La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1668)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1668)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1667) –
Qu’est-ce qui m'attend ! ? …
Je suis là, dans mon cachot au Château depuis environ 15 minutes quand la porte s'ouvre et que Monsieur Walter rentre après avoir fait grincer les gonds de la porte.
- Sors de là, sale bâtard et à genoux
J’obéis rapidement car je connais maintenant l’intransigeance de cet homme. Le Majordome me pose mon collier autour du cou, y accroche la laisse et me tire à l’extérieur du Château par une porte dérobée. On traverse plusieurs magnifiques allées aux graviers rouges et comme bien sûr, c'est à quatre pattes que je me déplace, ces graviers me font mal sous les genoux. On se retrouve ensuite derrière les cuisines, juste devant un haut portail en bois, grand ouvert, celui de l’immense cellier, c’est là où toute la nourriture est stockée… Devant est garée une grosse camionnette avec, à son attelage, une remorque frigorifique. J'entends parler fort et rire, je reconnais la voix puissante de Madame Marie. Elle est en conversation avec le livreur resté au volant et qui est aussi un grand ami de Monsieur Walter.
- Eh Bernard, j'ai trouvé ton porteur, c'est la dernière acquisition de Monsieur le Marquis.
Le livreur sort de son véhicule et je vois un homme d'environ 130 kg, obèse et massif avec son avantageux ventre et ses bras gros comme des cornets de poêle, il est barbu, un café à la main.
- Tu vois, Bernard, y’a à peine quatre jours, cette salope me toisait de haut, il se croyait supérieur au Majordome que je suis. Maintenant c'est mon vide-couilles mâle préféré
La cuisinière et le livreur, tous les deux se mettent à rire bruyamment.
- N'est-ce pas sale pute ?
- Oui, Monsieur Walter.
Le Majordome m'envoie une puissante gifle
- Répond correctement à la question, salope- Oui je suis votre vide-couilles mâle préféré, Monsieur Walter.
Tous les trois, cette fois, se mettent à rire de plus belle. Le Majordome m’ordonne de décharger les denrées de la camionnette. Et c'est nu, encagé et avec mon collier que je sors deux à deux les cartons de 20kgs, les nombreux cageots de fruits et légumes, victuailles et sacs de nourriture. Et je fais des dizaines de mètres afin de les placer sur les étagères dans le cellier. J’ai particulièrement froid, quand tout nu, je dois aller déposer les dizaines de cartons de viandes congelées dans l’impressionnant chambre froide située au fond du cellier, cartons qui se trouvaient dans la remorque frigorifique attelée à la camionnette … Il ne me faut pas loin d'une heure pour vider entièrement la livraison de ce Bernard. Aucun des trois n’est venu m'aider, au contraire, ils n’ont exprimé que moqueries à chacun de mes passages, alors qu’ils boivent tranquillement le café en discutant et en riant beaucoup, assis au soleil sur un banc placé juste à côté du haut portail. Lorsque je dépose dans le cellier, les deux derniers cartons, je suis tout transpirant et je me remets à genoux, devant la porte, pour me reprendre de mon effort physique. Cinq minutes après, Monsieur Walter se lève et s’approche de moi, sous le regard amusé des deux autres.
- T’a fini, enfin, espèce de salope ! … Hé, Bernard, vient, tu sais que Monsieur Le Marquis exige que tu sois toujours bien accueilli ici, car tes fruits et légumes et autres denrées sont incomparables. Ce bâtard va te vider les couilles, ça te fera du bien !
Un peu gêné, le livreur répond :
- Ecoute Walter, je ne suis pas très propre ce matin, j’ai beaucoup transpiré pour charger le camion au dépôt, mes deux employés étaient en livraison et…
Monsieur Walter se met à rire très fort.
- T'inquiète pas mon ami, ces sales bâtards adorent ça sucer des bites qui puent la transpiration, plus ça pue et plus ils se régalent. C'est leur nature... Pas vrai, sale pute ?
- Oui Monsieur Walter..., réponds-je en baissant la tête.
Bernard sort alors sa bite et effectivement, elle sent jusqu’à mes narines.
- Vas y, salope suce mon ami et applique-toi.
Je vois ce gros ventre et en dessous cette bite qui grossit à vue d'œil. Je suis écœuré par une odeur de sperme séché, d'urine et de transpiration. Je commence à sucer.
- Mieux que ça, la putain, lèche-le bien d'abord, salope.
Et me voilà léchant cette grosse bite puante, léchant ces couilles avec application et ensuite, je le pompe comme une véritable salope. Il me maintient fermement la tête et m’impose le rythme.
- Oui va y, cette putain, suce bien !
Monsieur Walter sort aussi sa queue et me place entre eux deux
- Aller, tu vas nous sucer chacun notre tour, pendant que tu le suces, tu me branles et ensuite tu changes. Vas-y la pute.
Et pour la première fois de ma vie, j’ai deux sexes qui sont dressés devant moi et je les suce alternativement tout en branlant l'autre. Une claque sur la tête et je change de bite, une autre et je rechange. Ça dure au moins 15 minutes et c'est Bernard qui commence à gémir bruyamment et qui se vide sur mon visage par des jets saccadés de semence, j'ai du sperme plein la figure. Ensuite, Monsieur Walter m’ordonne d'ouvrir la bouche et tirer la langue et je reçois sous des râles de mâles en rut jouissant, quatre ou cinq giclées de foutre chaud dans ma bouche et sur mon visage.
- Nettoie-nous, sale bâtard
Et alors qu'il n'est pas encore 8h, je nettoie déjà la troisième bite de la journée !...
- Bien maintenant et avant que je te mène dans le bureau du Maître, tu vas lécher et embrasser les chaussures de Monsieur Bernard en te prosternant devant lui, afin de le remercier.
Je m’exécute avec servilité, en me prosternant, écartant mes jambes en relevant mon cul le plus haut possible, tel un chien bien éduqué. Puis en embrassant, léchant les chaussures du livreur, j’exhibe bien mes fesses alors le Majordome me claque le cul d’une volée de fessées cinglantes à faire rougir mon fessier… Puis sans un mot, ce Bernard, me tourne le dos, remonte dans son camion et après avoir salué Madame Marie et Monsieur Walter, il démarre son camion et quitte les lieux… Monsieur Walter me conduit ensuite jusque dans le bureau du Maitre. Il me fait entrer et me pousse jusqu'au milieu. Il me menotte les mains dans le dos, pose son pied sur ma nuque et me fait baisser la tête jusqu'au sol.
- Tu restes comme ça en attendant que Monsieur Le Marquis arrive. T’as compris, la putain ?
- Oui, Monsieur Walter.
Le Majordome repart en fermant la porte et je me retrouve dans le noir complet. Pas un bruit, les hauts volets sont baissés. Je sens le sperme sécher sur mon visage. Je lève difficilement la tête et j'aperçois la magnifique horloge auquel le tic-tac du balancier est presque une berceuse …Il est déjà 8h30. Je reste comme cela, je commence à être ankylosé. Je relève la tête, il est 9h15. J'entends que ça s'active dans le couloir. Tout un coup, la porte s’ouvre, un bruit de pas feutré, je me jette la tête sur le sol. C'est Lui ... Je relève un peu la tête … Non, je vois que c’est juste une esclave femelle, elle est entièrement nue avec un collier et des épais anneaux aux tétons d’une poitrine fort généreuse. Et elle vient poser sur le bureau un superbe plateau du petit-déjeuner. Je relève de nouveau un peu la tête juste pour regarder et je devine d’un œil discret qu’elle récupère un objet sur le plateau. Elle repasse devant moi et alors que je pensais qu’elle m’ignorerait totalement, elle s’arrête à mon niveau, s’accroupie en me dévoilant son sexe parfaitement lisse… Elle me regarde et présente l’objet en question devant ma bouche, je vois que c’est un plug assez long avec une queue de chien ornementale à sa base :
- Bonjour esclave Katia, le Maître m’exigé de te mettre ce plug dans ton anus. Mais dans Sa grande bonté, Il t’autorise à le lubrifier avec ta salive. Donc tu peux le mettre en bouche pour bien le mouiller. Ensuite, j’ai ordre de te l’enfiler mais aussi de te mettre une paire de menottes à tes poignets dans le dos …
Mon dieu ! Jamais de ma vie, j’aurai pensé qu’un jour une femme m’enfilerai un objet dans mon cul ! Alors que j’ouvre la bouche, cette très belle et jeune femelle esclave m’enfile le plug dans ma cavité buccale. Je le salive autant que je peux durant une bonne minute, alors que mes yeux sont fixés sur son sexe un peu écarté et fort bien rosé entre ses lèvres intimes également annelées… Puis, sans dire un mot de plus, elle retire le plug pour aller me le mettre dans mon cul relevé. Je sens le passage se faire doucement car elle l’enfonce avec une inouïe douceur et avec précaution. Je ressens en elle une sorte de compassion ou de solidarité soumise ! Ensuite, elle me caresse furtivement les fesses se relève, va récupérer une paire de menottes sur le bureau du Maître et me les fixe avec mes mains dans le dos. Puis, elle quitte le bureau sans un mot, après s’être assurée que le plug est bien maintenu en place dans mon fondement… Je vois une cafetière sur le plateau et je sens cet arôme du bon café chaud. J'aperçois aussi des croissants chauds, du pain et du jus d'orange. Environ 5 minutes après, la porte s'ouvre et c'est Lui, c'est le Maitre et j'avoue que malgré ma peur j'avais besoin au fond de moi de me retrouver devant Lui. D'ailleurs, je sens mon sexe se comprimer dans ma cage. Il passe devant moi, s’arrête quelques instants, vérifie si le plug est bien planté en moi et va s'asseoir, sans un seul mot. Je suis à genoux, prosterné, nu et plugué, menottes dans le dos et tête au sol. Le Noble se sert un café et je l’entends déchirer un croissant en deux. Il ne m'a pas dit un mot, rien, je n'existe même pas, je ne suis à ce moment plus rien, inexistant ! Le Châtelain s'appuie sur son magnifique fauteuil et là...
- A genoux, tête baissée ! (Je m'exécute rapidement). Tu as été à l'heure ce matin, c'est une bonne chose car les esclaves doivent toujours être à l'heure. Je ne supporte pas ceux qui ne sont pas ponctuels… Est-ce clair ?
- Oui Maitre- Moi, j’ai le droit, et je ne m’en prive pas, de faire attendre Mes esclaves, mais ce n’est jamais l’inverse : La ponctualité des membres de Mon Cheptel est incontournable… Est-ce clair ?
- Oui Maitre- Par ailleurs, Madame Marie m'a signalé ton oubli de samedi matin ! Les esclaves ne doivent jamais oubliés ! Jamais, tu entends ! Tu seras puni sévèrement ! Je sais que Madame Marie t'a déjà donnée une correction. Mais seule la punition du Maitre compte et c'est La punition que tu n'oublieras jamais... Celle du Maitre.
Je tremble déjà et j'en suis déjà malgré moi tout excité, ma nouille demande qu’à se dresser toute droite si je n’étais pas encagé.
- As-tu dit à ta salope de femme ce que tu es au plus profond de toi ?
Je ne sais pas quoi répondre au Maître. Je n’ose pas Lui dire ‘non’ car je vais prendre cher. Et je n’ose pas répondre ‘oui’ car s'Il apprend que j'ai menti, ce sera pire. Et puis je ne peux pas mentir au Maître, cela m’est impossible, j’en suis incapable tout simplement, c’est même inconcevable en moi-même.
- Je t'ai posé une question, bâtard, alors répond !
Le ton est devenu très sévère ! C’est la tête baissée et en tremblant que j’ose répondre :
- Je n'y suis pas arrivé, je n'ai pas encore pu lui dire...
- Lui dire, qui ?
- Pardon, je n'ai pas encore pu lui dire, Maitre.
Monsieur le Marquis ne dit plus rien, et ce silence me pèse beaucoup, je sens sa forte réprobation silencieuse comme le calme avant la tempête… Il regarde les papiers que j'ai apportés qui ont été posées sur le bureau tout à l'heure par Monsieur Walter.
- Tu vas passer une première semaine de formation où tu vas apprendre à obéir, après cette semaine tu ne seras plus le même. Mais tu vas souffrir crois-Moi, sale bâtard, mais Je sais que t'as besoin de cela. Tu seras corrigé comme jamais tu ne l’as été et tu devras vite apprendre. Tu feras tout ce que l'on exigera de toi, absolument tout, sale pute... Est-ce bien clair dans ta petite cervelle de minable ?
- Oui Maitre
Le Châtelain fait le tour du bureau, me lève par les bras, me couche sur son bureau. Il ne dit pas un mot et attrape une cravache et avec Il rompt le silence en fendant l’air dans des mouvements amples comme pour bien armer son poignet... J’entends à mes oreilles la crache siffler au-dessus le moi.
- Si j'entends un mot, un cri, un gémissement, Je recommence. Tu as oublié samedi de nettoyer les dessous des rabattants des cuvettes des WC, tu as oublié de finir ta phrase tout à l'heure par ‘Maitre’ et tu n’as rien dit à ta salope de femme. Avoue que ça fait beaucoup !
- Oui Maitre, j’avoue que ça fait beaucoup, même beaucoup trop Maître, que je réponds apeuré mais sincère et excité.
- Maintenant, Je ne veux rien entendre...
Là j'ai peur, je Le sens très contrarié mais dans une sorte de colère froide, d’apparence calme et c'est la plus terrible. Je serre les dents... Je reçois tout à coup un violent coup de cravache sur mes fesses, suivi d'un deuxième et là Le Maitre se lâche complètement. Il me détruit le cul par des coups terribles. Je retiens mes cris, je mords mes lèvres pour ne pas gueuler. Je pleure en silence, cette douleur m’irradie tout le corps. Jamais je n’ai souffert comme cela. Jamais ! Le pire est que plus Il me frappe et plus je bande, plus ma nouille me fait hyper mal étant trop comprimée dans sa cage… 100 coups, oui 100 coups de cravaches sur mon cul et sur mon dos. Le Noble s'arrête enfin et va s'asseoir juste en face de moi. Je suis complètement brisé, mon dos et mes fesses sont zébrés de vives rayures rouges, striée la peau en est boursouflée et me cuit douloureusement. J'ai envie d’hurler tellement j'ai mal et malgré cela ma bite est tendue du mieux qu’elle peut et mon ventre me brûle d'excitation. Là, je réalise que je suis vraiment un masochiste ! Je suis allongé sur le bureau et Le Maitre est juste en face de moi et malgré la douleur je me sens profondément à ma place, comme si j’avais eu besoin d’être ainsi frappé. Ensuite le Maître fait manœuvrer le plug dans mon cul, mais sans le sortir, pour finir par le lâcher et me dire :
- Ouvre la bouche salope
Je m'exécute rapidement et le Maitre me crache dans la bouche.
- J'attends- Merci Maitre de m'avoir puni et de me faire l’honneur d’avaler Votre crachat ! …
(A suivre …)
Qu’est-ce qui m'attend ! ? …
Je suis là, dans mon cachot au Château depuis environ 15 minutes quand la porte s'ouvre et que Monsieur Walter rentre après avoir fait grincer les gonds de la porte.
- Sors de là, sale bâtard et à genoux
J’obéis rapidement car je connais maintenant l’intransigeance de cet homme. Le Majordome me pose mon collier autour du cou, y accroche la laisse et me tire à l’extérieur du Château par une porte dérobée. On traverse plusieurs magnifiques allées aux graviers rouges et comme bien sûr, c'est à quatre pattes que je me déplace, ces graviers me font mal sous les genoux. On se retrouve ensuite derrière les cuisines, juste devant un haut portail en bois, grand ouvert, celui de l’immense cellier, c’est là où toute la nourriture est stockée… Devant est garée une grosse camionnette avec, à son attelage, une remorque frigorifique. J'entends parler fort et rire, je reconnais la voix puissante de Madame Marie. Elle est en conversation avec le livreur resté au volant et qui est aussi un grand ami de Monsieur Walter.
- Eh Bernard, j'ai trouvé ton porteur, c'est la dernière acquisition de Monsieur le Marquis.
Le livreur sort de son véhicule et je vois un homme d'environ 130 kg, obèse et massif avec son avantageux ventre et ses bras gros comme des cornets de poêle, il est barbu, un café à la main.
- Tu vois, Bernard, y’a à peine quatre jours, cette salope me toisait de haut, il se croyait supérieur au Majordome que je suis. Maintenant c'est mon vide-couilles mâle préféré
La cuisinière et le livreur, tous les deux se mettent à rire bruyamment.
- N'est-ce pas sale pute ?
- Oui, Monsieur Walter.
Le Majordome m'envoie une puissante gifle
- Répond correctement à la question, salope- Oui je suis votre vide-couilles mâle préféré, Monsieur Walter.
Tous les trois, cette fois, se mettent à rire de plus belle. Le Majordome m’ordonne de décharger les denrées de la camionnette. Et c'est nu, encagé et avec mon collier que je sors deux à deux les cartons de 20kgs, les nombreux cageots de fruits et légumes, victuailles et sacs de nourriture. Et je fais des dizaines de mètres afin de les placer sur les étagères dans le cellier. J’ai particulièrement froid, quand tout nu, je dois aller déposer les dizaines de cartons de viandes congelées dans l’impressionnant chambre froide située au fond du cellier, cartons qui se trouvaient dans la remorque frigorifique attelée à la camionnette … Il ne me faut pas loin d'une heure pour vider entièrement la livraison de ce Bernard. Aucun des trois n’est venu m'aider, au contraire, ils n’ont exprimé que moqueries à chacun de mes passages, alors qu’ils boivent tranquillement le café en discutant et en riant beaucoup, assis au soleil sur un banc placé juste à côté du haut portail. Lorsque je dépose dans le cellier, les deux derniers cartons, je suis tout transpirant et je me remets à genoux, devant la porte, pour me reprendre de mon effort physique. Cinq minutes après, Monsieur Walter se lève et s’approche de moi, sous le regard amusé des deux autres.
- T’a fini, enfin, espèce de salope ! … Hé, Bernard, vient, tu sais que Monsieur Le Marquis exige que tu sois toujours bien accueilli ici, car tes fruits et légumes et autres denrées sont incomparables. Ce bâtard va te vider les couilles, ça te fera du bien !
Un peu gêné, le livreur répond :
- Ecoute Walter, je ne suis pas très propre ce matin, j’ai beaucoup transpiré pour charger le camion au dépôt, mes deux employés étaient en livraison et…
Monsieur Walter se met à rire très fort.
- T'inquiète pas mon ami, ces sales bâtards adorent ça sucer des bites qui puent la transpiration, plus ça pue et plus ils se régalent. C'est leur nature... Pas vrai, sale pute ?
- Oui Monsieur Walter..., réponds-je en baissant la tête.
Bernard sort alors sa bite et effectivement, elle sent jusqu’à mes narines.
- Vas y, salope suce mon ami et applique-toi.
Je vois ce gros ventre et en dessous cette bite qui grossit à vue d'œil. Je suis écœuré par une odeur de sperme séché, d'urine et de transpiration. Je commence à sucer.
- Mieux que ça, la putain, lèche-le bien d'abord, salope.
Et me voilà léchant cette grosse bite puante, léchant ces couilles avec application et ensuite, je le pompe comme une véritable salope. Il me maintient fermement la tête et m’impose le rythme.
- Oui va y, cette putain, suce bien !
Monsieur Walter sort aussi sa queue et me place entre eux deux
- Aller, tu vas nous sucer chacun notre tour, pendant que tu le suces, tu me branles et ensuite tu changes. Vas-y la pute.
Et pour la première fois de ma vie, j’ai deux sexes qui sont dressés devant moi et je les suce alternativement tout en branlant l'autre. Une claque sur la tête et je change de bite, une autre et je rechange. Ça dure au moins 15 minutes et c'est Bernard qui commence à gémir bruyamment et qui se vide sur mon visage par des jets saccadés de semence, j'ai du sperme plein la figure. Ensuite, Monsieur Walter m’ordonne d'ouvrir la bouche et tirer la langue et je reçois sous des râles de mâles en rut jouissant, quatre ou cinq giclées de foutre chaud dans ma bouche et sur mon visage.
- Nettoie-nous, sale bâtard
Et alors qu'il n'est pas encore 8h, je nettoie déjà la troisième bite de la journée !...
- Bien maintenant et avant que je te mène dans le bureau du Maître, tu vas lécher et embrasser les chaussures de Monsieur Bernard en te prosternant devant lui, afin de le remercier.
Je m’exécute avec servilité, en me prosternant, écartant mes jambes en relevant mon cul le plus haut possible, tel un chien bien éduqué. Puis en embrassant, léchant les chaussures du livreur, j’exhibe bien mes fesses alors le Majordome me claque le cul d’une volée de fessées cinglantes à faire rougir mon fessier… Puis sans un mot, ce Bernard, me tourne le dos, remonte dans son camion et après avoir salué Madame Marie et Monsieur Walter, il démarre son camion et quitte les lieux… Monsieur Walter me conduit ensuite jusque dans le bureau du Maitre. Il me fait entrer et me pousse jusqu'au milieu. Il me menotte les mains dans le dos, pose son pied sur ma nuque et me fait baisser la tête jusqu'au sol.
- Tu restes comme ça en attendant que Monsieur Le Marquis arrive. T’as compris, la putain ?
- Oui, Monsieur Walter.
Le Majordome repart en fermant la porte et je me retrouve dans le noir complet. Pas un bruit, les hauts volets sont baissés. Je sens le sperme sécher sur mon visage. Je lève difficilement la tête et j'aperçois la magnifique horloge auquel le tic-tac du balancier est presque une berceuse …Il est déjà 8h30. Je reste comme cela, je commence à être ankylosé. Je relève la tête, il est 9h15. J'entends que ça s'active dans le couloir. Tout un coup, la porte s’ouvre, un bruit de pas feutré, je me jette la tête sur le sol. C'est Lui ... Je relève un peu la tête … Non, je vois que c’est juste une esclave femelle, elle est entièrement nue avec un collier et des épais anneaux aux tétons d’une poitrine fort généreuse. Et elle vient poser sur le bureau un superbe plateau du petit-déjeuner. Je relève de nouveau un peu la tête juste pour regarder et je devine d’un œil discret qu’elle récupère un objet sur le plateau. Elle repasse devant moi et alors que je pensais qu’elle m’ignorerait totalement, elle s’arrête à mon niveau, s’accroupie en me dévoilant son sexe parfaitement lisse… Elle me regarde et présente l’objet en question devant ma bouche, je vois que c’est un plug assez long avec une queue de chien ornementale à sa base :
- Bonjour esclave Katia, le Maître m’exigé de te mettre ce plug dans ton anus. Mais dans Sa grande bonté, Il t’autorise à le lubrifier avec ta salive. Donc tu peux le mettre en bouche pour bien le mouiller. Ensuite, j’ai ordre de te l’enfiler mais aussi de te mettre une paire de menottes à tes poignets dans le dos …
Mon dieu ! Jamais de ma vie, j’aurai pensé qu’un jour une femme m’enfilerai un objet dans mon cul ! Alors que j’ouvre la bouche, cette très belle et jeune femelle esclave m’enfile le plug dans ma cavité buccale. Je le salive autant que je peux durant une bonne minute, alors que mes yeux sont fixés sur son sexe un peu écarté et fort bien rosé entre ses lèvres intimes également annelées… Puis, sans dire un mot de plus, elle retire le plug pour aller me le mettre dans mon cul relevé. Je sens le passage se faire doucement car elle l’enfonce avec une inouïe douceur et avec précaution. Je ressens en elle une sorte de compassion ou de solidarité soumise ! Ensuite, elle me caresse furtivement les fesses se relève, va récupérer une paire de menottes sur le bureau du Maître et me les fixe avec mes mains dans le dos. Puis, elle quitte le bureau sans un mot, après s’être assurée que le plug est bien maintenu en place dans mon fondement… Je vois une cafetière sur le plateau et je sens cet arôme du bon café chaud. J'aperçois aussi des croissants chauds, du pain et du jus d'orange. Environ 5 minutes après, la porte s'ouvre et c'est Lui, c'est le Maitre et j'avoue que malgré ma peur j'avais besoin au fond de moi de me retrouver devant Lui. D'ailleurs, je sens mon sexe se comprimer dans ma cage. Il passe devant moi, s’arrête quelques instants, vérifie si le plug est bien planté en moi et va s'asseoir, sans un seul mot. Je suis à genoux, prosterné, nu et plugué, menottes dans le dos et tête au sol. Le Noble se sert un café et je l’entends déchirer un croissant en deux. Il ne m'a pas dit un mot, rien, je n'existe même pas, je ne suis à ce moment plus rien, inexistant ! Le Châtelain s'appuie sur son magnifique fauteuil et là...
- A genoux, tête baissée ! (Je m'exécute rapidement). Tu as été à l'heure ce matin, c'est une bonne chose car les esclaves doivent toujours être à l'heure. Je ne supporte pas ceux qui ne sont pas ponctuels… Est-ce clair ?
- Oui Maitre- Moi, j’ai le droit, et je ne m’en prive pas, de faire attendre Mes esclaves, mais ce n’est jamais l’inverse : La ponctualité des membres de Mon Cheptel est incontournable… Est-ce clair ?
- Oui Maitre- Par ailleurs, Madame Marie m'a signalé ton oubli de samedi matin ! Les esclaves ne doivent jamais oubliés ! Jamais, tu entends ! Tu seras puni sévèrement ! Je sais que Madame Marie t'a déjà donnée une correction. Mais seule la punition du Maitre compte et c'est La punition que tu n'oublieras jamais... Celle du Maitre.
Je tremble déjà et j'en suis déjà malgré moi tout excité, ma nouille demande qu’à se dresser toute droite si je n’étais pas encagé.
- As-tu dit à ta salope de femme ce que tu es au plus profond de toi ?
Je ne sais pas quoi répondre au Maître. Je n’ose pas Lui dire ‘non’ car je vais prendre cher. Et je n’ose pas répondre ‘oui’ car s'Il apprend que j'ai menti, ce sera pire. Et puis je ne peux pas mentir au Maître, cela m’est impossible, j’en suis incapable tout simplement, c’est même inconcevable en moi-même.
- Je t'ai posé une question, bâtard, alors répond !
Le ton est devenu très sévère ! C’est la tête baissée et en tremblant que j’ose répondre :
- Je n'y suis pas arrivé, je n'ai pas encore pu lui dire...
- Lui dire, qui ?
- Pardon, je n'ai pas encore pu lui dire, Maitre.
Monsieur le Marquis ne dit plus rien, et ce silence me pèse beaucoup, je sens sa forte réprobation silencieuse comme le calme avant la tempête… Il regarde les papiers que j'ai apportés qui ont été posées sur le bureau tout à l'heure par Monsieur Walter.
- Tu vas passer une première semaine de formation où tu vas apprendre à obéir, après cette semaine tu ne seras plus le même. Mais tu vas souffrir crois-Moi, sale bâtard, mais Je sais que t'as besoin de cela. Tu seras corrigé comme jamais tu ne l’as été et tu devras vite apprendre. Tu feras tout ce que l'on exigera de toi, absolument tout, sale pute... Est-ce bien clair dans ta petite cervelle de minable ?
- Oui Maitre
Le Châtelain fait le tour du bureau, me lève par les bras, me couche sur son bureau. Il ne dit pas un mot et attrape une cravache et avec Il rompt le silence en fendant l’air dans des mouvements amples comme pour bien armer son poignet... J’entends à mes oreilles la crache siffler au-dessus le moi.
- Si j'entends un mot, un cri, un gémissement, Je recommence. Tu as oublié samedi de nettoyer les dessous des rabattants des cuvettes des WC, tu as oublié de finir ta phrase tout à l'heure par ‘Maitre’ et tu n’as rien dit à ta salope de femme. Avoue que ça fait beaucoup !
- Oui Maitre, j’avoue que ça fait beaucoup, même beaucoup trop Maître, que je réponds apeuré mais sincère et excité.
- Maintenant, Je ne veux rien entendre...
Là j'ai peur, je Le sens très contrarié mais dans une sorte de colère froide, d’apparence calme et c'est la plus terrible. Je serre les dents... Je reçois tout à coup un violent coup de cravache sur mes fesses, suivi d'un deuxième et là Le Maitre se lâche complètement. Il me détruit le cul par des coups terribles. Je retiens mes cris, je mords mes lèvres pour ne pas gueuler. Je pleure en silence, cette douleur m’irradie tout le corps. Jamais je n’ai souffert comme cela. Jamais ! Le pire est que plus Il me frappe et plus je bande, plus ma nouille me fait hyper mal étant trop comprimée dans sa cage… 100 coups, oui 100 coups de cravaches sur mon cul et sur mon dos. Le Noble s'arrête enfin et va s'asseoir juste en face de moi. Je suis complètement brisé, mon dos et mes fesses sont zébrés de vives rayures rouges, striée la peau en est boursouflée et me cuit douloureusement. J'ai envie d’hurler tellement j'ai mal et malgré cela ma bite est tendue du mieux qu’elle peut et mon ventre me brûle d'excitation. Là, je réalise que je suis vraiment un masochiste ! Je suis allongé sur le bureau et Le Maitre est juste en face de moi et malgré la douleur je me sens profondément à ma place, comme si j’avais eu besoin d’être ainsi frappé. Ensuite le Maître fait manœuvrer le plug dans mon cul, mais sans le sortir, pour finir par le lâcher et me dire :
- Ouvre la bouche salope
Je m'exécute rapidement et le Maitre me crache dans la bouche.
- J'attends- Merci Maitre de m'avoir puni et de me faire l’honneur d’avaler Votre crachat ! …
(A suivre …)
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