La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1647)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1647)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1646) -
Chapitre 44 bis : Ejaculation et copulation contrôlées -
- Tu attends quoi pour M’obéir, espèce de salope !, reprenait le Châtelain...
L’esclave en question chouinait, grimaçait lorsque la cravache une nouvelle fois claquait à plusieurs reprises son cul endolori
- Lèche, espèce de catin que tu es… Apprends à aimer le foutre, apprends à te conduire comme une salope obéissante et servile, apprends à obéir vite et bien, instantanément, quel que soit l’ordre reçu. Je le veux, tu entends, Je le veux !... Parce que toi aussi tu le souhaites, toi aussi tu espères devenir une chienne, comme l’est esclav’alex ici présent devant Moi… Je te le rappelle salope, c’est toi qui est revenu au Château me supplier de te soumettre. Alors aujourd’hui tu n’as plus le choix ! J’exige et tu obéis…
Un énième coup s’abattait sur ses fesses cambrées, sa bouche se plaquait sur mon abdomen, sa langue cueillait le fruit de mon orgasme foudroyant... Il léchait et avalait difficilement, peut-être dégouté, écœuré, comme s’il semblait ne pas avoir l’habitude d’un tel traitement.
- Là, plus haut, sur le téton !, lui montrait le Maitre, avec le bout de sa cravache frappant ma poitrine.
Cette fois esclave Katia n’hésitait plus, il se précipitait, sa langue titillait mon mamelon. Sous ses caresses, mon téton se redressait, s’érigeait brutalement, je ne pouvais retenir un gémissement de plaisir. Pourtant au même instant, Markus retirait la sonde urétrale de ma nouille. Mon gémissement se transformait bien vite en geignement… Pourquoi ne m’autorisait-on plus le plaisir seul ? Pourquoi fallait-il qu’il y ait toujours plaisir et douleur au même moment, au même instant ? Peut-être pour développer, pour accentuer, pour accroitre mon masochisme profond et qu’il s’imprime définitivement dans mon esprit et dans ma libido comme un élément moteur, voire essentiel de ma servilité et du bien-être que cette réalité peut apporter à ma condition d’esclave… Et pour preuve, alors que maintenant esclave Katia enroulait sa langue sur mon gland pour le nettoyer, le Maître, Lui, attrapait entre ses pouces et ses index mes deux tétons bien durs, bien bandés et les frottait doucement, les écrasait, les faisait tourner jusqu’à ce que je sois forcé de fermer les paupières et de me cambrer, gémissant et suppliant de douleur-plaisir comme une chienne en rut sous les assauts de ces nobles Doigts. A chaque torsion savamment appuyée, c’était un muscle différent qui réagissait, qui me brulait, qui accentuait mon érection, ce qui en résultait que plus j’avais mal et plus je bandais comme un taureau. Le Maitre continuait, Il tournait et tournait, pinçait et tirait… Jusqu’à ce que je n’en puisse plus, jusqu’à ce que je pousse des hurlements, la nouille prête à exploser, jusqu’à ce que la bouche d’esclave Katia se dégage justement de ma nouille. Et le Châtelain exprima, résuma à juste titre et simplement en quelques mots, ce fait que je ne pouvais nier que mon masochisme était une évidente réalité qu’il me fallait désormais intégrer dans ma petite cervelle servile :
- Pas de plaisir sans tourment Ma salope de chienne, je crois que tu viens de le comprendre !, pas de plaisir sans tourment…, me disait le Maitre en délaissant enfin mes mamelons
Peu après Markus me libérerait de mes liens et de tous les accessoires parant mon corps. Je gardais seulement mon collier de soumission autour de mon cou. Pendant ce temps, Monsieur le Marquis s’était installé dans un large fauteuil, esclave Katia, sur ordre, lui ôtait chaussures et chaussettes avec respect et déférence. Très vite je me retrouvais aux pieds du Maître. Sans qu’un ordre ne me soit donné, je me courbais et me précipitais jusqu’au sol et déposais mes lèvres sur Son vénéré pied tendu. Au même moment, je sentais la plante de l’autre pied du Noble se poser sur ma nuque.
- Lèche !, m’ordonnait-Il sobrement, laconiquement.
Je tirais alors la langue et léchais depuis la cheville jusqu’aux orteils, léchais dans un sens et puis dans l’autre, encore et encore, y récoltant la force des muscles, les nerfs et les veines noueuses de ce noble Pied, y cueillant les gémissements d’approbation du Maitre au-dessus de moi, qui me massait le dos de ses orteils. Le monde me paraissait apaisé, j’y mettais toute mon énergie, comme si celle-ci était la seule chose qui vaille la peine de vivre, la seule matière que mon esprit puisse comprendre et savourer. Dans cette décadence lubrique, je me libérais et plongeais dans un univers d’une puissante soumission emplie d’une extrême dévotion ayant conscience de l’immense privilège, le seul qui pouvais m’être accordé, celui de pouvoir toucher le Maître, la plus belle chose qui pouvait m’arriver...
- Montre-moi ton cul de salope !, exigeait-il encore.
Immédiatement j’obtempérais, me positionnais en levrette devant Lui, tête au sol, cambrant mes reins en Lui offrant sans la moindre retenue mon anus. Ses deux pieds se posaient sur chacune de mes fesses pour les écarter davantage et dégager mon sillon, un de Ses doigts lubrifiés de la salive d’esclave Katia me pénétrait. Mon cul s’ouvrait sans la moindre résistance, avalait ce Doigt qui tournoyait tout autour de ma rondelle flétrie.
- Vous avez fait du bon travail Messieurs, Je vous félicite, le cul de cette salope est à la fois souple et tonique… Je crois que nous allons pouvoir passer au test !
Monsieur le Marquis venait de s’adresser à Markus et Rémy… Il retirait Son doigt de mon antre pour le glisser immédiatement dans la bouche d’esclave Katia.
- Suce et déguste !… Et toi Markus, va chercher le bâtard, exigeait-il.
Je n’en croyais pas mes yeux, esclav’antoine était là, devant moi, à quatre pattes, tenu en laisse par Markus. Lui aussi semblait éreinté, épuisé, la mine déconfite par un manque évident de sommeil ou par un excès d’entrainements pervers constants et éprouvants. Il avait le regard creux, mais le sourire aux lèvres lorsqu’il levait la tête pour me fixer. Lui aussi avait dû subir les sarcasmes de cette satanée cuisinière, un toilettage en règle, sa coupe de cheveux ne valait guère plus que la mienne… Markus tirait sur la laisse pour le faire mettre à genoux.
- Montre ta nouille, bâtard, ordonnait Monsieur le Marquis
Instantanément esclav’antoine s’exhibait en écartant les genoux, ouvrant largement ses cuisses, sa nouille décagée et bandée avait quasiment doublé de volume et s’était allongée de plusieurs centimètres. Pauvre antoine… que lui avait-on fait subir pour que la taille de son membre soit devenue une telle chose encombrante ?
- Approche le chien, viens derrière ma salope de chienne, viens la saillir, la baiser, là, à quatre pattes, juste devant moi, je veux te voir la forniquer, l’engrosser, je veux voir si ta grosse nouille passe aisément dans son cul vaginalisé ! Aller nique là je le veux… maintenant, nique ta future femelle !
Antoine m’attrapait par les hanches, me tirant vers lui, jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son abdomen, jusqu’à ce que sa nouille vienne effleurer ma rondelle soumise. Et là, d’un coup d’un seul il me pénétrait violemment. Sa nouille semblait parcourir une distance immense avant que ses hanches percutent mes fesses. Je le sentais tout entier en moi, me dilatant le cul d’un puissant coup de reins digne d’un animal reproducteur. Dur, épais, bouillant, il s’enfonçait entièrement, dans un soupir d’effort, puis restait là quelques secondes en repoussant les frontières de mon corps servile et offert. Je venais de geindre bruyamment, m’était affaissé sous cet assaut foudroyant. Il me relevait se reculait, prenait de l’élan, s’enfonçait de nouveau me donnant un autre coup de reins inouï m’envoyant une nouvelle fois au sol. Il se reculait encore, agrippait mes hanches pour que mon cul soit à bonne hauteur et me défonçait toujours pour enfin trouver son rythme de croisière, me baisant en soufflant et en suant comme un taureau en rut. Sous ses coups, je transpirais, grelottais sous la douleur qui me parcourait le bassin, bien vite apaisée par le bonheur que me procurait son énorme nouille, comme une évidence, comme s’il avait toujours fallu qu’il soit en moi pour que je sois complet, pleins de vices et de plaisirs sulfureux. Antoine continuait ainsi, me baisait doucement, puis augmentait le rythme, respirant plus rapidement. Je fermais les yeux, serrant les dents pour éviter de trop gémir, essayant tant bien que mal de maitriser les tremblements de ma poitrine et le plaisir qu’il me donnait. Il s’enfonçait encore m’attrapant par les épaules, attendant que le Maitre lui donne l’ordre de jouir, ordre qui se faisait attendre ! Alors les mouvements d’antoine ralentissaient, des coups plus lents et plus forts, des contractions de brutes ; entre mes jambes, ma propre nouille bandée rebondissait contre mon ventre.
- Là, maintenant, jouis salope !, ordonnait le Maitre.
Alors antoine m’assénait son ultime coup de reins et déversait en moi tout son sperme chaud, par saccades successives … Je sentais en mon fondement sa semence couler avec abondance, comme s’il n’avait pas éjaculé depuis fort longtemps pour se vider les couilles d’une quantité impressionnante de foutre… esclav’antoine râlait de mille plaisirs, tel un porc qui remplit sa truie pour la reproduction. J’avais l’impression qu’il n’en finissait pas d’éjaculer, de gicler son foutre bien planté en moi, profondément, ses couilles se balançant contre mes fesses, quand le Maître lui exigea :
- Reste planté profond en lui en coït totalement immobile, la salope et ne bouge plus… Garde ta nouille bien au fond de son cul vaginalisé… Et quand tu débanderas, tu resteras ainsi jusqu’à que tu rebandes pour le remplir de nouveau. Pour cela, esclave Katia va se mettre couché sur le dos et passer sa tête sous tes couilles pour les lécher et t’apporter une excitation supplémentaire. Ainsi tu seras assez vite de nouveau en érection… Et si son traitement de langue ne suffisait pas, nous mettrons des petits électrodes sur tes couilles, ça te stimulera une nouvelle érection, soit en certain… Car en manque d’éjaculations comme tu es, y’a encore du foutre à faire sortir de tes burnes pas encore totalement vidée… En attendant Markus va faire de vos deux corps de putain qu’un seul et unique !
Je me demandais comment Markus allait faire de nos deux corps de putain qu’un seul et unique ! Je compris très vite quand je sentais les mains de Markus apposer sous mon ventre une large bande d’un épais adhésif pour la faire dérouler et passer sur un côté et remonter sur le dos de mon sodomite et redescendre de l’autre côté de nos deux corps et ainsi de suite. Un rouleau entier d’adhésif fut utiliser pour enrubanner nos deux corps scotchés l’un à l’autre alors que la nouille d’antoine encombrait toujours et pour encore de longs moments mon cul ouvert à cette incroyable copulation…
(A suivre…)
Chapitre 44 bis : Ejaculation et copulation contrôlées -
- Tu attends quoi pour M’obéir, espèce de salope !, reprenait le Châtelain...
L’esclave en question chouinait, grimaçait lorsque la cravache une nouvelle fois claquait à plusieurs reprises son cul endolori
- Lèche, espèce de catin que tu es… Apprends à aimer le foutre, apprends à te conduire comme une salope obéissante et servile, apprends à obéir vite et bien, instantanément, quel que soit l’ordre reçu. Je le veux, tu entends, Je le veux !... Parce que toi aussi tu le souhaites, toi aussi tu espères devenir une chienne, comme l’est esclav’alex ici présent devant Moi… Je te le rappelle salope, c’est toi qui est revenu au Château me supplier de te soumettre. Alors aujourd’hui tu n’as plus le choix ! J’exige et tu obéis…
Un énième coup s’abattait sur ses fesses cambrées, sa bouche se plaquait sur mon abdomen, sa langue cueillait le fruit de mon orgasme foudroyant... Il léchait et avalait difficilement, peut-être dégouté, écœuré, comme s’il semblait ne pas avoir l’habitude d’un tel traitement.
- Là, plus haut, sur le téton !, lui montrait le Maitre, avec le bout de sa cravache frappant ma poitrine.
Cette fois esclave Katia n’hésitait plus, il se précipitait, sa langue titillait mon mamelon. Sous ses caresses, mon téton se redressait, s’érigeait brutalement, je ne pouvais retenir un gémissement de plaisir. Pourtant au même instant, Markus retirait la sonde urétrale de ma nouille. Mon gémissement se transformait bien vite en geignement… Pourquoi ne m’autorisait-on plus le plaisir seul ? Pourquoi fallait-il qu’il y ait toujours plaisir et douleur au même moment, au même instant ? Peut-être pour développer, pour accentuer, pour accroitre mon masochisme profond et qu’il s’imprime définitivement dans mon esprit et dans ma libido comme un élément moteur, voire essentiel de ma servilité et du bien-être que cette réalité peut apporter à ma condition d’esclave… Et pour preuve, alors que maintenant esclave Katia enroulait sa langue sur mon gland pour le nettoyer, le Maître, Lui, attrapait entre ses pouces et ses index mes deux tétons bien durs, bien bandés et les frottait doucement, les écrasait, les faisait tourner jusqu’à ce que je sois forcé de fermer les paupières et de me cambrer, gémissant et suppliant de douleur-plaisir comme une chienne en rut sous les assauts de ces nobles Doigts. A chaque torsion savamment appuyée, c’était un muscle différent qui réagissait, qui me brulait, qui accentuait mon érection, ce qui en résultait que plus j’avais mal et plus je bandais comme un taureau. Le Maitre continuait, Il tournait et tournait, pinçait et tirait… Jusqu’à ce que je n’en puisse plus, jusqu’à ce que je pousse des hurlements, la nouille prête à exploser, jusqu’à ce que la bouche d’esclave Katia se dégage justement de ma nouille. Et le Châtelain exprima, résuma à juste titre et simplement en quelques mots, ce fait que je ne pouvais nier que mon masochisme était une évidente réalité qu’il me fallait désormais intégrer dans ma petite cervelle servile :
- Pas de plaisir sans tourment Ma salope de chienne, je crois que tu viens de le comprendre !, pas de plaisir sans tourment…, me disait le Maitre en délaissant enfin mes mamelons
Peu après Markus me libérerait de mes liens et de tous les accessoires parant mon corps. Je gardais seulement mon collier de soumission autour de mon cou. Pendant ce temps, Monsieur le Marquis s’était installé dans un large fauteuil, esclave Katia, sur ordre, lui ôtait chaussures et chaussettes avec respect et déférence. Très vite je me retrouvais aux pieds du Maître. Sans qu’un ordre ne me soit donné, je me courbais et me précipitais jusqu’au sol et déposais mes lèvres sur Son vénéré pied tendu. Au même moment, je sentais la plante de l’autre pied du Noble se poser sur ma nuque.
- Lèche !, m’ordonnait-Il sobrement, laconiquement.
Je tirais alors la langue et léchais depuis la cheville jusqu’aux orteils, léchais dans un sens et puis dans l’autre, encore et encore, y récoltant la force des muscles, les nerfs et les veines noueuses de ce noble Pied, y cueillant les gémissements d’approbation du Maitre au-dessus de moi, qui me massait le dos de ses orteils. Le monde me paraissait apaisé, j’y mettais toute mon énergie, comme si celle-ci était la seule chose qui vaille la peine de vivre, la seule matière que mon esprit puisse comprendre et savourer. Dans cette décadence lubrique, je me libérais et plongeais dans un univers d’une puissante soumission emplie d’une extrême dévotion ayant conscience de l’immense privilège, le seul qui pouvais m’être accordé, celui de pouvoir toucher le Maître, la plus belle chose qui pouvait m’arriver...
- Montre-moi ton cul de salope !, exigeait-il encore.
Immédiatement j’obtempérais, me positionnais en levrette devant Lui, tête au sol, cambrant mes reins en Lui offrant sans la moindre retenue mon anus. Ses deux pieds se posaient sur chacune de mes fesses pour les écarter davantage et dégager mon sillon, un de Ses doigts lubrifiés de la salive d’esclave Katia me pénétrait. Mon cul s’ouvrait sans la moindre résistance, avalait ce Doigt qui tournoyait tout autour de ma rondelle flétrie.
- Vous avez fait du bon travail Messieurs, Je vous félicite, le cul de cette salope est à la fois souple et tonique… Je crois que nous allons pouvoir passer au test !
Monsieur le Marquis venait de s’adresser à Markus et Rémy… Il retirait Son doigt de mon antre pour le glisser immédiatement dans la bouche d’esclave Katia.
- Suce et déguste !… Et toi Markus, va chercher le bâtard, exigeait-il.
Je n’en croyais pas mes yeux, esclav’antoine était là, devant moi, à quatre pattes, tenu en laisse par Markus. Lui aussi semblait éreinté, épuisé, la mine déconfite par un manque évident de sommeil ou par un excès d’entrainements pervers constants et éprouvants. Il avait le regard creux, mais le sourire aux lèvres lorsqu’il levait la tête pour me fixer. Lui aussi avait dû subir les sarcasmes de cette satanée cuisinière, un toilettage en règle, sa coupe de cheveux ne valait guère plus que la mienne… Markus tirait sur la laisse pour le faire mettre à genoux.
- Montre ta nouille, bâtard, ordonnait Monsieur le Marquis
Instantanément esclav’antoine s’exhibait en écartant les genoux, ouvrant largement ses cuisses, sa nouille décagée et bandée avait quasiment doublé de volume et s’était allongée de plusieurs centimètres. Pauvre antoine… que lui avait-on fait subir pour que la taille de son membre soit devenue une telle chose encombrante ?
- Approche le chien, viens derrière ma salope de chienne, viens la saillir, la baiser, là, à quatre pattes, juste devant moi, je veux te voir la forniquer, l’engrosser, je veux voir si ta grosse nouille passe aisément dans son cul vaginalisé ! Aller nique là je le veux… maintenant, nique ta future femelle !
Antoine m’attrapait par les hanches, me tirant vers lui, jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son abdomen, jusqu’à ce que sa nouille vienne effleurer ma rondelle soumise. Et là, d’un coup d’un seul il me pénétrait violemment. Sa nouille semblait parcourir une distance immense avant que ses hanches percutent mes fesses. Je le sentais tout entier en moi, me dilatant le cul d’un puissant coup de reins digne d’un animal reproducteur. Dur, épais, bouillant, il s’enfonçait entièrement, dans un soupir d’effort, puis restait là quelques secondes en repoussant les frontières de mon corps servile et offert. Je venais de geindre bruyamment, m’était affaissé sous cet assaut foudroyant. Il me relevait se reculait, prenait de l’élan, s’enfonçait de nouveau me donnant un autre coup de reins inouï m’envoyant une nouvelle fois au sol. Il se reculait encore, agrippait mes hanches pour que mon cul soit à bonne hauteur et me défonçait toujours pour enfin trouver son rythme de croisière, me baisant en soufflant et en suant comme un taureau en rut. Sous ses coups, je transpirais, grelottais sous la douleur qui me parcourait le bassin, bien vite apaisée par le bonheur que me procurait son énorme nouille, comme une évidence, comme s’il avait toujours fallu qu’il soit en moi pour que je sois complet, pleins de vices et de plaisirs sulfureux. Antoine continuait ainsi, me baisait doucement, puis augmentait le rythme, respirant plus rapidement. Je fermais les yeux, serrant les dents pour éviter de trop gémir, essayant tant bien que mal de maitriser les tremblements de ma poitrine et le plaisir qu’il me donnait. Il s’enfonçait encore m’attrapant par les épaules, attendant que le Maitre lui donne l’ordre de jouir, ordre qui se faisait attendre ! Alors les mouvements d’antoine ralentissaient, des coups plus lents et plus forts, des contractions de brutes ; entre mes jambes, ma propre nouille bandée rebondissait contre mon ventre.
- Là, maintenant, jouis salope !, ordonnait le Maitre.
Alors antoine m’assénait son ultime coup de reins et déversait en moi tout son sperme chaud, par saccades successives … Je sentais en mon fondement sa semence couler avec abondance, comme s’il n’avait pas éjaculé depuis fort longtemps pour se vider les couilles d’une quantité impressionnante de foutre… esclav’antoine râlait de mille plaisirs, tel un porc qui remplit sa truie pour la reproduction. J’avais l’impression qu’il n’en finissait pas d’éjaculer, de gicler son foutre bien planté en moi, profondément, ses couilles se balançant contre mes fesses, quand le Maître lui exigea :
- Reste planté profond en lui en coït totalement immobile, la salope et ne bouge plus… Garde ta nouille bien au fond de son cul vaginalisé… Et quand tu débanderas, tu resteras ainsi jusqu’à que tu rebandes pour le remplir de nouveau. Pour cela, esclave Katia va se mettre couché sur le dos et passer sa tête sous tes couilles pour les lécher et t’apporter une excitation supplémentaire. Ainsi tu seras assez vite de nouveau en érection… Et si son traitement de langue ne suffisait pas, nous mettrons des petits électrodes sur tes couilles, ça te stimulera une nouvelle érection, soit en certain… Car en manque d’éjaculations comme tu es, y’a encore du foutre à faire sortir de tes burnes pas encore totalement vidée… En attendant Markus va faire de vos deux corps de putain qu’un seul et unique !
Je me demandais comment Markus allait faire de nos deux corps de putain qu’un seul et unique ! Je compris très vite quand je sentais les mains de Markus apposer sous mon ventre une large bande d’un épais adhésif pour la faire dérouler et passer sur un côté et remonter sur le dos de mon sodomite et redescendre de l’autre côté de nos deux corps et ainsi de suite. Un rouleau entier d’adhésif fut utiliser pour enrubanner nos deux corps scotchés l’un à l’autre alors que la nouille d’antoine encombrait toujours et pour encore de longs moments mon cul ouvert à cette incroyable copulation…
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