La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1652)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1652) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1652)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1645) –
Le Majordome referme la massive porte et part sans aucun autre mot… La porte claque et me voilà enfermé, esclave. Jamais je n'aurais imaginé, que toute ma vie aurait pu basculer si vite. J'ai faim, j'ai terriblement faim mais la fatigue aidant ainsi que le stress mélangé à un bien-être de ma nouvelle condition me plongent doucement dans un sommeil profond et réparateur. Je m'endors à même le sol, à même la paille, telle une bête. Oui je ne suis plus du tout un homme mais ce bien-être qui m'envahit me rappelle combien j'avais besoin de cela…. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais ce que je sais c’est qu’un coup de pied me réveille brusquement.

- Debout, faignasse !

Je ne sais plus où je suis, j'ai l'impression mélangée de me réveiller d'un sublime rêve ou d'un mauvais cauchemar mais pourtant je ressens une certaine joie de constater que c'est bien la réalité… La laisse est remise à mon collier et Monsieur Walter me tire à nouveau jusqu'aux cuisines via un dédale de couloirs des plus luxueux, feutrés et richement décorés. Je regarde à nouveau l’immense horloge qui trône à côté de la double-porte massive des cuisines, il est 18h15. J'entends fustiger la cuisinière, cette sadique femme me fait vraiment peur.

- Tient voilà la pute ! Lèche-moi les pieds pour me remercier de te donner à bouffer, et donc avant que je daigne te donner ta pitance dans cette gamelle !

Je ne me fais pas prier deux fois, j’ai trop faim. C’est en levrette prosternée, le cul bien relevé et mon visage à quelques centimètres de sa chaussure, que je sors ma langue et commence à lécher le dessus du soulier verni de Madame Marie.

- Et applique-toi, une gamelle de nourriture, ça se mérite !, sale putain
Je lèche parce que j’ai trop faim, mais aussi par peur de cette satanée femme. Elle me fait longuement lécher ses deux chaussures tout en n’arrêtant pas de m’insulter de mille appellations humiliantes et avant de me mettre, enfin, une gamelle sus mon nez, en me disant laconiquement :
- Et mange tout, espèce de bâtard, m’ordonne-t-elle en me donnant une terrible fessée sur mon cul arrondi.

Une gamelle avec des légumes dans une espèce de bouillie de morceaux de croûtes de pains détrempés. Je vois une sorte de petite crème blanchâtre déposée sur le dessus :
- Ta bouillie est à la sauce spermée de tes congénères ! Ca te vitaminera, le chien !, me lance-t-elle
Je comprends donc aisément que des esclaves soumis ont eu pour exigences de se vider les couilles sur cette infame bouillie. Mais j'ai tellement faim, que je plonge la tête dans cette gamelle et je mange cette pitance avec avidité. Je m'en mets partout en faisant un bruit d'animal, mais n'est-ce pas ce que je suis ? Une gamelle d'eau à côté. Alors que le Majordome boit un bon café assis au côté de cette sadique femme. Ils parlent tous les deux. Comme j’aimerai boire un bon café ! Monsieur Walter m'appelle :
- Viens ici, sale clébard, vient prendre d’autres vitamines.

Le Majordome a baissé son pantalon et son slip. Je comprends tout de suite et voyant leurs yeux noirs. Je n'ose répliquer. Je m'approche de Monsieur Walter, et mains dans le dos je prends son sexe en bouche pour la deuxième fois de la journée.

- Tu vois, Marie cette salope ce matin m’a presque ignoré, et le voilà suçant ma bite. Un véritable videur de couilles !
- Oui et quand Monsieur le Marquis me le remettra entre mes mains, il va souffrir ce sale bâtard, répliqua Madame Marie avec un ton des plus pervers.

Monsieur Walter me baise maintenant littéralement ma bouche, il ressort sa grosse et longue queue aux veines saillantes.

- Ouvre mieux la gueule, le chien.

Et une fois que j’ai la bouche grande ouverte, Monsieur Walter et Madame Marie me lâchent deux gros mulards dans ma cavité buccale.

- Aller, maintenant remet-toi à sucer, la putain !

Je suce et je suce encore cette énorme bite en sentant la mienne se durcir et se comprimer dans sa cage. Je me sens tout excité d'être traité ainsi. Dix bonnes minutes après Monsieur Walter se vide les couilles au fond de ma gorge, tout en me maintenant fermement de ses mains derrière ma nuque. J'avale tout ce sperme et je nettoie méticuleusement la verge de Monsieur Walter. Puis d’un coup de pied posé sur mon épaule, il me repousse :
- Maintenant, va finir ta gamelle, le chien !

Je me remets à avaler cette pitance et alors que Monsieur Walter prend encore un café, son téléphone sonne.

- Oui Monsieur le Marquis … Bien sûr ! … Bien Monsieur le Marquis, comptez sur moi. (s’adressant à Marie : ) Monsieur le Marquis veut que cette merde soit prête à la saillie.
- Bien, je m'en occupe.

Madame Marie prend la laisse et tire dessus avec force et me traine dans un long couloir plus étroit que les autres jusqu’à une haute porte richement sculptée.

- Avance salope et je ne veux pas t’entendre, sinon tu auras à faire à ma cravache !

La saillie ? De quoi parle t ils ? Je n’ai pas le temps de réfléchir plus à ça quand la perverse cuisinière me fait alors entrer dans une immense salle de bain toute carrelée de carreaux blanc du plafond au sol, sur les quatre murs. Il y a au fond sur tout un pan mural, une succession de pommeaux de douche accrochés à même le mur côte à côte et espacé d’un mètre chacun et sans aucune séparation. Elle me jette alors sous une de ces douches sommaires. Mais au lieu d’actionner le pommeau, elle sort un long tuyau d’arrosage, genre lance à incendie et me lave à l'eau froide, voire glacée, à grands jets d’eau qui me font trembler de tout mon corps nu.

- Quoi ?, tu pensais pas que j’allais demander si l'eau de monsieur était assez chaude ?, espèce de bâtard.

Puis Madame Marie me frotte avec un gant de crin aux poils durs et qui fait de suite rougir ma peau, elle me tourne et me retourne sans ménagement et avec un sévère regard silencieux et empli de mépris. Elle me dit à me mettre à quatre pattes et sans ménagement, elle m’enfile un objet dans mon anus. Je devine que c’est un tuyau avec une poire de lavement car je sens du liquide entrer dans mes intestins. Alors instinctivement, telle une chienne en chaleur, j’ouvre ainsi mes parois anales sur le tuyau pour mieux m’offrir. Et par conséquence, subitement, je me prends une gifle !

- Ferme mieux ton cul, ne laisse rien couler de ton cul, sale putain.

Alors, je me contracte et retiens l'eau le plus longtemps possible et lorsqu'elle me gueule de tout lâcher, je me vide les boyaux et cela 6 fois de suite jusqu'à que mes intestins soient propres.

- Voilà, sale pute, je crois que ça y’est, enfin quelle salope, tu es, me dit-elle tout en me giflant deux fois, comme ça gratuitement, juste par sadisme contenu.

Madame Marie me remet ma laisse et m’impose de rester immobile là pendant que mon corps sèche tout seul. Je frissonne de froid, mais cela laisse la cuisinière de marbre. Durant ces 20 minutes où je reste à quatre pattes en train de sécher, elle soulève sa jupe noir et dévoile son minou parfaitement lisse et m’exige de lui lécher son sexe. Et elle jouit plusieurs fois de ma langue baladeuse dans sa chatte et sur son clitoris, tout en me lâchant un flot de cyprine, elle plaque à chaque fois ma tête contre son bas-ventre. Et là encore en me fustigeant de mille insultes dégradantes. Une fois que je suis séché, elle me fait sortir de la douche par de violents coups de badine.

- Sors de là, sale pute, espèce de salope.

La vicieuse cuisinière me traîne jusqu'au couloir où Monsieur Walter est en train de frapper le cul rougi d’une femelle soumise positionnée en levrette et prosternée au milieu dudit couloir. Le Majordome lui dit :
- Il y a de la poussière sur le guéridon, là devant cette porte. C’est 50 coups de badines, tu connais le tarif !
- Walter, tiens voilà ce bâtard de chien, emmène-le chez Monsieur Le Marquis. Laisse-moi cette femelle, je vais la corriger à ta place ! La poussière sur les meubles est strictement sanctionnée ici pour celle qui est en charge du ménage de ce couloir !

Entendant les coups de badines sur les fesses de la pauvre soumise sanctionnée, je suis trainé toujours en quadrupédie via ma laisse par Monsieur Walter de couloirs en couloirs et d'étages en étages jusqu'à la porte du bureau du Maître où il me stoppe. Le Majordome frappe à la porte :
- Entre, mon cher Walter- Monsieur le Marquis, c'est le chien que Vous avez exigé, il est préparé, lavé…- Merci Walter, laisse-nous !

Je suis là, à quatre pattes, ma laisse pendant et touchant le sol. Le Noble ne dit rien, il est derrière Son bureau. Je me sens heureux d'être là, je ressens un profond bien-être d'être auprès du Maitre. Je sens ma nouille se durcir dans ma cage. 10 minutes, 20 minutes dans le plus grand silence.... Pas un mot. Je n'ose pas bouger, je suis totalement immobile, à genoux, mes mains derrière la nuque, le buste droit avec les fesses ne touchant pas les talons. J'ai peur et en même temps, je suis très excité. Ce n’est qu’au bout d’une petite demi-heure que j’entends Monsieur le Marquis m’exiger :
- Viens sous le bureau, salope !

L'ordre claque avec une voix puissante. Je me déplace alors à quatre pattes sous l'imposant bureau style Louis XV du Maitre.

- Tu vas me sucer, le chien, Mais attention, quoiqu'il arrive, quoique tu entendes, tu suces ! Je te dis cela car tu risques d’être très surpris par mes deux conversations qui vont, de suite, avoir lieu. Est-ce clair ?
- Oui Maitre …
(A suivre …)

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