La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1651)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1651) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1651)
juliensoumis au Château - (suite de l’épisode précédent N°1650) –
Puis, étendus côte à côte, nous plongeâmes tous deux dans un état de somnolence, jambes entrelacées…
Je ne sais pas combien de temps passa, mais je sentis une de ses mains me caresser de nouveau les fesses, ce qui me fit revenir à moi. J’étais couché sur le côté, une jambe légèrement repliée, et sa main explorait cet endroit qui, visiblement, l’intéressait beaucoup. Voyant que je me réveillais, il me lança sans équivoque :
- Alors comme ça, tu t’es donc fait défoncer hier soir, la petite salope !

Je ne pouvais nier les faits et je compris que ce fameux Marquis d’Evans l’avait mis au courant de ce qu’il avait constaté à la discothèque. Les gestes de cette main exploratrice, qui commençait à me faire rebander, me firent comprendre rapidement ce qu’il voulait.

- Oui Monsieur Daniel, lui répondis-je tout en sentant mes joues s’empourprer.
- Alors, je vais t’enculer, te défoncer, la pute !, Je veux profiter de ton cul de bâtard …
Son intention capitale, qui aurait dû me faire réfléchir longtemps, je la prenais pourtant en un quart de seconde, comme si j'avais perdu le contrôle de ma volonté. Daniel écarta alors mes jambes tout en continuant son massage vicieux. Puis, voyant que je réagissais à ses caresses, il vint présenter sa grosse bite à ma bouche. Malgré les traces de sperme à moitié séché accroché à ses poils, je m’en emparais avec entrain et m’appliquais à lui redonner sa première vigueur. Pendant ce temps, le Dominant s’appliquait à faire glisser ses doigts enduits de salive entre mes fesses, pour me préparer tout en pénétrant un doigt d’abord dans mon œillet, il le faisait aller et venir un long, très long moment, pour passer ensuite à deux doigts et finir avec trois doigts afin de bien dilater mes parois anales…. Puis il retira ses doigts inquisiteurs et me fit tourner sur le ventre, se mit en position entre mes jambes en m’exigeant de me cambrer. Daniel s’approcha et je sentis bientôt la chaude douceur de son gland humide entre mes fesses. D’une main, il le faisait glisser de haut en bas pour bien mouiller, me procurant ainsi des sensations extraordinaires, puis il le guida vers sa destination pendant que j’arrêtais de respirer. Lorsqu’il me pénétra l’anus d’un seul coup de reins, lentement mais avec force et sans s’arrêter, je poussais un cri de douleur.

Le sodomite semblait furieusement excité par cette saillie. En effet, je l’entendais souffler, ahaner comme un bûcheron en donnant désormais de grands coups de reins pendant que je serrais les dents afin de retenir mes cris. Et bien que sa lubrification augmentait, lui permettant de prendre son plaisir sans encombre, ma douleur ne diminuait toujours pas. Visiblement Daniel était très excité par mes fesses, bien rondes et sans poils, comme pratiquement tout mon corps dont la peau est très douce. J’étais aussi assez beau, avec des traits fins, légèrement féminins, sans être trop efféminé, sous des cheveux blonds bouclés. Lui était rustre, grossier, sale, viril, j’étais à peu près le contraire, et tout cela a décuplé son envie de me prendre sans retenue, enfin, c’était ce que j’en déduisais dans mes pensées. Cette surexcitation l’avait aussi rapidement amené à la jouissance, et Daniel s’était répandu en moi avec ce long cri rauque d’animal qui allait me devenir familier. Malgré la douleur, j’avais très bien senti les contractions de son épais sexe planté au fond de moi. Il était resté encore de longues minutes en coït anale, continuant ses mouvements lentement, finissant de se vider. Sa grosse queue, immergée dans son plaisir, glissait maintenant beaucoup mieux. Enfin, épuisé, il se retira et s’effondra sur le lit, tel un reproducteur après sa fécondation.

Pendant qu’il somnolait à mes côtés, je me suis rappelé son expression, " je vais t’enculer, te défoncer, la pute !", en pensant qu’elle était très appropriée dans mon cas. J’avais eu vraiment très mal, comme s’il m’avait déchiré, mais j’étais en même temps content et fier de l’avoir fait jouir aussi fort. Je me suis allongé, calme, ayant perdu toute excitation depuis cet assaut douloureux, réfléchissant à tout ce qui m’était arrivé en si peu de temps. A la veille et la Domination de Pierre, à ces saillies à la discothèque, à ce fameux Marquis d’Evans et à ce qui en a suivi aujourd’hui à ce que je vis avec ce Daniel… Les sensations, avaient été éblouissantes et infiniment supérieures à celles que j’avais éprouvées avec des filles, mais j’étais extrêmement troublé par cette découverte d’une partie de moi-même que j’ignorais complètement avant l’expérience de la veille. En moins de 24h, j’étais passé d'un état de garçon attiré sincèrement par les filles à un état féminin soumis aux envies sexuelles de mâles en boite de nuit, et d’un mâle de surcroit laid et sale, mais qui m’avait donné des plaisirs insoupçonnés : je me croyais un homme, je me découvrais homo et surtout soumis, certainement ce vieux fantasme enfoui tout au fond de moi qui ne demandait qu’à se révéler.

La facilité avec laquelle j’avais accepté cette situation et "basculé" dans ce nouvel état m’étonnait beaucoup : Cette absence de résistance et de réflexion montrait qu'un pan inconnu de ma personnalité attendait avec impatience des rencontres de ce type. Et comme j’éprouvais maintenant une grande sensation de bien-être psychique et de calme, je commençais à réaliser que seule l’absence d’occasion m’avait fait ignorer ma vraie nature servile. Comme déjà dit, j'aimais sincèrement les filles, mais avec elles, il y avait toujours cette longue période de séduction, avec tout ce baratin hypocrite à faire la cour, puis cette espèce de lutte contre leur corps, la nécessité d’essayer, sans avoir la certitude d’y parvenir, de leur donner du plaisir sans bien comprendre leur libido. C’était un effort permanent qui diminuait mon plaisir. D’ailleurs, je n’avais jamais "doublé" les quelques fois où j’avais couché avec des filles, une seule fois et "ciao !". Là, je n’avais qu’à m’offrir à ces mâles et à attendre que leur plaisir arrive : cette offrande de mon corps servile suffisait à nous combler tous les Dominants et moi le dominé. Et ma participation se faisait naturellement, sans effort, ni souci. Par rapport à mes relations avec des filles, c’était beaucoup plus facile mais, surtout, je me sentais extraordinairement en harmonie avec moi-même, dans une quiétude jamais ressentie jusque-là, je me découvrais donc….

Et pour aujourd’hui tout particulièrement, ce qui me troublait aussi était le contraste entre Daniel et moi. J'étais jeune, mignon, plutôt beau gosse juvénile, propre, éduqué, et pourtant j'avais accepté sans aucune difficulté son âge avancé, sa laideur, son manque d'hygiène et sa grossièreté, sa Dominance. Non seulement cela ne me dérangeait nullement, mais j'avais l'impression d'y trouver une excitation supplémentaire. Ma découverte des plaisirs de jeunesse, devant les graffitis, me revenait en tête : ces toilettes publiques, dans lesquelles j'étais entré par nécessité, étaient particulièrement répugnantes de saleté et d'odeurs infectes, pourtant, j'y étais revenu souvent, attiré par ces propositions de rendez-vous entre hommes ornées de dessins obscènes. Dans mon inconscient, ces sexes devaient m'attirer, et j'avais peut-être associé la crasse de l'endroit à des envies que je refoulais. Il se peut aussi que la révélation de ma nature profonde avait provoqué un plaisir et un bien-être tellement forts que je faisais abstraction de l'environnement pour ne plus penser qu'au sexe, à la luxure, à la débauche. J'ai eu, par la suite, l'occasion de fréquenter pas mal de lieux plutôt glauques (cinés, saunas) sans y éprouver la moindre gêne.

A cette époque, les homos devaient se cacher pour se retrouver, et c'était dans les lieux non fréquentés par "les autres" que les rencontres furtives se passaient. Quant à mon attirance pour des hommes Dominants beaucoup plus âgés que moi, elle n’est restée pas un mystère longtemps car c’était simplement ma Nature servile qui était demandeuse de cette réalité et cette attirance devenant un puissant besoin à la soumission fut confirmée par la suite par mes expériences que j’allais vivre dans les jours suivants avec l’entrée en scène de Monsieur le Marquis d’Evans qui fut, pour moi et pour bien d’autres, une véritable rencontre, celle qui vous change en profondeur les codes, les dogmes de la société judéo-chrétienne bien pensante, celle qui vous fait vivre et épanouir dans ce que vous êtes véritablement et pas dans ce que ladite société veut faire de nous, tout simplement… Ce ne sera donc pas une rencontre, mais La Rencontre …
Mais pour l’heure, je regardais ce corps massif assoupi qui avait joui deux fois. Sa virilité était bien supérieure à la mienne qui me semblait maintenant une pâle imitation. J’aperçus sa bite réduite dans l’inaction, ce sexe en un phallus conquérant, pouvant être douloureux, je savais que je le souhaiterais, malgré tout, encore et encore car il m’avait captivé et conquis, il m’avait possédé et fait ressentir ma soumission dans l’acte charnel, dans la saillie possédant mon corps soumis. Cette queue avait l’air inoffensif au repos mais, dès qu’elle serait dressée de nouveau, je sentais et savais que je serais subjugué encore par sa puissance virile et que je désirerais le satisfaire par tous les moyens, en me donnant comme une prostituée. Je décidais de faire un peu de toilette. Ramassant une espèce de serviette qui traînait au sol, j’allais dans la salle de bain, après m’être lavé dans une baignoire mal entretenue, je revins auprès de Daniel toujours somnolant Je le regardais un long moment et alors une idée me vint. Excité par ce qui me traversait la tête, je mis cette pensée de suite en application, j’entrepris de laver son sexe avec douceur, ce qui le fit mettre sur le dos, à moitié endormi. Saisi d’une subite inspiration, je me mis à genoux au-dessus de sa bite redevenue molle, jambes écartées, tourné vers ses pieds et, après l'avoir mouillé de ma salive, j’entrepris de lui faire un léger massage avec mes fesses en les glissant de haut en bas sur sa queue endormie, comme un véritable appel à la bite que j’effectuais avec mon cul frottant son entre-jambes, un appel à me faire prendre de nouveau, j’agissais telle une femelle en chaleur ayant ce profond besoin de copuler.

Daniel se réveilla alors, sans doute agréablement surpris par mes allers-retours langoureux. Malgré ses 52 ans, l’excitation le reprit et je sentis son sexe se durcir de nouveau lentement sous mes caresses lascives. La sensation du contact de cette grosse bite durcissant que je frottais contre moi était délicieuse. Au bout de quelques minutes, sa queue était suffisamment raide pour que le Dominant, la redressant d’une main, me pénètre à nouveau au moment où je redescendais mon cul et que mon œillet flétri se retrouva juste devant son gland épais. Sans doute bien aidé par la sodomie précédente qui avait cassé mes résistances et le sperme qui en restait, le vit pénétra en moi sans que je ressente cette fois-ci aucune douleur, me procurant une sensation sublime d’être rempli, possédé, pleine comme une femelle.

Là où je n’avais ressenti la première fois, qu’une très vive douleur, je sentais pleinement cette bite chaude et dure, mais douce en même temps, me pénétrer entièrement, me procurant un nouveau plaisir des plus enivrants. J’étais donc de nouveau excité avec la même force que celle de nos premiers contacts et, pendant de nombreuses minutes, j’en profitais à son rythme, me soulevant et me rabaissant lentement sur lui pour sentir toute sa longueur, appréciant particulièrement quand il était entièrement en moi, jusqu’à la garde. Daniel, préférant sa position Dominante, voulut me baiser en m’allongeant sur le dos pour qu’il me prenne comme une femme, mes cuisses écartées en la position du missionnaire. Remonté en haut du lit, replié sur moi-même, les jambes en l’air, je m’offrais à ce beau sexe recourbé, luisant de plaisir, dont le gland épais et violacé allait jouir encore de mes parties les plus intimes qui ne m’appartenaient plus. La beauté de cette verge tendue vers mon intimité qu'elle semblait viser, oscillant légèrement avec les mouvements de mon sodomite qui s'avançait entre mes jambes écartées fut un spectacle fascinant, ainsi je me sentais femelle, soumise, dominée, salope et chienne à la fois
Daniel me pénétra d’abord avec douceur, s’enfonçant au plus profond qu’il le pouvait puis s’immobilisa, bien planté dans mon fondement. Sa bouche vint se coller sur la mienne dans un baiser Dominant pendant que mes bras de putain l’enlaçaient. J’avais en même temps en moi sa langue inquisitrice dans ma bouche servile et sa grosse queue épaisse dans mon cul de salope en chaleur, et j’avoue que j’étais dans une plénitude de bonheur absolu. J’étais offert comme une femelle trempée, dans une espèce de nirvana où plus rien ne comptait que ce mâle dominant en train de me procurer un épanouissement sexuel dans un accouplement sublime et un plaisir jamais éprouvé. Je me sentais enfin moi-même, je me découvrais à moi-même, je savais que ma destinée inévitable, ma Nature servile, ma libido devenue lubrique étaient désormais de me donner ainsi corps et âme à des mâles Dominants.

Sans doute fatigué par ses premiers assauts, Daniel resta beaucoup plus longtemps en mon cul sans bouger dans un parfait coït anal, il me possédait physiquement et tel était son bon plaisir. Et quand il se décidait quelques mouvements de reins et après s’être enfoncé au plus profond de nouveau, il faisait souvent des pauses profondes pour m’embrasser fougueusement, investissant ma bouche, tournant sa langue invasive sur la mienne, avant de recommencer ses allers-retours qui ne provoquaient plus aucune douleur mais, en même temps qu’un fabuleux plaisir physique. L’extraordinaire sensation, et réalité, que mon corps servile était possédé par un autre homme, de plus est Dominant, me faisait vivre cet état de salope en chaleur qui était en moi. J’étais entièrement offert, ouvert à ses plaisirs, réceptif à ses envies, à sa Dominance et y participait dans une parfaite harmonie, me donnant sans compter. Je n’avais plus aucune limite, mon corps tout entier était à lui. J’étais devenu comme une femelle, une chienne dont le rut animal enlève toute pudeur et retenue. Le sodomite pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. J’adorais le sentir physiquement en moi et, mentalement, je jouissais qu’il prenne possession non seulement de tout mon corps mais aussi de ma volonté qui lui était maintenant entièrement soumise.

Cette dernière étreinte dura longtemps. À force d’excitation, il sentit monter son plaisir et un peu gêné par son ventre qui donnait de violents coups en avant, jusqu’à ce que l’accélération de ses allers-retours, suivie par son long cri rauque me prévienne qu’il se répandait en moi. Je jouissais presqu’en même temps que lui, et sans même me branler trop surexcité par les contractions de son sexe enfoncé au plus profond de mon corps le temps que son plaisir s’écoule entièrement. C’est alors qu’il se retira très rapidement, sa verge dégoulinante encore raide et m’envoya deux magistrales gifles :
- Qui t’a autorisé à jouir, espèce de bâtard. Tu n’es qu’une femelle pour servir de vide-couilles à ceux qui veulent bien te baiser, ni plus, ni moins… Tu seras puni pour cette éjaculation non autorisée. Mais ce ne sera pas moi qui va te punir, espèce de bâtard, ce sera Monsieur le Marquis d’Evans en personne à qui je vais lui faire un rapport détaillé de nos copulations. Il m’a expressément demandé de te tester, de t’utiliser sans modération, juste de te baiser autant que j’en ai envie pour tester ta réceptivité, ta performance à réceptionner la saillie, vérifier si tu es un bon enculé ou pas…
(A suivre …)

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