La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1665)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1665) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1665)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1663) -
Puis s'adressant à Marie : …
- Pourquoi ne l’as-tu pas fait ? C’était ton devoir de soumise de Me réveiller en Me prenant en bouche ? Marion ne t’a-t-elle pas dit ce que tu devais faire ?
- Si Maître, elle me l’avait dit mais je ne pouvais bouger sans Vous réveiller.
- Marie, Ceci n’excuse pas cela. Si tu étais allée très, très, doucement à te mouvoir pour te dégager de Moi, tu aurais eu une chance sur deux de ne pas Me réveiller. Au pire, si tu m’avais réveillé, je n’aurai pas sanctionné car tu l’aurais fait sans le vouloir et surtout pour obéir à Me prendre en bouche… Donc tu as fauté de ne pas bouger. Tu vas être sanctionnée et que cela te serve de leçon pour une prochaine fois… Quant à toi, Marion, même si c’est avec une bonne attention, il est évident que tu n’avais pas à faire ce que tu as fait, car de fait, tu as dédouané Marie. Et donc tu mérites aussi une sanction… A genoux devant Moi tout de suite, Mes salopes, rajouta-t-il d’un claquement de doigts
Dans la seconde qui suivit les deux soumises obtempérèrent. Marion demanda la parole en joignant les mains comme pour une prière.

- Oui, accordé, exprime toi.
- Maître, je Vous remercie de me sanctionner. Et avec Votre permission, je souhaite subir ma sanction jusqu'au bout en plus de ma nouvelle punition que je mérite, en effet, car je n’avais pas à prendre la place de Marie quoiqu’il m’en coûtait.
- Saches que je n'avais surtout pas l'intention de réduire ta sanction mais, disons plutôt, je vais l’alourdir, ce qui fera concrètement la punition supplémentaire pour ta faute d’aujourd’hui. À partir de ce jour, tu seras utilisée un jour sur deux uniquement par le cul à te faire enculer, le jour suivant ce sera dans ton sexe, mais dans les deux cas, interdiction de jouir. Tu as déjà tenu deux semaines sans jouir en étant baisée minimum une fois par jour. Pour les deux semaines à venir ce sera donc ainsi, cul ou chatte selon le jour et uniquement par le cul durant la période où ton sang coulera de ton sexe (ce que l’on nomme de nos jours les règles menstruelles). Et la punition supplémentaire est que quand tu seras prise par le cul, tu devras rester toute la journée avec un olisbo dans ton foncement (un olisbos en bois est l’ancêtre du gode ou du plug), afin de préparer, dilater préalablement ton anus, Tu devras donc rester le cul encombré du lever au coucher du soleil, ainsi comme déjà dit, tu seras toujours prête et dilatée pour la saillie anale… Un olisbo à ceinture de cuir devrait te permettre d’exécuter cette punition… Tu en trouveras un dans le donjon…
Le Maître fit signe à Marion qu'elle pouvait partir mais avant de partir, elle embrassa Ses pieds avec une dévotion et une gratitude évidente en disant.

- Merci Maître, merci pour votre sévérité envers moi. Je savoure ainsi Ma condition d’être véritablement soumise à Vous sans n’avoir aucune clémence, aucun cadeau, aucun favoritisme et me permettre de subir ma sanction sans concession, ainsi je me sens totalement à ma place- Bien, maintenant, tu peux partir à tes occupations
Marion se prosterna devant le Seigneur, lui embrassa les pieds et quitta la grange et les écuries pour revenir au Château
- Quant à toi, Marie, voici ta punition assez similaire à celle de Marion : Un jour sur deux, pendant deux semaines aussi, tu seras également utilisée par qui le veut dans ton sexe ou dans ton cul et tu auras aussi interdiction formelle de jouir. Est-ce claire salope ? Tu n'as rien à dire ?
- Non Maître, suite à l'honneur que Vous m'avez fait de partager Votre nuit, mon attitude est impardonnable, de n’avoir pas osé bouger pour Vous prendre en bouche, alors que Vous dormiez. Je ne suis qu'une soumise, et je me soumets à Votre juste sanction pour une telle faute.

Les jours passèrent ainsi que les nuits, chaque soir Marion accompagnait le Maître dans un lieu différent du Château. Ce n’était jamais dans la chambre du Noble, car elle ne méritait pas cet honneur tant qu’elle n’aurait pas purgé sa punition. Et les jours où elle était utilisée uniquement par le cul, Il la sodomisait sans modération pour se soulager quand bon lui semblait agréablement de se vider dans le cul de Sa chienne punie. Quant à Marie, elle fut beaucoup sollicitée par un ou plusieurs Dominants. C’est ainsi qu’un jour le Seigneur d’Evans l’informa qu’Il avait décidé de l’offrir à deux bucherons du village pour service rendu. Et comme ce serait la première fois cela se passerait sous la surveillance de Messire Léon et qu’ensuite elle serait à lui pour le restant de la journée et de la nuit. Le jour convenu Marie se rendit dans la pièce indiquée qui ressemblait vaguement à un Cachot mais en plus grand et sommairement meublée d’une table avec un pot d’eau, quelques gobelets en étain, des sièges, un fauteuil, une paillasse et un drap de toile de lin sur le sol ainsi que deux gamelles, l’une remplie d’eau, l’autre vide. Messire Léon qui était déjà là, l’interpela :
- Tu t’en doutes, mais sache que nous nous trouvons ici dans un ancien cachot, qui ne sert plus comme tel, il était jadis celui de la favorite de feu père du Seigneur d’Evans.

Marie n’eut pas le temps de répondre ou de poser plus de questions car Messire Mathieu arriva avec les deux bucherons qui semblaient déjà bander fortement par pure excitation à ce cadeau que le Seigneur leur offrait, prêts à copuler avec la femelle soumise mise à leur disposition par le Maître des lieux. Le Châtelain leur avait bien recommandé de ne pas la pousser volontairement à la faute, d’être attentif à ses réactions. Et ils étaient avertis que Marie étant novice que Messire Léon serait présent pour veiller à leur bon comportement. Sitôt arrivés, ils rejoignirent Marie qui patientait à genoux au centre de l’ancien cachot
- Selon les Exigences du Seigneur d’Evans, à partir de maintenant vous avez tous les trois le droit de vous exprimer librement entre vous. Je suis là uniquement comme surveillant et n’interviendrais qu’en cas de manquement aux consignes que le Maître vous a énuméré, toute désobéissance sera bien entendue sévèrement sanctionnée. Maintenant, cette femelle est à vous...

Ces deux bucherons mâles bien montés, musclés étaient impatients, peut-être même un peu trop, mais Messire Léon ne pouvait intervenir que s’ils dépassaient les limites ou si Marie arrivait au bout de sa résistance ou ressentait un réel malaise. Ils avaient convenu d’un code (qu’on pourrait appeler de nos jours un Safe Word ou mot d’arrêt) et elle avait choisi le mot «oiseau». L’un des deux bucherons, nommé Alois, la tira de suite par les cheveux et lui enfonça sa grosse bite déjà bien tendue dans la bouche. Marie crut s’étouffer sous le coup de la surprise. Tandis que l’autre, nommé Grégoire, était une espèce de brute épaisse et commençait déjà à lui doigter la chatte d’une main et de l’autre forcer sa rondelle pour la dilater sans plus de ménagement. Marie était un peu surprise, elle s’était attendue à un peu plus de considération de la part de personnes du même village qu’elle. Et ne s’entendait pas à autant d’impatience voire de brutalité face à ces deux bucherons assez rustres et visiblement en rut. Mais la considération, ils ne s’en souciaient guère, excités comme ils étaient, ils avaient trop besoin de se soulager. Tandis qu’elle continuait de sucer Alois, ce dernier la fit mettre à quatre pattes pour que l’autre, n’y tenant plus, puisse la prendre par derrière sans plus tarder. Alois se retira de sa bouche au même moment ou Grégoire la sodomisa par le cul sans préambule par un puissant coup de reins. Marie n’était pas habituée et être ainsi prise à sec, sans préparation, sans dilatation, et donc elle hurla sous le coup de la première et terrible douloureuse poussée... Mais après quelques va-et-vient, la douleur se mélangea en plaisir. Alois travaillait ses tétons, elle adorait cela surtout quand Grégoire lui pris l’autre téton et lui doigtait la chatte en même temps avec un sourire des plus vicieux, voire sadique. Il était évident qu’il prenait plaisir à l’entendre gémir de plaisir mais aussi de douleur. Messire Léon faillit intervenir quand Grégoire mit une paire de gifles à Marion en lui disant.

- Tais toi, salope, tu es à nous et tu vas obéir…
Marie failli répondre «je n’obéis qu’au Maître» mais elle se retint. Il essayait de la provoquer pour avoir une raison de la malmener. Quand Grégoire en eut assez de son cul, il décida d’utiliser sa bouche :
- On va te faire connaitre une double pénétration, la chienne, alors ne me fait pas gicler tout de suite, sinon je te cravacherai jusqu’au sang. Est-ce clair ?

Marie ne répondit pas et souhaita commencer ce qu’il venait de lui dire de faire mais sans s’y attendre, il lui tira la tête en arrière en tirant ses cheveux la fixant d’un regard glacial.

- J’ai dit est ce clair ?, répéta le bucheron.

Marie à bout ne put s’empêcher de répondre sincèrement et sarcastiquement.

- Oui très clair, que cela n’arrivera jamais.
- Tu vas le payer cher, la salope mais plus tard.

Alois était couché sur la paillasse et dit à Marie de venir s’empalée sur sa queue dure et tendue à l’extrême et de se pencher en avant pour que Grégoire lui prenne le cul, cette fois-ci, elle s’y attendait et s’était mentalement préparée à cette double intrusion. Les deux mâles la besognaient en cadence et plusieurs fois Marie faillit utiliser le mot « oiseau » car au-delà de l’envie de jouir, elle avait mal aux jambes à cause de la position pliée quasiment en deux, même si en elle, ressentant ces deux grosses bites la baiser sans ménagement et s’entrechoquer dans son ventre, cela l’excitait grandement. Finalement elle put tenir bon en pensant à la satisfaction du Maître et à l’aversion quelle ressentait vis à vis de ce Grégoire, ce sinistre bucheron. Et tous deux jouirent en elle presque en même temps. Ensuite Marie se remis en position d’attente encore un peu tremblante suite à cette double pénétration, certes pénible mais aussi très excitante, à la limite d’une explosion orgasmique. Le vulgaire Grégoire lui dit se méprenant sur ses tremblements.

- Tu trembles? Tu as raison car tu as manqué de respect à une personne supérieure à toi, à un bucheron !

Et en un éclair avant que qui que ce soit ne put régir, Grégoire attrapa la cravache en bois souple au manche de cuir que Messire Léon avait déposé sur la table à côté de lui mais Alois s’interposa entre Marie et lui en hurlant.

- Non, ne fait pas ça et…
Alois reçut le coup en plein visage et tomba au sol saignant abondement à l’arcade sourcilière. De suite, Messire Léon attrapa par le bras Grégoire tout en criant à l’aide à Messire Mathieu resté derrière la porte dans le couloir. Ce dernier intervint très vite et ils ne furent pas de trop, à deux, pour maitriser non sans difficulté le rustre bucheron et l’attachèrent à un solide anneau scellé dans le mur du fond. Marie n’avait pas reçu l’autorisation de bouger mais voyant Alois blessé, et qui avait pris le coup à sa place, ne put s’empêcher de lui porter secours. Elle était immédiatement allée prendre le pot d’eau et déchirer un morceau du drap propre pour nettoyer la blessure et faire pression pour essayer d’arrêter le sang. La blessure semblait assez grave car il était blessé à l’arcade sourcilière mais aussi à la joue. Messire Léon revint :
- Je vais m’en occuper, Mathieu, il faut le sortir d’ici, et toi Marie, trouve Chloris, dit lui de préparer de quoi soigner de graves coupures dont une à l’arcade sourcilière.

Marie ne pris pas le temps de répondre qu’elle était déjà partie. En sortant, au fond du couloir, elle percuta Antonin qui passait justement par là.

- Messire, je vous présente mes excuses, nous avons eu un accident- Quoi ? Ou s’est passé cet accident ?
- Dans les sous-sols dans l’ancien cachot de la favorite du feu père du Maître. Je dois aller prévenir Chloris.
- La dernière fois que je l’ai vue elle rentrait avec notre fille, elles doivent êtres dans les cuisines.

Antonin descendit aux sous-sols. Marie courut jusqu’aux cuisines où elle trouva effectivement Chloris avec sa fille. Marie, les mis au courant puis à bout de force, elle s’évanouit.

Angélique s’occupa de Marie tandis que Chloris et Félicienne étaient au chevet d’Alois qui avait été amené dans une chambre. Et le Seigneur d’Evans fut mis au courant de la situation et Il était hors de Lui, très en colère contre le comportement de ce Grégoire, ce bucheron du village qui sera sévèrement sanctionné car tous les habitants du village inféodés devaient obéissance à leur Seigneur, en respectant toutes les règles établies, comme dans toutes les seigneuries de l’époque...

(A suivre …)

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