La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1662)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1661) -
Chapitre 47 bis : Un trio infernal -
- … Et une chatte, tu sais bouffer une chatte ?…, tu sais faire gonfler un clito ?...

Sans attendre une réponse de ma part, Madame Karaine m’entrainait en quadrupédie derrière elle pour m’installer à genoux juste sous la femelle soumise ligotée. Tête en arrière, ma bouche se ventousait à cette chatte béante, ruisselante et tuméfiée par ces écarteurs pinçant et serrant ses lèvres intimes… La femelle gémissait à mon premier coup de langue et réagissait en m’envoyant une giclée de sa mouille poisseuse dans ma bouche, telle une éjaculation ! Je n’osais enfouir de nouveau ma langue dans ce vagin largement ouvert et dilaté et surtout détrempé, mais là encore cette Domina ne me laissait pas le choix. Une de ses mains se posait sous mon menton, l’autre s’agrippait à ma chevelure me tenant et me saisissant fermement pour que mon visage reste plaqué contre cette béante vulve visqueuse et gluante. Ainsi, elle faisait aller et venir mon visage, de haut en bas, de bas en haut, sur cette chatte écartelée pour que je m’imprègne de ces abondantes sécrétions d’excitation. Ma peau était parcourue de fourmillements, mes muscles habités d’une tension électrique me rendant à demi-fou. J’entrouvrais les lèvres, tirais la langue, fermais les yeux, me mettait à respirer largement car la chaleur, les odeurs et les saveurs de cette chatte en extrême chaleur m’excitaient terriblement et ma nouille décagée en exprimait son état fortement érectile.

Je n’étais plus qu’une poupée de chiffon entre les mains de cette femme Dominatrice, alors que je sentais dégouliner le long de mon nez jusqu’à mes lèvres cette abondante cyprine qui coulait en un flot brulant et continu jusqu’au fond de ma gorge, telle une source intarissable et emportant avec elle l’humiliation et la stupeur de me trouver ainsi démoli, et d’y prendre goût. Je devenais comme fou, c’était comme de la drogue, parce qu’en plus de cette dégustation féminine, Karl venait de se saisir de ma nouille gorgée de sang à pleine main, dans sa grande main lourde et puissante et commençait à la branler, avec une vigueur presque insupportable. Il donnait de grands mouvements, des gestes de dingue qui m’emportaient aux quatre coins du plaisir, tirant sur ma peau, la rabattant, tirant encore violemment sur mon prépuce jusqu’à ce que mon gland décalotté soit complètement au bord de l’explosion éjaculatrice. A ce rythme-là, sous peu j’allais donc gicler, j’allais expédier mon foutre contenu dans mes couilles de chien bâtard. Mais Karl s’arrêtait juste avant que l’orgasme me foudroie, il saisissait mes burnes et les serrait si violemment que je me pliais en deux et hurlais de douleur.

- Ecarte !, la pute !

Cette fois-ci couché à plat dos au sol, toujours sous cette femelle soumise, j’ouvrais largement les cuisses pour répondre sans attendre à cet ordre odieux et pour le moins direct. Karl de nouveau saisissait ma bite bandée dans sa main, la branlant vigoureusement, crachant dans sa paume pour lubrifier son geste et s’activait à masturber sans concession ma nouille tendue, raide et prête à jaillir, à exploser tel un volcan en éruption violente.

- C’est bon, ça !, murmurait-il
J’ouvrais les yeux, juste au-dessus de moi, Madame Karaine branlait la chatte de cette soumise femelle fontaine qui contenait ses gémissements, mais lâchait sans discontinuer sa mouille sur mon visage. Je me serai cru sous une fontaine… Etienne lui pressait les seins, lui les tordait, lui les étirait avec un sourire sadique aux lèvres. Karl poursuivait, il me masturbait désormais à grand coup de poignet et avec une énergie phénoménale, une vitesse et une régularité digne d’un métronome qu’on aurait réglé sur la vitesse la plus rapide et ininterrompue :
- C’est bon ça, c’est ce que tu désires, le chien, te faire branler… hein ?, t’aime ça, sale chienne, c’est bon, pas vrai ? T’aime ça, hein ? Dis merci !

Le visage défait, couvert de cyprine, la bouche grande ouverte, lamentable au point de m’étouffer, je remerciais comme je le pouvais.

- Dis ‘merci Monsieur’.
- Mer… Merci … Monsi… Monsieur… glups !, répondis-je alors que j’avalais de travers un flot de cyprine éclaboussant ma cavité buccale- Dis que tu n’es qu’une merde. Dis que tu ne sers qu’à sucer, qu’à lécher et qu’à te faire enculer.
- Je suis … une merde, Monsieur… je … ne suis qu’une … glups !... suceuse, … lécheuse et … qu’une enculée, glups !... Monsieur, pitié Monsieur … Vous me faites mal, je vais… glups !... rajoutais-je en avalant comme je le pouvais cette quantité mouille déversée en ma bouche
Sa main continuait de me branler, comme si je n’étais qu’une bête à traire, je m’agitais, me tendais, murmurais des mots confus pour signifier que je m’apprêtais à jouir tout en régurgitant un surplus de cyprine. Karl continuait quelques secondes encore, avant de retenir son mouvement, puis laissait ma nouille retomber, bandée, au bord du gouffre, alors que l’ivresse déchirante de l’orgasme manqué me renversait…
- Soit ! Une salope de chienne de ton espèce n’a pas à jouir de ses couilles de chiot ! Tu ne juteras donc pas !

Je poussai un cri de détresse, doublement motivé par ce plaisir refusé, et par la conscience que ces trois pervers étaient en train de volontairement gâcher, jusqu’à me refuser une éjaculation libératrice après m’avoir tant branlé et excité … Ce trio infâme n’en avait pas fini avec nous ! Karl détachait la soumise alors que la Domina, Madame Karaine, m’obligeait de me tenir à quatre pattes. Dans mon dos, sa main chaude et poisseuse venait à nouveau jouer avec mes fesses. Son doigt visqueux de cyprine et brulant caressait le pourtour de mon trou, avant de se glisser avec facilité au fond de mon cul. Etienne lui, présentait sa grosse bite à mes lèvres. Une queue lourde, épaisse finement veinée… qu’il me campait dans la gueule sans la moindre considération à mon égard, comme s’il était normal pour moi d’avaler ce volumineux chibre. Donc, je le suçais avec vigueur, encore et encore, jusqu’à la sentir complètement gonflée contre ma langue et investir pleinement ma bouche accueillante, chaude et humide.

Mon esprit foutait le camp, il ne restait en moi que la chienne soumise que j’étais, cet être qui se contentait d’obéir, qui se laissait faire, cet être là, ne connaissant plus la morale, ni la peur, ni l’angoisse, ni le doute, mais juste l’obéissance et la dépravation qui me permettaient ainsi de vivre ma profonde nature servile. J’étais donc moi-même, simplement moi, sans que je m’en inquiète, vivant ma servilité à plein régime… Quelque chose de lourd poussait contre mon cul. J’écartais les fesses autant que possible, pour faciliter le passage, quoique cela puisse être, je souhaitais que ça me comble et me pénètre, que ça me remplisse et m’encombre, je désirais le recevoir en moi jusqu’à apaiser la faim de sexe qui me bouffait le ventre, telle une femelle en chaleur cherchant à tout prix à copuler. Je ne pouvais regarder en arrière avec cette queue dominante que je me devais d’avaler et sucer, encore et toujours. Pourtant, à vue de nez, c’était quinze centimètres épais qui me pénétrait et labourait le cul, un godemichet-ceinture long, large et lisse qui me chauffait les entrailles et que Madame Karaine avait enfilé pour me prendre le cul sans modération. Quel bonheur ! Un bonheur indescriptible d’être pénétré à la fois par l’avant (dans ma bouche) et par l’arrière (dans mon cul). Deux réseaux électriques se rejoignaient dans mon cerveau et m’insufflaient des désirs charnels les plus fous, les plus insensés, les plus effrénés. Je me faisais pilonner, matraquer, broyer laissant les vibrations me parcourir le cul en tremblant de tous mes membres, laissant aussi ce chibre investir ma gorge à la limite de la suffocation...

C’était divin… diaboliquement obscène mais divin… dans le vice et la luxure, dans la dépravation et l’avilissement total, j’étais cette putain qui se donne sans compter…. Etienne me maintenait fermement la tête contre son bassin, pressant de toutes ses forces. Après un coït buccal immobile au fond de ma cavité buccale, il entamait une série d’allers-retours au fond de ma bouche, comme si je n’étais qu’un vulgaire trou, laissant ma langue parcourir son membre tiède, il me baisait la bouche encore et toujours … Soudainement il se retirait, laissant un filet de salive courant depuis ma langue jusqu’à son gland puis se branlait deux ou trois fois seulement. Ses abdominaux se tendirent alors qu’il jouissait plusieurs jets d’un sperme tiède et crémeux qui éclaboussaient mon visage et ma langue que je laissais tendue pour récolter jusqu’à la dernière goutte cette nouvelle humiliation. En sueur et pantelant, Etienne attrapait ma mâchoire, alors que j’étais encore secoué par de violents coups de hanches de cette Domina qui s’en donnait à cœur joie pour m’enculer dans une infernale saillie des plus torrides. Madame Karaine s’occupait de mon cul vaginalisé avec ce gode ceinture avec une vraie furie quasiment démesurée par des coups de reins digne d’un viril étalon… De plus, ses ongles lacéraient mes hanches qu’elle cramponnait douloureusement.

- Avale., m’ordonnait Etienne.

Je rentrais la langue, j’avalais chaque goutte de ce foutre au goût amer et salé. Etienne pendant ce temps, récoltait les reliquats de son sperme déposé sur mon visage et enfonçait ses doigts dans ma gorge, alors que la Domina se retirait enfin de mon antre, laissant mon anus béant…. Tout était flou autour de moi… j’avais cette impression de me contempler, de me voir détruit, poussiéreux et en sueur. Mes abdominaux et pectoraux étaient bandés et transpirants, ma chair ravagée, mon expression dévastée, soulagée et avide d’encore plus de destruction et d’humiliation. Cette humiliation, justement, s’amplifiait quand Madame Karaine présenta son gode-ceinture tout juste sorti de mon cul dilaté, et donc gode empli de mes sécrétions anales et nauséabondes, devant ma bouche et m’ordonna le nettoyer de ma langue. C’est avec des hauts de cœur que j’obtempérais, écœuré de ce sexe factice emplissant en bouche et que je léchais tant bien que mal… Je me sentais vaincu, brisé, cloué au sol, mais aussi, comme dans l’attente… l’attente de nouvelles épreuves toujours plus dégradantes et toujours plus avilissantes. Et je n’eus pas à attendre longtemps… Karl et Etienne me cueillaient de nouveau, me saisissant chacun de leur côté par une épaule, pour m’allonger à plat dos, sur une espèce de tapis roulant, pas très large, en face de la femelle soumise silencieuse et déjà installée. Comme pour elle, Karl et Etienne m’attachaient les bras étirés derrière ma tête, comme elle, ils liaient mes pieds à une barre métallique tenue en l’air par un palan électrique, comme elle, ils me ceinturaient le ventre avec une large ceinture de cuir au niveau de mon abdomen. Pendant ce temps-là, Madame Karaine la Domina, sous nos yeux, préparait un double gode, énorme de par sa taille impressionnante d’une soixantaine de centimètres, l’enduisait de gel lubrifiant et lorsque je fus parfaitement maitrisé et immobilisé, elle glissait un bout de ce gode dans mon antre déjà bien ravagé, l’autre bout dans le cul de ma congénère femelle.

- Enculez-vous !, lançait-elle en riant avec une perversité affichée
En effet, c’était un rire plus que vicieux, un rire exécrable, un rire odieux et de plus en plus insupportable… de plus en plus épouvantable… Sans comprendre le mécanisme diabolique fixé sous ce tapis roulant sur lesquelles nous étions allongés, mon fessier s’approchait inexorablement de celui de cette soumise de telle sorte que nous étions contraints de nous empaler mutuellement. Ce double gode, d’une manière inévitable s’enfonçait, centimètres par centimètres, entre nos reins respectifs, jusqu’à ce que nos culs aient avalé ce gode dans sa totalité, jusqu’à ce que nos fesses entre en contact entre elles. Et dès qu’elles le furent, Karl et Etienne attachaient mes jambes écartées et suspendues à cette barre métallique à celles de cette femelle soumise. Ainsi amarrés et fusionnés l’un à l’autre, la Domina semblait jubiler… Sans pudeur, elle ôtait sa robe, laissant paraitre ses seins nus et magnifiques, son sexe lisse et libre de tout vêtement, ne gardant qu’un bustier, un porte-jarretelle, ses bas et ses escarpins. Karl et Etienne, près d’elle, la caressaient… Leurs mains la tripotaient, glissaient sur ses seins, sur sa fente. Elle se laissait faire tout en malaxant d’une main ma nouille et mes couilles, de l’autre la chatte de ma congénère comme s’il s’agissait de terre glaise.

- Un petit moulage s’impose !, lançait-elle
J’écoutais sans comprendre, trop enivré par, à la fois la douleur et le plaisir. Je ne savais plus qui j’étais, ni où j’allais… Je respirais ces odeurs de sueurs, de sexes émanant de nous tous. J’écoutais le chant de ces talons aiguilles qui martelaient le sol et qui à chaque nouveau pas, me donnait l’impression d’une pression supplémentaire sur mon bas ventre. Je sentais ma nouille durement bandée, par ces tripotages incessants, par ce gode, enfoncé dans mon cul. Je sentais mes couilles lourdes et pendantes qui ne demandaient qu’à être vidées. Je sentais aussi la cyprine de la femelle soumise venant mouiller la raie de mon cul encombré… J’étais perdu, je tirais la langue dès lors que la main de cette satanée Madame Karaine se présentait à ma bouche après qu’elle y ait récolté l’humidité qui perlait de mon urètre. Je me sentais chienne, elle était hyène, ses yeux me regardaient avec un sourire délirant, pervers, victorieux, un sourire qui faisait qu’augmenter mon humiliation et la dureté de ma nouille. Bientôt mon esprit était envahi par des hallucinations défilantes sous mes paupières, des symboles étranges, des images d’êtres aimés comme celles de mes parents, de Louise et même d’Antoine, toutes déchirées par les visages en sueur de mes trois vicieux tortionnaires. Puis soudainement j’étais réveillé et emporté par une douleur inexplicable juste au bout de ma nouille … Des gouttes de cire chaude venaient frapper et éclabousser mon gland violacé et tumescent, entièrement décalotté. Etienne tenait d’une main cette bougie allumée, et de couleur rouge sang, près de ma nouille de l’autre, il l’immobilisait droite, pointée vers le ciel alors que Karl s’occupait de la chatte de ma congénère soumise. Nous gémissions, nous tremblions… et nos tremblements respectifs faisaient vibrer ce gode, enfoncé profondément dans nos chairs. C’était insupportable et délicieux, abject et sublime, douloureux et agréable à la fois. Ma nouille, mes burnes distendues étaient maintenant recouvertes d’une pellicule de cire chaude et colorée de ce rouge flamboyant. Je serrais les dents, haletais, me débattais vainement, alors que cette diabolique Domina s’installait sur mon visage en me torturant violemment les tétons.

- Lèche !, et applique-toi, m’ordonnait-elle.

Je redoublais d’effort… ma langue se logeait dans son intimité et caressait son sexe avec douceur, délicatesse et bienveillance… Cette nouvelle épreuve me procurait un bien-être exquis, me faisant oublier les affres imposées sur et dans mon corps servile. L’odeur et le gout de ce sexe humide m’emportait,… je m’en délectais. Ma figure enfoncée dans ces chairs intimes, j’inspirais de grande bouffée d’air et bientôt tout mon esprit était envahi par ce parfum et fragrances intimes, alors que ma langue cueillait le fruit d’une jouissance prochaine. Les cuisses de cette Domina se figeaient, tremblaient se resserraient, écrasaient ma tête entre ses jambes, elle s’affaissait une nouvelle fois, se laissant cette fois-ci emporter par l’extase en lâchant un flot de cyprine brûlante au fond de ma gorge, alors que mon cul était toujours amplement encombré de cet imposant double-gode...

(A suivre…)

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