La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1661)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1661)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1657) -
Chapitre 47 : Un trio infernal -
Après de longues minutes encore, le Majordome m’emmenait dans les cachots du Château et m’enfermait, frustré de n'avoir été baisé, avec ce jeune mâle qu'il tenait en laisse, un dénommé juliensoumis ! … Dans ce cachot étroit, juliensoumis et moi étions assis à même le sol en face à face adossés, l’un et l’autre, à un mur opposé. Tous deux, étions là à nous observer en silence. Juliensoumis devait avoir à peu près mon âge, une trentaine d’années, son corps était parfaitement dessiné, sans doute devait-il être un bon sportif, car il avait de bons pectoraux et des abdominaux sculptés, une très belle musculature au niveau de ses bras et de ses cuisses ! Ni lui, ni moi, ne cherchions à dissimuler nos parties génitales. Nous avions replié nos jambes de telle sorte que nos talons soient en contact avec nos fessiers, tant le lieu était exigu, et gardions ainsi les cuisses écartées, laissant paraitre nos attributs masculins encagés, dévoilant ainsi nos intimités prisonnières au regard de l’autre. C’était la première fois que je croisais ici ce jeune soumis ? Venait-il d’intégrer le Cheptel du Maître ? Était-il simplement là pour un stage de dressage ? Allait-il rester parmi nous ? Je me gardais bien de lui poser toutes ces questions, ne sachant pas si nous avions le droit de nous parler ou non. Depuis quelques minutes déjà, mes yeux se portaient constamment et avec insistance sur son entrejambe.
Hypnotisé par cette partie de son corps, je m’appliquais à regarder son pubis parfaitement glabre, lisse, sa nouille gonflée et tuméfiée dans cet étui pénien, son scrotum bien souple et touchant presque le sol, m’empêchant d’entrapercevoir sa petite corolle flétrie. A vrai dire, il m’excitait… d’ailleurs un filet de mouille sortait de ma nouille et dégoulinait au sol. Il attisait et aiguisait mes désirs sexuels plus encore quand, me voyant le mater, il écartait un peu plus les cuisses et lorsque le pouce de son orteil droit entrait en contact avec celui de mon pied gauche, j’étais prêt à lui sauter dessus et lui dévorer la bouche… Il me souriait, un sourire beau et gentil, peut-être tendre, un sourire qui écoutait, qui prenait soin de la personne à laquelle il s’adressait, moi en l’occurrence, un sourire qui demandait si tout allait bien, si j’avais besoin de quelque chose. « Quelle salope ! » pensais-je… Sans doute devait-il penser la même chose de moi ! Je me sentais attiré par ce sexe, tel un papillon par la lumière, comme si je n’avais pas eu de relation physique depuis des semaines ! Et ça devenait presque insupportable… ma nouille ruisselante cognait contre les parois d’acier de cette satanée cage, mon cul palpitait comme s’il était affamé, comme s’il n’avait pas vu de bites depuis des lustres… Bref, je n’étais qu’une chienne en chaleur !… Et lui aussi apparemment !
Malheureusement ou heureusement, je ne savais plus, Monsieur Walter me sortait de ces agitations et confusions en m’extirpant manu militari de cet étroit cachot. Il venait me cueillir sans la moindre bienveillance et empathie, se saisissant de mon collier et en m’obligeant à le suivre, dans ce dédale de couloirs pour regagner le second étage du Château. Alors que je le suivais péniblement, j’entendais des cris d’une femme s’échapper au travers d’une porte, porte que nous franchissions. Là dans cette pièce, il y avait une femelle soumise, attachée nue en croix sur un portique qui se faisait malmener par trois individus Dominants : une femme, deux hommes ! La femme, grande, brune, la quarantaine, dans une robe rouge sang très cintrée et dévoilant avantageusement ses formes, était perchée sur de hauts talons aiguilles. Avec une perversité absolue, elle torturait les seins de cette soumise bien en chair, avec une poitrine avantageuse et des hanches un peu larges, tandis que les deux hommes, plus âgés, tous les deux grisonnants, fouillaient l’un et l’autre, chacun leur tour, ou ensemble, la chatte dégoulinante de cette femelle soumise. Le Majordome se raclait la gorge pour signaler sa présence à ces trois ignobles pervers, tellement absorbés par leurs pratiques sadiques et les hurlements de plaisirs et de douleurs de celle entre leurs mains.
- Celui-ci devrait faire l’affaire, je vous le pose où ?, interrogeait le Majordome en me désignant d’un coup de tête hautain.
Cette question ainsi posée faisait de moi un simple objet que l’on va chercher pour être utilisé, une simple chose juste pour servir, un ustensile, une broutille… Je n’étais rien que ça, aux yeux de Monsieur Walter et très certainement à ceux de ces trois Dominants… Mon ego déjà bien malmené et quasiment disparu en prenait de nouveau un sale coup pour le réduire à néant !
- Occupe t’en, Karl…, répondait la Domina tout en continuant à tordre douloureusement les tétons de l’esclave femelle.
- Mais avec plaisir, ma chère Karaine
Le soi-disant Karl, tout de cuir vêtu, comme son acolyte d’ailleurs, mâchoire carré, piquée de courts poils bruns surmontant des lèvres charnues approchaient en souriant. Un sourire carnassier dévoilant des dents blanches et massives, des dents prêtes à me manger, à me dévorer. Ses cheveux courts, bruns, en bataille, son front large et ses sourcils épais et ses yeux… ses yeux gris acier me dévisageant de la tête aux pieds, ses yeux perçants me tétanisaient.
- A quatre pattes ! m’ordonnait-il en pointant son index au sol, à quelques centimètres devant lui.
Je m’exécutais et sitôt dans la position dictée, il m’enfournait deux de ses doigts dans ma bouche, doigts sortant de la chatte de ma congénère, soi-dit en passant. Il enfonçait loin dans ma gorge son index et son majeur couvert de cyprine, forçait ma bouche à s’ouvrir, tentant même d’enfoncer son poing dans ma gueule grande ouverte. Je suffoquais alors que dans mon dos, la Domina, cette Karaine, ayant délaissée depuis peu la femelle soumise, glissait sournoisement sa main entre mes fesses, et pressait un doigt à l’entrée de mon cul, le pénétrant sacrément de deux phalanges, puis tournait, m’écartait, me faisait chavirer d’humiliation et de désirs lubriques. Puis la main de cette femme Dominatrice empoignait mes testicules, les faisait rouler entre ses doigts. Par des pressions successives, elle les gonflait, les tendait et lorsque mes couilles furent tièdes et rebondies, elle fermait la main et serrait de toutes ses forces. J’hurlais de douleur et m’écroulais aux pieds de ces deux infâmes pervers, éclatais en sanglots, mon visage collé aux bottes de Karl.
- Ecarte !, me disait-elle en me donnant un coup de pied terrible du bout de son escarpin, sur mes fesses malmenées.
J’obéissais encore, toujours et pourtant… Le pied de cette Karaine écrasait mes couilles sous sa semelle. J’hurlais de plus belle et cette fois-ci je lâchais tout, je suppliais et embrassais à pleine bouche les bottes de Karl, je tirais la langue et les léchais, les recouvrais de salive. J’avais les yeux embués de larmes, je ne voyais plus rien de ce qui se passait dans la pièce, j’entendais crier la femelle soumise de temps à autre et sentais le goût de la douleur qui me déchirait le corps, le goût du cuir salé sur ma langue, l’humiliation qui me brisait, me révulsait et me dégoutait, mais m’aurait fait aussi terriblement bander si ma nouille tuméfiée ne cherchait désespérément à se dresser droite entre mes jambes, comme si toute ce scénario violent la nourrissait d’extase… Les trois Dominants s’afféraient, tous les trois étaient maintenant sur moi. Oui… je dis bien sur moi, un pied posé fermement sur ma nuque, m’écrasant la tête au sol, un pied sur mes boules les mettant en bouillie, un autre à la cambrure de mes reins pour me maintenir plaqué au sol, le cul redressé…
- Ecarte-lui le cul, Etienne !, dictait la Domina à ce second Dominant dont je découvrais le prénom.
Je gémissais, tentais d’échapper à ces douloureux tourments…
- Ferme ta gueule de putain !, m’intimait cette perverse femme, tout en continuant à comprimer un peu plus mes burnes.
La main d’Etienne s’égarait entre mes fesses et sans le moindre lubrifiant, poussait un de ses doigts contre mon trou et poussait encore et toujours, en jouant avec mes sphincters, jusqu’à me pénétrer. Heureusement que mon cul était maintenant relativement souple depuis ces enculades répétées au Château, depuis qu’esclav’antoine m’avait bourré si longuement avec sa grosse nouille difforme. A ce stade, je le remerciais sincèrement… Mais lorsque le pervers Etienne me sentit bien écarté, il insérait un second doigt. Mon cul se dilatait, et là… je sentais la douleur étrangement jouissive qui me remontait le long de mon échine. Je fermais les yeux, je poussais un jappement de chienne en chaleur lorsque Etienne enfonçait un troisième doigt. Il tournait sa main comme s’il essayait de visser le plaisir et l’humiliation en une rotation lubrique, s’enfonçant de plus en plus profond dans mon cul de putain, alors que cette Karaine me traitait de tous les noms d’oiseaux, comme raclure, petite merde, salope, putain, catin…
On ne me laissait pas souffler encore moins respirer… après cette prise de possession de mon cul, les deux hommes Dominants, chacun de leur côté m’emmenaient dans une autre pièce, qui, jusqu’à ce jour m’était inconnue. Elle était immense, à la lumière tamisée malgré les plafonds hauts, cette pièce qui n’était autre qu’un vaste donjon carré Bdsm ultra-équipé de tout ce qu’il y avait besoin pour soumettre, avilir, voire torturer de plaisirs et de douleurs. Il y avait donc là des instruments ignobles de tous côtés, des croix-st-André en grand nombres sur tout un pan de mur, de nombreux carcans et piloris, des chaines et des cordes pendants un peu partout, des dizaines de cages au sol et d’autres suspendues en grosse quantité, de nombreuses tables avec des godes et des plugs de toutes dimensions, des fouets et des cravaches, des pinces et des poids, et bien d’autres choses encore qui m’étaient inconnues… On aurait cru être dans un véritable et immense magasin spécialisé avec ce très grand nombre d’équipements Bdsm… Là, on m’ôtait ma cage de chasteté et on m’obligeait à rester en levrette.
- Cambre mieux que ça !, Tends ton cul, Offre-toi !, m’ordonnait Karl.
Je restais un long moment ainsi, ma nouille décagée et qui pouvait enfin s’exprimer à souhait ! Elle était en effet bandée à son paroxysme, pendant le temps nécessaire pour que les trois Dominants puissent s’occuper de la jeune soumise qui nous avait rejoint à quatre pattes sous les coups de cravache de la Domina. Un long moment se passait et lorsque je fus autorisé à me mettre à genoux face à cette femelle esclave, mon cœur chavirait. Elle était déjà suspendue en l’air, presque à la verticale, par des cordages, la maintenant parfaitement immobile, les jambes repliées, mollets contre cuisses arrières, talons sur ses fesses et maintenues ainsi écartelées. Ses mains étaient attachées derrière son dos, sa poitrine ligotée, des liens serrées pressaient ses seins, des pinces mordaient ses mamelons. Ses cheveux étaient ficelés par une corde lui maintenant la tête en arrière. Chose que je n’avais pas vu au premier regard et qui pourtant m’effrayait, ses lèvres intimes étaient tenues serrées par des pinces chirurgicales à bout rond. Ainsi sa chatte était tenue largement écartée et exhibait l’intérieur rosé de son sexe dégoulinant. Je regardais et admirais encore cette femelle lorsqu’un ordre à mon endroit, des plus surprenants, tombait.
- Fais ta pute !, m’ordonnait cette Karaine maintenant assise dans un large canapé.
J’étais quelque peu sonné par cet ordre abject et par cette commande avilissante… Abasourdi, il me fallait quelques secondes pour comprendre ce que cette ignoble femme attendait de moi. Je devinais qu’elle voulait me voir me déhancher, me trémousser devant eux, pour les aguicher, les émoustiller, les allumer et les exciter par une danse érotique, lascive, une répugnante danse pornographique où la pudeur et le respect de moi-même devait être oubliés et annihilés, enterrant définitivement ce qui me restait de mon piètre égo… Oui je devais m’afficher dans des actes et des postures grotesques, immorales et ignobles. Alors, je me dandinais, me vautrais dans la plus dégradante débauche, dans l’obscénité et la décadence. Et comme si cela ne suffisait pas, ces trois pervers prenaient le relais en me dictant ce que je devais faire pour m’humilier davantage. Chacun y allait bon train :
- Tire la langue, fait la passer sur tes lèvres, cligne des yeux de putain- Ondule et bouge ton cul de salope- Pince-toi les seins- Déhanche-toi mieux que ça- Montre-nous ton trou… - Mieux que ça… - Écarte tes fesses…. Mieux que ça …- Tire sur tes couilles- Mets-toi un doigt dans le cul- Maintenant lèche ton doigt…
J’obéissais à chaque ordre dicté, toujours en me trémoussant ! Tous les trois me trainaient dans la fange, sans me laisser le choix, sans se préoccuper de mes ressentis… Pourquoi l’auraient-ils fait d’ailleurs ? Ne voyaient-ils pas ma nouille se tenir dressée, mon gland décalotté ruisseler ? Ils n’en avaient pas encore fini avec moi… Karaine, la Domina assise sur une banquette, me jetais une bite factice, un gode de gros calibre, comme elle aurait lancé un os à un chien, une chienne en l’occurrence !
- Suce cette bite, montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche et tes lèvres de pute.
J’avalais ce gode, le léchais tout en continuant à remuer mon cul, tout en écoutant leurs sarcasmes et leurs rires, tout en faisant abstraction à ce que j’étais… Une pute, une véritable pute ! Pendant de longues minutes encore je m’acharnais sur cette verge en caoutchouc, jusqu’à ce que cette perverse femme vienne se saisir de mon collier pour me regarder droit dans les yeux.
- … Et une chatte, tu sais bouffer une chatte ?…, tu sais faire gonfler un clito ?...
(A suivre…)
Chapitre 47 : Un trio infernal -
Après de longues minutes encore, le Majordome m’emmenait dans les cachots du Château et m’enfermait, frustré de n'avoir été baisé, avec ce jeune mâle qu'il tenait en laisse, un dénommé juliensoumis ! … Dans ce cachot étroit, juliensoumis et moi étions assis à même le sol en face à face adossés, l’un et l’autre, à un mur opposé. Tous deux, étions là à nous observer en silence. Juliensoumis devait avoir à peu près mon âge, une trentaine d’années, son corps était parfaitement dessiné, sans doute devait-il être un bon sportif, car il avait de bons pectoraux et des abdominaux sculptés, une très belle musculature au niveau de ses bras et de ses cuisses ! Ni lui, ni moi, ne cherchions à dissimuler nos parties génitales. Nous avions replié nos jambes de telle sorte que nos talons soient en contact avec nos fessiers, tant le lieu était exigu, et gardions ainsi les cuisses écartées, laissant paraitre nos attributs masculins encagés, dévoilant ainsi nos intimités prisonnières au regard de l’autre. C’était la première fois que je croisais ici ce jeune soumis ? Venait-il d’intégrer le Cheptel du Maître ? Était-il simplement là pour un stage de dressage ? Allait-il rester parmi nous ? Je me gardais bien de lui poser toutes ces questions, ne sachant pas si nous avions le droit de nous parler ou non. Depuis quelques minutes déjà, mes yeux se portaient constamment et avec insistance sur son entrejambe.
Hypnotisé par cette partie de son corps, je m’appliquais à regarder son pubis parfaitement glabre, lisse, sa nouille gonflée et tuméfiée dans cet étui pénien, son scrotum bien souple et touchant presque le sol, m’empêchant d’entrapercevoir sa petite corolle flétrie. A vrai dire, il m’excitait… d’ailleurs un filet de mouille sortait de ma nouille et dégoulinait au sol. Il attisait et aiguisait mes désirs sexuels plus encore quand, me voyant le mater, il écartait un peu plus les cuisses et lorsque le pouce de son orteil droit entrait en contact avec celui de mon pied gauche, j’étais prêt à lui sauter dessus et lui dévorer la bouche… Il me souriait, un sourire beau et gentil, peut-être tendre, un sourire qui écoutait, qui prenait soin de la personne à laquelle il s’adressait, moi en l’occurrence, un sourire qui demandait si tout allait bien, si j’avais besoin de quelque chose. « Quelle salope ! » pensais-je… Sans doute devait-il penser la même chose de moi ! Je me sentais attiré par ce sexe, tel un papillon par la lumière, comme si je n’avais pas eu de relation physique depuis des semaines ! Et ça devenait presque insupportable… ma nouille ruisselante cognait contre les parois d’acier de cette satanée cage, mon cul palpitait comme s’il était affamé, comme s’il n’avait pas vu de bites depuis des lustres… Bref, je n’étais qu’une chienne en chaleur !… Et lui aussi apparemment !
Malheureusement ou heureusement, je ne savais plus, Monsieur Walter me sortait de ces agitations et confusions en m’extirpant manu militari de cet étroit cachot. Il venait me cueillir sans la moindre bienveillance et empathie, se saisissant de mon collier et en m’obligeant à le suivre, dans ce dédale de couloirs pour regagner le second étage du Château. Alors que je le suivais péniblement, j’entendais des cris d’une femme s’échapper au travers d’une porte, porte que nous franchissions. Là dans cette pièce, il y avait une femelle soumise, attachée nue en croix sur un portique qui se faisait malmener par trois individus Dominants : une femme, deux hommes ! La femme, grande, brune, la quarantaine, dans une robe rouge sang très cintrée et dévoilant avantageusement ses formes, était perchée sur de hauts talons aiguilles. Avec une perversité absolue, elle torturait les seins de cette soumise bien en chair, avec une poitrine avantageuse et des hanches un peu larges, tandis que les deux hommes, plus âgés, tous les deux grisonnants, fouillaient l’un et l’autre, chacun leur tour, ou ensemble, la chatte dégoulinante de cette femelle soumise. Le Majordome se raclait la gorge pour signaler sa présence à ces trois ignobles pervers, tellement absorbés par leurs pratiques sadiques et les hurlements de plaisirs et de douleurs de celle entre leurs mains.
- Celui-ci devrait faire l’affaire, je vous le pose où ?, interrogeait le Majordome en me désignant d’un coup de tête hautain.
Cette question ainsi posée faisait de moi un simple objet que l’on va chercher pour être utilisé, une simple chose juste pour servir, un ustensile, une broutille… Je n’étais rien que ça, aux yeux de Monsieur Walter et très certainement à ceux de ces trois Dominants… Mon ego déjà bien malmené et quasiment disparu en prenait de nouveau un sale coup pour le réduire à néant !
- Occupe t’en, Karl…, répondait la Domina tout en continuant à tordre douloureusement les tétons de l’esclave femelle.
- Mais avec plaisir, ma chère Karaine
Le soi-disant Karl, tout de cuir vêtu, comme son acolyte d’ailleurs, mâchoire carré, piquée de courts poils bruns surmontant des lèvres charnues approchaient en souriant. Un sourire carnassier dévoilant des dents blanches et massives, des dents prêtes à me manger, à me dévorer. Ses cheveux courts, bruns, en bataille, son front large et ses sourcils épais et ses yeux… ses yeux gris acier me dévisageant de la tête aux pieds, ses yeux perçants me tétanisaient.
- A quatre pattes ! m’ordonnait-il en pointant son index au sol, à quelques centimètres devant lui.
Je m’exécutais et sitôt dans la position dictée, il m’enfournait deux de ses doigts dans ma bouche, doigts sortant de la chatte de ma congénère, soi-dit en passant. Il enfonçait loin dans ma gorge son index et son majeur couvert de cyprine, forçait ma bouche à s’ouvrir, tentant même d’enfoncer son poing dans ma gueule grande ouverte. Je suffoquais alors que dans mon dos, la Domina, cette Karaine, ayant délaissée depuis peu la femelle soumise, glissait sournoisement sa main entre mes fesses, et pressait un doigt à l’entrée de mon cul, le pénétrant sacrément de deux phalanges, puis tournait, m’écartait, me faisait chavirer d’humiliation et de désirs lubriques. Puis la main de cette femme Dominatrice empoignait mes testicules, les faisait rouler entre ses doigts. Par des pressions successives, elle les gonflait, les tendait et lorsque mes couilles furent tièdes et rebondies, elle fermait la main et serrait de toutes ses forces. J’hurlais de douleur et m’écroulais aux pieds de ces deux infâmes pervers, éclatais en sanglots, mon visage collé aux bottes de Karl.
- Ecarte !, me disait-elle en me donnant un coup de pied terrible du bout de son escarpin, sur mes fesses malmenées.
J’obéissais encore, toujours et pourtant… Le pied de cette Karaine écrasait mes couilles sous sa semelle. J’hurlais de plus belle et cette fois-ci je lâchais tout, je suppliais et embrassais à pleine bouche les bottes de Karl, je tirais la langue et les léchais, les recouvrais de salive. J’avais les yeux embués de larmes, je ne voyais plus rien de ce qui se passait dans la pièce, j’entendais crier la femelle soumise de temps à autre et sentais le goût de la douleur qui me déchirait le corps, le goût du cuir salé sur ma langue, l’humiliation qui me brisait, me révulsait et me dégoutait, mais m’aurait fait aussi terriblement bander si ma nouille tuméfiée ne cherchait désespérément à se dresser droite entre mes jambes, comme si toute ce scénario violent la nourrissait d’extase… Les trois Dominants s’afféraient, tous les trois étaient maintenant sur moi. Oui… je dis bien sur moi, un pied posé fermement sur ma nuque, m’écrasant la tête au sol, un pied sur mes boules les mettant en bouillie, un autre à la cambrure de mes reins pour me maintenir plaqué au sol, le cul redressé…
- Ecarte-lui le cul, Etienne !, dictait la Domina à ce second Dominant dont je découvrais le prénom.
Je gémissais, tentais d’échapper à ces douloureux tourments…
- Ferme ta gueule de putain !, m’intimait cette perverse femme, tout en continuant à comprimer un peu plus mes burnes.
La main d’Etienne s’égarait entre mes fesses et sans le moindre lubrifiant, poussait un de ses doigts contre mon trou et poussait encore et toujours, en jouant avec mes sphincters, jusqu’à me pénétrer. Heureusement que mon cul était maintenant relativement souple depuis ces enculades répétées au Château, depuis qu’esclav’antoine m’avait bourré si longuement avec sa grosse nouille difforme. A ce stade, je le remerciais sincèrement… Mais lorsque le pervers Etienne me sentit bien écarté, il insérait un second doigt. Mon cul se dilatait, et là… je sentais la douleur étrangement jouissive qui me remontait le long de mon échine. Je fermais les yeux, je poussais un jappement de chienne en chaleur lorsque Etienne enfonçait un troisième doigt. Il tournait sa main comme s’il essayait de visser le plaisir et l’humiliation en une rotation lubrique, s’enfonçant de plus en plus profond dans mon cul de putain, alors que cette Karaine me traitait de tous les noms d’oiseaux, comme raclure, petite merde, salope, putain, catin…
On ne me laissait pas souffler encore moins respirer… après cette prise de possession de mon cul, les deux hommes Dominants, chacun de leur côté m’emmenaient dans une autre pièce, qui, jusqu’à ce jour m’était inconnue. Elle était immense, à la lumière tamisée malgré les plafonds hauts, cette pièce qui n’était autre qu’un vaste donjon carré Bdsm ultra-équipé de tout ce qu’il y avait besoin pour soumettre, avilir, voire torturer de plaisirs et de douleurs. Il y avait donc là des instruments ignobles de tous côtés, des croix-st-André en grand nombres sur tout un pan de mur, de nombreux carcans et piloris, des chaines et des cordes pendants un peu partout, des dizaines de cages au sol et d’autres suspendues en grosse quantité, de nombreuses tables avec des godes et des plugs de toutes dimensions, des fouets et des cravaches, des pinces et des poids, et bien d’autres choses encore qui m’étaient inconnues… On aurait cru être dans un véritable et immense magasin spécialisé avec ce très grand nombre d’équipements Bdsm… Là, on m’ôtait ma cage de chasteté et on m’obligeait à rester en levrette.
- Cambre mieux que ça !, Tends ton cul, Offre-toi !, m’ordonnait Karl.
Je restais un long moment ainsi, ma nouille décagée et qui pouvait enfin s’exprimer à souhait ! Elle était en effet bandée à son paroxysme, pendant le temps nécessaire pour que les trois Dominants puissent s’occuper de la jeune soumise qui nous avait rejoint à quatre pattes sous les coups de cravache de la Domina. Un long moment se passait et lorsque je fus autorisé à me mettre à genoux face à cette femelle esclave, mon cœur chavirait. Elle était déjà suspendue en l’air, presque à la verticale, par des cordages, la maintenant parfaitement immobile, les jambes repliées, mollets contre cuisses arrières, talons sur ses fesses et maintenues ainsi écartelées. Ses mains étaient attachées derrière son dos, sa poitrine ligotée, des liens serrées pressaient ses seins, des pinces mordaient ses mamelons. Ses cheveux étaient ficelés par une corde lui maintenant la tête en arrière. Chose que je n’avais pas vu au premier regard et qui pourtant m’effrayait, ses lèvres intimes étaient tenues serrées par des pinces chirurgicales à bout rond. Ainsi sa chatte était tenue largement écartée et exhibait l’intérieur rosé de son sexe dégoulinant. Je regardais et admirais encore cette femelle lorsqu’un ordre à mon endroit, des plus surprenants, tombait.
- Fais ta pute !, m’ordonnait cette Karaine maintenant assise dans un large canapé.
J’étais quelque peu sonné par cet ordre abject et par cette commande avilissante… Abasourdi, il me fallait quelques secondes pour comprendre ce que cette ignoble femme attendait de moi. Je devinais qu’elle voulait me voir me déhancher, me trémousser devant eux, pour les aguicher, les émoustiller, les allumer et les exciter par une danse érotique, lascive, une répugnante danse pornographique où la pudeur et le respect de moi-même devait être oubliés et annihilés, enterrant définitivement ce qui me restait de mon piètre égo… Oui je devais m’afficher dans des actes et des postures grotesques, immorales et ignobles. Alors, je me dandinais, me vautrais dans la plus dégradante débauche, dans l’obscénité et la décadence. Et comme si cela ne suffisait pas, ces trois pervers prenaient le relais en me dictant ce que je devais faire pour m’humilier davantage. Chacun y allait bon train :
- Tire la langue, fait la passer sur tes lèvres, cligne des yeux de putain- Ondule et bouge ton cul de salope- Pince-toi les seins- Déhanche-toi mieux que ça- Montre-nous ton trou… - Mieux que ça… - Écarte tes fesses…. Mieux que ça …- Tire sur tes couilles- Mets-toi un doigt dans le cul- Maintenant lèche ton doigt…
J’obéissais à chaque ordre dicté, toujours en me trémoussant ! Tous les trois me trainaient dans la fange, sans me laisser le choix, sans se préoccuper de mes ressentis… Pourquoi l’auraient-ils fait d’ailleurs ? Ne voyaient-ils pas ma nouille se tenir dressée, mon gland décalotté ruisseler ? Ils n’en avaient pas encore fini avec moi… Karaine, la Domina assise sur une banquette, me jetais une bite factice, un gode de gros calibre, comme elle aurait lancé un os à un chien, une chienne en l’occurrence !
- Suce cette bite, montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche et tes lèvres de pute.
J’avalais ce gode, le léchais tout en continuant à remuer mon cul, tout en écoutant leurs sarcasmes et leurs rires, tout en faisant abstraction à ce que j’étais… Une pute, une véritable pute ! Pendant de longues minutes encore je m’acharnais sur cette verge en caoutchouc, jusqu’à ce que cette perverse femme vienne se saisir de mon collier pour me regarder droit dans les yeux.
- … Et une chatte, tu sais bouffer une chatte ?…, tu sais faire gonfler un clito ?...
(A suivre…)
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