La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1654)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1654) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1654)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1653) –
- Nettoie la pute ! …
Servilement, je nettoie la Verge du Maitre, avec ma langue qui se veut des plus motivées. Je suce en sentant mon cul complètement ouvert avec du sperme qui en dégouline. Je sens ma queue essayer de se tendre mais ma cage la bloque inévitablement.

- Parfait, Mon esclave ! Ton cul est étroit, mais j’ai largement les moyens de le rendre beaucoup plus réceptif à la saillie ! Tu subiras un entrainement régulier pour cela ! Tu verras d’ici quelques temps, ton cul sera vaginalisé et acceptera beaucoup plus aisément les grosses queues en s’habituant à se faire remplir ! … Bien pour l’heure, tu restes ainsi à genoux à même le sol, à Ma disposition, les mains derrière la nuque et tu ne bouges plus … Je sens que dans pas très longtemps j’aurai de nouveau envie de te gicler dessus, le chien !

Le Châtelain quitte le bureau et je reste ainsi environ une bonne heure, seul, et mes muscles me font mal à rester dans cette immobilisme imposé. Ce n’est qu’au bout de cette heure passée que le Maître revient et je le sens également à nouveau devenir dur quand Il m’impose de le prendre à nouveau en bouche. Je lèche Ses couilles, je suce Sa Verge encore et avec soumission et je sens Le Châtelain me tenir la tête et me défoncer la bouche pendant au moins 5 bonnes minutes, prenant, baisant ma bouche comme un vagin. Ensuite Le Maitre sort Son viril sexe :
- Ouvre bien la gueule, la pute et tire la langue.

J’obéis complètement soumis. Le Maitre se vide à nouveau les couilles mais cette fois sur mon visage. Je reçois un premier jet de sperme sur mon front et ensuite sur ma joue et les derniers, bien dans ma bouche. Je sens la semence couler sur mon visage, couler dans ma gorge… En une journée, voilà ce que je suis devenu. Un vide-couilles, une pute soumise à cet homme que je ne connaissais pas il y a deux jours… Et que visiblement mon directeur connait depuis bien longtemps ! Ce qui me laisse à penser que ce n’est pas le hasard, comme je le supposais, qui m’a amené jusqu’au Château mais bel et bien une sorte de connivence entre mon directeur, Maxime, et le Noble. Maxime qui a du me proposer au Châtelain en m’envoyant au Château à la place d’un éventuel collègue. Donc ma question qui se pose en mon esprit est de savoir comment Maxime a deviné que j’avais des prédispositions à la soumission ? Je n’ai pas le temps de trop y réfléchir car j’entends le Maître m’exiger :
- Lèche Ma semence que tu as sur la gueule, salope. On ne perd rien de la semence Du Maitre. C'est un honneur pour toi sale bâtard de l'avaler. Remercie le Maitre pour cela !

- Merci Maître de me donner ce privilège de goûter et d'avaler Votre nectar.

Avec mes doigts, je récupère le sperme et l’avale en bonne salope que je deviens. Ensuite, le Châtelain me met la tête sur le sol.

- Nettoie Mon sperme qui est sorti de ton cul, sale chien, Il ne faut rien perdre de ce qui vient de Moi… Lèche le sol…
Bien sûr, ai-je d'autres choix que de m'exécuter ? Je nettoie avec ma langue, je nettoie ce sperme mélangé à l'odeur de mon cul. Non vraiment, je ne suis plus un homme, mais comment expliquer ce bien-être, ce sentiment auquel j’avais besoin. Ma queue est dure et j'ai besoin de me branler. Je suis tellement excité que j’ose dire au Maitre que j'ai besoin de me branler... J'aimerais tellement qu'il m'enlève cette cage !

- Quoi ? Espèce de sale putain ! Tu n'as plus rien à réclamer, rien à espérer. Tu n'es qu'une sous-merde, un esclave, tu apprendras crois-moi que tu n’as pas le droit de réclamer, jamais tu dois ouvrir ta gueule si on ne te l’a pas exigé. (Il prend son téléphone)… Walter, viens chercher ce chien. Il a osé ouvrir la gueule pour demander de se branler ! Donc tu sais le châtiment à lui infliger pour cette faute, pour qu’il apprenne ce que veut dire le mot O.B.E.I.R. ! Je compte sur toi !...

Cinq minutes passent et quelqu'un frappe à la porte.

- Entre Walter. Emmène cette salope et punis là, sévèrement. Il doit apprendre à obéir et fermer sa gueule. Y'a du boulot pour en faire un bon esclave, mais il deviendra une véritable salope à notre service, crois-moi et il me remerciera ! Je sais très bien ce dont ont besoin cette espèce de chien !
- Oh oui, Monsieur le Marquis. Il ne sait pas ce qui l'attend. On va en faire une bonne salope pour Dominants !... (puis s’adressant à moi : ) Aller, viens sale bâtard, tu vas apprendre à mieux me connaître.

Le Châtelain et le Majordome se mettent tous deux à ricaner ! La peur m'envahit.... Je ne l’aime pas ce sinistre oiseau de Walter ! … Ce dernier me tire par la laisse rudement et je dois avancer rapidement pour ne pas être étranglé. On sort du bureau de Monsieur le Marquis et on traverse plusieurs pièces d'une beauté exceptionnelle. On entre dans une grande pièce. Je n'en reviens pas, c'est encore une salle de punition ou plutôt de tortures. Je vois des fouets, des badines, des tables avec des chaînes. Je me mets à trembler comme une fillette. Oui j'ai peur ! Je m'aperçois que le Maitre a beaucoup de soumises et soumis, très certainement des dizaines et des dizaines à Son service. Deux femmes nues et absolument très belles, soumises donc ou plutôt esclaves sont attachées debout à des poteaux les mains surélevés, elles sont silencieuses, têtes baissées. Je vois tous leurs corps marqués, lacérés de coups.

- Tu vois la pute, ces salopes ont désobéis. Un esclave doit O. B. E. I. R.

Le Majordome m'attache les deux mains à un anneau et il tire une corde qui lève mes bras. Je me retrouve sur la pointe des pieds à l’instar des deux femelles esclaves. Tendu à l'extrême. Je regarde une de ces jeunes femmes, à la poitrine généreuse, à la silhouette magnifiquement belle et elle est zébrée de coups sur son dos et ses fesses. Elle a la tête baissée. J'ai vraiment peur de ce Monsieur Walter.

- Ecoute bien sale bâtard, tu n'as plus rien d'autre à faire qu’obéir. OBEIR ! Tu vas souffrir jusqu'à que ta cervelle de clébard comprenne cela. Rien ne doit compter maintenant, seulement obéir à Monsieur Le Marquis, le Maitre ! Avec ça tu apprendras plus vite.

Monsieur Walter décroche du mur un fouet, je me mets à le supplier, à l’implorer
- J’obéirai, je... je... je serai obéissant… je vous en supplie …. pas le fouet....
- Ta geuleeee, sale bâtard, ferme ta gueule !

Ya deux jours j'avais ma vie, mes loisirs, ma bonne bouffe, ma femme, ma vie d'homme, ma liberté.... Et me voilà nu, attaché, un collier autour du cou et prêt à être fouetté ! Je ferme ma gueule en espérant qu'il ne frappe pas. Je suppose que c'est pour me faire juste peur. Frooooooooot une douleur vive, inexprimable, brulante me traverse le corps. Ahhhhhhhh il m'a donné un coup de fouet. Rien qu’un coup et une longue marque apparaît sur mon dos. Si je n'étais pas attaché je serais tombé à terre. Ohhh comme j'ai mal mais ma nouille encagée fait son maximum pour se redresser ce qui lui est impossible !

- Tu sers à quoi, sale chien ?
- A obéir- A qui ?
- A obéir au Maitre, Monsieur Walter. Ma voix est toute tremblante. J'ai tellement mal !

Froooooooot ahhhhhhhhhhhhh
- Quand Le Maitre claque des doigts, tu te mets prosterné et tu ouvres ton cul... Répète, salope.

Difficilement, j'essaie de répéter mais j'ai tellement mal !

- Quand leee Maitre claqqque des doigts jjejejee dois me prosssterner etttt ouvrir mon cul.

Frooooooooot
- Répète encore, la putain
Et je répète, et répète encore. Cinq coups de fouet, je suis anéanti, brisé, tout en moi capitule. J'ai tellement mal, je ne sais plus où se trouve la douleur, depuis ce matin j'ai tellement pris qu'elle est partout. Comme mon excitation galopante, latente, si forte, si ressentie, que je crois que je vais éjaculer dans ma cage de chasteté ! Le Majordome voit mon excitation :
- Et tu continues à bander dans ta cage, espèce de bâtard. Monsieur Le Marquis a raison, tu es un vrai chien qui aime les coups, la pute !

Le Majordome me détache, je m'écroule à terre. Cinq longues zébrures sur mon dos et fesses. Elles deviennent déjà bleues.

- A genoux salope
Son sexe est là devant moi. Il ne dit rien mais j'ai compris ce que je dois faire, ce que je ferai à chaque fois afin d'éviter le fouet et cette terrible douleur qui pourtant m'excite terriblement à un degré inimaginable. Je mets les mains dans le dos et pour la troisième fois depuis ce matin, je suce Monsieur Walter. Il est là debout et c'est moi à genoux qui fait des allers et retours sur sa bite longue et dur. Je le suce comme la putain que je deviens.

- Ouvre la gueule, le chien
Le Majordome me crache dans la bouche et m’ordonne de sucer. Je suce, je lèche ses couilles, sa hampe, je le pompe comme une salope. Je retrouve cette plénitude inexplicable d’être là à genoux, une bite dans ma bouche et malgré la douleur je suis tout excité de sucer la grosse bite de Monsieur Walter. Il me tient les cheveux et me donne le rythme pendant dix ou quinze minutes, il se retire. Il claque des doigts. Cinq secondes pour comprendre qu’il veut voir si j’ai bien compris la leçon.... Vite, je me prosterne et j’ouvre mon cul avec mes deux mains. Je sens son sexe s'appuyer contre mon anus et il s'enfonce en moi dans un coup de reins fulgurant. Cet homme que ce matin même je regardais de haut est en train de m’enculer comme une chienne. Encore douloureux de la pénétration du Maitre, mon anus me brûle mais Monsieur Walter n'en a que faire. Il s'enfonce dans mon cul sous mes gémissements de douleur. Ça y’est mon cul a avalé son sexe et il commence à me ramoner avec violence. Il me bourre le cul en m’insultant. Je suis sodomisé sans ménagement et c’est paradoxal mais en même temps je sens mon corps tout excité en un profond bien être d'être ainsi traité. Ma nature servile m'a emmenée là où elle voulait. Je me mets à gémir mais de plaisir et de bien-être. Oui, je suis excité et j'ai toujours cette folle envie de jouir. Plus de vingt minutes à me défoncer sous mes gémissements et quand le Majordome ressort.

- A genoux sale bâtard et ouvre ta gueule. J’obéis et il se vide les couilles sur mon visage en plusieurs giclées de sperme chaud.

J'en ai partout et ça coule sur mon front, mes lèvres, mon menton et sur mon cou.

Le Majordome me crache sur la figure.

- Nettoie salope !

Et complètement anéanti, je nettoie, comme tantôt avec le Maître, sa bite qui sent le sperme et mon cul. Il me relève, me rattache, tire à nouveau sur la corde et me revoilà suspendu. Monsieur Walter me laisse comme cela, part en claquant la porte. Ma tête est baissée, le sperme coule le long de mon visage et quelques gouttes tombent à terre avant que le reste ne colle à ma peau… Je ne sais pas qu'elle heure il est, je ne sais plus qui je suis, je suis brisé mais heureux de vivre ce que je suis. Mon cul me fait mal, mon dos et mes fesses sont fortement rougis et pourtant je bande dans ma cage. Je sens quelque chose se briser en moi. Je sens non seulement ma véritable nature contrôler maintenant ma vie mais elle cherche à détruire définitivement mon moi, cet égo ainsi que ma vie vanille. Il n'a fallu qu'une journée au Maitre pour prendre complètement possession de moi. Complètement épuisé après cette journée marquée à tout jamais dans mon esprit, je finis par m'endormir suspendu, mon collier autour du cou, ma cage enfermant mon sexe, du sperme séché sur mon visage et mon dos et fesses ravagés… Je n'ai plus la notion du temps, lorsque la porte s'ouvre je sursaute et je n'imagine pas qu'il est déjà 21h. Monsieur Walter me détache, je tombe par terre.

- A genoux salope, tu vas apprendre une dernière chose très importante ce soir. Quand tu vois le Maitre, tu te prosternes en levrette et tu attends, quand tu vois d'autres Dominants ou Dominas, ou quand tu vois Madame Marie ou moi-même, tu te mets à genoux comme l'être inférieur que tu es. Est-ce clair ?
- Oui, Monsieur Walter, répondis-je tout tremblant.
- Que Le Maitre n'est jamais à te le dire ou répéter car crois-moi ce que tu as subi n'est rien à côté de ce que Monsieur le Marquis te fera !

Le Majordome défait les liens des deux soumises, puis leur met comme à moi une laisse.

- Aller, les salopes on avance ! …
(A suivre …)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1654)
Histoire sexe : Une rose rouge
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