une cour. Le 4x4 stoppe à nouveau... Je ne vois rien, je ne sais pas du tout où je me trouve. J’'entends Monsieur Walter saluer quelqu'un, ils parlent au moins cinq minutes mais assez loin pour que je ne puisse comprendre ce qu’ils se racontent… Puis on se rapproche et enfin on soulève la bâche.
- Descend, le chien ! m’ordonne le Majordome
Je descends et je me retrouve à quatre pattes sur de la terre battue. Et là je suis figé, je vois ma voiture, ma BMW. Je suis chez cet homme bizarre et mal poli de ce matin où j’avais laissé mon véhicule. Nous avons donc rejoint le village, certainement par des chemins en guise de coursière
- Voilà le chien, Marcel. Monsieur le Marquis veut un soin complet.
- Bien, y a pas de soucis. J'en ai pour une petite heure.
- Pas de souci, j’ai tout mon temps, en attendant, je vais saluer ta femme, vas-y occupe-toi de ce sale bâtard.
- Oui et fait toi payer le café et la gnole ! … (puis s’adressant à moi : ) … Toi, viens avec moi, le chien.
Je suis alors cet homme en regardant encore ma voiture.... C'est déjà pour moi un vestige de mon ancienne vie. J'entre dans une pièce mal rangée et pas très propre, à l'image de son propriétaire d'ailleurs ! Ce Marcel me fait monter sur une large et longue table.
- A quatre pattes et tu ne bouges plus, le chien, me dit-il en me donnant une petite tape sur la tête comme à un bon toutou...
(A suivre …)
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