La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1660)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1660)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1654) –
- Aller, les salopes, on avance ! …
Encore une fois me voilà reparti à quatre pattes dans les longs et nombreux couloirs. Je suis exténué, j'ai mal partout, j'ai faim, je pue la sueur et le sperme. Et tout en avançant, je sens encore ma nouille emprisonnée, essayer de se redresser dans sa cage de chasteté. Une seule journée et me voilà complètement changé ! Monsieur Walter fait rentrer les deux soumises dans une pièce. Ensuite, il me mène plus loin et après avoir franchi une massive porte de chêne verni, on descend de nouveau des escaliers en colimaçon. Puis on traverse encore des couloirs quand je reconnais les cachots.
- Rentre ici, dans ce qui te sert désormais de logis, espèce de bâtard.
Et après m'avoir menotté les mains dans le dos, le Majordome me pousse dans ce cachot et la porte claque derrière moi me laissant seul.... Ça y’est, je suis couché sur la paille. Les murs épais sont de pierres équarries et un petit soupirail placé juste dans le haut du mur sous la voute laisse passer l’air et un peu de jour. Mais nous sommes le soir et il fait déjà nuit alors que mes yeux commencent à s'habituer à l'obscurité quand je vois une gamelle. Elle est remplie d'une espèce de pâtée pour chien... Ça pue ! Je ne souhaite pas manger ça... Mais au bout d'une heure, mon estomac crie famine. Étant menotté, je n'ai pas d'autre choix que de manger agenouillé, penché en avant la tête dans cette gamelle. Je mange de la pâtée pour chien ! Que suis-je devenu ? Un homo ? Un maso ? Les deux ? Un chien, ça c'est certain, évident… J'en ai de partout sur le visage. Je pue le sperme, le cul, la bouffe de chien. Finalement ma nature servile me fait comprendre que ma vie, c'est de ne plus réfléchir, ne plus décider, ne plus penser mais juste obéir et en tirer un bonheur puissant. Je repense à Monsieur Le Marquis parlant avec ma femme pendant que j'étais là, à genoux, en train de Le sucer comme une pute... De penser à cela me fait encore douloureusement bander dans ma cage. Je trouve une autre gamelle, celle-ci pleine d'eau, je bois, et je bois encore, enfin je lape plutôt comme un chien assoiffé. Je repense à Maxime, mon directeur... Comment a t’il su que j’avais des prédispositions à la soumission ? Comment a t’il osé me conduire ici ? Comment se fait-il qu’il connaisse si bien Monsieur le Marquis ? J'aurai maintenant terriblement honte de me trouver devant lui.... Mais je suis très loin d'imaginer ce qu'il m'attend ! Épuisé je finis par m’endormir. Il est déjà 23h45. Quelle journée ! Je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir, je sens un petit coup de pieds secouant énergiquement mon épaule.
- Debout salope, tu te crois au club Med ? … Espèce de bâtard, tu vas découvrir à quoi tu sers réellement.
Je pensais vivre un rêve mais je m'aperçois que tout est bien réel et franchement j'aurai été déçu qu'il en soit autrement tellement ma nature servile me contrôle maintenant. Monsieur Walter me met la laisse et me sort par le côté arrière du Château dans une sorte de petit parc, délimité par de hautes haies de thuyas parfaitement taillées, où se trouve déjà quelques soumises et soumis. Monsieur Walter me fait venir prêt d'un tronc d’arbre où un épais paillage circulaire entoure la base du tronc.
- Aller salope, fait ce que t'a à faire et vite sinon tu attendras ce soir.
Je ne comprends pas, je regarde autour de moi et je vois une soumise en train de faire ses besoins contre un autre arbre... Je ne peux pas faire ça comme ça, ce n’est pas possible ! Un coup de cravache me surprend.
- Va y salope.... Dépêche ! Considère ce paillage comme ta litière pour chien, espèce de bâtard…
Honteux... Je pisse comme un chien et ne pouvant me retenir je défèque par terre comme un animal... Quel changement, que suis-je devenu ? … Toujours en position quadrupède, je m'en suis mis sur les cuisses, les jambes, je suis vraiment puant et sale. Le Majordome me tire par la laisse et me fait entrer dans une vaste salle de bain entièrement carrelée, genre grande pièce d’eau des anciens pensionnats avec toute une suite de lavabos d’un côté et des douches communes sans cloisons de l’autre. Il prend un tuyau d’arrosage et son jet d’eau froide m'asperge le corps et le cul souillés afin de me nettoyer en me traitant de tous les noms. Il m'attache ensuite dehors à un piquet pour me laisser sécher alors que je frissonne de spasmes à cause de la fraicheur de la nuit, car c'est peut-être le printemps mais je tremble quand même de froid... Ensuite, je suis ramené dans mon cachot où péniblement je trouve enfin le sommeil à même le sol, sur la paille… Le matin arrive, les rayons du soleil traversent le soupirail et apporte un minimum de clarté dans ma cellule, il n'est que 7h du matin ! Je n’ai plus de montre, celle-ci m’a été confisquée, comme toutes mes affaires, ma voiture ou même mon téléphone portable qui aurait pu m’indiquer l’heure… Mais je sais l’heure car j’entends l’horloge du clocher de la chapelle du Château qui sonne sept coups. Je reste là plus d'une heure à quatre pattes, jusqu’à que j’entende les huit coups sonner… J'ai faim, j’ai soif et j'ai froid… Le voilà enfin qui revient. Il me détache et me tire sans ménagement jusqu'à la cuisine sans un mot, juste quelques coups appuyés de cravache sur mon cul pour e faire avancer, comme une bête de somme. Là une gamelle remplie de cette bouillie infecte d’hier soir m'attend... Non je ne peux pas, j'ai tellement envie de boire un bon café avec des croissants... D’ailleurs, c'est ce que mangent Monsieur Walter et Madame Marie. Mais ai-je d'autres choix que de me pencher et manger les croquettes comme le chien que je suis devenu…
- Viens ici, sale bâtard.
Je laisse ma gamelle, m'approche et vois Monsieur Walter assis, son sexe tendu.
- Fait ce que pourquoi tu vis
Je comprends aussitôt et mains dans le dos à peine à 7h30 du matin, je prends en bouche la grosse bite de Monsieur Walter. Je suce sa grosse bite et lèche ses couilles comme si tout cela était normal et … bien réfléchi au final, c’est normal ! Je monte et descend sur sa volumineuse queue tendue et je m'applique à bien sucer. Ma nature servile me fait bander et j'en ai mal. Au bout de longues minutes, il bloque ma tête et se vide en 6 ou 7 giclées chaudes dans ma gorge de putain.
- Nettoie, salope
Je m'applique à bien nettoyer la bite de Monsieur Walter.
- Finit ta gamelle salope, ensuite le Maitre veut te voir.
Je finis de manger cette nourriture infecte, depuis deux jours je ne me suis pas lavé les dents. Je pue le sperme et le goût dégueulasse de cette pitance pour chien. Me revoilà reparti à quatre pattes. Deux jours que je ne me suis pas tenu debout. Dix minutes passent et me revoilà dans l'immense bureau du Noble. Ce dernier n’est pas là, alors le Majordome m’exige :
- À genoux, mains sur la tête. Tu attends en silence et immobile. Quand le Maitre arrive tu te fous en levrette, le cul bien relevé, exposé à Son noble regard. C'est compris, la pute ?
- Oui, Monsieur Walter.
- T’as intérêt, le chien !
Monsieur Walter quitte le bureau non sans me fesser au passage d’une violente claque sur mon cul. Puis je reste là tout seul dans ce magnifique bureau, à genoux, les mains sur la tête. Je reste tête baissée regardant ma nouille frétiller dans sa cage. Puis j’ose relever un peu la tête et je regarde tous ces splendides tableaux, ces superbes plantes vertes dans de vastes pots, ces tentures bordeaux d’un riche velours épais aux hautes fenêtres. Vraiment Monsieur Le Marquis a un goût exquis. Une haute et ancienne horloge ouvragé au balancier donnant un tic-tac parfaitement réglé m’indique l’heure. Plus d'une heure à attendre, les bras et les jambes me fatiguent. Quand la porte s'ouvre, c'est Lui, c'est Le Maitre ! Je me jette alors à terre en levrette, mains prosternés, cul tendu et haut, tête au sol et je ne bouge plus. Le Châtelain passe derrière moi et me flatte le cul de Sa main baladeuse. Puis il va s'asseoir à Son bureau.
s- A genoux, salope !
Me voici rapidement à genoux, mains derrière le dos et tête baissée.
- Présente-toi, la chienne !
- Je suis Mathieu et...
Pas le temps de finir ma phrase, je prends une gifle monumentale qui me jette à terre et me fait verser des larmes de douleur.
- A genoux, j’ai dit, bâtard !
Je me replace à genoux.
- Présente-toi salope et cette fois correctement !
Je réfléchis rapidement et en tremblant...
- esclave Katia, … Maitre pour Vous servir.
- Voilà qui est mieux. Mathieu n'existe plus. Mathieu, c'est terminé ! Ter.. Mi.. Né.. ! Tu n'es plus qu'un esclave et tu deviendras une esclave car je vais vaginaliser ton anus, je ferai de toi une vraie putain au service des Êtres Supérieurs que tu serviras servilement. Est-ce clair ?
- Oui, Maitre... Tout tremblant.
- Cet après-midi, tu retourneras chez toi. Tu vas passer le week-end avec ta femme. Interdit de la toucher, d'ailleurs avec ta cage, je ne vois pas ce que tu pourrais faire. Elle m'appartient déjà comme tout ce qui était à toi et donc elle deviendra tôt ou tard, Ma salope ! Mais je ne la contraindrais pas, Je sais qu’elle viendra d’elle-même à Mes pieds…
Je suis abasourdi d'entendre de telles choses, ce n’est pas possible, c'est ma femme !
- Répète ce que je viens de dire vermine.
Je n'ose pas répéter cela, je n'arrive pas à ouvrir la bouche. Le Noble prend alors Sa cravache et me frappe avec énergie le cul de 15 coups... Je supplie, je pleure...
- Je ne toucherai plus ma femme, elle Vous appartient et elle deviendra Votre salope tôt ou tard.
- Tu m'as tout donné en signant ces documents, ne l'oublie jamais, la pute.
- Tu diras à ta salope de femme que tu pars un mois en déplacement, J'ai bien dit un mois entier. Maxime ton directeur est au courant et lui confirmera ton absence. Lundi matin, tu es ici à 6h30, le cachot sera ouvert, tu entreras dedans et te rendra présentable, c’est-à-dire nu comme un ver et en position levrette prosternée. Tu commenceras une formation très rigoureuse voire douloureuse mais tu deviendras ce que tu as toujours désiré devenir…
Le Châtelain marque un silence de longues secondes, me toise et reprend la parole :
- Par ailleurs et pour info, ta BMW a été donnée à un de tes collègues de travail, ce Bertrand que tu ne supportes pas. Il était très surpris mais heureux de ta générosité. Monsieur Walter te fera signer l'acte de cessation du véhicule. À partir de lundi, Je serai ton nouveau patron, ton PDG. Tu n’auras plus de salaire, tu n'auras plus besoin d'argent, car J’ai la bonté de t’entretenir c’est-à-dire te nourrir, te loger et t’habiller. Enfin comme tu seras toujours nu, ce n’est pas ça qui Me coûtera le plus cher… Ton loyer sera réglé chaque mois par Mon service comptabilité. Et ce que ta salope de femme avait l'habitude de recevoir de ta part, elle le recevra et même beaucoup plus car Je double sa rente. Toi, tu n'auras besoin de rien, ou juste de te soumettre sans modération. Un esclave n'a besoin de rien. Est-ce clair, bâtard ?
- Oui Maitre- Dans quelques temps, quand ta salope de femme sera à Mes Pieds, et elle le sera, crois-moi sur parole, on vendra votre villa, votre propriété toute entière et vous serez tous les deux à Mon Service et serez deux putains pour Moi et mes Amis Dominants. Est-ce clair ?
- Oui Maitre- Bien, maintenant relève la tête et suce, la putain !
Je vois le membre dressé et tendu du Maitre, un gros sexe long et veiné avec ce gland violacé énorme. Depuis hier, je ne pensais qu'à ce divin phallus, au bien-être et privilège que j'ai eu de l'avoir dans ma bouche... Et voilà que je peux à nouveau le sucer. Je me plonge sur cette noble Verge énorme et suce comme un mort de faim. Je lèche la hampe, je lèche les couilles et je pompe comme le ferai une véritable pute … J'en bande douloureusement dans ma cage qui comprime ma nouille et l’empêche de se dresser, j'en bave, je me reconnais plus. Je suce avec avidité cette impressionnante bite si dure. Au bout d’un moment, le Châtelain me repousse, se retourne et me dit.
- Branle-moi doucement en léchant mon anus, salope.
Je suis consterné, jamais je n'ai fait cela, jamais j’ai léché un anus ! Et je ne peux pas le faire. Ce n’est pas possible !
- Lèche, j’ai dit, me commande-t-Il en me donnant une gifle !
Ne souhaitant pas reprendre d’autres coups, mais aussi par soumission, voire dévotion, je passe alors ma langue sur Son Anus tout en masturbant Son divin Sexe. Je me sens plongé de plus en plus dans l'humiliation et la dépravation mais en même temps, je ressens que c'est ce que j'ai toujours souhaité vivre... Drôle de sentiments !
- Enfonce ta langue dans mon cul, salope et lèche bien, donne du plaisir au Maître.
Et me voilà avec ma langue qui pénètre l'anus du Noble, je ne suis plus un homme mais un instrument de plaisir. Le Châtelain appuie ma tête contre Son Anus et m'enfonce ainsi encore plus ma langue dans Son fondement. Je me lâche complètement, je sens ma servilité me dominer, m’investir au plus profond de moi-même. Et je lèche maintenant complètement l'anus du Maitre. Je rentre et ressors ma langue, je lèche le sillon jusqu’au travers de Son œillet flétri. Je lèche des couilles jusqu'à l'anus tout en Le masturbant. Pendant plus de 15 minutes, je suis un véritable lèche-cul quand subitement le Noble se retourne et m'enfonce Sa Verge gorgée de sang dans ma bouche de putain et après quelques énergiques allers et retours, Il se vide abondamment en grognant de plaisir et me remplit la bouche de plusieurs giclées de sperme onctueux et chaud. J'avale tout car le besoin de sperme devient évident pour moi et j’ai conscience aussi qu’avaler le nectar du Maître reste un véritable honneur, une chance. Je nettoie ensuite le Châtelain.
- Une dernière chose, Ma pute, tu expliqueras à ta salope de femme que tu es un être inférieur et c'est le pourquoi de ta cage. Si tu ne lui dis pas, je m'en chargerai moi-même. Comme Je te l’ai déjà dit, tu rentres chez toi cet après-midi. Ce matin, Monsieur Walter va te donner ton premier travail à effectuer car dans quatre jours, une grande soirée Domination/soumission est organisée ici au Château et tout doit être parfait... Est-ce clair, espèce de bâtard ?
- Oui Maitre
Puis Monsieur le Marquis appelle Monsieur Walter et la descente aux enfers va commencer.... Pourtant est-ce vraiment une descente aux enfers ou une véritable révélation au vrai bonheur... Tout au long de cet entretien avec le Maitre, je n'ai cessé de bander. Le Noble l’a remarqué et en partant, Il me dit en souriant :
- Je ne me trompe jamais, quand je reconnais un soumis de ton espèce, il l'est réellement, mais toi tu vas dépasser toute mes espérances. Tu vas être une bonne et performante pute, crois-moi…
Le Châtelain me crache à la figure et me dit de rester à genoux en attendant le Majordome. Je suis anéanti, toute ma vie s'écroule, je perds tout et je n'ose imaginer comment je vais pouvoir en parler à ma femme de ma situation dans laquelle je me suis volontairement fourré en revenant au Château de mon plein gré et signant les papiers. Elle, chez qui devant, j'ai toujours eu un comportement de macho, à dévaluer la gente féminine. Alors comment lui dire ça ? Comment lui dire ce que je suis devenu ? En même temps, je ressens un bienfait, une immense satisfaction et une terrible excitation d'être traité ainsi. Pris dans mes pensées, je n'entends pas Monsieur Walter arriver...
- Aller bâtard, suis moi, t’as du boulot
Ma nouvelle vie continue....
(A suivre …)
- Aller, les salopes, on avance ! …
Encore une fois me voilà reparti à quatre pattes dans les longs et nombreux couloirs. Je suis exténué, j'ai mal partout, j'ai faim, je pue la sueur et le sperme. Et tout en avançant, je sens encore ma nouille emprisonnée, essayer de se redresser dans sa cage de chasteté. Une seule journée et me voilà complètement changé ! Monsieur Walter fait rentrer les deux soumises dans une pièce. Ensuite, il me mène plus loin et après avoir franchi une massive porte de chêne verni, on descend de nouveau des escaliers en colimaçon. Puis on traverse encore des couloirs quand je reconnais les cachots.
- Rentre ici, dans ce qui te sert désormais de logis, espèce de bâtard.
Et après m'avoir menotté les mains dans le dos, le Majordome me pousse dans ce cachot et la porte claque derrière moi me laissant seul.... Ça y’est, je suis couché sur la paille. Les murs épais sont de pierres équarries et un petit soupirail placé juste dans le haut du mur sous la voute laisse passer l’air et un peu de jour. Mais nous sommes le soir et il fait déjà nuit alors que mes yeux commencent à s'habituer à l'obscurité quand je vois une gamelle. Elle est remplie d'une espèce de pâtée pour chien... Ça pue ! Je ne souhaite pas manger ça... Mais au bout d'une heure, mon estomac crie famine. Étant menotté, je n'ai pas d'autre choix que de manger agenouillé, penché en avant la tête dans cette gamelle. Je mange de la pâtée pour chien ! Que suis-je devenu ? Un homo ? Un maso ? Les deux ? Un chien, ça c'est certain, évident… J'en ai de partout sur le visage. Je pue le sperme, le cul, la bouffe de chien. Finalement ma nature servile me fait comprendre que ma vie, c'est de ne plus réfléchir, ne plus décider, ne plus penser mais juste obéir et en tirer un bonheur puissant. Je repense à Monsieur Le Marquis parlant avec ma femme pendant que j'étais là, à genoux, en train de Le sucer comme une pute... De penser à cela me fait encore douloureusement bander dans ma cage. Je trouve une autre gamelle, celle-ci pleine d'eau, je bois, et je bois encore, enfin je lape plutôt comme un chien assoiffé. Je repense à Maxime, mon directeur... Comment a t’il su que j’avais des prédispositions à la soumission ? Comment a t’il osé me conduire ici ? Comment se fait-il qu’il connaisse si bien Monsieur le Marquis ? J'aurai maintenant terriblement honte de me trouver devant lui.... Mais je suis très loin d'imaginer ce qu'il m'attend ! Épuisé je finis par m’endormir. Il est déjà 23h45. Quelle journée ! Je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir, je sens un petit coup de pieds secouant énergiquement mon épaule.
- Debout salope, tu te crois au club Med ? … Espèce de bâtard, tu vas découvrir à quoi tu sers réellement.
Je pensais vivre un rêve mais je m'aperçois que tout est bien réel et franchement j'aurai été déçu qu'il en soit autrement tellement ma nature servile me contrôle maintenant. Monsieur Walter me met la laisse et me sort par le côté arrière du Château dans une sorte de petit parc, délimité par de hautes haies de thuyas parfaitement taillées, où se trouve déjà quelques soumises et soumis. Monsieur Walter me fait venir prêt d'un tronc d’arbre où un épais paillage circulaire entoure la base du tronc.
- Aller salope, fait ce que t'a à faire et vite sinon tu attendras ce soir.
Je ne comprends pas, je regarde autour de moi et je vois une soumise en train de faire ses besoins contre un autre arbre... Je ne peux pas faire ça comme ça, ce n’est pas possible ! Un coup de cravache me surprend.
- Va y salope.... Dépêche ! Considère ce paillage comme ta litière pour chien, espèce de bâtard…
Honteux... Je pisse comme un chien et ne pouvant me retenir je défèque par terre comme un animal... Quel changement, que suis-je devenu ? … Toujours en position quadrupède, je m'en suis mis sur les cuisses, les jambes, je suis vraiment puant et sale. Le Majordome me tire par la laisse et me fait entrer dans une vaste salle de bain entièrement carrelée, genre grande pièce d’eau des anciens pensionnats avec toute une suite de lavabos d’un côté et des douches communes sans cloisons de l’autre. Il prend un tuyau d’arrosage et son jet d’eau froide m'asperge le corps et le cul souillés afin de me nettoyer en me traitant de tous les noms. Il m'attache ensuite dehors à un piquet pour me laisser sécher alors que je frissonne de spasmes à cause de la fraicheur de la nuit, car c'est peut-être le printemps mais je tremble quand même de froid... Ensuite, je suis ramené dans mon cachot où péniblement je trouve enfin le sommeil à même le sol, sur la paille… Le matin arrive, les rayons du soleil traversent le soupirail et apporte un minimum de clarté dans ma cellule, il n'est que 7h du matin ! Je n’ai plus de montre, celle-ci m’a été confisquée, comme toutes mes affaires, ma voiture ou même mon téléphone portable qui aurait pu m’indiquer l’heure… Mais je sais l’heure car j’entends l’horloge du clocher de la chapelle du Château qui sonne sept coups. Je reste là plus d'une heure à quatre pattes, jusqu’à que j’entende les huit coups sonner… J'ai faim, j’ai soif et j'ai froid… Le voilà enfin qui revient. Il me détache et me tire sans ménagement jusqu'à la cuisine sans un mot, juste quelques coups appuyés de cravache sur mon cul pour e faire avancer, comme une bête de somme. Là une gamelle remplie de cette bouillie infecte d’hier soir m'attend... Non je ne peux pas, j'ai tellement envie de boire un bon café avec des croissants... D’ailleurs, c'est ce que mangent Monsieur Walter et Madame Marie. Mais ai-je d'autres choix que de me pencher et manger les croquettes comme le chien que je suis devenu…
- Viens ici, sale bâtard.
Je laisse ma gamelle, m'approche et vois Monsieur Walter assis, son sexe tendu.
- Fait ce que pourquoi tu vis
Je comprends aussitôt et mains dans le dos à peine à 7h30 du matin, je prends en bouche la grosse bite de Monsieur Walter. Je suce sa grosse bite et lèche ses couilles comme si tout cela était normal et … bien réfléchi au final, c’est normal ! Je monte et descend sur sa volumineuse queue tendue et je m'applique à bien sucer. Ma nature servile me fait bander et j'en ai mal. Au bout de longues minutes, il bloque ma tête et se vide en 6 ou 7 giclées chaudes dans ma gorge de putain.
- Nettoie, salope
Je m'applique à bien nettoyer la bite de Monsieur Walter.
- Finit ta gamelle salope, ensuite le Maitre veut te voir.
Je finis de manger cette nourriture infecte, depuis deux jours je ne me suis pas lavé les dents. Je pue le sperme et le goût dégueulasse de cette pitance pour chien. Me revoilà reparti à quatre pattes. Deux jours que je ne me suis pas tenu debout. Dix minutes passent et me revoilà dans l'immense bureau du Noble. Ce dernier n’est pas là, alors le Majordome m’exige :
- À genoux, mains sur la tête. Tu attends en silence et immobile. Quand le Maitre arrive tu te fous en levrette, le cul bien relevé, exposé à Son noble regard. C'est compris, la pute ?
- Oui, Monsieur Walter.
- T’as intérêt, le chien !
Monsieur Walter quitte le bureau non sans me fesser au passage d’une violente claque sur mon cul. Puis je reste là tout seul dans ce magnifique bureau, à genoux, les mains sur la tête. Je reste tête baissée regardant ma nouille frétiller dans sa cage. Puis j’ose relever un peu la tête et je regarde tous ces splendides tableaux, ces superbes plantes vertes dans de vastes pots, ces tentures bordeaux d’un riche velours épais aux hautes fenêtres. Vraiment Monsieur Le Marquis a un goût exquis. Une haute et ancienne horloge ouvragé au balancier donnant un tic-tac parfaitement réglé m’indique l’heure. Plus d'une heure à attendre, les bras et les jambes me fatiguent. Quand la porte s'ouvre, c'est Lui, c'est Le Maitre ! Je me jette alors à terre en levrette, mains prosternés, cul tendu et haut, tête au sol et je ne bouge plus. Le Châtelain passe derrière moi et me flatte le cul de Sa main baladeuse. Puis il va s'asseoir à Son bureau.
s- A genoux, salope !
Me voici rapidement à genoux, mains derrière le dos et tête baissée.
- Présente-toi, la chienne !
- Je suis Mathieu et...
Pas le temps de finir ma phrase, je prends une gifle monumentale qui me jette à terre et me fait verser des larmes de douleur.
- A genoux, j’ai dit, bâtard !
Je me replace à genoux.
- Présente-toi salope et cette fois correctement !
Je réfléchis rapidement et en tremblant...
- esclave Katia, … Maitre pour Vous servir.
- Voilà qui est mieux. Mathieu n'existe plus. Mathieu, c'est terminé ! Ter.. Mi.. Né.. ! Tu n'es plus qu'un esclave et tu deviendras une esclave car je vais vaginaliser ton anus, je ferai de toi une vraie putain au service des Êtres Supérieurs que tu serviras servilement. Est-ce clair ?
- Oui, Maitre... Tout tremblant.
- Cet après-midi, tu retourneras chez toi. Tu vas passer le week-end avec ta femme. Interdit de la toucher, d'ailleurs avec ta cage, je ne vois pas ce que tu pourrais faire. Elle m'appartient déjà comme tout ce qui était à toi et donc elle deviendra tôt ou tard, Ma salope ! Mais je ne la contraindrais pas, Je sais qu’elle viendra d’elle-même à Mes pieds…
Je suis abasourdi d'entendre de telles choses, ce n’est pas possible, c'est ma femme !
- Répète ce que je viens de dire vermine.
Je n'ose pas répéter cela, je n'arrive pas à ouvrir la bouche. Le Noble prend alors Sa cravache et me frappe avec énergie le cul de 15 coups... Je supplie, je pleure...
- Je ne toucherai plus ma femme, elle Vous appartient et elle deviendra Votre salope tôt ou tard.
- Tu m'as tout donné en signant ces documents, ne l'oublie jamais, la pute.
- Tu diras à ta salope de femme que tu pars un mois en déplacement, J'ai bien dit un mois entier. Maxime ton directeur est au courant et lui confirmera ton absence. Lundi matin, tu es ici à 6h30, le cachot sera ouvert, tu entreras dedans et te rendra présentable, c’est-à-dire nu comme un ver et en position levrette prosternée. Tu commenceras une formation très rigoureuse voire douloureuse mais tu deviendras ce que tu as toujours désiré devenir…
Le Châtelain marque un silence de longues secondes, me toise et reprend la parole :
- Par ailleurs et pour info, ta BMW a été donnée à un de tes collègues de travail, ce Bertrand que tu ne supportes pas. Il était très surpris mais heureux de ta générosité. Monsieur Walter te fera signer l'acte de cessation du véhicule. À partir de lundi, Je serai ton nouveau patron, ton PDG. Tu n’auras plus de salaire, tu n'auras plus besoin d'argent, car J’ai la bonté de t’entretenir c’est-à-dire te nourrir, te loger et t’habiller. Enfin comme tu seras toujours nu, ce n’est pas ça qui Me coûtera le plus cher… Ton loyer sera réglé chaque mois par Mon service comptabilité. Et ce que ta salope de femme avait l'habitude de recevoir de ta part, elle le recevra et même beaucoup plus car Je double sa rente. Toi, tu n'auras besoin de rien, ou juste de te soumettre sans modération. Un esclave n'a besoin de rien. Est-ce clair, bâtard ?
- Oui Maitre- Dans quelques temps, quand ta salope de femme sera à Mes Pieds, et elle le sera, crois-moi sur parole, on vendra votre villa, votre propriété toute entière et vous serez tous les deux à Mon Service et serez deux putains pour Moi et mes Amis Dominants. Est-ce clair ?
- Oui Maitre- Bien, maintenant relève la tête et suce, la putain !
Je vois le membre dressé et tendu du Maitre, un gros sexe long et veiné avec ce gland violacé énorme. Depuis hier, je ne pensais qu'à ce divin phallus, au bien-être et privilège que j'ai eu de l'avoir dans ma bouche... Et voilà que je peux à nouveau le sucer. Je me plonge sur cette noble Verge énorme et suce comme un mort de faim. Je lèche la hampe, je lèche les couilles et je pompe comme le ferai une véritable pute … J'en bande douloureusement dans ma cage qui comprime ma nouille et l’empêche de se dresser, j'en bave, je me reconnais plus. Je suce avec avidité cette impressionnante bite si dure. Au bout d’un moment, le Châtelain me repousse, se retourne et me dit.
- Branle-moi doucement en léchant mon anus, salope.
Je suis consterné, jamais je n'ai fait cela, jamais j’ai léché un anus ! Et je ne peux pas le faire. Ce n’est pas possible !
- Lèche, j’ai dit, me commande-t-Il en me donnant une gifle !
Ne souhaitant pas reprendre d’autres coups, mais aussi par soumission, voire dévotion, je passe alors ma langue sur Son Anus tout en masturbant Son divin Sexe. Je me sens plongé de plus en plus dans l'humiliation et la dépravation mais en même temps, je ressens que c'est ce que j'ai toujours souhaité vivre... Drôle de sentiments !
- Enfonce ta langue dans mon cul, salope et lèche bien, donne du plaisir au Maître.
Et me voilà avec ma langue qui pénètre l'anus du Noble, je ne suis plus un homme mais un instrument de plaisir. Le Châtelain appuie ma tête contre Son Anus et m'enfonce ainsi encore plus ma langue dans Son fondement. Je me lâche complètement, je sens ma servilité me dominer, m’investir au plus profond de moi-même. Et je lèche maintenant complètement l'anus du Maitre. Je rentre et ressors ma langue, je lèche le sillon jusqu’au travers de Son œillet flétri. Je lèche des couilles jusqu'à l'anus tout en Le masturbant. Pendant plus de 15 minutes, je suis un véritable lèche-cul quand subitement le Noble se retourne et m'enfonce Sa Verge gorgée de sang dans ma bouche de putain et après quelques énergiques allers et retours, Il se vide abondamment en grognant de plaisir et me remplit la bouche de plusieurs giclées de sperme onctueux et chaud. J'avale tout car le besoin de sperme devient évident pour moi et j’ai conscience aussi qu’avaler le nectar du Maître reste un véritable honneur, une chance. Je nettoie ensuite le Châtelain.
- Une dernière chose, Ma pute, tu expliqueras à ta salope de femme que tu es un être inférieur et c'est le pourquoi de ta cage. Si tu ne lui dis pas, je m'en chargerai moi-même. Comme Je te l’ai déjà dit, tu rentres chez toi cet après-midi. Ce matin, Monsieur Walter va te donner ton premier travail à effectuer car dans quatre jours, une grande soirée Domination/soumission est organisée ici au Château et tout doit être parfait... Est-ce clair, espèce de bâtard ?
- Oui Maitre
Puis Monsieur le Marquis appelle Monsieur Walter et la descente aux enfers va commencer.... Pourtant est-ce vraiment une descente aux enfers ou une véritable révélation au vrai bonheur... Tout au long de cet entretien avec le Maitre, je n'ai cessé de bander. Le Noble l’a remarqué et en partant, Il me dit en souriant :
- Je ne me trompe jamais, quand je reconnais un soumis de ton espèce, il l'est réellement, mais toi tu vas dépasser toute mes espérances. Tu vas être une bonne et performante pute, crois-moi…
Le Châtelain me crache à la figure et me dit de rester à genoux en attendant le Majordome. Je suis anéanti, toute ma vie s'écroule, je perds tout et je n'ose imaginer comment je vais pouvoir en parler à ma femme de ma situation dans laquelle je me suis volontairement fourré en revenant au Château de mon plein gré et signant les papiers. Elle, chez qui devant, j'ai toujours eu un comportement de macho, à dévaluer la gente féminine. Alors comment lui dire ça ? Comment lui dire ce que je suis devenu ? En même temps, je ressens un bienfait, une immense satisfaction et une terrible excitation d'être traité ainsi. Pris dans mes pensées, je n'entends pas Monsieur Walter arriver...
- Aller bâtard, suis moi, t’as du boulot
Ma nouvelle vie continue....
(A suivre …)
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