La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1648)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1648)
juliensoumis au Château - Nouvelle histoire –
Je m’appelle Julien, j’ai la trentaine et je vis dans la région lyonnaise. Un ami m’invita chez lui un soir. Nous avions dîné et il me proposa ensuite de m’emmener dans une boite de nuit qu’il fréquentait souvent sur Lyon. Nous arrivâmes donc à l’entrée de cette discothèque. L’ambiance était conviviale. Après avoir fait le tour, je m’aperçus qu’il y avait une autre pièce, avait une lumière tamisée, presque sombre comme pour créer un lieu plus intime. Dans cette pièce plus feutrée, un grand bar courait tout le long du mur à droite en entrant, alors que des canapés confortables avec des tables basses trônaient sur la partie gauche. Au fond, il y avait des petites loges, sans rideaux. Et enfin au centre une belle piste de danse dans une semi-obscurité. Plusieurs personnes, uniquement des hommes étaient accoudés à ce bar et discutaient en consommant. Derrière deux barmans au torse nu avec juste des bretelles de cuir, servaient les clients. Des groupes se trémoussaient sur la piste de danse au rythme entêtant de la Techno. Au fond de cette salle, on distinguait aussi des escaliers à gauche des loges, nichés dans des alcôves et qui descendaient on ne sait où. Mon ami, Pierre, m’offrit un verre au bar. On se fraya un passage, non sans peine pour l’atteindre et nous nous étions accoudés à notre tour. Pierre fouilla dans sa poche et me tendit un objet :
- Tiens ! Mets ça !
Dans la pénombre, je distinguais mal l’objet en question et quand je l’eus dans les mains, je me rendis compte que c’était un collier en cuir avec des clous, du type de ceux que l’on met pour les chiens dangereux.
- Mais ?... Quoi ? Tu … tu veux vraiment que je le mette ?
- Oui, je t’ai déjà parlé de mes tendances à vouloir dominer … Et je sais que tu m’as avoué en réponse que tu aimerais être soumis, vivre un jour une expérience de soumission,… Alors voilà ici et maintenant, c’est l’occasion rêvée de réaliser nos fantasmes !... En plus, ça me ferait plaisir !
- Ce n’est donc pas par hasard que tu m’as amené ici ! Tu savais le genre de boite que c’était !
- Oui tout à fait. Maintenant soit tu mets ce collier, soit tu rentres par le métro et on n’en parlera plus. Mais dans tous les cas, moi je reste ici !
J’avoue que je n’avais pas envie d’avoir le choix, alors j’attachais le collier autour de mon cou sans tarder mais en me demandant ce que penseraient les personnes autour de nous. J’avoue aussi que j’aime bien mettre ce genre de collier, je trouve que ça fait ressortir mon côté soumis de mes fantasmes… Pierre sortit, de son autre poche, une grande laisse qu’il fixa à l’aide d’un mousqueton au collier.
- Tu te sens en forme ce soir ?
Pourquoi cette question ?
- Oui, bien sûr, ça va …, lui répondis-je.
Nous continuâmes à vider nos verres et Pierre se leva. La laisse m’entraîna à le suivre et je dus me lever précipitamment pour ne pas tomber de mon tabouret.
- Eh ! Doucement, j’ai failli tomber !
Pierre se retourna et me toisant du regard me lança :
- Tais-toi, le chien ! Suis-moi sans rouspéter !
J’ai compris que Pierre était en train de réaliser ses fantasmes et besoin de Domination, qu’il avait envie de quelque chose d’inhabituel. Son intonation reflétait autant l’autorité que l’excitation. Quelque peu excité, je me surpris de mon côté à lui répondre un :
- Oui Maître !
Pierre me fit traverser la piste en me tirant par la laisse. Il ne courrait pas, prenant presque son temps pour que tout le monde me voie. La chienne du Maître, bien docile et obéissante, voilà ce que je ressentais être et ça me faisait bander. Au bout d’un moment, Pierre se dirigea vers les escaliers. De la musique remontait alors du sous-sol et nous nous engageâmes dans le conduit descendant jusqu’au niveau en dessous. Il y faisait encore plus sombre et des sons de voix se mêlaient à la musique. Mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je pus distinguer un couloir avec des portes de chaque côté. Nous avancions dans ce couloir lentement. La chaleur y était étouffante et l’odeur de renfermé presque oppressante. Passant devant une des portes restée entrouverte, j’aperçus une croupe poilue s’activer entre deux jambes relevées. Visiblement l’endroit n’était pas fait pour s’ennuyer ou pour dormir. Pierre ouvrit une des portes du fond, comme s’il était chez lui. La lumière était plus que tamisée et le sol semblait recouvert d’une épaisse moquette souple. Au mur, un téléviseur au grand écran plat diffusait un film X gay BDSM où les protagonistes s’enfilaient à qui mieux-mieux, se suçaient ou se jouissaient dessus sans retenue.
Au milieu de la pièce trônait une espèce d’instrument de torture, comme une planche recouverte de moquette de 50 cm de large environ, reposant sur des tréteaux et fixée un peu en pente. Deux étriers partaient de chaque côté et des chaînes pendaient du plafond.
- Déshabille-toi, le chien !
Je m’exécutais et Pierre en profitait pour se rincer l’œil, me matant amplement mon cul et mon sexe érigé. Une fois nu, Pierre tira sur la laisse et me fit allonger sur le ventre, sur l’engin de torture. En fait, ce n’était pas si inconfortable que cela. Je me couchais donc, les bras ballant de chaque côté attendant la suite des évènements. Pierre attrapa les chaînes et m’emprisonna les mains. Il écartait mes bras, tenus uniquement par les menottes fixées au bout des chaînes. Il me recula un peu pour libérer mon pubis et laisser dans le vide mes couilles et ma queue déjà bandante. Il attacha mes pieds dans des courroies qu’il fixa à d’autres chaînes. Je me retrouvais ainsi pieds et poings liés faisant dos à la porte à la merci de Pierre. L’excitation et la nouveauté de la situation me faisaient perler et je mouillais abondamment, la bite droite comme un I.
- Ca t‘excite tout ça, hein ? Attends un peu, tu n’es pas au bout de tes surprises.
Pierre sortit un martinet et commença à me flageller les fesses. Les coups étaient savamment administrés, alliant douleur et plaisir à la fois. Leur force était constamment maîtrisée et me procurait un plaisir fou. Pierre retourna le martinet et passa le manche entre mes fesses.
- Tu te sens comment, ma salope ?
- Excitée, Maître ! Très chaude et très salope !
- Ca tombe bien !... Pour la suite à venir…
Pierre lâcha le martinet et sortit de la pièce.
- Pierre, où vas-tu ?, me laisse pas tout seul dans cet état !
Pierre sortit malgré mes protestations et je restais seul, dénudé, dans cette position et dans le noir, attendant et redoutant la suite des évènements. La porte était restée ouverte et n’importe qui pouvait entrer. Je me sentais humilié et honteux mais aussi excité de la situation. Pierre revint et au bruit, je compris qu’il n’était pas seul, que plusieurs personnes revenaient avec lui.
- Je vous présente ma petite chienne ! C’est une véritable furie si vous ne l’attachez pas ! C’est pourquoi je vous l’ai préparée et vous pouvez en disposer comme il vous plaira. Profitez de lui en attendant que le Grand Maître arrive !
Grand Maître ? Quel Grand Maître ? Que voulait dire Pierre ? Je n’y comprenais plus rien. La seule chose que je comprenais était en tout cas que je n’en revenais pas de ce que j’entendais. Pierre se servait de moi comme d’une pute à l’abattage. Il m’offrait à ceux qui voulaient de moi. Je voulais que tout s’arrête et je commençais à me débattre. J’étais bien attaché et je ne pouvais échapper à mon destin.
- Pierre ! S’il te plaît ! Ne fais pas ça !, Arrête ! Détache-moi …
Des larmes de honte et d’effroi commençaient à couler le long de mes joues.
- Tais-toi ! Salope, tu vas savoir ce que baiser veut dire ! Tu me supplieras et tu m’en redemanderas ! Chienne comme tu es, ça ne peut que te convenir !
- Arrête je te dis …- Allez-y les gars! Faites-en ce que vous voulez ! Elle aime tout, cette salope ! Venez-vous purger les couilles ! Elle suce, avale, se fait baiser à un, deux ou plusieurs en même temps ! Laissez libre cours à votre imagination ! Cette chienne est là pour vous satisfaire ! Seul le Grand Maître décidera si cette putain vaut le coup d’être éduquer ou pas, à nos plaisirs…
(A suivre …)
Je m’appelle Julien, j’ai la trentaine et je vis dans la région lyonnaise. Un ami m’invita chez lui un soir. Nous avions dîné et il me proposa ensuite de m’emmener dans une boite de nuit qu’il fréquentait souvent sur Lyon. Nous arrivâmes donc à l’entrée de cette discothèque. L’ambiance était conviviale. Après avoir fait le tour, je m’aperçus qu’il y avait une autre pièce, avait une lumière tamisée, presque sombre comme pour créer un lieu plus intime. Dans cette pièce plus feutrée, un grand bar courait tout le long du mur à droite en entrant, alors que des canapés confortables avec des tables basses trônaient sur la partie gauche. Au fond, il y avait des petites loges, sans rideaux. Et enfin au centre une belle piste de danse dans une semi-obscurité. Plusieurs personnes, uniquement des hommes étaient accoudés à ce bar et discutaient en consommant. Derrière deux barmans au torse nu avec juste des bretelles de cuir, servaient les clients. Des groupes se trémoussaient sur la piste de danse au rythme entêtant de la Techno. Au fond de cette salle, on distinguait aussi des escaliers à gauche des loges, nichés dans des alcôves et qui descendaient on ne sait où. Mon ami, Pierre, m’offrit un verre au bar. On se fraya un passage, non sans peine pour l’atteindre et nous nous étions accoudés à notre tour. Pierre fouilla dans sa poche et me tendit un objet :
- Tiens ! Mets ça !
Dans la pénombre, je distinguais mal l’objet en question et quand je l’eus dans les mains, je me rendis compte que c’était un collier en cuir avec des clous, du type de ceux que l’on met pour les chiens dangereux.
- Mais ?... Quoi ? Tu … tu veux vraiment que je le mette ?
- Oui, je t’ai déjà parlé de mes tendances à vouloir dominer … Et je sais que tu m’as avoué en réponse que tu aimerais être soumis, vivre un jour une expérience de soumission,… Alors voilà ici et maintenant, c’est l’occasion rêvée de réaliser nos fantasmes !... En plus, ça me ferait plaisir !
- Ce n’est donc pas par hasard que tu m’as amené ici ! Tu savais le genre de boite que c’était !
- Oui tout à fait. Maintenant soit tu mets ce collier, soit tu rentres par le métro et on n’en parlera plus. Mais dans tous les cas, moi je reste ici !
J’avoue que je n’avais pas envie d’avoir le choix, alors j’attachais le collier autour de mon cou sans tarder mais en me demandant ce que penseraient les personnes autour de nous. J’avoue aussi que j’aime bien mettre ce genre de collier, je trouve que ça fait ressortir mon côté soumis de mes fantasmes… Pierre sortit, de son autre poche, une grande laisse qu’il fixa à l’aide d’un mousqueton au collier.
- Tu te sens en forme ce soir ?
Pourquoi cette question ?
- Oui, bien sûr, ça va …, lui répondis-je.
Nous continuâmes à vider nos verres et Pierre se leva. La laisse m’entraîna à le suivre et je dus me lever précipitamment pour ne pas tomber de mon tabouret.
- Eh ! Doucement, j’ai failli tomber !
Pierre se retourna et me toisant du regard me lança :
- Tais-toi, le chien ! Suis-moi sans rouspéter !
J’ai compris que Pierre était en train de réaliser ses fantasmes et besoin de Domination, qu’il avait envie de quelque chose d’inhabituel. Son intonation reflétait autant l’autorité que l’excitation. Quelque peu excité, je me surpris de mon côté à lui répondre un :
- Oui Maître !
Pierre me fit traverser la piste en me tirant par la laisse. Il ne courrait pas, prenant presque son temps pour que tout le monde me voie. La chienne du Maître, bien docile et obéissante, voilà ce que je ressentais être et ça me faisait bander. Au bout d’un moment, Pierre se dirigea vers les escaliers. De la musique remontait alors du sous-sol et nous nous engageâmes dans le conduit descendant jusqu’au niveau en dessous. Il y faisait encore plus sombre et des sons de voix se mêlaient à la musique. Mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je pus distinguer un couloir avec des portes de chaque côté. Nous avancions dans ce couloir lentement. La chaleur y était étouffante et l’odeur de renfermé presque oppressante. Passant devant une des portes restée entrouverte, j’aperçus une croupe poilue s’activer entre deux jambes relevées. Visiblement l’endroit n’était pas fait pour s’ennuyer ou pour dormir. Pierre ouvrit une des portes du fond, comme s’il était chez lui. La lumière était plus que tamisée et le sol semblait recouvert d’une épaisse moquette souple. Au mur, un téléviseur au grand écran plat diffusait un film X gay BDSM où les protagonistes s’enfilaient à qui mieux-mieux, se suçaient ou se jouissaient dessus sans retenue.
Au milieu de la pièce trônait une espèce d’instrument de torture, comme une planche recouverte de moquette de 50 cm de large environ, reposant sur des tréteaux et fixée un peu en pente. Deux étriers partaient de chaque côté et des chaînes pendaient du plafond.
- Déshabille-toi, le chien !
Je m’exécutais et Pierre en profitait pour se rincer l’œil, me matant amplement mon cul et mon sexe érigé. Une fois nu, Pierre tira sur la laisse et me fit allonger sur le ventre, sur l’engin de torture. En fait, ce n’était pas si inconfortable que cela. Je me couchais donc, les bras ballant de chaque côté attendant la suite des évènements. Pierre attrapa les chaînes et m’emprisonna les mains. Il écartait mes bras, tenus uniquement par les menottes fixées au bout des chaînes. Il me recula un peu pour libérer mon pubis et laisser dans le vide mes couilles et ma queue déjà bandante. Il attacha mes pieds dans des courroies qu’il fixa à d’autres chaînes. Je me retrouvais ainsi pieds et poings liés faisant dos à la porte à la merci de Pierre. L’excitation et la nouveauté de la situation me faisaient perler et je mouillais abondamment, la bite droite comme un I.
- Ca t‘excite tout ça, hein ? Attends un peu, tu n’es pas au bout de tes surprises.
Pierre sortit un martinet et commença à me flageller les fesses. Les coups étaient savamment administrés, alliant douleur et plaisir à la fois. Leur force était constamment maîtrisée et me procurait un plaisir fou. Pierre retourna le martinet et passa le manche entre mes fesses.
- Tu te sens comment, ma salope ?
- Excitée, Maître ! Très chaude et très salope !
- Ca tombe bien !... Pour la suite à venir…
Pierre lâcha le martinet et sortit de la pièce.
- Pierre, où vas-tu ?, me laisse pas tout seul dans cet état !
Pierre sortit malgré mes protestations et je restais seul, dénudé, dans cette position et dans le noir, attendant et redoutant la suite des évènements. La porte était restée ouverte et n’importe qui pouvait entrer. Je me sentais humilié et honteux mais aussi excité de la situation. Pierre revint et au bruit, je compris qu’il n’était pas seul, que plusieurs personnes revenaient avec lui.
- Je vous présente ma petite chienne ! C’est une véritable furie si vous ne l’attachez pas ! C’est pourquoi je vous l’ai préparée et vous pouvez en disposer comme il vous plaira. Profitez de lui en attendant que le Grand Maître arrive !
Grand Maître ? Quel Grand Maître ? Que voulait dire Pierre ? Je n’y comprenais plus rien. La seule chose que je comprenais était en tout cas que je n’en revenais pas de ce que j’entendais. Pierre se servait de moi comme d’une pute à l’abattage. Il m’offrait à ceux qui voulaient de moi. Je voulais que tout s’arrête et je commençais à me débattre. J’étais bien attaché et je ne pouvais échapper à mon destin.
- Pierre ! S’il te plaît ! Ne fais pas ça !, Arrête ! Détache-moi …
Des larmes de honte et d’effroi commençaient à couler le long de mes joues.
- Tais-toi ! Salope, tu vas savoir ce que baiser veut dire ! Tu me supplieras et tu m’en redemanderas ! Chienne comme tu es, ça ne peut que te convenir !
- Arrête je te dis …- Allez-y les gars! Faites-en ce que vous voulez ! Elle aime tout, cette salope ! Venez-vous purger les couilles ! Elle suce, avale, se fait baiser à un, deux ou plusieurs en même temps ! Laissez libre cours à votre imagination ! Cette chienne est là pour vous satisfaire ! Seul le Grand Maître décidera si cette putain vaut le coup d’être éduquer ou pas, à nos plaisirs…
(A suivre …)
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