La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1649)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1649) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1649)
juliensoumis au Château - (suite de l’épisode précédent N°1648) –
- Seul le Grand Maître décidera si cette putain vaut le coup d’être éduquer ou pas, à nos plaisirs…
Pierre invita donc les hommes présents à m’utiliser à leur guise. Des mains parcouraient mes fesses, mon dos, mon sexe, mes cuisses… des doigts s’insinuaient dans mon sillon anal et s’introduisaient dans ma bouche. Je voulais à la fois me débattre, ne pas me laisser faire, mais paradoxalement une petite voix intérieure, celle de mon âme soumise trop longtemps enfouie m’intimait de laisser exprimer ma véritable nature servile et donc de me laisser faire… Et puis ma propre érection trahissait mon excitation et encourageait mon accord à me laisser m’utiliser… Une queue en pleine érection s’appuya alors sur mes lèvres :
- Ouvre ta bouche, salope ! Suce-moi la bite !

Et cette grosse verge déjà érigée s’introduisit dans ma bouche, sans plus attendre. Son propriétaire ne devait pas être très propre car elle avait un goût acre de transpiration et de mouille mélangées. Ses mains me tenaient la tête et il me prenait la bouche sans ménagement, comme on investit une chatte en chaleur. Une bouche s’écrasa sur mes fesses fouillant mon anus de sa langue. Elle remontait et descendait rapidement comme pour lubrifier ma rosette. Une deuxième grosse queue rejoignit celle que je suçais. Elles entraient et sortaient alternativement dans ma bouche ou les glands se frottaient contre mes joues, étalant leur mouille sur mon visage. Mon sexe dur comme du bois fut happé par une bouche chaude et humide. L’homme qui me suçait aspirait très fort et mon sexe se trouva dans un écrin d’humidité chaude d’une cavité buccale fort accueillante. Mes couilles étaient palpées, tiraillées, caressées ou pincées. Tout, comme mes tétons d’ailleurs, subissaient les outrages de quelques doigts fébriles ou de bouches baveuses. De la vaseline fut appliquée sur mon anus, déjà dilaté par des doigts inquisiteurs en profondeur.

- Ah ! Ma salope, à voir comme tu bandes, tu aimes ça, tu ne peux pas le nier ! …
En effet je ne pouvais pas le nier, pas le cacher que cette situation d’abord imposée m’excitait et donc que j’en éprouvais un malin plaisir. Pierre avait deviné ce que j’avais vraiment besoin, juste parce que je lui avais raconté mes fantasmes de soumission, mon souhait de vivre un jour une expérience de soumission … Il avait tout simplement concrétisé mon rêve si intime … Et mon érection si parlante répondait positivement à tout cela. L’homme poursuivait :
- … Oui tu aimes ça, la chienne, alors je vais t’enculer ! Je vais te faire jouir du cul, petite pute !

Le gland violacé d’un vit dur et gonflé s’appuya sur mon petit trou et s’enfonça jusqu’à la garde, d’un coup de reins puissant, pénétrant, profond et sans réserve. S’en suivit une sodomie qui était menée à un train d’enfer. Il s’agitait en moi comme un forcené, monopolisant, investissant mon fondement avec énergie et virilité. Une énorme bite dans le cul, une tout aussi énorme dans la bouche, parfois deux et ma nouille aspirée par une bouche experte, l’orgasme ne se fit pas attendre. Je hurlais de plaisir au moment où je me vidais à grands flots saccadés de spermes dans cette bouche. Mes couilles se contractèrent et mon anus aussi, renforçant la pression autour de la queue de mon enculeur.

- Tu es étroite, ma chienne ! Oui, tu me serres bien le nœud !

C’était involontaire car à chaque giclée de sperme, mon anus se contractait convulsivement. J’entendais la bouche suceuse avaler mon nectar et réclamer :
- Encore ! Donnes moi tout !

Je n’y pouvais rien mais je larguais mon foutre sans retenue. D’ailleurs, immédiatement après, je reçus de fortes giclées de sperme chaud sur le visage et dans la bouche. Les deux queues éjaculaient avec un synchronisme calculé. J’étais inondée de foutre, n’arrivant pas à tout avaler. Mon cul ravagé par cette énorme verge, n’en pouvait plus de s’ouvrir sous les coups de boutoirs et je sentis qu’il m’envoyait lui aussi sa semence dans mes entrailles. C’était comme un électrochoc que de se sentir rempli par tous les orifices à la fois. Mon corps servile était parcouru de frissons et de soubresauts. Je pensais que le calme viendrait à présent mais c’était sans penser aux autres hommes qui attendaient patiemment leur tour et qui jusqu’à présent regardaient tout en se branlant, la bite à l’air. Immédiatement après, une autre queue vint remplacer celle que j’avais dans le cul. Bien lubrifié et dégoulinant de sperme, mon orifice anal laissa entrer sans mal, le cortège de queues qui allait suivre. C’était une file ininterrompue de grosses bites qui s’enchaînaient dans mon intimité. Toutes me pénétraient plus ou moins violemment, plus ou moins profondément mais toutes sans exception, se purgèrent dans mes entrailles. Je n’étais qu’une cuvette à sperme. Mon anus ne se refermait pas entre deux intromissions. Il restait béant, dégoulinant de semence, ouvert et offert à la volonté de celui qui voulait s’y introduire. Il y en eut au moins dix, mais à partir d’un moment, je ne comptais plus le nombre de sodomies accomplies…
Je dégoulinais de foutre, léchais et nettoyais les queues qui s’étaient épanchées dans mes entrailles ou dans ma bouche, nettoyant les glands de ma langue baladeuse et avalant la plus petite goutte de sperme qui en sortait. Tous ceux qui se vidaient en moi, se faisaient nettoyer la pine par ma bouche, appuyant sur leur tige pour en faire sortir les ultimes gouttes de plaisir. Ma bouche ne désemplissait donc pas et j’en attrapais des crampes dans les mâchoires. Bousculé, maltraité, rempli, sodomisé, possédé, enculé, je n’étais plus moi-même, mais je me sentais bien, heureux, soumis, chienne…Je rêvais, dans mes fantasmes, de vivre cela un jour, eh bien le plaisir si intense de le vivre, dépasse tout ce que j’avais imaginé… Même si je n’avais jamais ressenti autant de honte, les plaisirs et la jouissance à la fois mélangés dans mon esprit y étaient définitivement imprimé. L’humiliation et l’excitation me menaient au paroxysme du plaisir. Parfois, cette humiliation et excitation étaient trois queues à éjaculer en même temps sur mon visage. Je n’avais plus une partie de mon visage de sèche. La transpiration mêlée au sperme recouvrait mon visage. Même l’urine car l’un de mes sodomites eut l’idée de me pisser dessus. Debout devant mon visage, il tenait sa queue encore semi-gonflée et déversa ses flots d’urine. Cela donna des envies aux autres et je me transformais en urinoir humain. Des hauts le cœur me prenaient de temps en temps, lorsqu’après m’avoir enculé, un homme venait pour se faire nettoyer le gland. Quand au bout de celui-ci, le sperme mélangé à mes souillures anales et à l’urine, tout n’était qu’avilissement et humiliation. Une imposante et nouvelle queue toujours fichée dans mon cul et je compris qu’il allait se passer une chose encore inédite. Du moins pour moi. Un des types qui attendait son tour lança :
- Eh ! Il doit être suffisamment préparé maintenant et son cul doit être un vrai garage à bites ! On doit pouvoir tenir à plusieurs là-dedans !

Joignant le geste à la parole, on me détacha et on mit couché sursol. L’homme se plaça sous moi et demanda à celui qui me sodomisait juste avant que l’on me détache d’écarter les jambes pour lui faire de la place tout en m’enculant de nouveau. Alors, le demandeur approcha son gland de mon orifice déjà occupé par une queue et s’enfonça lentement mais sans s’arrêter. Mes gémissements ne lui faisaient ni chaud, ni froid, au contraire cela semblait l’exciter encore plus :
- Oui ! Vas-y ! Couine ma salope ! Je vais te faire hurler ! On va t’éclater ton cul de pouffiasse ! t’es là pour te faire enculer, sale pute !

Et inexorablement son gros membre entrait, bousculant encore, s’il était possible, mes parois anales dilatées comme jamais. A présent, les deux bites se trouvaient en moi, dilatant mon sphincter au maximum. C’était ma première double pénétration. Je me sentais ouvert en deux. Mon anus n’avait jamais pris deux queues en même temps et j’étais surpris de ne pas hurler de douleur. J’avais été tellement bien bourré auparavant, que les deux bites semblaient à l’aise et pouvaient même bouger dans mon anus écartelé. Elles me pilonnaient en cadence, frottant l’une sur l’autre, les glands entrants et sortants alternativement. Ma bouche fut de nouveau prise d’assaut par un gland surdimensionné. Le « supplice » dura environ encore dix bonnes minutes et l’explosion fut en rapport avec la situation : gigantesque ! La première salve fut tirée par celui qui était dans ma bouche. Instantanément, je fus inondé et submergé par un flot de sperme abondant et épais. Bien fiché au fond de ma gorge, impossible pour moi de recracher le jus de ces immenses couilles écrasées sur mon menton. Immédiatement après ou pour ainsi dire en même temps, les deux queues qui me ramonaient, avec une précision diabolique, explosèrent en cœur….

Les deux sodomites crispaient mes fesses et mes cuisses et se vidaient en même temps en moi. Je ressentis très nettement les jets puissants de foutre m’envahir les intestins. C’était comme un lavement, tant la puissance et la quantité étaient importantes. Devant tant de bonheur, je jouis instantanément de nouveau et mon sperme s’écoulait par saccade, retombant en gouttes épaisses sur la moquette de la pièce. Nous sommes restés un petit moment sans bouger, attendant que le calme revienne. Nous étions vidés et retombions lentement des cimes où l’extase nous avait projetés. Les deux queues se dégonflaient et sortaient de mon anus qui ne pouvait plus les contenir. Je bavais de longues traînées de salive, de sperme et d’urine, n’arrivant plus à avaler quoique ce soit ; Je n’étais plus moi, et ne voulais plus le redevenir. L’extase avait été si forte que je ne pouvais réprimer les larmes de joie et d’apaisement qui coulaient de mes yeux clos. Exténué, repus et reconnaissant envers Pierre qui avait su avant moi et pour moi, ce que j’allais besoin de vivre… Pierre, justement, prit la parole, tout en regardant sa montre :
- A genoux, ma catin ! Il ne devrait pas tarder d’arriver. Il m’avait dit 23h30 et comme Monsieur le Marquis est très ponctuel et qu’il est 23h28… Je veux qu’Il te trouve ainsi agenouillé, souillé de spermes et de pisses…
Monsieur le Marquis ??? Qui c’est que ce mec !, me disais-je ? Ce serait Lui que Pierre appelait tantôt Grand Maître ? Je n’avais pas à me poser la question trop longtemps car 2 minutes après, une haute silhouette arriva et je vis un homme d’une présence incroyable, avec un regard fort. Pierre s’adressa à lui avec un ton respirant un profond respect :
- Bonsoir Monsieur le Marquis, Grand Maître, et merci mille fois d’avoir tenu Votre promesse, d’être venu voir le soumis en devenir que je vous avais parlé… Vous jugerez par Vous-même s’il mérite Votre éducation ou pas du tout…
(A suivre …)

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