La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1650)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1650) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1650)
juliensoumis au Château - (suite de l’épisode précédent N°1649) –
- Bonsoir Monsieur le Marquis, Grand Maître, et merci mille fois d’avoir tenu Votre promesse, d’être venu voir le soumis en devenir que je vous avais parlé… Vous jugerez par Vous-même s’il mérite Votre éducation ou pas du tout…- Bonsoir Pierre. Bon, tu sais pourquoi je suis venu, pas seulement pour tenir Ma promesse, mais aussi parce que ton père est un vieil ami d’enfance. Alors écoute bien, là, J’ai mon Majordome qui vient de me téléphoner, il y a un instant alors que j’étais sur le point d’entrée ici, il m’a appelé pour un souci au Château. Alors Je n’ai pas trop le temps de m’occuper du chien que tu m’as parlé auquel tu as deviné un fort potentiel à la soumission, mais qui aurait besoin d’être éduqué… Mais je constate qu’il a déjà subi les assauts de plusieurs sodomites, c’est un bon début… Alors, voilà ce que tu vas faire, dès demain matin, disons pour 9h, tu vas le conduire à cette adresse, c’est celle d’un de mes hommes forestiers. Il s’appelle Daniel, il est un peu rustre, mais ça fera un excellent test à la soumission à ton soumis d’être entre ses mains. Daniel me fera un compte-rendu détaillé et saura Me dire si ton chien mérite que Je M’intéresse à lui… Il a testé déjà plus d’un chien et il ne sait jamais trompé ! Aller, Je te quitte et désolé d’être si bref, mais le Devoir M’appelle … On s’appelle demain matin …- Pas de souci, Monsieur le Marquis, je comprends tout à fait Vos impératifs et imprévus de dernières minutes. Déjà Votre présence est un immense honneur, même brève. Vous pouvez compter sur moi, j’emmènerai moi-même mon soumis chez ce Daniel, et je me permettrai de vous téléphoner dès que je le l’aurai laissé…
Monsieur le Marquis d’Evans tendit un carton où il devait y avoir l’adresse de ce Daniel, tourna les talons et s’en alla sans tarder, visiblement pressé par Ses obligations… A l’entendre, je compris donc que ce Marquis à l’impressionnant charisme habitait dans un Château… Mais apparemment, Il exigeait de m’envoyer chez ce Daniel. Pierre n’eut aucun mal à me convaincre de le suivre chez cet homme forestier de ce Marquis, j’étais déjà sous sa Domination, celle de Pierre, pour refuser cette exigence et j’avoue que l’excitation grimpait en mon esprit et bas-ventre de découvrir ce qui m’attendait. Excitation mais également peur de l’inconnu aussi, pour être honnête…
Le lendemain matin donc, Pierre et moi-même, après avoir roulé une petite heure pour sortir de Lyon, arrivâmes bientôt dans le Beaujolais et devant une maisonnette en assez mauvais état, à vrai dire. Dans un état moi-même second provoqué par l’excitation, je regardais Pierre s’en aller en voiture une fois qu’il m’avait déposé devant cette maisonnette. Un homme, grand, costaud, des bras de bucheron, en sortit et vint à ma rencontre pour me dire juste ces quelques mots :
- C’est toin Julien ?
- Oui, c’est moi. (une paire de gifles fusa net)- Tu dois m’appeler Monsieur Daniel, que je n’ai pas à le redire…- Bien Monsieur Daniel, excusez-moi.
- Suis-moi, espèce de bâtard
Je suivais donc ce type au torse massif, bien plus grand que moi d’une bonne tête, aux cheveux non peignés depuis longtemps et mal habillé. L’intérieur de la maison se révéla être en parfait accord avec son look : Sale et mal entretenu. Il m’amena directement dans une chambre assez sordide où le ménage devait très rarement être fait : Un lit défait et de vieux meubles en mauvais état occupaient la pièce jonchée par des vêtements. Les volets, fermés pour conserver un peu de fraîcheur, laissaient filtrer un peu de lumière. Le cœur battant très fort, je m’asseyais sur le bord du lit, bientôt rejoint par ce Daniel que je devinais d’emblée d’une grande perversité. Il m’allongea sur le dos, força une jambe entre les miennes pour les écarter et mit sa main sur mon sexe. Même si je trouvais que ça allait trop vite, car à peine étais-je arrivé qu’il m’aborde, je vibrais à ce contact direct et fermais les yeux, commençant à goûter des sensations merveilleuses. Je les rouvris quand je sentis son souffle sur mon visage, ses lèvres se rapprochaient de ma bouche entrouverte, ses doigts commençaient à me caresser le cou. À l'abri des regards, dans ce lieu plongé dans la pénombre, je savais pourquoi j’étais là, Pierre avait très été clair, sans équivoque : Je devais obéir à ce Daniel en toute chose…
- Pour commencer, je te veux comme amant… Donne-toi entièrement, je te veux comme une femelle salope peut se donner à un amant…
Alors ce double contact et ses mots m’embrasèrent : J’aurais dû être repoussé par ce visage laid et pas très propre, mais son contact m’excita grandement, lorsque sa langue pénétra dans ma bouche, je passais spontanément mes bras derrière mon dos en acte de soumission et je me laissais embrasser en silence. Profitant de sa position dominante, il me coucha sur le lit en, appuyant sur une de mes épaules et il s’allongea alors sur moi et me pelota de plus belle. Face à ce conquérant viril qui m’imposait sans difficulté sa volonté, un instinct que je ne soupçonnais pas me fit écarter et replier les jambes, dans la position de soumission et d'offrande d'une femme qui se donne à la copulation. Sous les coups de sa verge qui mimaient une scène d’amour, je m’abandonnais complètement.

Après de longs baisers fiévreux dans lequel nous nous mélangions sans aucune retenue, où je sentais son gros sexe dur se frotter contre le mien, il se leva pour se déshabiller, m’exigeant de faire la même chose, mais en gardant la tête baissée. Son torse nu était velu mais pâle, contrastant avec ses avant-bras bronzés par les travaux en pleine nature. Il était musclé mais son corps n’avait pas la beauté des athlètes : Dans l’ensemble, son physique n’était pas attirant. Il était grand et bedonnant, massif, et son torse large dégageait une certaine puissance. Je découvris soudain son vit, pas très long mais fort épais, redressé dans une jolie courbe vers le haut. Le gland était très gros, décalotté par l’envie. Quand Daniel se redressa, sa grosse bite lui colla au ventre, signe d'une très forte excitation. Je restais un moment à le fixer, commençant à réaliser qu’il m’était destiné et que j’allais subir sa virilité dominatrice. Ne sachant que faire, presque gêné par ma nudité, je me retournais pour rester allongé sur le ventre sans doute pour cacher mon érection mais aussi parce que sa queue me paraissait plus mâle, plus érectile que la mienne. J’étais soumis, certes, mais un peu inquiet de la suite des événements.

Heureusement, l’expérience de mon hôte et ses envies de mâle Dominateur et excité par une proie facile ne me laissèrent pas au repos longtemps. Après s’être allongé à mes côtés, Daniel se mit à me caresser le dos, sa main descendant vers mes fesses sur lesquelles il s’attarda, faisant des commentaires grossiers sur leur douceur et leur forme bien ronde. Malgré son vocabulaire vulgaire, ses insultes me firent encore plus bander de s’entendre dire que j’étais une petite salope, par exemple. Et le contact de cette main ferme et baladeuse me fit perdre toute appréhension : Je me sentais subitement très détendu, calme, comme si cette situation m’était naturelle. Je suivais le trajet de sa main engageante mais autoritaire. J’étais à lui, il pouvait me toucher autant qu’il le voulait, où il voulait, si je savais pourquoi j’étais là, lui savait ce qu’il avait à faire... Daniel me remit sur le dos et revint m’embrasser goulûment, à pleine bouche, pendant que sa main explorait toute la surface de mon corps nu et servile. Je l’enlaçais, serrant contre moi ses épaules poilues et sa nuque épaisse.

Nous y prenions un énorme plaisir tous les deux. Puis il se dégagea et descendit sa bouche lentement sur mon corps, le léchant et l’embrassant. Cette bouche chaude, dont la douceur contrastait avec la dureté de sa barbe mal rasée, descendit jusqu’à ma nouille déjà bandée. Lorsqu’il s’en empara, ce fut une sensation fantastique. Ses lèvres connaissaient leur travail et je découvrais un plaisir inouï dans la chaleur humide de cette bouche d’homme. Tout en continuant, Daniel glissa doucement ses deux mains sous mes fesses, les caressant avec fermeté, lorsqu’un de ses doigts s’avança vers une zone plus intime très sensible. J’écartais spontanément les cuisses pour lui faciliter l’accès. Daniel mouilla son doigt avec sa salive et me caressa à cet endroit plus précis, branlant mon œillet flétri mais sans me pénétrer tout en continuant à me sucer…
La sensation était extraordinaire, tant de plaisirs révélés me mettaient dans un état que je n’avais jamais connu, mise à part celui de la veille à la discothèque .Daniel s’allongea ensuite à côté de moi, sur le côté, et exigea de le sucer. J’avais très envie de lui rendre le plaisir qu'il m'avait donné, approchant mes lèvres de cette queue trapue, très raide et dont l’énorme gland violacé me fascinait... C’était donc ce volumineux sexe qui guidait les exigences de mon amant, et c’est à lui que je devais tous ces plaisirs. Lorsque ma main le saisit, il sembla frémir et se redresser un peu plus : Il était très dur, dégageant une impression de puissance virile que je ne connaissais pas chez moi. J’approchais ma bouche et fus d’abord choqué par son odeur très forte : il ne devait pas être souvent lavé. Mais, curieusement, au lieu qu'elle me repousse, cette odeur me procura une excitation supplémentaire. Je le voulus soudain tout de suite et je fis glisser mes lèvres humides autour de son gland gorgé de sang.

Je fus un peu étonné par la sensation dans ma bouche : C’était lisse, sans aspérité, j’aurais dû ne pas être surpris, mais j’avais l’impression d’avoir une balle de caoutchouc dans la bouche tellement c'était doux, en contraste avec la rugosité de son possesseur. Comme déjà dit, son goût très fort m’excita donc, les narines pleines de son odeur, comme enivré, je me mis à le sucer avec fougue, trouvant instinctivement ce qu’il fallait faire pour lui donner du plaisir. Les gémissements que j’entendais montraient que je me débrouillais bien. Mon amant s’allongea sur le dos, je me mis sur le ventre, le torse sur sa hanche, les avant-bras appuyés sur ses cuisses pour être bien en face de sa grosse bite dressée. Je sentis alors la tranche de sa main écarter mes fesses et se glisser entre elles, et ce contact avec mon endroit le plus intime m’excita terriblement.

Je le suçais tellement bien que je sentis ce sexe déjà bien dur se durcir encore plus pendant que Daniel se mettait à grogner doucement. Son plaisir et ses râles redoublaient mon ardeur, mon travail fut bientôt récompensé car, après que son sexe se soit encore plus tendu, je le sentis vibrer dans ma bouche quand il jouit en grosses giclées épaisses qui vinrent remplir ma cavité buccale. Son sperme chaud et abondant avait lui aussi un goût très fort, dans le même registre que l'odeur de son sexe. Je percevais très bien les contractions de celui-ci dans ma main et ressentis une très forte satisfaction devant la manifestation de plaisir de cette puissance virile. Le cri guttural, presque animal, que j’entendis me confirma l’intensité de sa jouissance. Après avoir vidé ma bouche en avalant, sans être repoussé par ce liquide épais, je continuais à sucer avec une grande douceur ce sexe que la jouissance avait rendu hypersensible, arrachant d’autres râles à mon amant, jusqu’à ce que je le sente se détendre et se ramollir. Épuisé par l’effort que j’avais fait et surtout par l’énorme tension nerveuse que j’avais subie en si peu de temps, je m’allongeais sur le dos. Daniel vint m’embrasser avec force, prenant possession de ma bouche pour me montrer sa Domination. Puis, étendus côte à côte, nous plongeâmes tous deux dans un état de somnolence, jambes entrelacées…
(A suivre…)

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