La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1653) - histoire érotique

Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1652) –
- Oui Maitre …- OK, alors quand je te tapote ta tête, tu lèches les couilles du Maitre et quand je refrappe un petit coup, tu suces. Est-ce toujours clair ?

- Oui Maitre- Alors suces salope, et surtout pas un mot à ce que tu vas entendre !

Je me demande bien ce que le Maître a voulu dire avec ces mots : ‘’ … quoiqu'il arrive, quoique tu entendes, tu suces ! Je te dis cela car tu risques d’être très surpris par mes deux conversations qui vont, de suite, avoir lieu… ’’ Qu’est-ce donc que je vais entendre de su surprenant ? Je me demande bien ce qui pourrait tant me surprendre ! Enfin ! on verra bien ! En attendant, j’obéis en ne disant aucun mot et en prenant la noble Verge du Châtelain en bouche et je le suce avec gourmandise, je l’avoue. Je suis comme en transe. Je me sens réellement et pour la première fois véritablement à ma place. Je m'enfonce Son gros sexe veiné et imposant au fond de ma gorge, ma langue tourne autour. J'apprends de mieux en mieux à sucer. Une petite frappe sur le crâne et, je lèche les couilles du Maitre. Je sens mon corps servile tout excité, j'ai une forte envie de me branler mais je ne peux pas... comme c’est dur de ne pas pouvoir se soulager ! Mais je suis à ma place et je dois accepter cette position de servilité qui laisse exprimer ma propre Nature. Une autre frappe, alors je suce de nouveau cette volumineuse bite, si belle, si grosse, si longue et je bave sur mon menton. Ça coule sur mon cou et mon ventre mais je suis vraiment en transe. Quand j'entends le Noble composer un numéro de téléphone... Bipppp Bipppp bipppp... Que vais-je donc entendre qui devrait me surprendre ?

- Allo, Maxime ?....., oui bonjour, tu vas bien, c’est Edouard …. Je t’appelle au sujet de ton employé Matthieu.

Mon sang se glace ! Il parle à mon directeur ! J’en suis tellement estomaqué que je m'arrête de sucer alors je prends une gifle magistrale... Ouchhh quelle douleur ! Je suce à nouveau comme la salope que je suis devenue. Mais comment connait-Il mon directeur pour le tutoyer ainsi ? Et Maxime m’a toujours laissé croire qu’il ne connaissait pas Monsieur le Marquis d’Evans, mais juste vaguement de nom ! Je reste sans voix, tétanisé par cette réalité, j’en reviens pas, mon directeur connait le Maître !

- Bon, finalement, cette putain de Matthieu a signé … Oui en effet, tu avais raison Maxime, tu en n’as jamais douté ! … Quoi, tu me demandes comment je l’ai baptisé ? Eh bien, esclave Katia !... Oui en effet, c’est un joli nom de putain !… Alors je le garde jusqu'à demain pour commencer ! … Dis-Moi Maxime, tu as, s’il te plait, le numéro de téléphone de son épouse, afin que je l’avertisse personnellement ?… Attend je le note … OK merci ! … Par ailleurs, je peux toujours compter sur toi, pour venir à la grande réunion trimestrielle de notre club privé ‘‘Les Supérieurs’’ ? … Oui bien entendu, tu auras droit à baiser la même chienne femelle que la dernière fois, sans souci ! C’est bien celle que tu avais fouetté sur la croix de Saint-André ?… Oui, alors c’est bien elle… Pas de problème Maxime ! … Aller, je te laisse… esclave Katia est en ce moment au labeur et il ne faut pas qu’il baisse l’intensité de son travail !... Embrasse ta femme, salut Maxime, A bientôt ! …
Clac, Il raccroche. Je suis stupéfait, sans voix, Quelle incroyable surprise d’apprendre que mon directeur fait partie de ce club privé ‘‘Les Supérieurs’’ et donc qu’il est un Dominant notoire et qu’il a déjà eu l’occasion de baiser une, et peut-être plusieurs, soumise du Cheptel du Maître… Alors que moi, je suis là sous ce bureau nu, complètement rasé en train de sucer les mains dans le dos, le Grand Maître ! Je suis également saisi de stupéfaction d’apprendre qu’Il va téléphoner à ma femme ! Et que c’est Maxime, mon directeur lui-même qui lui a donné son numéro ! En attendant, je suce avidement et toujours la verge du Maitre, cette superbe verge est tendue, dure et depuis 10 minutes je le suce. Puis j’entends Bipppp bipppp bippp …
- Bonsoir madame, je me présente, je suis Monsieur Le Marquis d’Évans.

Je suis honteux, troublé, mais paradoxalement fort excité.

- Je viens vous prévenir que votre mari sera absent jusqu'à demain. Son directeur est prévenu, il travaille sur un important chantier à Mon Château en Beaujolais. Je m’engage à le nourrir et le loger gratuitement ! L’hospitalité est une tradition chez Moi ! Et je voulais vous prévenir Moi-même, histoire de correction. Actuellement il ne peut vous parler car il s'active à accomplir une tâche très urgente. Et cet appel a pour but de ne pas vous inquiéter qu’il ne rentrera pas ce soir…
Et là je me prends une frappe... Je me mets à lécher les couilles du Maitre.

- Oui oui pas de souci, il vous contactera demain sans faute… Non c'est bien normal de vous avertir Madame et permettez-moi de vous dire que vous avez une voix magnifique... Je n'ose imaginer votre beauté !

Une autre claque... Je suce, Il drague ma femme pendant que je le suce !

- Je vous souhaite une excellente soirée Madame et en dédommagement Mon majordome viendra d'ici 1h vous apporter un présent. Non, non j'insiste, c'est normal…. Bonne soirée, Chère Madame et à bientôt j'espère faire votre connaissance… Mes respects, bonsoir Madame… (Clac, il raccroche)
- Va y salope suce, c’est pour cela que tu existes maintenant, sale putain.

Je suis anéanti, je me rends compte que plus rien ne m'appartient et que personne ne m'attend ce soir. Je repense aussi à mon directeur ! Qui l’eut cru ! Moi qui le croyait être un homme sans histoire ! Je me dis aussi que je vais rester là... Un coup de pied me repousse et me voilà étendu au milieu du bureau. Le Châtelain me saisit par la laisse, Il me couche sur le ventre sur Son bureau et plaque ma tête sur Ses papiers.

- Je vais maintenant prendre possession de ce qui m'appartient, espèce de bâtard !

Le Maitre fait descendre totalement Son pantalon. Il positionne mon cul au bord du bureau... Non, j'ai peur, je n’ai jamais été sodomisé et je ne pensais pas et surtout je ne désire pas l'être.... Mais je n'ose rien dire, j'ai terriblement peur... Ma tête posée sur le bureau, je sens le Noble derrière mon dos. Une énorme claque sur mon cul.

- Tu ne bouges pas la pute, tu subis en fermant ta gueule de chien !

Alors je sens un liquide froid couler le long de ma raie anale, je pense que c'est du lubrifiant. Moi qui disait, avec mes idées machistes que c’était toujours les femmes qui se faisait sodomiser ! Voilà que je suis couché sur le bureau du Maitre et que je vais me faire enculer comme une chienne.

- Ecarte tes fesses, la salope, ouvre ton cul de putain.

Avec mes deux mains j’écarte alors mes fesses et mon trou du cul est maintenant bien visible au Noble. Je sens Son gland gros et dur se poser sur mon œillet flétri. Il le frotte contre ma raie et le repositionne pour le pousser d’un seul coup de reins puissant afin de m’emmancher... Ouhhhh comme j'ai mal, j'essaie de me défaire, clakkk, une fulgurante gifle vole d’un coup sur ma figure.

- Tu subis la pute et tu te tais !

Inexorablement, je sens le gland défoncer mon œillet, quelle douleur... Je me mords les lèvres et je ne peux m'empêcher de crier. Je ressens comme une barre de feu qui me déchire, me détruit mon cul ! Le Châtelain pousse sans s'occuper de mes cris et dans une dernière et profonde poussée... Ca y est, je sens son pubis contre mes fesses. Il ne bouge plus afin de laisser mon anus, mes parois anales accepter cette intrusion, afin que mon cul prenne la forme de ce gros calibre et se dilate. Je pleure de douleurs, je souffre comme jamais, mais paradoxalement je sens ma nouille fortement excitée dans sa cage. Si mon sexe n’était pas encagée, elle serait droite en une forte érection, il n’y en a pas à douter ! Et, doucement, ça y’est, le Maitre ressort et rentre. Il commence à m’enculer. La douleur est là et elle est vive. Et l’excitation mentale et physique est aussi bien présentes. Mais tout doucement, je sens que mon cul accepte maintenant cette grosse verge plantée en coït tout au fond de mon fondement. Le Noble le sait et accélère, Il me prend fermement les hanches et me bourre le cul, me défonce. Je suis obligé de m’accrocher au bureau tellement je suis défoncé. Et ma nature trop longtemps enfouie, cette nature qui maintenant contrôle ma vie me pousse à gémir comme une chienne en chaleur... Oui gémir et ressentir un pur bonheur que d'être là, enculé par le Maître comme une chienne, défoncé comme une putain. Je gémis comme une femelle, c'est fou, je devrais être honteux, dégouté, et pourtant j'ai envie de jouir, de me branler, je gémis de plus en plus fort à chaque coup de bite qui me transcende, qui m’emmène à des plaisirs jusque-là inconnus. Le Châtelain me défonce le cul et je suis à ma place. Oui subir, être un objet de plaisir, être une bonne salope. C'est fou, désormais je ne ressens plus de douleurs, je sens mon cul dilaté, le passage est fait et je me fais ramoner copieusement. Et je couine comme une chienne, que dis-je ? Je suis une chienne et le Mâle Dominant me défonce et je me sens en osmose avec ma servilité. Le Châtelain ressort complètement de mon cul, me jette à genoux.

- Ouvre la gueule, le chien !

Et le Noble me crache sur le visage et dans la bouche et enfonce Sa grosse verge dans ma gorge.

- Suce, la pute !

Je suce le Maitre comme un affamé, je ne suis plus moi-même, je ne contrôle plus rien, ma nature servile maintenant trône sur ma vie. Je bave sur la Verge du Maitre, je le suce sans être écœuré car je réalise qu'elle sort de mon cul. Il me fait mettre en levrette et à nouveau Il m’encule, me défonce littéralement mon trou, à même le sol. Ses coups de reins sont cadencés, puissants, profonds, virils… Le Châtelain accélère en poussant des cris de Mâle alpha quand Il se vide dans mes intestins tandis qu’Il me fesse le cul de dizaine de claques, tout en éjaculant des flots saccadés de semence dans mes entrailles. En effet, je sens cinq ou six giclées brûlantes de sperme remplir mon cul. Je gémis et j’essaie de toucher ma queue excitée et encagée. Le Maître me fait mettre à genoux.

- Nettoie la pute ! …
(A suivre …)