La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1664)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1664)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1660) –
Ma nouvelle vie continue.... Après plusieurs minutes à évoluer en quadrupède, alors que je suis tiré de nouveau par une laisse, Monsieur Walter me fait entrer dans une salle immense au parquet parfaitement ciré, tellement brillant où on pourrait de voir dedans. Une salle absolument magnifique, décorée somptueusement avec des immenses lustres éclairés pendant d’un haut plafond à la française aux épaisses poutres d’une autre époque. Des somptueux tableaux aux murs, toiles dignes du musée du Louvres. Aux hautes fenêtres, de larges tentures de couleur bordeaux en velours épais, un mobilier style Louis XV, aux beaux meubles tels des bureaux richement décorés, des tables ouvragés et finement vernies et aux poignées de tiroir en or, des chaises au dossier rembourré d’un tissu d’ameublement digne d’un salon de ministre, des meubles-secrétaires marquetés d’un éclat des meilleurs bois, bref une décoration incroyable... Vraiment ce Monsieur Le Marquis a du goût. Cette immense et luxueuse salle me rappelle un peu la galerie des glaces à Versailles avec ses hautes fenêtres sur un côté donnant sur le parc du Château et sa profondeur offrant une large perspective, ses très belles tapisseries murales, un décorum somptueux…
Il s’y trouve déjà plusieurs soumises et soumise esclaves qui s'activent dans le plus grand silence. Tous nus, j'en vois en train de nettoyer des magnifiques tables et les chaises qui les accompagnent. D'autres frottent de magnifiques fauteuils. Plusieurs à quatre pattes, presque en position prosternée avec leu cul relevé nettoient le sol au parquet brillant. Pas un mot, pas un bruit, juste le mouvement des coups de torchons et du frottement du cirage sur le sol. Ils sont tous comme moi, nue et encagés pour les hommes et les femmes nues également avec des ceinture de chasteté pour certaines, mais toutes et tous portent un collier au cou avec une inscription de leur nom d’esclave… Tout à coup une voix forte, puissante, très autoritaire résonne et rompt ce silence et je reconnais la voix de Madame Marie :
- J'ai besoin d'une salope, ici !
Je sursaute car je ne me rendais pas compte comme ça résonne dans cette vaste pièce. Monsieur Walter me tire alors en sa direction.
- J'ai cette petite pute en laisse, si tu veux, Marie.
- Ah oui, parfait, celui-là, je vais te le faire bosser comme jamais il a dû le faire dans sa vie de bourge. Viens par ici, salope de chienne !
Je suis tremblant, elle me fait peur cette mégère si sadique et perverse. Je suis là devant elle, tête baissée et j’avoue que je n’en tiens pas large. La cuisinière me donne un grand coup de pied aux fesses et me fait avancer droit devant :
- Va droit devant, la putain, c’est la première porte à ta gauche, qu’on va !
Je me déplace le plus vite qu’il m’est possible, et une fois devant ladite porte Madame Marie me fait entrer dans une autre grande pièce entièrement carrelée mais de bien plus petite taille que la pièce précédente que j’appelle la galerie des glaces du Château. Où je me trouve désormais, ce sont des toilettes communes et vraiment très jolies. Toilettes pour dames sur le côté droit et pour hommes sur le côté gauche. On se dirige côté hommes et j’y vois des urinoirs et aussi des WC bien isolés, fermés, quelques lavabos en marbres et aux robinets en or, un éclairage blanc aux beaux lustres proportionnés. Vraiment des toilettes classes à l’évidence pour riches seigneurs !
- Tu vas tout nettoyer, espèce de salope. Je veux que tout brille. T’as compris ?
- Oui Madame
La cuisinière me tire mais par le collier et me fait entrer dans un WC.
- Ouvre bien des oreilles, sale chien et n'oublie rien. Tu as droit de te mettre debout pour travailler. Alors, tu nettoies la cuvette avec les ustensiles là dans ce placard et ensuite, tu nettoies le sol avec une serpillière et un balai brosse que tu trouveras aussi dans le placard et t'a intérêt que ça brille !
Madame Marie soulève la lunette et me montre deux poils qui traînent collés sur le bord de la cuvette.
- Ce sont deux poils de Dominants, des Être bien Supérieurs à toi, sale bâtard et tu dois toujours honorer les Supérieurs, toujours ! Alors c'est un honneur pour toi d'enlever ces poils avec ta putain de langue et de les avaler comme la bonne salope, que tu es.
Je ne bouge pas, le temps de réagir à ses propos. Alors me voyant immobile, elle me file brusquement une énorme gifle :
- Tu attends quoi, tu te crois en vacances, sale vermine... Nettoie !
Ma joue me brûle, et apeuré je sors ma langue, descend ma tête sur le dessus de la cuvette des WC et je lèche les deux poils qui traîne et je les avale. Comment puis-je faire cela ? Je suis en train de lécher le bord d’une cuvette et j'en trouve non pas un plaisir mais comme une évidence, ma nature servile est en train de détruire le reste de l'homme que j'étais, du peu de dignité qu’il me restait….
- Tu as tous les WC à faire, cuvettes comprises. Il y en a 12, plus les 12 urinoirs aussi.
Le bord de chaque cuvette doit être fait avec ta langue, le reste à la serpillière. Dépêche salope, on n’a pas que ça à faire ! Et me voilà. Moi, chef-responsable d'une quinzaine de personnes dans mon travail vanille en train de nettoyer des toilettes, nue, en collier, engagé et utilisant ma langue ! Je nettoie le premier WC à la serpillière, j'ai de l'eau partout, mes mains et mes genoux me font mal. Madame Marie me surveille tout en veillant sur le travail des autres d’où ses allers et venues intempestifs d’une pièce à l’autre. Déjà plus d'une heure et j'ai à peine fait la moitié. J'ai léché plusieurs poils et ma nouille est toujours tendue comme si elle avait besoin de cela pour être excitée. Quand, tout d’un coup :
- Recule la pute, je dois pisser.
Je n'ai pas vu Monsieur Walter arriver. Il me tire en dehors du WC et je l’entends uriner. Un jet puisant s’abat dans le WC. Je reste à genoux, tête baissée. Il se retourne, me regarde, sourit avec perversité et me dit vicieusement :
- Suce, salope !
Je lève la tête, je vois son sexe flasque avec quelques gouttes d'urine qui coule à terre. Non, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas me dégrader comme cela. Une terrible gifle me ramène à ma réalité.
- Suce, j’ai dit !
Alors vaincu, je m'approche et je prends en bouche ce sexe encore imprégné d'urine. Ça pue la pisse et je suce comme le clébard que je suis. Tout en suçant, je sens quelques gouttes d'urine dans ma bouche. Je suis écœuré mais je n'ai pas d'autres choix que de nettoyer la hampe de Monsieur Walter. Après 10 bonnes minutes à me baiser la bouche, il se vide les couilles dans ma gorge et j'avale son sperme comme une pute, ensuite je nettoie son sexe. Je pue le sperme, la sueur et la pisse. Il me fait nettoyer ensuite la cuvette avec ma langue. Je suis dégouté et en même temps je ressens cette excitation si forte d'être contraint, forcé, avili, j'en bande terriblement, je suis vraiment devenu une autre personne. Bien réfléchi, même pas une personne, je suis devenu un esclave, un animal, un chien obéissant. Presque 3h de travail intense et j'ai enfin terminé... Je suis lessivé, mes genoux et mes mains me font horriblement mal. J'en peux plus d'être à genoux ! Madame Marie, cravache en main, vient inspecter si tout est nickel…
- Tu as tout nettoyé, salope ?
- Oui Madame Marie
La cuisinière soulève le rabattant de la première cuvette de WC... Son regard devient glacial, réprobateur :
- Et ça, c'est propre, bâtard ?
Je regarde et minceeeee, j'ai complètement oublié de nettoyer les dessous des rabattants...
- J'ai oublié, Madame, je l'ai ai tous oublié, Madame Marie, répondis-je ma voix tremblante.
- Oublié, oublié ? Monsieur a oublié ! Espèce de vermine, un esclave ne doit jamais oublié, Ja... Mais !
Madame Marie me flagelle alors abondamment le cul par de virulents coups de cravache, puis illico pesto, elle me prend vigoureusement par le collier et me jette au milieu de la galerie des glaces. Elle fait stopper tout le monde pour annoncer de vive voix :
- Cette putain a oublié ! Je peux vous garantir qu'elle n'oubliera plus, dit-elle en continuant de me cravacher les fesses.
Ses yeux sont noirs de colère et elle respire bruyamment. J'ai peur, vraiment peur. La cuisinière me couche sur une table en bois massif, m'attache les mains et les pieds. Je suis écartelé et mes membres sont tendus à l'extrême. Elle se saisi d'un martinet à lanières longues et elle commence à me fouetter le dos et le cul.... Aie... Aie... Elle abat le martinet avec une violence extrême. Je pleure, je supplie, je ne peux pas esquiver les coups mais je bande plus que raison. 100 coups, oui j’ai bien dit 100 coups sur mon corps nu et servile, sur mon dos et mes fesses striées et fortement rougies. Je suis un amas de douleur. Je pleure comme un enfant ou plutôt je gémis bruyamment comme un chien battu. Madame Marie me laisse ensuite ainsi 15 bonnes minutes exhibé attaché aux yeux de tous. Mais avant ce répit, elle ne manque pas d’exclamer à tous les esclaves présents, tout en les menaçant de son martinet :
- Que ça vous serve de leçon, à tous. Le premier qui n’a pas fait son travail comme il faut, recevra la même chose, bande de sales bâtards, alors au boulot et que ça frotte, les chiens !
Alors tous les soumis esclaves redoublent d’intensité à leur travail, visiblement ils ont tous peur de cette satané cuisinière si féroce, si sadique, sans cœur… Une heure plus tard, quand tous les soumis ont fini leurs tâches, elle désigne deux soumis-esclaves, à savoir d’après l’inscription que j’ai pu lire sur leur collier ‘esclave alexsoumis’ et ‘esclave juliensoumis’ :
- Vous deux, vous avez bien travaillés, vous allez être récompensés. Sachez que ce ne serait que de moi, vous ne mériteriez rien du tout, à part ma cravache, mais le Maitre, dans sa grande bonté, a décidé ce matin que les deux meilleurs auraient le privilège de se vider les couilles. Eh bien, vous deux, esclave alexsoumis’ et ‘esclave juliensoumis’, vous pouvez vous vider les couilles en baisant cette salope, dit-elle en me désignant. Alors suivez-moi dit-elle en me détachant de la table, les autres retournez dans vos cachots respectifs.
Et nous retournons dans les WC pour hommes. Alors la cuisinière me fait mettre à genoux devant une cuvette de WC, m’attache les mains menottées dans le dos, me met la tête dans le chiotte et me la maintient fermement appuyée dans la cuvette. Puis elle se recule, et va retirer leur cage de chasteté et d’une vive traction sur la laisse, elle tire le premier des deux esclaves vers mon cul, tout en me réappuyant sur la nuque pour que ma tête soit bien dans la cuvette.
- T’as intérêt de défoncer cette salope, esclave alexsoumis !
Je sens ensuite deux mains sur mes hanches, je retiens mon souffle, j'ai peur, cela fait certainement longtemps qu'il n'a pas dû se vider ses couilles, je le devine car son érection a dû être instantanée au retrait de la cage car je sens déjà son gros gland se frotter contre ma raie anale... Iuchhhhh, il me sodomise d'un coup sec et violent et me défonce comme un fou sans même modérer ses premiers va-et-vient. Je crie de douleur mais Madame Marie me dit de fermer ma gueule, tout en cravachant le dos. esclave alexsoumis me ravage le cul à grands coups de reins puissants pendant quelques minutes sous le regard de Madame Marie et de juliensoumis…
- Va te vider dans sa bouche de pute, espèce de chien, ordonne-t-elle à alexsoumis
Et pendant que ce dernier vient devant moi pour se vider dans ma cavité buccale, le deuxième, juliensoumis, me prend sans attendre et tout aussi violement par le cul dans une saillie bestiale, animale. Je suce pendant qu'on m’encule et je finis par gémir comme une chienne en chaleur.
- Ecoutez-moi ce sale bâtard, il prend son pied en se faisant enculer et défoncer sa bouche de putain ! Salopeee ! s’exclame la cuisinière avec ironie
alexsoumis se vide dans ma bouche, une quantité incroyable de sperme, visiblement il y a vraiment longtemps qu’il n’avait pas joui. Il crie son plaisir par de longs râles orgasmiques en déchargent dans ma bouche. Et à peine avalé que la deuxième queue, celle de juliensoumis prend la place et je suce encore et encore jusqu’enfin il gicle lui aussi au fond de ma gorge en déchargeant une quantité invraisemblable de sperme, tout en laisser hurler son plaisir par des cris gutturaux. Je suis anéanti, humilié, détruit, et pourtant je ressens un certain bien-être inouï, excité et à ma place.
- Maintenant, tu n'oublieras plus, espèce de chien !
Madame Marie me tire la tête en arrière et me détache les menottes dans le dos, alors je tombe à terre et je vais nettoyer chaque dessous de rabattant. Je ne suis plus qu’une loque puante et fatigué.
- Sache que Monsieur le Marquis sera au courant de ton oubli, la pute, finit-elle par me dire la sinistre cuisinière !
Dix minutes plus tard, Monsieur Walter me ramène rudement à mon cachot, à grand coups de cravache….
(A suivre …)
Ma nouvelle vie continue.... Après plusieurs minutes à évoluer en quadrupède, alors que je suis tiré de nouveau par une laisse, Monsieur Walter me fait entrer dans une salle immense au parquet parfaitement ciré, tellement brillant où on pourrait de voir dedans. Une salle absolument magnifique, décorée somptueusement avec des immenses lustres éclairés pendant d’un haut plafond à la française aux épaisses poutres d’une autre époque. Des somptueux tableaux aux murs, toiles dignes du musée du Louvres. Aux hautes fenêtres, de larges tentures de couleur bordeaux en velours épais, un mobilier style Louis XV, aux beaux meubles tels des bureaux richement décorés, des tables ouvragés et finement vernies et aux poignées de tiroir en or, des chaises au dossier rembourré d’un tissu d’ameublement digne d’un salon de ministre, des meubles-secrétaires marquetés d’un éclat des meilleurs bois, bref une décoration incroyable... Vraiment ce Monsieur Le Marquis a du goût. Cette immense et luxueuse salle me rappelle un peu la galerie des glaces à Versailles avec ses hautes fenêtres sur un côté donnant sur le parc du Château et sa profondeur offrant une large perspective, ses très belles tapisseries murales, un décorum somptueux…
Il s’y trouve déjà plusieurs soumises et soumise esclaves qui s'activent dans le plus grand silence. Tous nus, j'en vois en train de nettoyer des magnifiques tables et les chaises qui les accompagnent. D'autres frottent de magnifiques fauteuils. Plusieurs à quatre pattes, presque en position prosternée avec leu cul relevé nettoient le sol au parquet brillant. Pas un mot, pas un bruit, juste le mouvement des coups de torchons et du frottement du cirage sur le sol. Ils sont tous comme moi, nue et encagés pour les hommes et les femmes nues également avec des ceinture de chasteté pour certaines, mais toutes et tous portent un collier au cou avec une inscription de leur nom d’esclave… Tout à coup une voix forte, puissante, très autoritaire résonne et rompt ce silence et je reconnais la voix de Madame Marie :
- J'ai besoin d'une salope, ici !
Je sursaute car je ne me rendais pas compte comme ça résonne dans cette vaste pièce. Monsieur Walter me tire alors en sa direction.
- J'ai cette petite pute en laisse, si tu veux, Marie.
- Ah oui, parfait, celui-là, je vais te le faire bosser comme jamais il a dû le faire dans sa vie de bourge. Viens par ici, salope de chienne !
Je suis tremblant, elle me fait peur cette mégère si sadique et perverse. Je suis là devant elle, tête baissée et j’avoue que je n’en tiens pas large. La cuisinière me donne un grand coup de pied aux fesses et me fait avancer droit devant :
- Va droit devant, la putain, c’est la première porte à ta gauche, qu’on va !
Je me déplace le plus vite qu’il m’est possible, et une fois devant ladite porte Madame Marie me fait entrer dans une autre grande pièce entièrement carrelée mais de bien plus petite taille que la pièce précédente que j’appelle la galerie des glaces du Château. Où je me trouve désormais, ce sont des toilettes communes et vraiment très jolies. Toilettes pour dames sur le côté droit et pour hommes sur le côté gauche. On se dirige côté hommes et j’y vois des urinoirs et aussi des WC bien isolés, fermés, quelques lavabos en marbres et aux robinets en or, un éclairage blanc aux beaux lustres proportionnés. Vraiment des toilettes classes à l’évidence pour riches seigneurs !
- Tu vas tout nettoyer, espèce de salope. Je veux que tout brille. T’as compris ?
- Oui Madame
La cuisinière me tire mais par le collier et me fait entrer dans un WC.
- Ouvre bien des oreilles, sale chien et n'oublie rien. Tu as droit de te mettre debout pour travailler. Alors, tu nettoies la cuvette avec les ustensiles là dans ce placard et ensuite, tu nettoies le sol avec une serpillière et un balai brosse que tu trouveras aussi dans le placard et t'a intérêt que ça brille !
Madame Marie soulève la lunette et me montre deux poils qui traînent collés sur le bord de la cuvette.
- Ce sont deux poils de Dominants, des Être bien Supérieurs à toi, sale bâtard et tu dois toujours honorer les Supérieurs, toujours ! Alors c'est un honneur pour toi d'enlever ces poils avec ta putain de langue et de les avaler comme la bonne salope, que tu es.
Je ne bouge pas, le temps de réagir à ses propos. Alors me voyant immobile, elle me file brusquement une énorme gifle :
- Tu attends quoi, tu te crois en vacances, sale vermine... Nettoie !
Ma joue me brûle, et apeuré je sors ma langue, descend ma tête sur le dessus de la cuvette des WC et je lèche les deux poils qui traîne et je les avale. Comment puis-je faire cela ? Je suis en train de lécher le bord d’une cuvette et j'en trouve non pas un plaisir mais comme une évidence, ma nature servile est en train de détruire le reste de l'homme que j'étais, du peu de dignité qu’il me restait….
- Tu as tous les WC à faire, cuvettes comprises. Il y en a 12, plus les 12 urinoirs aussi.
Le bord de chaque cuvette doit être fait avec ta langue, le reste à la serpillière. Dépêche salope, on n’a pas que ça à faire ! Et me voilà. Moi, chef-responsable d'une quinzaine de personnes dans mon travail vanille en train de nettoyer des toilettes, nue, en collier, engagé et utilisant ma langue ! Je nettoie le premier WC à la serpillière, j'ai de l'eau partout, mes mains et mes genoux me font mal. Madame Marie me surveille tout en veillant sur le travail des autres d’où ses allers et venues intempestifs d’une pièce à l’autre. Déjà plus d'une heure et j'ai à peine fait la moitié. J'ai léché plusieurs poils et ma nouille est toujours tendue comme si elle avait besoin de cela pour être excitée. Quand, tout d’un coup :
- Recule la pute, je dois pisser.
Je n'ai pas vu Monsieur Walter arriver. Il me tire en dehors du WC et je l’entends uriner. Un jet puisant s’abat dans le WC. Je reste à genoux, tête baissée. Il se retourne, me regarde, sourit avec perversité et me dit vicieusement :
- Suce, salope !
Je lève la tête, je vois son sexe flasque avec quelques gouttes d'urine qui coule à terre. Non, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas me dégrader comme cela. Une terrible gifle me ramène à ma réalité.
- Suce, j’ai dit !
Alors vaincu, je m'approche et je prends en bouche ce sexe encore imprégné d'urine. Ça pue la pisse et je suce comme le clébard que je suis. Tout en suçant, je sens quelques gouttes d'urine dans ma bouche. Je suis écœuré mais je n'ai pas d'autres choix que de nettoyer la hampe de Monsieur Walter. Après 10 bonnes minutes à me baiser la bouche, il se vide les couilles dans ma gorge et j'avale son sperme comme une pute, ensuite je nettoie son sexe. Je pue le sperme, la sueur et la pisse. Il me fait nettoyer ensuite la cuvette avec ma langue. Je suis dégouté et en même temps je ressens cette excitation si forte d'être contraint, forcé, avili, j'en bande terriblement, je suis vraiment devenu une autre personne. Bien réfléchi, même pas une personne, je suis devenu un esclave, un animal, un chien obéissant. Presque 3h de travail intense et j'ai enfin terminé... Je suis lessivé, mes genoux et mes mains me font horriblement mal. J'en peux plus d'être à genoux ! Madame Marie, cravache en main, vient inspecter si tout est nickel…
- Tu as tout nettoyé, salope ?
- Oui Madame Marie
La cuisinière soulève le rabattant de la première cuvette de WC... Son regard devient glacial, réprobateur :
- Et ça, c'est propre, bâtard ?
Je regarde et minceeeee, j'ai complètement oublié de nettoyer les dessous des rabattants...
- J'ai oublié, Madame, je l'ai ai tous oublié, Madame Marie, répondis-je ma voix tremblante.
- Oublié, oublié ? Monsieur a oublié ! Espèce de vermine, un esclave ne doit jamais oublié, Ja... Mais !
Madame Marie me flagelle alors abondamment le cul par de virulents coups de cravache, puis illico pesto, elle me prend vigoureusement par le collier et me jette au milieu de la galerie des glaces. Elle fait stopper tout le monde pour annoncer de vive voix :
- Cette putain a oublié ! Je peux vous garantir qu'elle n'oubliera plus, dit-elle en continuant de me cravacher les fesses.
Ses yeux sont noirs de colère et elle respire bruyamment. J'ai peur, vraiment peur. La cuisinière me couche sur une table en bois massif, m'attache les mains et les pieds. Je suis écartelé et mes membres sont tendus à l'extrême. Elle se saisi d'un martinet à lanières longues et elle commence à me fouetter le dos et le cul.... Aie... Aie... Elle abat le martinet avec une violence extrême. Je pleure, je supplie, je ne peux pas esquiver les coups mais je bande plus que raison. 100 coups, oui j’ai bien dit 100 coups sur mon corps nu et servile, sur mon dos et mes fesses striées et fortement rougies. Je suis un amas de douleur. Je pleure comme un enfant ou plutôt je gémis bruyamment comme un chien battu. Madame Marie me laisse ensuite ainsi 15 bonnes minutes exhibé attaché aux yeux de tous. Mais avant ce répit, elle ne manque pas d’exclamer à tous les esclaves présents, tout en les menaçant de son martinet :
- Que ça vous serve de leçon, à tous. Le premier qui n’a pas fait son travail comme il faut, recevra la même chose, bande de sales bâtards, alors au boulot et que ça frotte, les chiens !
Alors tous les soumis esclaves redoublent d’intensité à leur travail, visiblement ils ont tous peur de cette satané cuisinière si féroce, si sadique, sans cœur… Une heure plus tard, quand tous les soumis ont fini leurs tâches, elle désigne deux soumis-esclaves, à savoir d’après l’inscription que j’ai pu lire sur leur collier ‘esclave alexsoumis’ et ‘esclave juliensoumis’ :
- Vous deux, vous avez bien travaillés, vous allez être récompensés. Sachez que ce ne serait que de moi, vous ne mériteriez rien du tout, à part ma cravache, mais le Maitre, dans sa grande bonté, a décidé ce matin que les deux meilleurs auraient le privilège de se vider les couilles. Eh bien, vous deux, esclave alexsoumis’ et ‘esclave juliensoumis’, vous pouvez vous vider les couilles en baisant cette salope, dit-elle en me désignant. Alors suivez-moi dit-elle en me détachant de la table, les autres retournez dans vos cachots respectifs.
Et nous retournons dans les WC pour hommes. Alors la cuisinière me fait mettre à genoux devant une cuvette de WC, m’attache les mains menottées dans le dos, me met la tête dans le chiotte et me la maintient fermement appuyée dans la cuvette. Puis elle se recule, et va retirer leur cage de chasteté et d’une vive traction sur la laisse, elle tire le premier des deux esclaves vers mon cul, tout en me réappuyant sur la nuque pour que ma tête soit bien dans la cuvette.
- T’as intérêt de défoncer cette salope, esclave alexsoumis !
Je sens ensuite deux mains sur mes hanches, je retiens mon souffle, j'ai peur, cela fait certainement longtemps qu'il n'a pas dû se vider ses couilles, je le devine car son érection a dû être instantanée au retrait de la cage car je sens déjà son gros gland se frotter contre ma raie anale... Iuchhhhh, il me sodomise d'un coup sec et violent et me défonce comme un fou sans même modérer ses premiers va-et-vient. Je crie de douleur mais Madame Marie me dit de fermer ma gueule, tout en cravachant le dos. esclave alexsoumis me ravage le cul à grands coups de reins puissants pendant quelques minutes sous le regard de Madame Marie et de juliensoumis…
- Va te vider dans sa bouche de pute, espèce de chien, ordonne-t-elle à alexsoumis
Et pendant que ce dernier vient devant moi pour se vider dans ma cavité buccale, le deuxième, juliensoumis, me prend sans attendre et tout aussi violement par le cul dans une saillie bestiale, animale. Je suce pendant qu'on m’encule et je finis par gémir comme une chienne en chaleur.
- Ecoutez-moi ce sale bâtard, il prend son pied en se faisant enculer et défoncer sa bouche de putain ! Salopeee ! s’exclame la cuisinière avec ironie
alexsoumis se vide dans ma bouche, une quantité incroyable de sperme, visiblement il y a vraiment longtemps qu’il n’avait pas joui. Il crie son plaisir par de longs râles orgasmiques en déchargent dans ma bouche. Et à peine avalé que la deuxième queue, celle de juliensoumis prend la place et je suce encore et encore jusqu’enfin il gicle lui aussi au fond de ma gorge en déchargeant une quantité invraisemblable de sperme, tout en laisser hurler son plaisir par des cris gutturaux. Je suis anéanti, humilié, détruit, et pourtant je ressens un certain bien-être inouï, excité et à ma place.
- Maintenant, tu n'oublieras plus, espèce de chien !
Madame Marie me tire la tête en arrière et me détache les menottes dans le dos, alors je tombe à terre et je vais nettoyer chaque dessous de rabattant. Je ne suis plus qu’une loque puante et fatigué.
- Sache que Monsieur le Marquis sera au courant de ton oubli, la pute, finit-elle par me dire la sinistre cuisinière !
Dix minutes plus tard, Monsieur Walter me ramène rudement à mon cachot, à grand coups de cravache….
(A suivre …)
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